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Cdt. Hamilton
Respect diplomatique : 1734 08/07/1023 ETU 10:58 |
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Score : 6
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Dame Rhea, Dissident Pfff Je vous remercie pour cette intervention, et croyez moi , je suis de désolée que vous deviez crever dans quelques cycles.... quoique le Dissident sait fait preuve de résilience. Pfff Commandant Daisaigai Il serait si simple de ne rien dire, attendre votre agression sur une de mes planète pour lancer une guerre qui soit verrait votre anéantissement soit dégénèreraient bataille galactique....Tout cela, encore une fois pour une planète qui ne vous appartient pas et qui ne vous a jamais appartenue. Vous me parlez de votre traité sectoriel, je vous répond mon traité galactique , mon traité universel, mon traité éternel: La Liberté Je suis : LIBRE de circuler dans cet univers et de coloniser les planètes brigandes et indépendantes que je croise, et je défendrais cette LIBERTE qui est aussi la votre. Si jamais vous aviez un peu d'expérience, de culture, d écoute, Vous sauriez que je n'ai jamais envahie qui que ce soit. Sauf... en réponse à une agression. Donc je vous mets en garde:. Vous touchez cette planète, je viendrai vous en prendre 2 Vous touchez deux de mes planètes je viendrai vous en prendre 10 Vous touchez dix de mes planètes....... je vous laisse calculer... Pfffffff Commandant Straton.. Euhh que vous dire..... Pfff Et bien rien, vu que vous semblez bien bouché et inconscient des impacts de vos mots.. Pffff Commandant Kyu Tae-Hyun Vous me voyez étonnée de vos propos: Hamilton ici présente ne manque d'ailleurs pas de vous donner la parfaite illustration de ce que ces commandants autrement moins bien intentionnés prévoient pour votre secteur, au contraire du Mandat. Venant de vous qui maitrisez l'art de la guerre et semblez perspicace dans vos propos, je m'attendais à plus de discernement. Allez donc fouiller dans les archives galactiques des 15 galaxies ayant précédé votre existence. vous y trouverez des témoignages mettant en avant ma défense des biens d'autrui et des libertés individuelles. Je ne vous en veux pas, mais vos propos ont de la portée et peuvent enflammer quelques jeunes écervelés comme nous venons de le voir Pfffffffff Et Daizaigai je reviens vers toi pour terminer.... La répugnante qui suinte la fange...ne t'avertira pas deux fois
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Cdt. Daisaigai no Zero
Respect diplomatique : 127 08/07/1023 ETU 12:15 |
Score : 4
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La régente apparut à nouveau, cette fois dans une immense cathédrale aux ors resplendissants. La lumière des vitraux tintait sa tenue blanche de mille couleurs et dissimulait dans une pénombre relative les dizaines de soldats au garde-à-vous en arrière-plan et de fidèles agenouillés qui l’entouraient. Elle avait cette fois un sceptre dans la main, dont la paume d’or était couverte par le symbole du Geass sculpté en diamant rose. Son visage était inchangé, suffisant et emplit de dédain, imperturbable malgré la tournure de la conversation. 早速お出ましか、何と言う面白い。 Voilà donc la grande alliée de l’Empire ? À peine a-t-elle reçu un baisé de l’Empereur qu’elle attend de lui l’amour paternel. Votre vénérable père la Khan doit avoir été un bon souverain, pour avoir laissé en vous un tel manque affectif de par son absence. Et qui est à ses côté ? L’Apostat repenti, l’impie qui cherche la rédemption en affichant une diplomatie angélique dont la mièvrerie n’a d’égale que l’incohérence. Vos réponses m’attristent. La première est une menace et la seconde un éloge du vice. J’imagine que c’est le lot de ceux qui ont une exigence envers eux-mêmes, la tendance à attendre des autres la même exigence. Quelle déception. Je fonde de grands espoirs en la décision de la Grande Régulatrice, puisse son jugement tendre plus vers mes espérances de rigueur que vers la réalité médiocre que j’ai le malheur de constater. Dans une volonté d’apaisement, j’attendrais son verdict pour agir. Quant à vous, Hamilton, vos menaces prouvent que nous n’avons rien à espérer d’un échange avec vous. Vous parlez de liberté, mais vous n’êtes même pas libre de votre propre perception. On m’avait déjà rapporté que vous aviez confondu Martial Vi Britania avec l’Empereur, maintenant moi… l’apotium semble être une drogue particulièrement dure pour altérer à ce point la perception. Comment attribuer le moindre crédit à la parole d’une… Commandante ? qui ne sait même pas où elle se trouve, ce qu’elle fait et à qui elle s’adresse ? Avez-vous plus de légitimité à vous seule lorsque vous déclarez vôtre une planète que quand toute une assemblée a décidé d’établir des règles ou a minima de les respecter ? Avez-vous plus de légitimité à vous seule lorsque vous déclarez que votre droit, votre lubie, votre « liberté » sont supérieurs à ceux des autres, aux décisions d’autres civilisations, de Secteurs entiers, voire de Coalitions ? Êtes-vous seulement certaine d’être vous-même en accord avec vos actes ? Êtes-vous véritablement rongées par l’approche du néant ou n’avez-vous pas finit par vous dégoûter vous-même, au point de vouloir oublier jusqu’à votre propre existence pour ne pas avoir à subir les affres du triste reflet que vous renverrait la réalité ? Elle s’apprêtait à tourner les talons et, comme si elle remarquait subitement un oubli, elle se ravisa. Enfant de Zero, oui ! On m’a rapporté que vous étiez en particulièrement bonne entente avec mes prédécesseurs. Peut-être voudriez-vous leur dire un mot ? Elle frappa son sceptre au sol, faisant par la même s’ouvrir les grandes dalles de pierre qui le composaient. En sortirent deux grands piliers de bois traversés d’une poutre dont le tout formait une croix. Une fois entièrement dévoilés, les piliers pivotèrent lentement, laissant apparaitre Martial Vi Britania et Rosetta Li Britania, attachés, les yeux bandés, en tenue de prisonnier. N’ayez-crainte, nous ne considérons pas chez nous que les amis des traitres à l’Empire sont des traitres eux-mêmes. Si la situation vous afflige d’un tourment tel que vous en perdez votre calme, peut-être devriez-vous demander les sages conseils de votre cher Oncle Aruktai Na’Serrt. Je suis persuadée qu’il saurait vous guider au mieux. Elle tourna cette fois-ci les talons en frappant à nouveau son sceptre et quitta le champ de l’hologramme pendant que les prisonniers retournaient en sous-sol.
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