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Cdt. X-Morph
Respect diplomatique : 383 10/06/1013 ETU 06:25 |
Score : 5
Détails
X s’ennuyait... Il se « changea » discrètement, et se dirigea vers les appartements de son ministre de la productivité, qu’il avait décidé de remplacer, mais plus tard. La femme du ministre était d’une beauté rare, qu’égalaient son dédain, son inaccessibilité, associés à sa noblesse, du moins le croyait-elle... Il s’était renseigné bien évidemment, et avait sondé la mémoire du ministre et mari, au demeurant peu actif ou performant dans l’intimité. Il entra directement, la porte le reconnaissant, au niveau ADN, comme étant le ministre. La femme fit de même, également trompée par son apparence, sa voix, ses habits, et elle ne prêta pas attention à sa démarche, à son regard, qu’X ne pouvait imiter à la perfection... À quoi bon, les gens se contentent en général des apparences, des habitudes. Elle fit simplement d’un air d’ennui : - Tiens, tu rentres à cette heure-ci ? Il ne perdit pas de temps à d’inutiles palabres, et la saisit dans ses bras, l’embrassant passionnément, ses mains glissant sur son corps, la déshabillant impatiemment. Elle était tellement surprise qu’elle se laissa faire. Quand il la porta, nue, sur le lit, elle n’eut le temps que de dire : - Hé bien ?!... ...vite interrompue par le contact et les mouvements de ses mains, de sa bouche, sur ses seins, entre ses cuisses... caresses, baisers, pincements... par lesquels ni son mari, ni sans doute personne d’autre, ne l’avait encore abordée de cette manière. Elle réagissait très positivement, et X la retourna, plaçant un oreiller sous son ventre. Elle ne disait plus rien, du moins rien d’articulé, à proprement parler. Il joua un moment avec ses fesses, glissant ses doigts entre elles, jusqu’à la source qui se gonflait et distillait son nectar, puis il y introduisit son membre. Prenant son temps, et usant de ses capacités de métamorphoses jusqu’à ce bout, sans qu’elle sache exactement ce qu’il faisait, il l’amena à un orgasme extrême, lui-même se retenant. Lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle, et de proférer un ahuri : - Haaaa, alors là ! Hmmfff... ...il s’assit devant elle, et l’amena à lui prodiguer « avec goût » un baiser très intime, la guidant fermement d’une main sur la tête, longuement, jusqu’à l’explosion finale. Puis, sans mot dire, il quitta les appartements, la laissant digérer les évènements, et accessoirement essayer de déterminer si son mari était du lard(bin) ou du cochon. Il imaginait la scène à venir, lorsque le sinistre rentrerait chez lui, démissionné, et que sa femme comprendrait qu’il n’avait aucun souvenir, et pour cause, de cette séance originale... Soit elle deviendrait à moitié folle, soit elle le prendrait pour un fou. X penchait pour la seconde hypothèse.
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