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Cdte. Seren
Respect diplomatique : 90 ![]() 05/09/1013 ETU 23:31 ![]() |
Score : 6
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……….SECTEUR 6……… ………..SYSTEME 6………. ……….POINT DE COORDONNEE 3………. ……….PLANETE ERASMAKIS……….CLIMAT TEMPERE……….NOMBRE D’HABITANT 9 522 715 927………. ……….PLANETE SOUS L’ANCIEN REGIME PANDORIEN………. En ce début d’après-midi Seren était tout sourire, le climat était vraiment parfait pour sa sortie en Jet Ski à Fusion ou plus communément appelé JSF. La houle était plutôt modérée, ce qui ne l’empêchait pas de s’amuser comme une folle accompagné de Freddy, un de c’est plus vieil mais qui l’accompagne sur cette nouvelle planète conquise par ses troupes il y a de cela quelques cycles. Elle ne se rappelait même plus le nombre de fois où elle avait bu la tasse, mais elle s’en fichait, elle n’était pas la seule, son compagnon de journée était tombé bien plus souvent qu’elle. Il tourbillonnait sans cesse dans cette mer gigantesque, les slaloms ne s’arrêtaient plus et par moments certaines vagues plus grandes que les autres leur permettaient de faire des sauts. D’un seul coup elle arrêta son JSF Eh Fred, on rentre à la plage, je voudrais faire un brin de bronzette, le soleil est à son apogée. Pas de problème mais tu te rappelles de la route. Je ne voudrais pas que tu te perdes, alors que tu viens à peine d’arriver. Tu me prends pour qui mon cher, je suis sûr de retrouver mon chemin sans problème et je te parie même que j’arriverais à la plage bien avant toi. À peine le temps de finir sa phrase qu’elle lança plein gaz son engin sur la mer en direction de la côte. Freddy ne mis pas longtemps à comprendre et s’élança à sa poursuite. Au bout d’un quart d’heure de course effrénée, ils commencèrent à approcher du rivage et lorsque n’étant plus qu’à 1 kilomètre de la côte, le JSF de Seren s’arrêta net. Elle essaya du rallumé mais il ne voulut rien savoir. Qu’est-ce qui se passe ? Tu abandonnes. Nan mais je pense qu’il est mort, il a rendu l’âme mais t’inquiète pas je ne suis pas du genre à abandonner. Elle sauta dans l’eau et commença à nager le plus vite possible et sachant bien que malgré ses efforts elle ne pourrait faire le poids. Freddy passa au ralentir à côté d’elle tout en riant. Je ne pense pas que tu gagneras de cette façon mais par contre la volonté tu en as et plus que moi et sans problème. Monte avec moi, il nous reste encore environ un kilomètre, tu ne vas pas quand même les finir à la nage Tu rigoles, je n’ai pas besoin d’aide, je peux très bien finir toute seule. Bon allé ne fait pas l’idiote Pourquoi tu as peur pour moi, ne t’inquiète ce n’est pas un petit kilomètre qui va m’effrayer, tu n’as qu’à venir elle est bonne sauf si te dégonfle. Ce n’est pas ça Bas alors tu attends quoi. Bas je pense que je suis allé suffisamment de fois à l’eau pour aujourd’hui Froussard Et merde Freddy sauta pour la rejoindre et tous les deux se mirent à nager jusqu’à atteindre le sable chaud. Il arriva le premier, sorti de l’eau et alla s’allonger sur une chaise longue pour attendre Seren. 5 minutes passèrent quand enfin il l’aperçut arrivant à son tour. Sans perdre de temps il prit une serviette et partit rencontre pour là lui donner. La voyant sortir de l’eau, il ne put s’empêcher de la fixer, son maillot blanc deux pièces ne pouvait pas, il pense, être plus transparent. La moindre forme de son corps était visible, elle aurait été nue que cela n’aurait rien changé. Continuant de l’observer, il ne se rappelait même plus du pourquoi il était venu la rejoindre. Seren s’arrêta à quelques mètres devant lui. Mais dit moi, tu ne serais pas en train de me mater toi par hasard. Elle rigola Au lieu de te rincer l’œil donne-moi plutôt ta serviette Eh oui bien sûr, il lui tendit la serviette, mais je ne te regardais pas, je pensais à quelque chose d’important Quelque chose d’importance, comme la forme de mes seins? elle rigola de plus belle Il ne put s’empêcher de rougir T’inquiète mon cher, je ne t’en veux pas, surtout venant de toi, un ami d'enfance, qui plus est un homme, je sais que ceci est dans vos gênes, vous pensez plus souvent avec ce qu’il y a entre vos jambes qu’avec votre tête. C’est pour ça que nous les femmes, nous sommes largement supérieurs. Bon vient donc allons-nous allonger, j’ai bien envie de faire bronzer ce corps qui t’attire tant, elle sourit tout en lui donnant un coup de coude puis partit en courant vers le milieu la plage où se trouvaient les transats. Cela faisait un peu plus de deux heures que Seren était tranquillement en train de dormir sur le dos en topless et que Freddy lui, lisait allonger. D’un seul coup le jour devint nuit, la lumière disparue pour faire place aux ténèbres. C’est quoi ce bordel, il est ou le soleil? Hey Seren, oh, oh, réveilles-toi, qu’est-ce qui se passe ? Hein quoi ? Qu’est-ce que tu as ? Pourquoi tu me réveilles ? Je faisais un beau rêve, un très beau rêve. Seren se retourna pour se mettre sur le ventre tout doucement. Mais tu ne vois pas que le soleil a disparu. Mais non abruti, ce n’est que quelques millions de Kamikazes qui vont prendre la dernière planète d’Élise Sclavus dans ce système, ils doivent être juste parti et se trouvent en plein dans l’axe du soleil. Allez rendors-toi, nous sommes en vacances, laisses donc mes hommes s’occuper des combats. Si se peut te rassurer, ceux-là pour sûr, tu ne les veras pas rentrer.
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Cdte. Seren
Respect diplomatique : 90 ![]() 06/09/1013 ETU 00:08 ![]() |
Score : 6
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La fin de journée approchait, Seren et Freddy n’avaient pas bougé un iota depuis le départ de l’aviation mais leurs tranquillités ne durèrent pas plus longtemps, une douzaine d’hommes de la garde personnelle de Seren apparurent en courant sur la plage. Maitresse, Maîtresse, il faut que l’on parte maintenant au plus vite, votre vie est en danger, des ennemis sont en approche et ils sont nombreux, nos rapports nous disent qu’ils sont comme enrager, ne reculant devant aucune arme. Elle se releva, prit ses habits et commença à les mettre le plus vite possible. Allez Freddy fait comme moi, habilles-toi. Maitresses, suivez-nous, nous allons vous ramener en sécurité, en attendant prenez ceci, il lui tendit une arme. Allez en route. À peine eut-elle pris l’arme qu’elle se mit en marche accompagnée de ses hommes vers son transporteur se trouvant sur une plaine 500 mètres dans les terres. Ils n’eurent pas temps de faire quelques pas qu’un de ces gardes se trouvant derrière elle tomba au sol, raide mort, de la fumer continuait de sortir du trou dans son ventre fait par un tir de sniper laser. Ce cout si ce n’était pas passé loin, mais comment des hommes pouvaient courir aussi vite, ce n’était pas humain, notre avance est en train de fondre comme neige, se dit-elle. À couvert!!! Il faut que l’on se mette à couvert sur la gauche dans les hautes herbes. Le groupe bifurqua vers la gauche pour enfin atteindre un endroit où ils pourront trouver un moyen de sortir de ce guet-apens. Arrivés dans les fourrés ils s’accroupirent pour se cacher. Capitaine, combien nous reste-t-il d’homme ? Quatre des nôtres sont déjà tombé sur la plage ce qui fait que nous ne sommes plus que huit avec vous plus l’homme,il désigna Freddy, cela fait dix. Et eux, avez-vous eu le temps de savoir combien sont-ils ? Et dites-moi si vous avez une idée de comment font-ils pour avancer à cette allure, ils courent comme si le fouet de leur maitre était à leurs trousses. Je ne sais pas Maîtresse, tout ce que je peux vous dire, c’est qu’ils courent comme sa depuis de nombreux kilomètres, sans jamais baisser de régime, que leurs armes sont plutôt développées je n’ai jamais vu de tir de sniper d’aussi loin mais ils n’ont pas de moyen de locomotion. Ils ont l’avantage du nombre. A vu de nez je dirais une cinquantaine. Ok et donc le plan est? Car je suppose que vous avez un plan. Bas à vrai dire je n’y ai pas encore réfléchi mais je trouve ça tout de suite. Alors bon, Stany et Kevin, il vous reste combien de tir au sniper ? 8 pour moi et 5 pour Kevin. Bien donc vous allez me grimper à ses deux arbres sur votre gauche et lorsqu’ils seront à portée de tir, vos faites feu jusqu’à ce que vous n’ayez plus de munitions. Bradley Oui Vous, Sylvain et Léon vous vous mettez sur notre droite, vous attendez qu’ils rentrent dans les fourrés pour les prendre à revers. Le reste, avec moi nous allons-nous enfoncer de 100 mètres dans les terres pour leurs faire faces. Tout le petit groupe se mit en position, il n’attendait plus que leurs arrivées. Au bout de quelques minutes d’attente, le premier tir se fit entendre, Stany venait de lancer les hostilités.Putain, c’est quoi ce bordel, je viens de lui tirer un laser en plein dans le nombril, et il se relève comme si de rien était, mais il pisse le sang quand même, Chef, je fais quoi. Colle lui-en une en pleine poire, on va voir s’il se relève encore. Le deuxième coup parti, et atteint sa cible C’est bon sa marche, mais il ne faut viser que la tête, le reste ne leur fait rien. Pendant que Stany criait, on entendit un autre tir, Kevin venait d’ouvrir le feu lui aussi. On peut leurs viser le cœur aussi, sa marche. Vous avez tous entendu. On vise la caboche ou le cœur. Un autre tir suivit et une branche tomba à côté de Stany. Les gars, il faut viser leur sniper ou on est tous morts. Les tirs commencèrent à retentir en continu, Kevin tomba de son arbre mort; Stany hurla de joie, il venait d’avoir le sniper adverse, mais il ne put se réjouir très longtemps avant de rejoindre au ciel son compagnon d’arbre. Les hommes d’en face aussi ne tenaient pas plus longtemps. Le capitaine et ses hommes faisaient feu de toute part, trouver le point faible était déjà une bonne chose réussir à l’atteindre en était une autre, leurs hommes tombaient de plus en plus souvent mais jamais de cris de douleur ou de peur, il ne fuyait pas alors que leur nombre avait diminué d’au moins un quart. Lorsque Sylvain, Bradley et Léon arrivèrent pour les prendre à revers ils ne purent que se rendre compte que leur défaite était proche. Un des leurs commença à courir dans la direction de Seren mais il tomba raide mort d’un seul coup et sans qu’aucun tir ne parte dans sa direction. Elle s’approcha de lui pour remarquer que son corps était criblé de trous de la taille d’un poing, à se demander comment il avait pu encore courir. Une fois l’avantage pris par les hommes de la garde, le combat tourna court, il ne restait que deux ou trois belliqueux et Seren ordonna qu’ont les captures vivantes ce qui ne fut pas une chose simple. Le capitaine ordonna que l’on attende que leurs munitions s’épuisent et d’attaquer que lorsqu’ils seraient à sec. Les derniers tirs retentis et d’un seul coup deux hommes se mirent à courir vers la plage pour fuirent mais ne purent aller bien loin, les hommes du capitaine leur barraient le chemin. Ils furent raccompagnés pour être interrogé lorsque des explosions étourdissante se firent entendre, le ciel était en flamme. Les croiseurs Freeger de Seren étaient tous tombés comme des châteaux de cartes, d'un seul coup et sans aucune raison. Putain mais ce n’est pas possible toute ça, qu’est-ce qu’il se passe encore? Vous n’avez aucune réponse je suppose Non Maîtresse mais nous en saurons plus au vaisseau principal qui est lui heureusement à quai sur la planète. Ils montèrent dans le transporteur et partir en direction du centre-ville pour en savoir plus.
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Cdte. Seren
Respect diplomatique : 90 ![]() 06/09/1013 ETU 17:52 ![]() |
Score : 2
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Le transporteur de Seren atterrit sur le quai où son croiseur amiral l’attendait, des hommes étaient déjà au garde-à-vous devant la porte d’entrée. Elle attendit que ses gardes soient descendues ainsi que ses deux prisonniers pour poser pied-à-terre. Levant les yeux pour admirer l’un de ses seuls vaisseaux encore en état de voler, elle repensa à tout ce qu’elle avait vécu avec ce bout de ferraille, elle en était soulagée de le voir en bon état. Mais en arrière-plan, elle ne put s’empêcher de regarder ce ciel devenu entièrement orange et de repenser à toutes ces vies éteintes en une fraction de seconde. Un soldat vint à sa rencontre Commandante, Sergent Rugous, heureux de voir que vous allez bien, venez avec moi, on vous attend au centre de commandement de toute urgence. D’accord je vous suis. En se tournant vers son garde personnel Vous me mettez les deux gus au trou le temps que j’en ai fini. On les interrogera plus tard. Les gardes embarquèrent les prisonniers sans que ceci ne bronche. Puis elle se mit au pas pour suivre son sergent. Le centre de commande, était une salle monstrueuse où se trouvait une carte holographique de la galaxie. Plusieurs centaines de personnes étaient occupé à superviser toutes les opérations, qu’elles soient civiles ou militaires. Certaines étaient continuellement penché sur leurs ordinateurs de contrôle surveillant nuit et jours tout ce qui se passait dans l’empire Dardanian, d'autres portaient des casques pour écouter le moindre bruit suspect dans l’espace, d'autre encore relisaient tous les rapports des différentes planètes ou des discours à l’assemblée. A vrai dire si quelque chose se passait dans sagesse, ces personnes étaient sensés le savoir. D’ordinaire calme, la gigantesque fourmilière, c’était le nom que Seren lui avait donné, était en pleine ébullition, des hommes et des femmes s’agitaient dans tous les sens tout en criant, ce qui produisait un effet de cohue insupportable. Une atmosphère de panique général y régnait. Le sergent hurla pour se faire entendre. Commandante Seren sur la passerelle. Tout le monde s’arrêta de bouger et se retourna vers Seren, le brouhaha ambiant retomba pour n'avoir plus qu'un silence de mort. Bonjour à vous tous, je sais que vous devez être vraiment occupé à trouver des réponses, c’est pour cela que je ne vais pas vous embêter trop long, je vais juste demander à se que le général aux commandes vienne me faire un rapport complet de tout ce qui vient de se passer. Sur se remettez-vous tous au travail. Dès qu'elle eut fini sa phrase, toutes les personnes présentes se réactivèrent à leur tâche. Un homme aux cheveux grisonnant s’approcha; Commandante, je suis le général en chef chargé des opérations. Bien, j’ai énormément de question à vous poser et je pense que vous n’aurez pas les réponses pour toutes Soit Bon pour commencer, la planète a l’autre garce on l'a bien pris. Oui Commandante, nous l’avons conquise avec succès, les familles des kamikazes étaient normalement en route pour venir habiter dans les différentes maisons de ce secteur au frais de l’empire comme stipulé dans leurs contrats. Mais nous avons cessé d’avoir de leurs nouvelles il y a de cela une heure. Comment ça cessez d’avoir de leurs nouvelles? Les communications avec notre flotte ont été coupé, nous cherchons encore les raisons du problème. Ok, c'est vraiment parfait, cherchez à prendre contact avec le commandant Zephiros, peut-être que lui a les réponses de ce foutoir. A vos ordres, commandante. Général, une femme s’approcha, les rapports que vous attendiez Merci Il commença à le feuilleter et plus les pages tournaient plus son regard devenait ébahi. D’après ces rapports, nous supposons un bombardement ionique de grande envergure. Quoi ? Vous avez bien vérifiez qu’aucune des flottes de Sclavus ne soit présente dans le système? Je le confirme, nous les avions toutes détruites. Alors dit-moi donc comment a-t-elle put nous détruire la quasi-totalité de notre flotte, sans avoir recourt à aucun vaisseau présent dans le système ? De plus aucun bombardement ionique ne peut détruire autant de flotte aussi vite et rendre le ciel orange. Je n’en ai encore aucune idée. Le Général se sentait gêner mais ne pouvant réponde il se contenta de baisser la tête. Bon d’accord continuez de vous renseigner, et je veux que vous me préveniez en priorité si vous trouvez le pourquoi du comment ceci est arrivé. Je vais chercher moi des réponses de mon côté. A vos ordres Commandante. Se tournant vers son Sergent. Amenez moi à vos geôles, j’ai quelque personnes à allez voir.
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