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Pages : 1
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165 
13/12/1013 ETU 23:33 |
Score : 4
Détails
Hrp: Ceci est un Rp Privé, Bonne lecture que l'enthousiasme fraternel vous porte ! Nous sommes place de la Fraternité, lors d'un admirable défilé Le premier-Consul, affublé de son étincelant uniforme salut la foule, qui clame "Coeur de Lion!" et "Fraternité!" à tout và. D'intervalle en intervalle, déchirant les nuées, les rayons du soleil font étinceler cette forêt de baïonnette, et le F doré du drapeau rouge brille triomphalement comme porté par la clameur populaire! Au milieu de ce joyeux chahut, perdu dans la multitude se tient un jeune homme qui n'a pas plus de 13 ans. Fasciné par le Général Dumas il s'adresse à son grand père non loin de lui: Ah comme c'est entraînant!! Nous devrions étendre notre fraternité au delà des limites connues de l'univers!! Oui c'est là notre mission!!! Son grand-père riant lui répond alors: La fougue de la jeunesse ça ne changera jamais. L'univers est bien grand mon petit, bien grand... Viens allons marcher je vais te raconter l'histoire de notre révolution Fraternelle que nous chérissons tant! Le jeune homme se fige comme pétrifié par un trop-plein de joie, lui qui est si avide d'histoire!! Il balbutie ceci: Oh Grand-Père, tu ne me ferais pas de plus beau cadeau je suis près à ne plus dormir s'il le faut!! Apprendre notre glorieuse histoire vaut bien ça!! Allons-y!! Allons Allons, épargne à ton vieux grand-père des nuits blanches!! Lança-t-il en s'esclaffant!! Ô que ton père serait heureux de voir qu'il n'est pas mort pour rien!! Eh bien commençons par le commencement: Notre bonne civilisation était dirigée par un Roi aimé de tous, le Roi Charles. Oh oui que nous l'aimions, il était doux, prévenant et plein de sollicitude envers nous! De plus il avait lui même promulgué la monarchie parlementaire... que demandez de plus!! Chaque jour qui passait nous louions le ciel de nous avoir offert une famille Royale si affable et avenante. Jamais le Roi ni sa femme n'ont eu de geste de travers, de mot déplacés envers nous c'était une époque de joie et de paix! Chaque jour qui se levait était une bénédiction! A cette époque, les journaux étaient légion la liberté d'expression était quasi-complète, sauf quand l'on bafouait l'honneur du roi! Les journalistes s'extasiait sur Un jeune homme oui Un seul jeune homme connu dans toute les colonies!! C'était le jeune Louis Alexandre Dumas!! Il était a peine plus âgé que toi qu'il avait déjà coulé à lui tout seul 30 Frégates pirates. Régulièrement, les journaux relataient les exploits de l'escadron des "Lions Rouges"! Il étaient appelés ainsi car leur emblème était une tête de lion peint en rouge. Il monta vite en grade et devint le Capitaine du 17ème régiment de cavalerie stellaire ce qui était plus qu’exceptionnel pour l'époque!! Sa notoriété fut telle que le Roi daigna le recevoir en personne! Il devinrent très proche, car le roi n'ayant pas d'enfants il se prit d'affection pour ce jeune homme pétri d'impétuosité et de courage qui lui parlait sans crainte et sans révérence outrancière comme aimaient à le faire ceux qui voulait bien se faire voir du Roi. Cette époque Idyllique fut brusquement troublée par la mort du Roi Charles. Hélas le vieux Monarque avait expiré. Il faisait très beau ce jour là et pourtant ... la morosité était sans égal. Toute la journée les gens affluèrent pour rendre un dernière hommage à ce roi si libéral à ce père qui laissait ces enfants dans une liberté que peu de civilisations connaissaient alors. C'est en allant me coucher que j'appris avec stupeur sur la chaîne principale que Emile Thioret le Président du Parlement s'était auto proclamé Roi et avait forcer discrètement la Reine à l'Exil. Au début la population quoique sonnée s'est dit qu'il fallait obéir. Après tout pourquoi ce Thioret avait une partie du parlement avec lui. Le parlement n'était-ce pas la voix du peuple?? Nous nous sommes très vite rendu compte que Thioret était fou, un mégalomaniaque qui rêvait d'avoir des monuments à son effigie partout absolument partout!! Les journaux d'opposition furent interdits du jour au lendemain, il y'avait beaucoup de militaires qui patrouillaient en ville. L'opposition parlementaire fut liquidée, la plupart furent exilés et certains furent passés par les armes. L'on prétexta une trahison militaire pour justifier cela. Notre belle idylle s'assombrit les gens vivaient de plus en plus dans l'angoisse d'être contrôlé par cette armée qu'elle ne reconnaissait plus. Le jeune Dumas lui obéissait aux ordres, sur une émission très populaire il affirma froid et dure: L'ordre c'est la paix, l'anarchie c'est la guerre! Thioret s'assurait le contrôle du commerce, des denrées alimentaires il entrepris l'exploitation intensive de nos nombreuses colonies à populations non-humaines ce qui provoqua des révoltes locales réprimées dans le sang. Louis Alexandre Dumas participa à ces missions de "pacification" et demeurait toujours inébranlablement fidèle au pouvoir royal. Il avait foi en l'autorité et pensait que tout ce qu'il faisait était pour le bien de ces compatriotes. Comme nous, il déchanta vite... Les missions de pacification n'étaient ni plus ni moins que des massacres. Des populations entières décimées pour s'emparer de leurs terres et implanter des colons humains qui exploiteraient le charbon le diamant et l'énergie. Nul n'en parlait, mais tout le monde savait que notre armée se déshonorait loin très loin, dans des contrées qui pourtant nous appartenaient et avec lesquels nous vivions dans la plus parfaite harmonie. La goutte d'eau qui fit déborder le vase fut l'exécution de notre chère Reine. Digne jusqu'au bout, elle avait refusé l'exil et clamé du haut de son balcon royal: Cette terre est une terre de liberté, cette terre est la nôtre!! Thioret est un imposteur je ne lui laisserais pas vous faire du mal mes enfants!! Mal lui en avait pris... 2 jours plus tard elle était ionisée pour "Haute trahison"disait-on aux infos. Je t'avoue fiston que j'ai éteint ma télé au moment où ces lâches allaient filmer sans vergogne son corps calciné. La nuit suivante fut mémorable, l'agitation populaire allait croissante, on commençait à crier à bas Thioret, Vive la Liberté!! Des barricades ne tardèrent pas à s'ériger et les troupes royales dévalèrent les rues ionisant à tout va!! Les insurgés se défendait tant bien que mal mais les barricades tombèrent les unes après les autres et la répression eu la main lourde et le cœur impitoyable! On a rapporté que sur la planète où il avait été envoyé pour "pacifier le terrain" le Capitaine Dumas apprenant les combats de la capitale et la répression aurait déclaré: Soldats on tue nos frères!! Soldats on égorge nos femmes!! Soldats on brûle des enfants!! Laisserons-nous cela continuer??? Laisserons nous l’infamie engloutir nos foyers ?? Il détacha alors son insigne et la jeta à terre Je ne veux plus être le bras armé de la tyrannie!! Je ne veux plus massacrer nos frères non-humains sans but!! Ce que nous faisons n'est pas digne de nous!! Souvenez vous des propos de la défunte Reine!! Souvenez vous du bon Roi Charles!! Souvenez vous des regards des enfants qui nous admirent quand nous défilons!! Souvenez de tout ceux qui compte sur nous pour les protégez!! Levant son bras il s'écria alors: Peuple de tout horizons, l'heure de la guerre de libération a sonné, les opprimés de tout bords, les partisans de la Fraternité et de la liberté, je vous invite à rejoindre notre noble combat!! Nous devons nous résoudre... A vaincre!! Ou à périr!!!!! La Fraternité ou la mort!!! La Liberté ou la mort!!! Une clameur indescriptible paraît-il s'est dégagé parmi les soldats présents et à l'unisson ils crièrent: NOUS VAINCRONS!!!! A suivre....
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165
15/12/1013 ETU 00:06 |
Score : 0
Détails
C'est ainsi mon petit que se constitua l'Armée de Libération Populaire plus couramment nommée A.L.P. L'ardeur des soldats de Dumas n'était plus à démontrer. Il subsistait cependant un problème: la majorité des militaires demeurait fidèle au Pouvoir Royal. C'était une guerre âpre qui allait se mettre en place. Oui disons le une quasi-guerre civile. Lorsqu'il appris la sédition du Capitaine Dumas, Emile Thioret ne put tempérer sa furie, il hurlait à tout va qu'il "ramènerais la tête de ce jeune impudent sur une pique et qu'il l'exposerai jusqu’à ce que celle-ci soit entièrement décomposée, mangée par les vers et les corbeaux". Dans la capitale renommée Eleonora du nom de la femme du tyran Thioret, la population fut partagée entre espoir et résignation. D'aucuns pensait déjà au retour triomphale de l'A.L.P , et d'autres doutait que les effectifs du Capitaine Dumas pussent défaire les troupes royal, mieux armées et plus nombreuses. En tous cas nul n'osait dévoiler ses sentiments sous prétexte d'être ionisé dans les plus brefs délais! Après la Révolte de Février, Emile Thioret avait durci l'oppression, et les militaires avaient "carte blanche " pour je cite : "Faire triompher l'ordre de l'anarchie" Les principaux chefs insurgés furent torturés avant d'être exécutés. Ce lâche régime osa affirmer qu'ils étaient portés disparus. Or tout le monde savait bien que ces pauvres bougres n'étaient plus de ce monde. De son côté, le Capitaine Dumas devint le Général de L'A.L.P qu'il renomma symboliquement: "Armée de la Fraternité" Ce que Thioret n'avait pas anticipé c'est que les rangs de l'A.F grossissait de manière exponentielle recrutant chez ses ennemis d'hier les populations non-humaine. Fait particulièrement remarquable, le général Dumas réussit à convaincre les chefs locaux de lutter avec lui pour la réconciliation et la Fraternité. On peut comprendre la rancune et les ressentiments de ces populations envers ces troupes qui hier encore les ionisaient froidement. L'éloquence et l'humilité de Dumas firent le travail profondément attristé, il entrepris de recréer des liens avec ces peuplades en assimilant leur culture leur dialecte il leur dépeint honnêtement la situation et la nécessité de leur combat. Le discours qu'il fit là bas résonne encore dans les mémoires grâce à ses compagnons qui le relatèrent par écrit: Populations Biranis, Hilchawua, yinglack, matutias, je tient tout d'abord à vous exprimer mes regrets, mes profonds regrets. Nombre de vos vaillants fils sont tombés sous mes tirs, ils ne faisaient que résister et défendre leur noble terre contre ces viles entrepreneurs qui voulaient les en priver! La honte que j'éprouve ne disparaîtra jamais et jusqu’à mon dernier souffle je ne pourrais me pardonner cela!! Mais aujourd'hui la situation ne peut tolérer de dissensions car nous avons un ennemi implacable en commun. Un ennemi qui asservit tout sur son passage et flétrit les fleurs de la liberté!! Celui que je servais de toute mon âme, celui qui ne vous considèrent pas comme digne de vivre: Emile Thioret!! Aujourd'hui j'ai compris, aujourd'hui nous nous levons en masse pour l'affronter et le terrasser. Mes frères je vous demande de vous joindre à nous! Je vous demande de participer de cette élan de fraternité et de liberté qui fracassera la tyrannie!! Oublions nos différences car nous sommes tous les fils de la même mère: La liberté!!! On dit qu'il fut porté en triomphe par les foules alors réunies, surtout on évoque ses larmes devant un seul mot scandé par la multitude: Fraternité! Thioret avait envoyé ces meilleurs troupes les 23 et 25 ème régiment de cavalerie stellaire ainsi que 15 divisions de troupes terrestres ce qui représente 300.000 hommes!! Sa volonté était clair : noyer ces factieux dans leur propre sang! Dumas alignait 400.000 hommes en tout mais ceux-ci étaient très inégalement formés. La majorité étaient de jeunes non-humains qui s'étaient engagés suite au discours enflammé de Dumas. Seuls 50.000 hommes étaient formés correctement et capable d'engager le combat avec les troupes professionnelles qu'étaient les troupes royales. Qu'a cela ne tienne, le jeune Général décida d'attaquer le premier, espérant dérouter l'ennemi avec l'effet de surprise! Hélas ses desseins furent assez vite su par le corps expéditionnaire Royal, prévenu par un traître qui avait profité de l'obscurité nocturne pour quitter le camp Dumasien. C'est ainsi qu'un petit matin d'octobre, s'engagea la première bataille de la guerre de libération. Face à 150.000 soldats royaux, le jeune Dumas en alignait 90.000 n'ayant pas eu le temps d'organiser le reste de son armée. Pris de surprise lui qui espérait surprendre les troupes royales, il se retrouva face à elles dans la plaine de Angkouar. Il décida néanmoins de ne pas se replier et de faire front. Motivant ces troupes, il s'écria: Soldats avec moi!! En ce jour, les combattants de la Fraternité vont fièrement entrer sur la grande scène de l'histoire! Pour nos familles, pour la liberté, pour la Victoire, En avant!!! Jamais de mémoire de général on avait vu cela près de 30.000 hommes enfourchant leur navette ionique et fondant sur l'ennemi dans un même élan leur général en tête!! La stupeur des généraux royaux fut telle que le temps qu'ils ordonnent quoi que ce soit, les combats étaient déjà engagés!! Le fracas fut assourdissant la hargne des soldats dumasien était telle qu'ils décimèrent rapidement l'aile gauche du général Magnan, haute personnalité militaire très proche de Thioret. Mais les troupes royales se ressaisirent vite et firent parler leur puissance de feu déchaînant un déluge infernal avec leurs canons orbitaux. Dumas aux prises avec tout un bataillon échappa de peu à la mort en évitant de justesse un tir orbital. Le rapport de force tournait à l'avantage des soldats royaux et les soldats de la fraternité assaillit de toute part commencèrent à reculer, encourageant l'avance de leurs ennemis. C'est exactement ce que voulait Louis Alexandre Dumas, car en attaquant frontalement avec si peu d'effectifs il était conscient que cette charge si épique soit-elle était vouée à l'échec. Les 60.000 hommes restants de son armée, habilement dissimulés par un heureux brouillard prirent de revers les troupes royales qui s'étaient trop avancés. Le succès fut immédiat et l'on vit les premiers signes d'abattement dans les yeux des soldats royaux qui se faisait ioniser de toute part. Ils avaient l'horrible impression que les rayons ioniques fusaient de partout!! Ce n'était pas qu'une impression.... La retraite fut sonnée et les rares qui purent s'enfuir ne demandèrent pas leur reste! 2 h plus tard la bataille était terminée... L'Armée de la Fraternité venait de remporter sa première victoire!!! On dénombrait 110.000 morts ou blessés sur les 150.000 soldats royaux présent , et 39.000 morts ou blessés parmi les troupes dumasiennes c'est dire l'ampleur des pertes!! Les soldats de Dumas exultaient, portant en leurs yeux, l'éclair du triomphe!!! Le général Dumas eu ces mots envers ses combattants: Soldats je suis fier de vous!!! Vous avez prouvé une fois de plus votre inébranlable bravoure et votre incroyable opiniâtreté!! Lorsque nous foulerons le sol si cher à nos yeux de notre capitale, il vous suffira de dire: "J'était à la bataille d'Angkouar!" Pour que l'on vous clame : Voilà un brave!! Hourra!!! Vive le Général Dumas!!! Pouvait-on entendre, c'est aussi une des premières fois qu'on le surnomma "Coeur de lion" car aucun des combattants n'avait oublié que ce jeune homme d'à peine 19 ans avait chargé en tête de son armée contre 150.000 hommes! Son courage fut loué unanimement par ces braves combattants qui voyaient en ce jeune Dumas, l'incarnation même de la fraternité victorieuse!! Cette armée arborait un étendard rouge écarlate pour honorer les insurgés de la révolution populaire qui après l'exécution de la Reine avait arboré ce drapeau rouge pour illustrer le sang versé par ce peuple opprimé qui réclamait une République et le départ de Thioret contre le drapeau jaune royale, signifiant le soleil. Pour motiver les troupes, Un jeune Capitaine du génie de nommé Hirsute Lionot eu l'idée de composer un chant qui exalterait l'ardeur des combattants et augmenterait inévitablement celle des jeunes recrues. Ce Chant fait aujourd'hui partie du répertoire national. Il fut entonné en choeur par les combattants de la fraternité lors de leur montée au front contre les troupes royales: Jeunesse héroïque Arme ton ionique Pour la République En avant, héros ! Le maire et le garde-champêtre Disaient Les non-humains sont des loups Doux moutons, ne songez qu'à paître Notre berger veille sur nous Notre berger n'était qu'un lâche Le vieux Judas nous a trahis La République a pris sa tâche On va défendre le pays Jeunesse héroïque Arme ton ionique Pour la République En avant, héros ! Si nos villes leurs sont soumises Si ces casqués sont les plus forts Ils prendront nos sœurs, nos promises Ah ce jour-là nous serons morts La République c'est nous autres Les richards et les indigents Tous ceux qui s'arment sont des nôtres Les gens braves et les braves gens! Jeunesse héroïque Arme ton ionique Pour la République En avant, héros ! Jeunesse héroïque Arme ton ionique Pour la République En avant, héros ! L'épopée de ces "Héros" ne fait que commencer fiston, et elle va être incroyable, incomparable, éblouissante!!!! A suivre... Voilà la source d'inspiration de ce jeune capitaine du génie...^^ .
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165
19/12/1013 ETU 21:50 |
Score : 3
Détails
Cette victoire revigora les troupes de Dumas, et l'afflux de jeunes recrues en fut décuplé! Qu'ils étaient beau à voir ces jeunes de toutes espèces, humains et non-humains s'en allant ensemble vers la liberté et la fraternité!! Malheureusement ces jeunes recrues à l'ardeur inégalée n'avaient pour seul acquis que leur enthousiasme... De plus, l'on manquait cruellement de matériel militaire. Les fusils ioniques se faisaient de plus en plus rares, quant aux canons orbitaux, c'était un luxe que nul ne pouvait se permettre parmi ces braves combattants. L'Etat Major de L'A.F (Armée de la Fraternité) tracassé au plus haut point par cette pénurie de matériel se demandait comment résoudre ce problème qui paraissait pour le moins insolvable. "Les troupes royales contrôlent tous les complexes de production d'armement de la zone, sans compter leur 130.000 hommes de réserves ainsi que leurs innombrables canons orbitaux. C'est une véritable impasse mon Général" Lança un Capitaine dépité, au jeune Général Dumas. Quel est le centre d’armement le plus proche de notre position? Lança d'une voix grave le jeune Dumas. "Ici mon général" Lui répondit un caporal du génie en lui déployant une carte magnétique sous les yeux. C'est le centre adossé au mont Ilkuya. En langage local cela veut dire "Enfant à grosse tête". C'est là que les troupes royales ont établi leur complexe de production d'armement il y'a 20 cycles de cela juste avant notre sédition. D'après nos informateurs il a servi de base de repli aux troupes que nous avons défaites à Angkouar. Il et extrêmement bien défendu avec une garnison d'a peu près 10.000 hommes. Et comme l'a dit le Capitaine , il y'a toujours les 130.000 hommes de réserve qui peuvent renforcer les effectifs." Ce constat des plus exhaustifs était pour le moins décourageant... C'est alors que celui que ses soldats nommaient fièrement Coeur de Lion prouva une nouvelle fois qu'il méritait son glorieux surnom. Il Clama ceci à son Etat Major: Nous allons attaquer ce centre et dérober le plus de matériel possible à nos ennemis. Ce n'est pas une attaque de masse que nous allons perpétrer, non c'est une mission commando! Voilà ce que j'envisage: 25 de nos meilleurs hommes iront de nuit infiltrer ce centre, et à la faveur de l’obscurité déroberons tout le matériel qu'ils pourront. Je connais quelqu'un à qui j'ai laissé la vie sauve du temps ou nous combattions les flottes brigandes. Il nous fournira de quoi porter ce précieux butin. Nous partirons dans 3 jours! "Nous" mon Général?! Cria éberlué un Caporal. Vous ne comptez pas y aller quand même mon Général??!!! Eh bien si Caporal J'accompagnerais mes hommes. lui répondit Dumas les yeux brûlant d'ardeur! Mais enfin Général Dumas! Vous êtes la figure de proue de notre mouvement si les royalistes vous capture où vous tue s'en sera fini de notre rébellion! NON! Nous ne pouvons risquer de vous perdre dans cette mission dangereuse pour ne pas dire suicidaire!! Pardon mon Général mais attaquer un complexe d'armement à 25 contre 10.000 je ne trouve pas cela très sûr voyez-vous! C'est à ce moment là que Louis Alexandre Dumas lança une de ses déclarations qui deviendrait légendaire! Allons Caporal, comment pourrais-je laisser ces 25 braves allez seul au devant de l'ennemi?? Moi qui les ai convaincu de mettre leur vie en sursis pour notre belle cause??? Non Caporal je marcherais en tête du groupe drapeau Rouge de la Fraternité en Main!! Et je prouverai à nos combattants que ce drapeau est invincible et qu'ils ne se battent pas en vain!! Faire la Guerre c'est avoir de l'audace!! Nos ennemis ne l'ont pas compris: Moi Si! Cette dernière réplique des plus cinglantes acheva de convaincre les autres commandants de la résolution du Général Dumas. Sa décision était prise, et rien ne lui ferait changer d'avis!! La nuit du départ équipé de sorte d'exosquelettes avec lesquels on pouvait porté 10.000 fois son poids, le Général Dumas Harangua le petit commando: Soldats, la mission que nous allons effectuer aujourd'hui est périlleuse mais elle est à notre portée ! Allons frapper l'ennemi au cœur ! Allons planter notre beau drapeau Rouge dans cette maudite citadelle!! Pour la victoire! Et pour la Fraternité!! !!Marchons à l'ennemi et gravons notre épopée dans l'histoire! Ce jeune homme n'avait vraiment pas son pareil pour réveiller l'ardeur guerrière dans le cœur d'un homme! Il se mirent donc en route, il faisait nuit noire quand il abandonnèrent leur vaisseaux pour terminer le périple à pied sans éveiller les soupçons. Arrivés aux abords du complexe, ils purent s'y introduire en neutralisant non sans mal les sentinelles qui manquèrent de donner l'alerte. Le camp était bien calme et pour cause: Les soldats royaux ivres morts s'endormaient les uns après les autres et ce soir là hasard chanceux, l'entrepôt où étaient entreposés les armes étaient sans surveillance. Après tout, lequel d'entre eux aurait pu imaginer que 25 fous oserait s'introduire dans un camp hostile gardé par dix mille hommes?? Aucun et ce fut bien leur erreur... S'empressant de charger les tout ce qu'ils pouvaient, le petit commando une fois le butin prélevé, entrepris de s'éclipser aussi discrètement qu'il fut arrivé. C'est là que la chance les abandonna car un soldat, un peu plus lucide que les autres, intrigués par ces ombres mouvantes s'en approcha. Reconnaissant avec stupeur le couvre chef caractéristique de Dumas il clama cette phrase fatale: La Racaille est dans nos murs!!! Aussitôt branle-bas de combat, le camp sortit de sa torpeur et les rayons ioniques commencèrent à fuser de partout. N'ayant plus à se cacher , et fort de leur armement tout neuf, les 25 entreprirent de résister un tant soit peu tout en filant vers la sortie. 3 soldats , 2 non-humains et 1 humain, pour permettre la fuite du reste du commando déversèrent un feu si intense qu'ils stoppèrent net la progression des royalistes qui commençaient à se faire de plus en plus nombreux. Cette résistance héroïque leur fut fatal puisqu’ils ne tardèrent pas à périr mortellement touchés par un tir de canon orbital. Ce sacrifice permit aux 22 restants de rejoindre le vaisseau et de prendre la fuite sans demander leur reste. Pourtant, brandissant le drapeau Rouge, l'un des soldats cria: On vous aura Salopards!! Et le vaisseau décolla. Il fut atteint par un tir de canon ionique et il s'en fallut de peu pour que l’équipage ne passe pas de vie à trépas. Loin du complexe, ils durent se déposé en catastrophe et finir le trajet vers leur campement à pied. C'est le cœur lourd d'avoir perdu leur compagnon que les 22 atteignirent leur camp acclamés par la multitude de soldats qui les y attendaient anxieusement. Dumas le visage sombre déclara: Nos braves compagnons ne seront pas mort pour rien!! Grâce à eux nous sommes maintenant convenablement armés pour affronter les royalistes!! Pour nos compagnons et pour les opprimés de l'univers, il est temps d'aller briser le joug du tyran Thioret!!! A partir de ce jour mes frères notre seul credo sera: La Victoire!!!! Ce fut une acclamation monstrueuse de par son ampleur qui suivi cette déclaration. Tous les soldats crièrent à l'Unisson "La fraternité où la mort!" le fusil ionique en l'air !! Il faisait beau en ce petit matin, et le soleil illuminait de sa puissante lumière, l'éclatant drapeau Rouge orné du F de Fraternité!! Qui flottait au gré des vents. De cette image magnifique s'il en est, un soldat dont l'identité reste à ce jour inconnue écrivit un chant qui deviendrait l'hymne de la République Fraternelle. Ce chant,tout en rendant hommage aux insurgés de Février réprimés par Thioret après l'exécution de la reine, faisait l'éloge de ce magnifique drapeau rouge ô combien invincible dans le cœur des combattants de la fraternité!! Les révoltés des temps anciens L'ont arboré sur maints champ de bataille Emblème éclatant du courage Souvent il fit pâlir les Tyrans!! Refrain: Le voilà, le voilà, regardez Il flotte et fièrement il bouge Ses longs plis au combat préparé Osez, osez le défier Notre superbe drapeau rouge Rouge du sang de l'opprimé Rouge du sang de l'opprimé!!. Refrain Puis planté sur les barricades Par le peuple de Février Lui le signal des fusillades Devint drapeau des opprimés. Refrain Sous les rayons ioniques il flotte encore À la tête des bataillons L'infâme drapeau jaune En fit de glorieux haillons ! Refrain Noble étendard de la Fraternité, Des opprimés sois l'éclaireur. À tous les peuples de l'univers Porte la paix et le bonheur ! Refrain Un jour sa flamme triomphale Luira sur un univers meilleur, Déjà les peuples libérés Acclament sa rouge couleur !! Ultime refrain A Suivre... Hrp: L'originale du drapeau rouge^^:http://www.youtube.com/watch?v=I8W169R32UQ
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165
23/12/1013 ETU 00:19 |
Score : 1
Détails
Ce drapeau Rouge si fièrement arboré, les troupes royales "osèrent le défier!" Mal leur en pris!! Dans un irrésistible élan, les troupes de l'A.F, progressaient vers la capitale, les victoires s’enchaînaient, et chaque planète libérée voyait nombre des ses forces vives, intégrer cette armée qui devenait de plus en plus nombreuse!! La Guerre étant ce qu'elle est, les pertes étaient effrayantes et chaque bataille étaient pour les deux camps une véritable saignée!! L'A.F connu quelques défaites, quelques coups d'arrêt. Et la flamme de la fraternité faillit être éteinte maintes fois!! Mais elle tenait cette armée, oui elle tenait vaille que vaille! Les énormes pertes dans les rangs de l'A.F étaient principalement dues à l'absence de canon orbital, et surtout à l'absence de bouclier ionique efficace. Ce qui faisait que sur terre comme dans l'espace les combattants du général Dumas étaient pour ainsi dire "sans défense"... Le rapport de force fut donc un long moment favorable aux royalistes qui après la défaite d'Angkouar, avait tenté de reprendre l'initiative. Mais après 3 ans de guerre, l'on assista à un spectaculaire retournement de situation! Sur Jintland, une planète glaciaire, eu lieu une bataille qui signerait le début de la fin pour le régime d'Emile Thioret! Le général Dumas avait changé depuis Angkouar, et les combats du complexe d'armement. Son visage juvénile s'était mué en une face plus mature. Il avait gardé néanmoins cet ardeur guerrière dans le regard qui forçait l'admiration de ses soldats. Après 3 longues années d'âpres combat les troupes étaient fourbues. Mais la progression était là et l'espoir demeurait. Le climat glacial de Jintland n'arrangeait rien! On rapporta que le jeune Dumas regardant ses bataillons en mouvement, constatant les uniformes drapés d'une épaisse couche de neige, observant avec pitié les membres bleuis des ses hommes aurait déclaré la voix attristé aux membres de son Etat Major: L'hiver de Jintland... rien n'est plus froid, sauf le cœur d'une veuve. C'est dans cette lugubre ambiance, q'une énième bataille eue lieue entre l'A.F et les troupes royales. Le Drapeau Rouge était particulièrement flamboyant dans ce blanc paysage. Les premiers rayons ioniques fusèrent de par et d'autre et le redouté grondement des canons orbitaux n'allait pas tarder à se faire entendre. Le plan de Dumas était simple: neutraliser au plus vite les artilleurs royaux pour ne pas leur laisser le temps de déclencher leur déluge de feu . Et ensuite balayer les bataillons ennemis en retournant leur armes contre eux. Il lança deux escadres d'infanterie légère, chargées de se glisser derrières les lignes ennemis pendant que le gros des troupes retiendrait l'attention de ces messieurs. Dumas obtint ce qu'il voulait, une attaque contre son aile droite qu'il avait volontairement exposée. "L'ennemi se comporte très précisément comme s'il effectuait une manœuvre sous mon commandement"lança-t-il amusé à son état major. Son plan fonctionna à la perfection et les escadres d'infanterie légère ne manquèrent pas de hisser le drapeau rouge sur le plateau de Ringen où était établit les artilleurs royaux! Dumas qui avait massé deux corps d'armée près à bondir sur l'ennemi au pied de ce plateau. Il leur donna l'ordre d'utiliser les canons à bon escient. Et c'est ce qu'ils firent. Pour le Général Royal, ces soldats furent comme une apparition. "Ils semblent venir du ciel" dit-il à son aide de camp. "Dites plutôt de l'enfer" lui répondit celui-ci. L'Enfer, c'était bien le mot pour qualifier la situation des soldats royaux pris à revers par leur propre canons. Les nombreux bataillons royalistes n'étaient plus que des cadavres complètement calcinés. La victoire fut complète lorsque le général ennemi, encerclé remit son sabre au jeune Dumas . Sous l'acclamation des combattants de la liberté. Le rapport de force avait bel et bien changé de camp! Et avec ce succès, la route de la Capitale était toute tracée. Dumas déclara à ces hommes d'une voix triomphante: Braves combattants!! L'ennemi vient de recevoir un coup mortel!! Après tant de sacrifices, après que tant de nos frères soient vaillamment tombés la prunelle décidée s'allumant aux reflets pourprés de notre drapeau, nous voyons enfin le bout du chemin!! Il est temps d'aller porter nos glaives en plein cœur de la tyrannie!! Libérons nos frères de cette misère sauvage, de ce pesant esclavage!! Allons accomplir notre devoir le drapeau rouge d'une main, l'épée de l'autre!!!! Quelques semaines plus tard, ces solennelles paroles se concrétisaient: L'A.F arriva aux abords de la Capitale! Aussitôt, l'effervescence populaire dans celle-ci augmenta prodigieusement. Et des insurrections ne tardèrent pas à éclater. La situation était vaudevillesque! Pendant que l'Armée de la Fraternité assiégeait la citadelle, l'Armée royale était occupée à réprimer une révolte dans cette même capitale. "Le drapeau Rouge où rien!!" Criaient les insurgés derrières leurs barricades! Face aux fusils ioniques des gardes royaux les pierres et le peu d'armes brigandes de mauvaise qualité ne ferait pas longtemps le poids. Le général Dumas profita de ce moment pour pilonner les fortifications à un endroit précis en focalisant l'attention des défenseurs , pendant que ses hommes élaboraient des charges explosives pour les répartir de par et d'autres des remparts. Une fois ceci effectué, c'est un véritable cataclysme qui secoua les défenseurs royaux: Les murs avaient cédés!!! Les troupes s'infiltrèrent promptement dans la brèche le drapeau Rouge en tête. Pris en tenaille entre les insurgés et les troupes révolutionnaires, les derniers résistants royaux déposèrent les armes. Thioret qui prévoyait de faire sauter la ville fut intercepté par la foule en furie qui avait investi le palais et sauvagement décapité... C'est un accueil des plus triomphales qui fut réservé aux libérateurs! La foule en liesse formait un cordon si dense autour des combattants de l'A.F que ceux-ci eurent du mal à s'exfiltrer de ce bain de joie. Et que dire du Général Dumas, porté en triomphe par ses soldats!! Ce jour là, au milieu du Tumulte, Dumas eut ces mots déterminants: Mes frères brisés, mes frères outragés, mes frères martyrisés, et bien aujourd'hui vous êtes libérés!!! A suivre...
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Cdte. Aryakis
Respect diplomatique : 3524 
23/12/1013 ETU 01:25 
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Score : 0
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Coa. the razor's edge
Respect diplomatique : 0 
23/12/1013 ETU 01:50 |
Score : 0
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Coa. the razor's edge
Respect diplomatique : 0
23/12/1013 ETU 02:13 |
Score : 0
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165
17/01/1014 ETU 22:43 |
Score : 6
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Thioret était mort, mais maintenant que faire? Dans une capitale en ébullition,telle était la question qui turlupinait le jeune Dumas et son Etat Major. Le général Dumas décida de se rendre à l'assemblée, car on lui rapporta que après avoir démembré Thioret, la foule avait entrepris le massacre de tout les parlementaires. "Nous voulons la tête des traîtres" hurlait la multitude enragée. Malgré les mises en gardes de ses lieutenants, Dumas se mit en tête d'aller calmer cette foule avide de vengeance. "Mon général, le peuple est terrible dans sa fureur, une foule de gens affamés et enragés, ça ne se manœuvre pas avec tant de facilité que des soldats. Je vous en conjure n'y aller pas! Envoyez la troupe et finissons en il faut ramener le calme." Lui dit un de ses lieutenant des plus sévères. Comme d'habitude le fougueux général fit fi de ses recommandations et tout en s'éclipsant lança à ses officiers: Ces parlementaires sont nos frères, leur sang est notre sang. Le peuple ne saurait être fratricide. La guerre c'est terminée, place à la paix et rien que la paix. Assez de cadavres, l'union doit désormais prévaloir. Vous verrez, tous ces braves gens m'écouteront vous verrez... Il prononça ces mots les yeux illuminés d'un optimisme puissant et s'empressa de rejoindre la navette qui devait le conduire à l'assemblée. ... Une fois arrivé il fut saisi d'horreur, les marches du parlement faisait office de cascade de sang. Les gardes qui défendait les portes avait été torturé, et éviscéré par la foule. Leur tête avait été placées sur des piques que cette même foule agitait frénétiquement... Les députés s'étaient retranchés, mais sous la pression, les portes commençaient à céder. Avant de quitter la navette, le chauffeur lui lança terrorisé: Que Dieu vous protège Général Dumas, que Dieu vous garde... il s'empressa de quitter la place. Accompagné de quelques hommes en armes (10 tout au plus) le Général Dumas s'avança vers ce rassemblement d'hommes et femmes qui semblaient être plongés dans une fureur aveugle. Et la foule d'entonner: " Ah ça ira ça ira ça ira Les parlementaires à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les parlementaires on les pendra Et quand on les aura tous pendus, On leur fichera la pelle au cul! V'la quatre ans qu'ils nous promettent Qu'on va nous accorder du pain V'la quatre ans qu'ils donnent des fêtes Et qu'ils entretiennent des catins V'la quatre ans qu'on nous écrase Assez de mensonges et de phrases On ne veut plus mourir de faim Ah ça ira ça ira ça ira Les parlementaire à la lanterne Ah ça ira ça ira ça ira Les parlementaires on les pendra Et quand on les aura tous pendus, On leur fichera la pelle au cul Soudain un jeune homme qui avait remarqué le Général Dumas s'approchant cria: V'la Dumas Vive le Général!!! Des "vive le Général" commencèrent à fuser ça et là. Dumas en profita pour grimper sur les marches. La foule comprenant qu'il allait parler entrepris de faire silence. Leur haine des députés qui collaborèrent avec Thioret n'en demeurait pas moins intense. Le Regard profond, Dumas déclama ceci: Cher Frères! Mon sang est votre sang!!Assez, mes frères, assez de cette haine, assez de ce massacre. Pendant ces 4 longues années de guerre Civile, je comprends que vous ayez souffert, mais cela ne peut justifier vos actes. La guerre est fini!! Nous avons gagné!! Il est temps de repartir sur de nouvelle bases. Ces parlementaires ont certes collaborés. Mais beaucoup d'entre eux ont tenté de s'opposer au Tyran en le payant de leur vie. Je pense à Jules villès ionisé il y'a 2 ans, je pense à Sadi Carnot, ionisée il y'a 3 mois et encore, et encore, et encore. Tout cela pour avoir réclamé l'application de la loi et rien que l'application de la loi: C'est à dire la Régence de feu notre Reine, elle aussi martyre de l'abominable Thioret. L'Armée de la fraternité a lutté pour des valeurs de paix, de justice et précisément de fraternité. Ne nous abaissons pas aux pratiques de l'ancien régime. Redonnons un nouveau souffle à notre civilisation. Vivons harmonieusement dans la République Fraternelle!! Une partie de la foule applaudit, l'autre était perplexe. Une voix se dégagea alors de la plèbe et cria: "Nous te voulons comme dirigeant Dumas!! Et nous ne quitterons la place que quand tu auras le pouvoir!! On veut plus être dirigé par ces corrompus!!" "Oui il a raison!!" Crièrent certains, "la République Fraternel ou rien!" commencèrent à lancer d'autres. La Ferveur alla croissante et le jeune Dumas décida de pénétrer dans l'assemblée la fit vider et la renomma Assemblé nationale de la République Fraternelle. Quelques heures plus tard le Drapeau Rouge orné du F doré au centre fut hissé au sommet de ce même parlement sous les acclamations de la foule!! En effet, le symbole était fort. Un Référendum fut organisé quelques jours plus tard. Pour la première fois tous les peuples humains ou non humains des colonies votèrent. Ce référendum comportait deux questions: 1)Etes vous favorable à l'instauration d'une République? 2)Si oui, souhaitez vous une personnalité particulière à la tête de cette République ? La deuxième question il faut le reconnaître, était particulièrement habile politiquement parlant. Au fait de sa notoriété et de sa popularité le jeune Dumas était quasiment assuré de voir son nom proposé quasiment à l'unanimité... Et c'est ce qui se passa!! 97% de oui pour l'instauration d'une République, et chiffre ô combien éloquent: près de 99% des votants avait proposé le nom de Dumas pour la diriger cette République. Fort de ce succès, un vote fut organisé au parlement ( en réalité les parlementaires ne pouvaient qu'approuver le desiderata du peuple ou risquer de provoquer leur éviction manu militari au nom de la volonté populaire.) Le vote fut vite bouclé et C'est sous un fier soleil faisant étinceler le F doré de la fraternité sur les nouveaux uniformes des soldats, que le président du parlement ayant traversé toute une cour pour aller à la rencontre du général Dumas qui n'avait rien perdu de sa superbe et arborait son uniforme éclatant lança avec une voix qui se voulait solennelle ceci: "Les Députés ont dissous la royauté! A sa place ils ont ratifier l'acte d'institution de la République Fraternelle!! (Réjouissances populaires au dehors) Cette République sera dirigé par le Premier-Consul, Louis Alexandre Dumas!! Officiers faites présentez les armes au Premier-Consul de la République!!" Un colonel lança alors la formule de rigueur: "Présentez armes!!" Les soldats présentèrent les armes et une CLAMEUR indescriptible s'éleva de la foule rassemblée pour l'occasion. L'Etat Major de Dumas également en tenu d'apparat ne put s'empêcher d'esquisser un sourire de satisfaction. Dumas se retourna vers eux comme pour leur dire " ça y est !! Nous y sommes arrivés!!" Arborant un visage qui était celui des grands instants, il dégaina son sabre qui ne l'avait jamais quitté et le brandit fièrement au devant du peuple pour lui rendre hommage. Les généraux firent de même et tous crièrent avec le Général Dumas: Vive la République!!! Vive la Fraternité!!! S'il fut un grand moment dans notre histoire,c'est bien celui là car c'est incontestablement le plus émouvant! En effet nul ce jour là ne put résister à l’irrépressible enthousiasme de la fraternité! A suivre... HRP: Pour les férus d'histoire^^http://www.youtube.com/watch?v=bzu01gO3pi4
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Cdt. Dumas
Respect diplomatique : 165
18/01/1014 ETU 15:18 |
Score : 3
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Avec l'institution de ce nouveau régime, c'était toute la société qui allait être modifiée en profondeur. L'équipe gouvernementale, Dumas en tête, ne se fit pas prier. Un mois après son plébiscite, de nouvelles élections législatives furent organisée.(En effet l'on considéra que tous ces députés de l'ancien régime avait fait leur temps...) Sans surprise, c'est une assemblée républicaine qui fut élue. Certains parlementaires trop compromis dans le Régime précédent furent jugés dans le tout nouveau Palais de Justice. Les rares peine de mort prononcées, furent muées en prison à vie ou en exil, le Général Dumas étant soucieux de ne pas retomber dans une spirale de la vengeance. Le premier chantier pour le Premier-Consul, était celui de la solidification de la cohésion et de la concorde nationale! Une tournée de près de dix cycles fut effectuée à travers tous les territoires de la République!! Partout ou il passait, le jeune Dumas était acclamé en héros! Dans ces discours enflammés il faisait valoir l'idée d'une République uni sous le drapeau Rouge, d'un peuple tout entier liés par les liens sacrés de la Fraternité!! Il est vrai que sur le plan Symbolique les réformes ne tardèrent pas: -Institution du Drapeau Rouge Orné du F doré comme emblème national. -Adoption de la chanson "Le drapeau Rouge" comme hymne national. -Érection d'une gigantesque statue, place de la Fraternité, mettant en scène les trois braves, s'étant sacrifiés lors de l'attaque du complexe d'armement!(Rappelons nous, un humain, et deux non-humains) -Institution d'une "place de la Fraternité" sur Chaque planète de la République. Oui toute ces réformes, participaient d'un sursaut général et patriotique. Le Général Dumas rendit obligatoire dans chaque école le matin avant l'entrée en classe, une "levée des couleurs" ainsi qu'un entonnement de "l'hymne nationale". Si inexpérimenté qu'il était, ce jeune garçon compris tout de suite que l'unité nationale, devait être le premier besoin d'une jeune République! "Fraternité" devient la capitale officielle de la République Fraternelle. La liberté d'expression étant totale, des "clubs de pensée" s'instituèrent ça et là. La capitale était réellement en Ébullition intellectuelle. Rajoutons à cela de nombreuses réformes de l'armée, du travail, des infrastructures de communication etc... Bref! Une nation nouvelle s'érigeait. L’ébullition artistique était également à son paroxysme! De nombreux chants devenus très populaires rendirent hommage à L'A.F et au Général Dumas qui avaient "libéré la patrie". Ainsi dans les bars ou les cabarets qui faisaient salle comble chaque soir l'on chantait: Tous ces fiers enfants de la Fraternité Allaient sans trêve et sans repos Avec leurs fusils sur l'épaule, Courage au coeur et sac au dos ! La gloire était leur nourriture, Ils étaient sans pain, sans souliers, La nuit ils couchaient à la dure Avec leurs sacs pour oreiller. Refrain: L'armée de la Fraternité Marchait toujours au cris de Liberté Cherchant la route glorieuse Qui l'a conduit à l'immortalité. Ou encore: Ils ont désobéi dans la nuit Pour ne pas obéir à l'infâme Quittant leurs parents, leurs amis Se cachant dans la montagne Et pour mieux servir leurs frères Ils ont pris le fusil Ce sont ceux L'A.F Ceux de la Résistance Ce sont ceux de L'A.F Combattant pour L'espérance Bravant le froid, bravant la faim Défiant l'horrible esclavage Bravant Thioret, bravant ses soldats Sans jamais perdre courage! Mais la plus populaire des chansons à cette époque c'était incontestablement "Dansons la Fraternité": Le p'tit Thioret avait promis (bis) De faire égorger tout les "ennemis" (bis) Mais le coup a manqué Grâce à nos Dumasiens Dansons la Fraternité Vive le son vive le son Dansons la Fraternité Vive le son du canon! Monsieur Thioret avait promis D'être fidèle à sa patrie Mais il y a manqué. Ne faisons plus quartier Dansons la Fraternité Vive le son vive le son Dansons la Fraternité Vive le son du canon!! Voilà mon petit, voilà ce que je sais de notre histoire! Le jeune homme, enthousiasmé, la pupille écarquillé lui lança: "encore grand père, raconte moi d'autres glorieuses épopées du Général Dumas!!" En riant doucereusement le grand père lui lança: "Nous avons tout notre temps! ça ne fait que commencer..." C'est le cœur léger et le sourire aux lèvres, que les deux compères repartir se glisser dans la foule pour admirer les troupes républicaines dont les baïonnettes étincelaient, tandis que le soleil vidait sur la place, son carquois de rayons brûlants. Hrp: Florilège limité...;)
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