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Pages : 1
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Cdt. X-Morph
Respect diplomatique : 383 
19/12/1013 ETU 06:40 
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Score : 13
Détails
Journal de bord de l’Amiral Smok, SuperCroiseur de commandement Alpha, quelque part dans le système 17, Secteur XXIX, 19/12/1013. Smok étudiait la métasimulation tactique du secteur, couplée aux rapports d’espionnages, et enrichie des informations alliées... En secteur XXIX, les forces de la résistance avaient eu raison de la coalition de l’Empereur, The Sword of Truth, dont les flottes déguerpissaient ou étaient anéanties, tandis que les planètes étaient libérées. Au commencement, il y avait eu la contre attaque menée par Elise Sclavus... Sclavus qui leur avait posé tant de problèmes déjà en Secteur Zéro, pratiquement seule contre eux, à part une courte incursion menée par les forces Morphiennes, à grands frais, qui avaient pris pendant un temps la contrebande mal défendue, et avait été à deux doigts de s’implanter plus solidement. Thor et Aurelle de Portangue avaient eux aussi tenté de résister, mais la déesse de la mort Nicci, et le très discret Lokos, aux ordres de Ricardo Rahl, avaient fini par contrôler le secteur Zéro, étant en surnombre militaire, très bien implantés, et très réactifs. En parallèle, les forces Morphiennes, ainsi que d’autres, comme Thor, avaient grappillé quelques systèmes, ou positions isolées, dans d’autres secteurs. Puis, donc, Elise Sclavus avait oeuvré en Secteur XXIX, où quelques escarmouches, semi stand-by, et légers combats, avaient lieu tranquillement, pourrait-on dire. L’attaque avait, semble-t-il, pris Cypher au dépourvu, ainsi que Nicci, Lokos, et Ricardo. L’avancée de Sclavus était très sérieuse, appuyée par X, Thor, et Blondeau. Les forces de l’Empire se battaient férocement alors, tentant de contrer la belle revanche de Sclavus, jusqu’à ce que... Hogart, le leader de Prométhée, entre en scène. Comme à son habitude, il était très rapide, et très efficace. X, en son for intérieur, appelait cela « l’effet Hogart », ses adversaires s’écroulant comme des dominos, système par système, sur tout un secteur en même temps, aussi nombreux soient-ils. Comme la résistance était organisée, le nettoyage était agrémenté d’une « pré-couche » hyperatomique si besoin était, et d’une finition « on vous fait du nickel » par Sclavus et les autres. En parallèle, The Sword of Truth avait organisé une gentille opération de « Mais qui est le traitre ? », pensant faire un beau coup d’échecs... Au final c’était un gambit raté, provoquant la fermeture rapide du secteur à l’hyper atomique par la résistance, et le départ d’un ou deux membres présumés coupables chez T.S.T., sans certitude, et sans résultat. Dans d’autres secteurs de la galaxie, l’Empereur et ses rares sujets perdaient aussi les combats, dépassés par le nombre de Commandants ayant levé les armes contre leur dictature révoltante. Zephiros, Dragunov, et bien d’autres encore dont nous tairons ici les noms par nécessité tactique, avaient surgit, et faisaient parler leur puissance de feu, leur détermination. Tenant encore les secteurs Zéro et VIII, l’Empereur restait une menace. Mais il avait déjà échoué, les Espériens étant passés, et s’étant implantés en Sagesse, sans qu’aucune épidémie n’ait eu, d’ailleurs, lieu. Comme la plupart des dictateurs, il finirait probablement isolé, dans un bunker, attendant la mort, dernière victime d’un projet xénophobe, inhumain, et liberticide, qui ne pouvait pas réussir. Car de tout temps, les êtres conscients ont toujours combattu pour la liberté, pour la diversité, pour la justice. hrp : c’est un récit, donc ne devrait pas pouvoir être censuré. J’ai la liste complète des Commandants actifs, j’enverrai ce texte à tout le monde si cela devait tout de même l’être. Ce n’est pas un rp « privé », vous pouvez mettre des récits à la suite. Il y a mieux que ce que j’ai écrit... manque de temps :)
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Cdt. Thor
Respect diplomatique : 18 
20/12/1013 ETU 05:53 |
Message édité -
Score : 7
Détails
Partie 1 : L'ENFER DU SYSTÈME 19 Bande-son (fortement) conseillée : http://www.youtube.com/watch?v=GGcIkqPTHo0 Dans les riants et giboyeux domaines de Miðgarðr, le peuple ásgardien vaquait à ses occupations habituelles : les paysans labouraient leurs champs, les marchands parcouraient les routes, les forgerons réparaient les fers des chevaux des courriers de Þórr. Tous étaient conscients qu'un spectre infâme s'était abattu sur la Galaxie : le spectre de la tyrannie et son cortège de malheurs et de dévastations. Pourtant, les Ásgardiens avaient appris à ne jamais renoncer, à faire face à l'adversité, quoi qu'il advienne : ils avaient failli être exterminés lorsque les Médusiens avaient été vaincus par l'Eclypse, mais à force d'opiniâtreté avaient réussi à se relever et à devenir plus prospères que jamais. Lorsque la sinistre nouvelle de la prise de la Capitale avait été annoncée, tous avaient décidé d'agir. Chacun y mettait du sien et une petite escadre de snekjur avait été constituée. Oh, évidemment, ce n'était pas grand chose en face de l'incroyable armada de l'Empire. Fidèles aux traditions de leurs ancêtres passés maîtres dans l'art de l'escarmouche, les Ásgardiens avaient pris la décision de procéder par coups de main, attaquant par surprise les forces ennemies, certes en surnombre mais peu maniables, se réfugiant aussitôt derrière quelque lune ou se mêlant aux astéroïdes qui croisaient en nombre dans le Secteur Origine. L'Amiral de la Flotte ásgardienne, un vétéran de la prise de Kjata 5153 et des combats héroïques autour de Valhöll, lors de la formidable guerre contre les Pandoriens dans le secteur 24, savait bien qu'une confrontation directe aurait entraîné l'annihilation totale de ses vaisseaux. Il avait donc jeté son dévolu sur un système de la Bordure extérieure, profitant de la concentration des groupes aéronavals impériaux dans les systèmes intérieurs où des combats âpres et meurtriers faisaient rage. C'est ainsi qu'une flottille parvint, au prix de sacrifices inouïs, à prendre position dans le système 19. Bénéficiant de l'effet de surprise, une petite tête de pont fut constituée. Sachant qu'ils ne pouvaient compter que sur eux-mêmes et leur bravoure, les combattants ásgardiens utilisèrent les tactiques d'harcèlement continu de l'ennemi, fortifiant leurs positions et l'épuisant en d'incessants assauts nocturnes. En hommage aux soldats morts lors des précédents conflits, la première planète investie fut baptisée Medusa. Située au point de coordonnée 4, celle-ci était constituée d'un immense désert rocailleux couvrant presque l'entièreté de son unique supercontinent. Bien qu'habituées à procéder par des températures glaciaires, les unités d'élite d'Ásgard devinrent rapidement capables de survivre dans l'environnement difficile du Grand Désert de Medusa. Il faut dire que les tissus organiques des Ásgardiens – chair, muscles, os – sont environ trois fois plus denses que les tissus similaires des humains, ce qui contribue à leur donner des capacités physiques hors du commun. La réponse de l'ennemi tardant quelque peu à arriver, les ressources de la planète furent mises à contribution et quelque 50 000 snekjur d'acier furent construits en un demi-cycle. C'est ainsi que huit planètes, faiblement défendues il est vrai, furent prises d'assaut et conquises de très haute lutte. Le nom de ces planètes mérite d'être rappelé, pour la postérité : c'étaient Loki, la naine glaciaire, Níðhöggr, la géante aride, Drakkar et Farbauti, les luxuriantes terraformées, Guðrún, la géante forestière, Grani et Snekkja, ces mondes de glace inhospitaliers, aux températures frôlant les -100° C, et enfin celle qui allait devenir le bastion par excellence, Miðgarðr, dont le climat rappelait tellement la planète d'origine des Ásgardiens qu'ils avaient décidé de l'appeler du nom même de leur planète-mère. Miðgarðr donc fut rapidement dotée de plusieurs milliers de bunkers atmosphériques, toutes les ressources systémiques passant dans leur construction. Il était temps : particulièrement vexée de cet affront, Nicci, la Maîtresse de la Mort, prenant en personne la tête des opérations, dirigea son Armada tout droit contre les positions ásgardiennes. C'était un combat perdu d'avance mais les défenseurs du système 19 décidèrent de tenir leurs positions coûte que coûte, avec l'idée de contenir le plus longtemps possible les forces impériales. S'enterrant dans des réseaux inextricables de tranchées, creusant des centaines de blockhaus souterrains, entamant les montagnes et les glaciers eux-mêmes, les soldats ásgardiens se préparèrent à affronter la Mort elle-même, sans baisser un instant le regard : ils ne céderaient que morts, et même morts, leurs yeux se fermeraient dans un rictus de mépris pour la tyrannie de l'Envahisseur. Rapidement encerclée, Miðgarðr ne pouvait compter que sur elle-même, les sept autres planètes ayant été soumises à un feu atomique continu : leurs modestes réseaux de canons stellaires furent réduits au silence, les centres de production de vaisseaux détruits, les camps retranchés cédant les uns après les autres. Mais Miðgarðr résistait, résistait, encore et encore : une tentative de percée ennemie près de l'Equateur fut contenue grâce au courage du Bataillon Yggdrasil, qui fut entièrement décimé, puis une deuxième, tout aussi meurtrière. À la troisième tentative, les défenseurs ásgardiens avaient perdu près de 90 % de leurs effectifs, mais la flotte de Nicci avait été réduite d'un bon tiers. On se battait pour chaque arpent de terrain, pour chaque édifice, pour chaque grotte. Les Ásgardiens se défendaient au corps à corps, vendant chèrement leur vie, mais les combats, de plus en plus opiniâtres, se rapprochaient du cœur vital de la planète. L'assaut final était inéluctable et il ne faisait aucun doute que la planète tomberait ; c'était une question d'heures, de minutes même. La Garde personnelle de Nicci avait été donnée, signe de l'importance que revêtait à ses yeux l'écrasement de cette planète. Sans pitié, attaquant au lance-flammes et au canon-laser, cette unité entièrement vêtue d'un uniforme noir frappé de l'aigle à deux têtes était réputée pour sa sauvagerie et ne faire aucun prisonnier. Lorsqu'elle parvint aux portes de l'ultime bunker, les Ásgardiens n'étaient plus qu'une poignée, face à plusieurs milliers d'assaillants. Disposés en un dernier carré, ils furent canonnés sans relâche jusqu'à ce qu'il n'en restât plus un seul debout. Une pyramide de crânes fut érigée là où ils avaient été massacrés. Mais leur sacrifice n'avait pas été inutile car si le secteur Origine avait été perdu, la grande offensive du secteur 29 avait débuté et Nicci avait dû détourner une bonne partie de ses escadres pour venir à bout de cet îlot de résistance désespérée.
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Cdte. Aryakis
Respect diplomatique : 3524 
23/12/1013 ETU 01:27
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Score : 0
Détails
 Ce message a été supprimé durant la partie..
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Cdt. X-Morph
Respect diplomatique : 383
11/01/1014 ETU 00:26
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Score : 5
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Journal de bord de l’Amiral Smok, SuperCroiseur de commandement Alpha, quelque part dans le système -classified-, Secteur XXVII, 11/01/1013. L’Amiral était nettement moins zen que lors de la précédente mission. Les rapports d’espionnages, enfin ceux qui passaient, les informations alliées, la métasimulation tactique du secteur, étaient tous préoccupants. Non pas que l’Amiral, ni le Commandant X, ni la résistance, n’aient le moindre doute, sur l’issue de cette bataille, et de cette guerre, mais cela prenait plus de temps que prévu. L’abominable Déesse de la mort Nicci avait bien intégré la véritable leçon que la résistance leur avait infligée en secteur XXIX, et Nicci ne tricotait pas, la -censured- ! Assauts partout, immédiats, avec des coefficients de malade, invasions éclairs pas toujours réussies mais innombrables, et surtout, comme X l’avait prédit, utilisation plus intensive des dévastateurs tirs Hyper-Atomiques. Il fallait l’avouer, la résistance s’était un peu laissé déborder, malgré une reprise au début par le terrible Hogart et ses alliés, les Commandants de la résistance avaient eu besoin de souffler un peu, étaient en semi-vacances, et Sclavus gérait l’après Secteur XXIX. L’Amiral Smok savait que X était repassé en mode « Full » depuis quelque temps, sur tous les plans : stratégie globale, militaire, sécurité, organisation, communications, ça Smok le savait... X l’appelait parfois jusqu’à dix fois dans un même cycle... Mais sur le terrain, la situation était compliquée. Le contrôle du secteur allait prendre longtemps, et demander des moyens énormes, ainsi que plusieurs Commandants expérimentés. En fer de lance bien sûr les fédérés, Hogart, Zephiros, contre Nicci, jouaient au kami-ping-pong planétaire, les populations cachant leur joie... Et illuminant l’espace de leurs joutes spatiales à coup de dizaines de milliers de Freggers. Derrière, les Alliantistes, dont X-Morph, venaient remonter le moral des populations avec leur Kélas, accueillis à bras ouverts, surtout après une petite couche de tirs de canons orbitaux... Complétant les assauts, et répandant leurs incomparables Mécas pour tenter d’espionner les forces adverses. La casse était juste extraordinaire... Les Guildéens, plus dans l’humanitaire, venaient apporter, au péril de leurs vies, tout ce qu’il fallait aux personnes dans le besoin... à savoir les combattants, faut pas abuser non plus de la gentillesse... Et quelques sournois Renégats avaient trouvé le moyen de pirater ces honnêtes secouristes, dans quel monde vivons-nous ma pauvre Dame ! Quand ils n’en profitaient pas pour piller de-ci de-là... Les noms de ces valeureux combattants, certains avec peu de moyens mais une obstination remarquable, ainsi que leurs profils, n’étaient peut-être pas encore connus de l’Empire, nous n’en parlerons donc pas plus précisément ici. Ils vous raconteront s’ils le souhaitent... Ils y étaient, ils y sont, ce sont les Vétérans de la guerre contre l’Empire. Mais tout le monde était suspendu aux infernales tombées Hyper-Atomiques... Le Secteur XXVII était à feu, et à sang.
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