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> Trait d'union
Pages : 1
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Cdte. Ursula Rosenberg
Respect diplomatique : 370 
07/02/1014 ETU 17:44 |
Score : 12
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Pour bien comprendre la gravité de la situation, il est nécessaire d'écouter ceci : EXCLUSIF : la famille VON WITELSBACH s'allie avec le QUASAR Tout autour de l'assemblée galactique, de nombreuses ambassades voyaient chaque cycle d'innombrables diplomates, huissiers et conseillers grouiller dans un fourmillement continu. Dans les travées et les couloirs, les rumeurs semblaient se confirmer. On annonçait la fin imminente de la guerre. Une alliance entre la famille Von Witelsbach et les serviteurs du Quasar allait être conclue. La presse rivalisait de sensationnalisme et le réseau galactique s'empressait de colporter les derniers ragots. On parlait de mariage politique pragmatique, ou contre-nature, selon les points de vue. Bien loin des caméras et des cénacles, Madame attendait le chef de la famille Von Witelsbach, le Duc Otto, son fils cadet. Seule, assise sur le trône ducal de son époux défunt, la vieille dame fumait une longue cigarette en silence... ∰ Bagatelle, planète capitale de Madame ∰ Un portrait immense, démesuré, dont le cadre baroque croulait sous les dorures et les motifs doriques surplombait le trône de Bagatelle, fief ducal de la famille. Figé dans une pose martiale, l'austère paternel du Duc Otto fixait l'horizon d'un regard insondable. Engoncé dans un uniforme grenat, le patriarche était le patricien incarné, l'aristocrate sublime. Il n'avait rien à envier aux puissants Ducs d'Ocre. La vieille dame aimait se perdre dans le portrait de son époux. Elle en caressait les sinuosités d'un regard triste, nostalgique. Un homme, un vrai ! Ah, Jasper, ce que le Duc me manque... Mais Jasper n'était pas là. Elle était seule. Un cendrier dégueulant de cendres posé sur un guéridon. Les volutes de sa cigarette embrassant l'écorce fanée de son visage. Dehors, un orage éclatait, et sur les vitres battait une pluie insidieuse. D'un instant à l'autre, son avorton de fils cadet, celui qui n'aurait jamais dû recevoir l'anneau sigillaire, celui qui aurait dû rester en exil, celui qui aurait dû finir dans un trou et ne jamais devenir Duc, allait passer les lourdes portes d'airain de la salle d'audience, et imposer sa loi. Le temps faisant son oeuvre, un serviteur vint annoncer son arrivée. Son altesse le Duc Otto, Madame. Qu'il entre, Jasper. Et que personne ne vienne troubler notre entrevue.
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Cdt. Otto Von Witelsbach
Respect diplomatique : 145 
12/02/1014 ETU 21:29 
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Message édité -
Score : 11
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Le duc regardais son vaisseau décoller. Le Skavenger avait du connaitre aux moins deux apocalypse. Pourtant cette vielle carne avait réussis à passer les tir de barrage Ionique. Deux moteurs détruit sur six, un mort et deux blessés, ce n'était pas trop mal. Il n'avait pas trop perdu la main. La plateforme d'atterrissage de la demeure ancestrale des Von Witelsbach était déserte. La pluie avait chassé les quelques techniciens qui s'étaient occupé de son navire. Pas de fanfare, pas de nuées d'holo-caméra, pas même une escorte. Ce serait donc une entrevue privée. L'intérieur de la battisse ne semblait pas avoir changé. De lourdes tentures de velours rouge livraient batailles avec les chandeliers pour savoir lesquels se feraient le plus remarquer. Rien ne semblait avoir bouger depuis son départ. Il observa le personnel occupé à s’affairer dans la demeure à la recherche d'un visage connus. Muti est une femme exigeante quand à son foyer et aucun des domestiques qu'il avait connus n'avais prolongé son service jusqu'à aujourd’hui. Sur une armoire une forme félidé l'observait. Un sphynx, les horibles chat chauve de sa mère. Combien en avait-il empoisonné? Une dizaine ? Il ne savait plus. D’abord par jalousie, sa mère ne montrant de l'affection qu'à ces créatures et puis par jeu. C'est Wilda qui avait gagné... Mais rien n'y fit, les laboratoires de la familles clonaient indéfiniment ces ignobles créatures. Ils avaient finis par ce lassé et laisser les bêtes en paix. Les pas du duc finirent par le mener à la grande galerie des portraits des Von Witelsbach. Voutée et hautes de prêt de dix mètres, elle avait été construite pour impressionner les visiteurs. La musique résonnait... ♪ ♫ ♬ http://www.youtube.com/watch?v=w-QLSPmzMZo♬ ♫ ♪ De part et d'autre défilait les portraits d'hommes aux airs digne et sérieux. La majesté incarnée, ou plutôt peinte. Otto se souvenait des heures passée ici avec sa sœur à inventer et réinventé l'histoire des membres illustres de la famille... Il se demandait si un jour son image ornerait la galerie. Il n'en avait aucune envie... Wilda aurait du prendre la tête de la famille, pas lui. Elle était tout ce dont le duché avait besoin. Constante et réfléchie, l'esprit acéré comme une vibro-lame et machiavélique comme on peut l'attendre d'une Von Witelsbach. Mais les femmes ne peuvent porté le titre de Duc... Gunther ferait un meilleur Duc que lui, mais les bâtards ne peuvent pas non plus porter le titre de Duc... Il ne restait que lui, le paria, le dégénéré, celui qui détestait son corps, celui qui fuyait ses responsabilités... Technicien ! Remplacez la musique par le fichier A.4.3.1 mais madame ne voud... Votre nom ? ... Klaus Baum... Qu'ai-je demandé ? ... Le fichier A.4.3.1... ♪ ♫ ♬ http://www.youtube.com/watch?v=bcD5twysKkw♬ ♫ ♪ Le duc sortit un flacon de sa veste, en extirpa deux cachet et les avala. Il traversa ensuite la galerie pour débouler dans la salle du trône... Mutti c'est le retour du fils prodigue!
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Cdt. eloise
Respect diplomatique : 73 
12/02/1014 ETU 21:25
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Score : 1
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 Ce message a été supprimé durant la partie.♪ ♫ ♬...♪ ♫ ♬♬♬ ..Tata otto qu'est-ce qu'y a sous ton grand chapeau Tata otto , dans ma tête y a des tas d'oiseaux Tata otto , on m'a dit qu'y a même un grelot Mais, moi j'aime ça quand ça fait ding ding di gue ding Comme une samba J'ai mon boa Mon vieux chapeau Ma robe à fleurs Et mon mégot Mon parasol Et mes faux cils Et une boussole Sur mon nombril Les Brésiliens m'ont surnommée la folle de Rio Mais les enfants me donne un nom plus rigolo... ... Eloise et le fourreu chantent en cœur pour faire bonne figure... allez c'est la fête.... Mais ils savent que cette union signe la fin de la Rédemption , tout le pouvoir contenu dans une main, les galaxies ont connu cette histoire qui recommence. Dans ce monde l'utopie ne naîtra pas .. il nous reste à attendre G5... patience... sauf si le peuple élève son bras .. nu ... non armé .... mais qui pourrai faire plier cette future tyrannie
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Cdte. Ursula Rosenberg
Respect diplomatique : 370
12/02/1014 ETU 22:23 |
Score : 10
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Le prince carnaval ne ratait jamais ses entrées. Le prince carnaval, un sobriquet que le Duc avait attribué à son fils Otto quelques années avant sa mort, alors que le bambin s'amusait à se costumer avec les robes et le maquillage de Madame. ♪ ♫ ♬ http://grooveshark.com/s/Si+Maman+Si/seVW7?src=5 ♬ ♫ ♪ La vieille dame avait renoncé depuis longtemps à aimer ce dernier né, perdu un soir de colère, lorsqu'il avait fourni les itinéraires secrets des convois commerciaux de la famille à une bande de pirates. Le forfait avait été maquillé, pour lui éviter une sentence trop sévère, mais il avait fallu exiler le jeune impudent. Livré à lui-même, le jeune homme fragile et impulsif avait retrouvé ses compagnons de flibuste, famille de substitution susceptible de faire du dernier né d'une grande famille, sans réel destin, un renégat avide de gloire et d'aventures. Son fils avait trébuché, mais personne n'avait pu ou voulu le relever. Madame, à la vue du singe bariolé qui venait de débouler dans la salle d'audience, eût l'envie de vomir. Son plus grand échec s'égayait joyeusement sous ses yeux fatigués. Et Madame, orgueilleuse, avait toujours eu du mal à digérer la perdition de celui qui n'aurait jamais dû devenir Duc. Plongée dans ses souvenirs, alors que l'entrée théâtrale de son fils n'en finissait pas, elle se souvint de sa venue au monde, de sa présentation devant les journalistes et les diplomates venus rendre hommage au dernier fils du puissant Duc Witelsbach. EXCLUSIF : Madame présente à la presse son fils Otto L'énergumène qui s'approchait du trône où la vieille dame était assise avait vieilli. Le fils jadis aimé n'était plus. Seul restait, sous les prothèses mammaires, les implants, les fanfreluches et les colifichets, un être rusé et fantasque. Otto était le chef de la famille, le Duc Witelsbach. Madame réprima un soupir. Au-dessus du trône, le portrait de son époux défunt semblait voilé d'une ombre contrariée. - Otto, cesse ce cirque, veux-tu. Il est inutile de te donner en spectacle. Venons-en aux faits. Je suis fatiguée de tout ceci. L'ambiance musicale voulue par le Duc s'estompa, pour faire place à une mélodie discrète. La vieille dame se leva du trône pour céder la place à son fils. Elle esquissa une révérence, en fixant le sol. Rigide comme un phasme grabataire, la vieille dame appliqua le protocole des anciens avec froideur. Le Duc était venu pour lui imposer un mariage dont elle ne voulait pas. - Votre altesse ducale, le trône de Bagatelle est vôtre. De quoi son excellence le Duc désire-t-elle m'entretenir ? La vieille femme se redressa lentement, avec superbe et éclat. La face ridée était toujours fendue de ce regard terriblement perçant. - J'imagine que votre venue fait suite à ces rumeurs d'alliance entre notre famille et les serviteurs du Quasar, n'est-il-pas ? Un sourire carnassier se dessina sur son visage d'albâtre. Le grand jeu allait commencer, un jeu dont les conséquences pour la galaxie restaient incertaines...
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Cdt. Otto Von Witelsbach
Respect diplomatique : 145
15/02/1014 ETU 15:55
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Score : 3
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Otto regardait la vielle dame s'extirper du trône de son père. Les médecins et les kinésithérapeutes avaient du répéter cette révérence pendant des semaines pour qu'elle l'exécute de façon si parfaite. Mais descendre du piédestal fut un supplice pour la vielle dame, elle s'accrochait à sa canne comme elle s’accroche à ses milliards. Le duc savourait le spectacle qu'offrait la vulnérabilité de celle qui ce croyait être une des guildéenne les plus puissante de la galaxie. Une effluve flottait dans la pièce. Sûrement les conséquences d'une des soirée privée qu'affectionnait sa mère. Non c'était autre choses, un parfum plus désagréable et plus persistant. Une odeur d'urine, voilà ce que c'était. Mélangée à l'air vicié de la pièce et au relents médicamenteux, la salle du trône prenait l'odeur de la vieillesse dans l'anti-chambre de la mort. Était-elle à l'image du Duché ? Sa mère lui avait céder la place sur le Trône d'elle même. Si elle offrait quelque chose en ouverture c'est qu'elle voulait quelque chose de lui. Elle avait beau l'emballer dans quelques remontrances sur son entrée, il la connaissait que trop bien. Mais que voulait-elle ? Son approbation pour cette union ? Qu'il s'insurge et s'oppose à un mariage, une alliance avec le Quasar ? Il faudra la sonder. Autans la mettre en confiance et lui donner le spectacle qu'elle attend... Muti chérie, vous êtes resplendissante. Aussi belle qu'au moment de mon départ... Le duc s'avance vers sa mère pour l'étreindre et se fige à moins d'un mètre devant l'attitude glaciale de la vielle dame. Oh suis-je bêtes, le protocole... Et bien protocolons, protocolons... Ce n'est pas Jasper qui me contredira, lui qui aime tellement les histoire de colons... Hi hi hi ... Le duc monta vers le trône et l'inspecta. Il passa deux doigts sur le coussin central avant de les porter à son nez. Halala, les mésaventures de l'age... Il sortit un mouchoir d'une de ses poches, le déplia méticuleusement et en recouvra le coussin avant de s'assoir. Il faudrait vraiment rafraichir la salle du Trône, ça fait viello... Le style pré-apocalyspe est vraiment passé de mode... La mère d'Otto le toisait d'un air froid. Oh, mais vous vouliez peu-être que nous abordions la politique galactique ? Vous parliez du Quasar et d'une alliance avec eux ? Attendez... Oui ça me revient, Gunther m'avait laissé un memo à ce sujet. Vous vous souvenez de Gunther ? Celui qui ressemble tellement à Vati... Alors cette rumeur ? Qu'en est-il ? On vous a proposé quelque chose ?
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Cdte. Ursula Rosenberg
Respect diplomatique : 370
22/02/1014 ETU 14:49 |
Score : 6
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Rédemption devient un désert hostile. De nombreux dirigeants galactiques disparaissent, souvent sans bruit ni éclat, parfois avec gloire et fracas. Seul règne le trou noir et son inertie inquiétante. Voici le héraut d'un lent déclin. Voici le premier acte de la geste galactique qui verra Rédemption renaître ou périr. Toi, lecteur, écoute son chant : EXCLUSIF : Madame impose ses conditions pour consacrer son mariage avec le commandant Söo ! La presse galactique détenait là son premier véritable scoop depuis longtemps. Un communiqué était arrivé dans toutes les rédactions du réseau Holocom. Dans la salle d'audience du palais de Bagatelle, la vieille dame avait savouré la méchanceté de son fils, le Duc, sans broncher. Tandis qu'elle défiait son ducal rejeton d'un regard cruel, une étrange machine à la silhouette arachnéenne fit son apparition et vint s'accroupir au pied du trône. Il émanait de son socle une projection holographique qui détaillait les déclarations de Madame dans les médias. EXCLUSIF : Madame réclame une dot de 1000 milliards de £eems Le mariage avec Söo instituait de facto une alliance politique entre la famille Von Witelsbach et les adorateurs du Quasar. Les deux factions les plus puissantes ainsi réunies, Rédemption ne verrait pas naître d'opposants dignes de ce nom avant longtemps. Cela valait bien quelques £eems... à peine de quoi s'encanailler ! INATTENDU : Madame exige un rang de dirigeante au sein de la coalition du Quasar Il était inconcevable que la vieille dame soit limitée à un rôle de potiche. Madame était une politicienne rusée et habile, bien plus talentueuse en matière de diplomatie et de géopolitique que son nigaud de futur époux. Le Duc d'Ocre était un dirigeant charismatique et un stratège militaire redoutable, mais il était trop instable et colérique pour gérer convenablement les crises politiques devant l'assemblée. Le renégat Kemal était un ambassadeur charmant, fin médiateur, mais il lui manquait la poigne et la rhétorique adaptée pour faire aboutir de quelconques négociations d'importance. De plus, la vieille dame jouissait d'un prestige bien supérieur, et d'une réputation intacte auprès des autres commandants de l'assemblée galactique. Plus important encore, elle était respectée par une grande majorité de dirigeants. Devenir dirigeante du Quasar était un sérieux atout pour ses futurs coalisés, même si le commandant Söo était trop orgueilleux et stupide pour le reconnaître. TRACTATIONS : Madame revendique les anciennes colonies du félon A1-ERUL La vieille dame avait beaucoup aidé cet histrion dans le passé. Mais ce dernier s'était avéré veule et cupide, et avait tenté de la gruger en tentant d'abuser de sa générosité. En disparaissant de la scène galactique, il avait laissé éclore de nouveaux foyers d'anarchie aux abords des colonies de Madame. Il était impératif de sécuriser les routes commerciales et de veiller à la gestion économique durable de ces mondes dévastés par l'incurie de leur ancien maître. MAIS ENCORE : Madame exige que le Quasar garantisse l'indépendance territoriale et politique des nations galactiques et promulgue le respect inaliénable de la liberté d'opinion La vieille dame méprisait les régimes théocratiques. Elle les jugeait hypocrites et cyniques. L'obscurantisme la rendait malade. Il était hors de question que la pensée magique supplante la Raison dans la conduite des affaires politiques de la galaxie. Les tables édictées par les adorateurs du trou noir pouvaient satisfaire théologiens et autres délires mystiques, mais elles n'avaient pas la portée d'une véritable constitution. La politique, au sens noble du terme, devait irriguer l'assemblée d'un sang neuf, épris de liberté et d'esprit critique. Il fallait reléguer la religiosité dans les oubliettes de l'Histoire, et faire du Quasar un symbole spirituel d'apaisement et de stabilité, limité dans ses prérogatives temporelles. Les titres se succédaient, et d'autres exigences affluaient. La vieille dame se tourna vers son fils Otto avec un sourire satisfait. Elle abandonna le langage du protocole et se fendit d'un murmure sibyllin... - Va, mon fils. Va négocier avec le Duc d'Ocre, et personne d'autre. N'oublie pas d'exiger un mariage pour ta personne. Un peu de compagnie ne te ferait pas de tort. On dit que le Duc est un bel homme, n'est-il pas ?
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