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> Petit débat sur les croyances
| Oui, car Dieu existe et que les textes préhistoriques sont formels là dessus, il va forcément avoir lieu un jour. | 11 | |
| Oui, car nous avons eu vent de rumeurs, de rêves ou de visions le concernant. | 16 | |
| Non, la Galaxie est stable depuis que votre peuple existe et il n'y a pas de raison que cela change. | 14 | |
| Total : 41 vote(s) | ||
Pages : 1 2
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Cdt. L'Aplacophore
Respect diplomatique : 116 
25/06/1014 ETU 08:56 
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Score : 6
Détails
L'Aplacophore écoutait avec attention les débats qui secouaient l'Assemblée galactique. Après avoir mûrement réfléchi et voté, elle prit la parole. - Je rejoins le commandant Hoepner. Je n'ose croire qu'une grosse horloge magique puisse déterminer l'avenir au sein de notre galaxie. Cela rendrait tellement vain tous nos efforts... Il y aurait une forme de vacuité galactique à nos actes qui me fait, laissez-moi l'affirmer, froid dans le dos. Cela ne peut pas être. L'expérience de ce qui s'est passé ne va peut-être pas nous renvoyer à ce qui sera. Nous ne pouvons qu'attendre et espérer.
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Cdte. Adrastee
Respect diplomatique : 289 
25/06/1014 ETU 10:01
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Score : 9
Détails
Un moment, il n'y eut rien. Puis, il y eut Adrastee. Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=9EMCCnU-BFs Puis il y eut quelque chose au-delà d'Adrastee. La femme aux voiles bleues, seule représentante connue du Rêve pour la plupart des membres de l'Assemblée Galactique, était toujours là et perceptible, mais c'était quelque chose d'autre que l'on percevait à travers elle. Les yeux que l'on voyait n'était pas les siens, le bleu de ses voiles celui d'autre chose, chaque irisure, chaque forme, chaque volute, une télécommunication pour représenter un autre être... Ce qui se produisit alors dans les cerveaux des diplomates ne fut pas un tremblement de terre, mais un tremblement de ciel, comme si la pluie leur tombait directement sur le cerveau... une à une, les gouttes tombent dans l'esprit, douloureuses, fantastiques, et pleines de sens, formant l'image et le son... En lieu et place d'Adrastee et de l'Assemblée Utopique, les diplomates finirent par se retrouver dans une mer. Immense. Infinie. Calme, tellement calme, mais d'une telle puissance couvée... la mer était faite d'espace, constellée d'étoiles. L'être à l'origine de tout ceci s'y tenait en tailleur, en équilibre entre la mer de l'espace, et ce qui n'était pas la mer de l'espace. Femme. C'est une des choses certaines sur l'être, c'est une femme. Assise en tailleur. Pas de vêtements distinguables, autre que le corps lui-même, mais un voile étrange, organique, couvre ses épaules et se confond avec la mer qui l'entoure. La peau sombre... la couleur n'est pas fixe, mais demeure froide et sombre, luisante. La peau reflète une lumière inconnue. Le plus clair, c'est le visage, dont les traits s'obstinent à ne pas être fixables dans l'esprit. Le plus clair ce sont les yeux... les yeux qui déversent un torrent d'émotions indompté à chaque contact, un nouveau monde à chaque battement... pas de cheveux sur cette tête, mais une collerette d'appendices tentaculaires rigides, ophidiens, encerclant le crâne comme une couronne... La pensée émet, la pensée reçoit. "Utopie... je suis la Pythie d'I as zalag, l'âme d'un monde et la mémoire d'un million d'autres. Tu poses une question sur Tout ce qui est, et je viens te répondre moi-même... c'est peut-être là une des seules véritables questions. Dieu est un fait. Je l'ai autrefois rencontré. J'ai autrefois conversé avec lui. J'ai vu des guerres menées par les plus fous des humains pour dépasser cette limite suprême, car il est dans la nature humaine de souhaiter briser les limites, mais ce ne fut toujours qu'un échec absurde. La raison pour laquelle il est si difficile de percevoir Dieu, c'est que seul le vide est aussi absolu que lui, et que toute pensée ou action projetée vers lui se colore d'une vacuité sans fin... c'est terrible à supporter. J'ignore si cet être est un créateur. J'ignore s'il manipule nos vies à tous. J'ignore la nature de ses désirs. En revanche, je sais qu'il sait tout ce qu'il y a à savoir sur notre univers... si quelqu'un a toutes les réponses que vous vous posez, c'est Dieu. Si vous arrivez à les lui poser, il ne vous restera plus que les questions que vous vous par la suite, qui risquent d'être bien plus nombreuses... L'Apocalypse est un fait. Son arrivée cyclique est un fait. Votre condamnation n'en est pas un... l'hiver revenait chaque année, et l'humanité lui a toujours survécu. Il en va de même pour l'Apocalypse. Quand l'explosion rouge et aveuglante brûlera les yeux de vos enfants, quand les vôtres en viendront à la rage de la fin du monde et s'entre-dévoreront par nihilisme surexcité, sachez que la vie continuera en dépit de tout. J'espère. Toutefois ce ne sont pas les réelles questions que vous posez... ce que vous posez, c'est la plus vieille question de l'humanité : pourquoi? Pourquoi le monde? Pourquoi l'existence? Vous posez la question tellement vaste que peindre des divinités dans le Rêve fut la seule réponse possibles de nos ancêtres, exactement comme les Nehirrims... ces divinités ne sont pas fausses. Elles sont une image humaine de l'univers. Le progrès de la compréhension peut rendre les images obsolètes et forcer leur remise en cause, mais le sens reste d'une adamantine éternité... Ce que vous vous demandez, c'est quel est cet univers dans lequel vous vivez, dans lequel vous mourrez. Ce que votre esprit désire, c'est la fin de l'incertitude. Jamais je ne vous la fournirai. Je ne le peux pas, nul ne le peut, même pas Dieu je pense. Mais je pense également, pour l'avoir approchée, qu'elle n'est pas la fin... je pense qu'il n'y a pas de fin. Je pense que vous pouvez trouver la valeur divine de l'existence dans vos propres vies, dans Dieu, ou dans de simples microbes... dans de simples atomes. Ce que je peux offrir à Utopie, c'est une vision de ce que l'univers inscrit dans la mémoire du vide... certains savent de quoi je parle. La Pythie cessa de parler, et plongea en avant dans la mer étoilée. Son corps entier et ses yeux pleins d'émotions s'y engouffrèrent, et ce fut le début d'une ébullition dans la soupe spatiale... Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=cQnLETOUnaQ&list=PLobEMHfBbtTZ_aqSnviOgMv-QifnlIhwk Au début ne restait bien que les petites étoiles blanches, immobiles, même relativement, à travers la mer de l'espace... mais la plongée de la Pythie semblait les avoir perturbées, agitées. Ce n'était qu'un simple mouvement d'étoiles... des petits chocs de temps à autre... les observateurs commençaient à trouver le temps long... et puis soudain, une grande et terrible vague se souleva dans la mer de l'espace. Un flot d'étoiles confuses roula à travers le vide, effrayant les quelques diplomates qui crurent s'y mouiller. Le flot arriva dans un récipient, un récipient des plus curieux, fait d'énergie d'électrique, manipulée par un étrange démiurge... Dieu est là. Sa simple image. Elle observe, parle silencieusement sans que l'on comprenne sa parole. Une autre force est à l’œuvre pour façonner cet univers naissant, en touillant la soupe et les étoiles dans le moule énergétique. Quelques milliards d'années se passent en accélération rapide - sinon ça pourrait être ennuyeux. Le moule abrite maintenant une pâte blanche et électrisée, fertile... Dieu et le Démiurge la mette à la lumière... immédiatement, le bouillon de culture commence, la pâte reçoit l'infection de la vie... on peut distinguer des craquelures dans la pâte, des civilisations qui naissent, des voix qui émettent en chaos désordonné... Dieu et le Démiurge observent un moment, puis Dieu donne son assentiment, et c'est alors qu'elle arrive... L'Apocalypse. Le Démiurge vide son moule, le passe au produit nettoyant et corrosif... il verse ce qui reste dans un nouveau moule, plus élaboré. Les deux divinités ont un but précis en tête. A nouveau l'émergence, à nouveau la vie, quoique différemment, toujours différemment à chaque seconde... c'est un des plus beaux spectacles qu'il est donné de contempler. Cependant, ce moule subit lui aussi l'Apocalypse. Le processus est répété six fois, jusqu'à ce que le moule prenne une forme terriblement complexe, autorisant la pâte universelle à en prendre d'encore plus tordues, encore plus fascinantes... les voix sont toujours chaotiques, mais le chaos a acquis une certaine mélodie. Sept moules sont disposés à la suite, rendus accessibles, et Dieu y compose sa mélodie à sept notes, usant de la vie comme instrument... à chaque renversement de moule, c'est le ciel qui vous tombe sur la tête. Ces sept cieux vivent, explosent, et connaissent l'Apocalypse. De nouveaux moules sont disposés, encore plus raffinés... le temps se ralentit, la perception se fait plus précise... on perçoit quelques formes connues parmi la succession des cieux... certains observateurs SE VOIENT Y NAÎTRE. Enfin, un dernier moule est versé, plus présent que tous les autres... il faut y plonger le regard pour observer, pour distinguer son centre... et quand on y arrive enfin, quand on ouvre les yeux, on voit l'Assemblée Utopique, parfaitement normale, la Pythie a disparu. Vision ou réalité? Ou les deux?
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Cdt. Cothurnata Hulud
Respect diplomatique : 56 
25/06/1014 ETU 12:30 |
Score : 13
Détails
[L’hologramme s’alluma rapidement, dansa pendant quelques instants, puis se stabilisa. Masque d’argent, traine noire ; immobile : aucun doute, c’était bien le Dominus Hulud à l’écran. Il émettait depuis son monolithe, toisant la ville médiévale d’un regard impériale. Le soleil était obscurcit régulièrement par les immenses usines orbitales, s’apprêtant à déverser leurs engins macabres dans le vide spatial. Les quelques débats précédents avaient piqué sa curiosité, mais pas au point d’ouvrir un canal de communication et d’exprimer le point de vue des Réceptacles de Sheer. Mais celui-là était différent. Il voulait offrir son point de vue sur le sujet. Distiller son idéologie. Voir comment les autres peuples réagirait à ce caillou jeté dans la mare. Ce qui ressortirait des ronds dans l’eau. Hulud se met à parler de sa voix suave et étrange.] Salve commandants, Les Seigneurs ne croient qu’en eux-mêmes. Nous croyons à la puissance de notre esprit, de notre Sang, de nos Frères et Sœurs. Nous croyons à la rationalité de notre Univers, aux lois mathématiques. Nous ne nous en remettons pas à des puissances supérieures pour nous dicter nos vies : nous dictons celle de notre plèbe. Dieu est un moyen comme un autre de ramener le vivant errant dans le droit chemin. De le sortir de sa masse chaotique et de le façonner de façon plus pure, plus parfaite. Nous agissons en ce sens, pour le bien commun de notre peuple. Des Seigneurs, par les Seigneurs pour les Seigneurs ! [Il prit une pause dans ses propos. Il avait quasiment hurlé la dernière phrase. Il s’emballait, comme un énorme moteur stellaire en surchauffe. Il montrait des émotions. C’était mauvais signe. Il inspira profondément. Son souffle était chaotique, sa respiration saccadée et sifflante. Une chape de plomb s’était abattue dans la pièce.] Autant de peuples, autant de religions différentes, autant de manière d’appréhender la conquête des étoiles, la vie la mort… Autant de croyances qui ont tendance à tomber en morceaux et en désuétude face aux vérités qui nous entourent : non, nous ne sommes pas seuls. Oui, il existe d’autres races que nos races. Oui, un jour, tout disparaitra : peut-être pas dans un énorme big-bang, semblable à notre naissance. Sans doute morceau par morceau, comme une vieille statue en plein désert, érodée par les tempêtes de sables à répétition : elle perd ses mains, puis ses bras. Ses splendides cheveux de pierre sont dévorés par le vent, puis la tête part aussi, avec le torse, la poitrine, les jambes. Bientôt, il ne reste plus rien de la Vénus des Sables. Juste le silence. Et le vent. La plupart des peuples de la Galaxie sont des parties de cette statue ; mais il ne tient qu’à une poignée d’entre nous de devenir ce sable. Il ne tient qu’à nous, qu’à notre Volonté, et non pas aux Dieux, de changer puis de se compacter de nouveau, une fois les nouveaux horizons atteints, en une statue plus resplendissante encore. Puis de recommencer, encore et encore. C’est le but des Réceptacles de Sheer. Notre ultime horizon.
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Cdte. Dagurimara Anyr
Respect diplomatique : 136 
25/06/1014 ETU 14:20 |
Score : 7
Détails
La Rida sourit devant tant de diversité. Utopie est décidément pleine de surprises. - Pour ma part, je n'ai pas d'avis tranché sur l'Apocalypse, dit-elle, mais si je devais résumer ce que j'en pense, je ne dirais que cela : qui vivra verra. Après tout, nous risquons chacun de voir notre propre Apocalypse arriver un jour où l'autre, suivant les intentions plus ou moins belliqueuses des habitants d'Utopie. La religion tenant une très faible place dans l'actuelle culture shiriade, le fait d'avoir une "révélation" nous concerne peu. Nous croyons ce que nous voyons. Tant qu'il n'y a pas d'Apocalypse, il ne sert à rien de faire des suppositions à son propos. Et si finalement elle doit arriver, c'est que c'était écrit dans le grand livre du destin. C'est ainsi que nous voyons les choses.
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Cdte. Alisa Dragunova
Respect diplomatique : 937 
25/06/1014 ETU 15:13
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Score : 9
Détails
Alisa était réjouie. Tant d'avis, de cultures, de points de vue différents à recueillir ! Sa curiosité était abreuvée ; elle décida de répondre enfin. « Commandants, je suis moi aussi surprise et en bien ! de voir la diversité des croyances de la Galaxie. C'est merveilleux ! J'apporte donc celles du Très Glorieux Peuple Rouge : j'ai maintenant assez d'avis pour répondre. Le Peuple Rouge suit une idéologie communiste. Selon les préceptes de son premier théoricien, elle tient la religion pour un "opium du Peuple", c'est-à-dire un facteur potentiel de distraction du Peuple pour le détourner de ses véritables problèmes. La liberté de culte n'est évidemment pas interdite ! Presque pas. Mais les diverses cultures du Peuple Rouge ont intégré cette composante athéiste. Pour nous, Dieu n'existe pas. Oh ça ne veut pas dire que nous tenons tous les témoignages déistes pour des absurdités ! Presque pas tous. Il est même arrivé une fois restée mémorable où nous avons cru voir Dieu sur nos radars. Mais Dieu n'existant pas, nous lui avons bien entendu signifié sa non-existence et que s'il ne quittait pas immédiatement notre réalité il s'exposerait à un pilonnage en règles. Il nous a aimablement signifié que puisqu'il n'existait pas il ne pouvait pas se trouver où nous l'avions détecté, ni même nous avoir répondu : la réponse nous a satisfait et nous avons quand même pilonné l'endroit. C'était une autre époque avec d'autres méthodes. Nie, il n'y a absolument pas de paradoxe ! S'il n'existe pas il n'a pu nous faire cette réponse si satisfaisante — de toute façon il l'a lui-même avoué. Et par conséquent nous n'avons pas pu le détecter. Enfin bref ! ce petit épisode pour donner un aperçu de nos croyances en la matière. Quant à l'Apocalypse ? Disons... et bien... nous ne l'avons jamais observée, mais des bribes de récits que nous avons pu recevoir sont assez alarmants sur le sujet. Et c'est un euphémisme. Un énorme euphémisme. Nous n'avons donc pas vécu une telle chose, nous espérons ne jamais vivre cela, mais nous nous tenons prêts pour ne pas être pris au dépourvu. De toute manière, quand bien même nous serions tous condamnés, la vanité de notre existence ne serait pas un prétexte à n'en rien faire ! »
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Cdt. Wololo
Respect diplomatique : 34 
25/06/1014 ETU 20:23
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Score : 8
Détails
Wololo était venu assister au débat sur les croyances sans vraiment s'y intéresser, il venait tuer le temps et se reposer après plusieurs heures à donner des instructions à ses ministres, ce n'était plus de son age toutes ça. Dès les premiers mots échangés, le vieillard avait pris la décision de rattraper quelques heures de sommeil avec pour berceuse les flots de parole interminables des autres dirigeants. Et si la nuit porte conseil, il faut croire qu'il en va de même pour la sieste en pleine journée, Wololo se réveilla avec une idée en tête et il se leva lorsqu'Alisa Dragunova finit de parler. Bonjour à tous ! Pour ma part je pense que la probabilité qu'un Dieu existe se mesure grâce à son nombre de fidèle et plus important, grâce aux subventions que recoivent ses lieux de culte. Au sujet d'une apocalypse.. enfin soyons sérieux quelques minutes ! Cette galaxie existait bien longtemps avant nous et elle continuera bien après ! Vous savez quoi ? S'il existe un être qui a écrit qu'il allait tout faire péter prochainement, il s'agit sans doute d'un plaisantin, d'un bouffon sans talent qui essaie de se faire remarquer. Wololo fut pris d'une quinte de toux violente ou il manqua de s'étouffer et resta une bonne minute sans parler, une simple coincidence. Hmm.. bref. Mais vous savez quoi ? Ce que je pense importe peu, c'est que vous pensez qui compte ! Vous avez tous raison, chacun d'entre vous ! Vous avez raison et vous devriez le montrer aux autres, ceux qui se trompent. Votre point de vue est le meilleur alors défendez le et aidez le à se développer ! Et pour cela je peux vous être utile, voici ce que je vous propose : Je viens de récupérer quelques planètes avec de nombreux habitants qui sont encore dans l'obscurité,de pauvres âmes qui ne demandent qu'à être convertis à grand coup de propagande (pour la bonne cause). Je suis tout à fait prêt à les convertir à VOTRE religion, que dis-je, à LA religion, la vraie, pour seulement quelques Leems de votre poche. 100 Millions de Leems pour un milliard d'habitants convertis ! .. Personne d'intéressé ? Allez disons 10 millions et on n'en parle plus ! .. Un million ? .. Contactez moi par com-x si vous croyez vraiment que votre Dieu vaut la peine d'être connu ! Wololo repartit rapidement, rentra dans son bureau et appela son architecte préféré. Eh mec ! On va construire.. des temples ! La religion est un business et il faut la traiter comme tel.
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