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Cdt. T.W.
Respect diplomatique : 667 ![]() 06/07/1014 ETU 21:07 ![]() ![]() |
Score : 1
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Quelle jolie planète. Quand je pense à toutes les horreurs qui s’y sont déroulées… Allez les enfants ! On s’accroche. L’atterrissage est pour bientôt. Seulement quelques secondes après ses paroles, le vaisseau se posa sans la moindre secousse. Mais par habitude, le capitaine Oreo avait exigé que chacun reste sur ses gardes. Habitué aux vaisseaux de guerre, le O’Neill était loin de son idéal. Lent, et non armé, la capitaine avait pourtant demandé à participer à cette mission. Et quelle mission ! Maintenant que les mondes librians étaient aux couleurs des Rouges, le Parti avait décidé de prendre les mesures qui s’imposaient. Le Chancelier Hoepner préférait euthanasier une partie de son peuple, peuple qu’el aurait dû protéger, plutôt que de la voir partir rejoindre la T.W. . Cette stupidité sans nom prenait fin aujourd’hui. Quelques minutes plus tard, Oreo et une poignée des siens descendaient du vaisseau. Des travelos pour la plupart. Els avaient tous le sourire. Els étaient tous fiers. Et c’est avec cette fierté qu’els se dirigèrent vers la délégation Rouge qui les attendait. Kamarades. Le Grand Parti de La T.W. vous remercie de votre accueil. Des vaisseaux de croisière similaire au O’Neill doivent se poser en ce moment sur la majorité des anciennes planètes Libriannes. Oreo posa un regard sur la ville. El avait déjà pu le constater depuis un hublot du vaisseau mais on aurait peine à croire que cette planète avait été attaquée el y avait peu. El en fit d’ailleurs la remarque. Dites, j’ai pas l’impression d’être dans une planète en guerre ici. Depuis le ciel on ne voyait même pas les dégâts dus aux kamikazes. Oh. J’ai oublié de me présenter. Capitaine Oreo. Pour vous servir.
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Cdt. Joachim Hoepner
Respect diplomatique : 436 ![]() 06/07/1014 ETU 21:51 |
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Score : -8
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Mais, hélas, les déambulations des travelos sur les mondes librians durent être interrompues plutôt vite! Car alors que les mondes, tombés par l'attaque surprise communiste quelques jours plus tôt, étaient entre leurs mains, l'amirauté librianne, elle, avait survécu à l'attaque et malgré des pertes sévères subies au combat, elle avait pu éloigner ses forces, se réorganiser et repasser à l'attaque. Les forces communistes qui défendaient ces mondes n'étaient pas prêtes à subir un siège et aussitôt l'offensive librianne lancée, elles commencèrent à plier sur tout le front. Les effectifs communistes et ceux de la T.W. durent quitter les territoires républicains, réduisant vachement le temps qu'ils passèrent en surface. Quant-à ceux qui y demeurèrent, hurlant à la trahison des communistes qui les y avaient abandonnés... Situation sur la planète en question: http://youtu.be/0RKEUDrJZtY?t=19m40s Et durant ce temps, la flotte républicaine progressait, reprenant méthodiquement tout le territoire républicain et les travelos n'eurent d'autre choix que de sacrer leur camp... HRP: Je ne veux en aucune façon RP avec toi ni que tu touches à mon RP, T.W. Va jouer dans ton propre carré de sable et on ne se portera que mieux toi et moi. Mais arrête de relancer systématiquement dans ma direction avec ton RP-Anti RP d'Hoepner, ça suffit. Va faire ton propre RP, loin du mien. Une fois, une seule, en une phrase, Hoepner a dit ce qu'il pensait du Travelo Way. Maintenant, décroche.
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Cdt. T.W.
Respect diplomatique : 667 ![]() 06/07/1014 ETU 22:13 ![]() ![]() |
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Score : 0
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[Ceci est un RP privé. Merci de le respecter. Je ne tiendrais donc pas compte du poste précédent du Chancelier Hoepner. Je vous remercie à tous de votre compréhension.]
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Cdt. Joachim Hoepner
Respect diplomatique : 436 ![]() 06/07/1014 ETU 21:58 |
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Score : -6
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(Ah bon? Ça se passe sur mes mondes, mondes sous mon contrôle actuel et sans que c'ait été spécifié RP privé? Et je n'ai pas le droit d'y intervenir?)
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Cdt. Beurk
Respect diplomatique : 639 ![]() 06/07/1014 ETU 22:06 ![]() |
Score : -1
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// Nettoyage de tout cet immonde Hrp Tempête, merci.
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Cdte. Alisa Dragunova
Respect diplomatique : 937 ![]() 06/07/1014 ETU 22:25 ![]() ![]() |
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Score : 3
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« Ils arrivent. » La femme gardait les yeux rivés dans les cieux. Aucune trace de quoi que ce fût, si ce n'était les énormes nuages gris dans le ciel de l'après-midi. Les énormes soldats engoncés dans leurs armures, bien alignés dans des rectangles cohortaires au fond de la piste du spatioport, se regardèrent d'un air incrédule... jusqu'à ce qu'apparût un vaisseau. Forte, la Kamarade... L'engin se posa sur la piste du spatioport et les soldats accoururent se poster en haie d'honneur devant le sas d'ouverture. La femme passa lentement au début de cette haie d'honneur pendant qu'on déroulait le tapis rouge. Aux invités de marque, accueil de marque. Le vent se leva et fit claquer son long manteau noir. Elle vissa sa casquette noire d'officière. L'étoile rouge accrochée dessus luisit. Dès que les délégués de la Travelo Way sortirent, la colonne d'armures rouges se mit au garde-à-vous dans une cacophonie parfaitement synchronisée. Le sourire de la femme s'élargit. C'était un rictus. « Kamarade Capitaine, c'est un honneur. Je suis la Kommissar Micha Nevska, et c'est moi qui ai la charge de tenir ce monde. Propre. Et intact. » Elle pivota sur elle-même et fit signe à la délégation de la suivre. Et ils suivirent. « Intact, dak. Autrefois ce que vous voyez là... tout aurait été broyé. Elle claqua des doigts et une lueur effrayante passa dans son regard. Mais la Kamarade Dragunova a ordonné que les dommages soient évités au maximum. Et je suis là pour faire appliquer la consigne. Mes soldats ne désobéissent pas. Ils ont trop peur. » Elle eut un grand rire. Glaçant. Ils finirent par sortir du spatioport et la ville s'étendait devant eux, en contrebas. Des soldats, des barrages, des mécas de bataille et des tanks barraient les rues. Quelques civils passaient furtivement en leur jetant des regards noirs ; aucun ne savait que ces sales Rouges se recevraient une balle dans la tête s'ils osaient lever la main sur eux. Micha régnait en maître sur l'unique avant-poste librian du Système 12. En contemplant le spectacle qui s'offrait à elle, elle finit par poser sa question. « Bon. Vous êtes là pour une petite évacuation... c'est ça ? »
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Cdt. Joachim Hoepner
Respect diplomatique : 436 ![]() 06/07/1014 ETU 22:30 |
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La foule librianne rassemblée non loin assista à toute la scène avec colère. Des rouges sur leur monde, et en plus la première confédérée non loin! Voilà une occasion à ne pas manquer. La résistance librianne s'était rapidement organisée sur tous les mondes restant sous contrôle confédéré, soit plus ou moins 10 restant à prendre à ajouter sur les 40 déjà reconquis. Parmi la foule, un jeune homme, Victor Krupp. Il avait perdu toute sa famille dans les bombardements planétaires. Il n'avait plus rien à perdre. Il avait apporté ce qu'il lui fallait. Quand le vaisseau Travelo apparût dans le ciel et qu'il approcha de la place, atterisant au milieu des rouges, le jeune homme s'élança. Il y eut des cris parmi la foule et quelques soldats communistes élevèrent leurs armes. Des balles sifflèrent mais pas suffisamment pour l'arrêter. Il était au milieu d'eux avant même qu'ils ne l'aient touché. Alors il tira sur le câble qui dépassait de son veston. Il y eût une explosion dévastatrice et la place fût soufflée par une prodigieuse explosion, tuant de nombreux rouges dont les cadavres engoncés dans leurs lourdes armures de combat s'effondrèrent au milieu des civils librians.
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Cdt. Guy de Kestac
Respect diplomatique : 72 ![]() 06/07/1014 ETU 23:29 |
Score : 4
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Victor Krupp se réveilla en sursaut au fond de la geôle communiste dans laquelle il résidait depuis maintenant une vingtaine de cycles. Il s'était uriné dessus comme le jour où il aurait pu venger les siens. Il avait bien tenté de se faire exploser en héros mais il avait mal branché ses câbles et avait échoué lamentablement, comme la plupart de ses frères. Il se sentait minable et aurait aimé garder sa dignité plutôt que de s'afficher ainsi publiquement. Malheureusement pour lui, les rouges n'étaient pas les monstres qu'on prétendait puisqu'ils l'avaient épargné, et il restait maintenant tout seul, tournant derrière ses barreaux comme un fauve de cirque auquel on aurait coupé les griffes. Il avait beau vociférer tant qu'il pouvait, il ne faisait que se couvrir de ridicule à présent.
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