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> Une nouvelle déstinée
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Cdt. Libé.
Respect diplomatique : 35 
15/07/1014 ETU 20:42 
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Score : 8
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RP privé merci de ne pas poster Un petit souffle dans la galaxie, un petit éternuement dans le vaste océan galactique et une entité était née. Libé. Véritable intelligence galactique venu de nulle part, crée part on ne sait qui et donc le but n’a jamais été déterminé à l’avance. Des millénaires passé à navigué dans toutes les galaxies et jamais nulle part ou se poser. Une conscience infinie et une grande capacité de réflexion, armé d’un sens de la justice à toute épreuve, Libé cherchait indéfiniment une conscience à infiltrer. Tout commença une matinée de Juillet. Ligua partait à la chasse avec quelques gardes et des nobles trié à la volé. La chasse était une distraction très attrayante si on avait beaucoup de temps à perdre et c’était effectivement son cas. Son royaume était en paix depuis que la civilisation Arskarpienne avait été vaincue. La folie avait emporté l’ancien roi et Ligua en avait profité pour prendre le trône et tué les plus fidèles serviteurs. Personne n’avait osé remettre en question sa nouvelle puissance et il en était mieux ainsi. L’ordre valait toujours mieux que le désordre dans un royaume dévasté par la pauvreté. Ligua malmenait son cheval pour qu’il aille de plus en plus vite. Le laxatif était juste devant et il allait prendre un malin plaisir à l’éviscérer devant la foule de noble trop dégouté pour regarder le spectacle pourtant tordant de plaisir. Le cheval allant de plus en plus vite il ne mis que quelques dizaines de secondes pour le rejoindre finalement dans une petite clairière. Arrivé à sa hauteur Ligua le roi, lui enfonça son épée dans la tête ce qui stoppa nette sa folle chevauché. Ligua stoppa le cheval et alla à sa rencontre. Fière comme un bougre il se précipita pour voir sa nouvelle victime. N’ayant pas vu le petit trou dans le sol, il y engouffra son pied, ce qui déstabilisa tout son corps qui finit par tomber. L’énorme roi n’eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait… Une pierre, pourtant posé là depuis des années, qui n’avait que gère bougé au fil des ans, eut raison d’un roi pourtant assez puissant pour avoir pris le trône tant convoité. Misérable et c’est pourtant cela qu’on pouvait appeler le Destin. La dernière chose qu’il sentit eut encore été un légé frémissement parcourir son corps. Le destin qui mit aussi sur la route de Libé une petite planète au tout début de la galaxie, dans le système 1 du secteur 1, une petite planète que plus aucun commandant n’avait visité depuis longtemps et qui était devenu une terre de misère et de guerre, au profit de rois les plus ignare et ignoble les uns que les autres. Libé avait vu toute la scène. Il avait ri pour la première fois. Quel sensation bizarre quand on était que conscience, quand on n’avait pas de corps physique. Et pourtant il s’entait quelques choses. Désarmant et profondément choquant… Il profita bien sûr de l’occasion pour s’engouffrer dans le vaste néant qu’était un corps sans vie. La brèche ne restait ouverte que quelques microsecondes et toutes les fois ou Libé avait essayé il s’était pris un « STOP » par le petit Destin… Et voilà quand ce jour si particulier, cela avait marché.. Une nouvelle vie avait remplacé celle qui venait de se perdre. L’univers n’était au fond qu’une grande balance, obligé tout le temps de compenser dans un sens ou dans l’autre pour rester dans l’équilibre, pour retrouver l’équilibre qu’il perdait sans cesse. Tous ces plans n’avaient au fond qu’un seul et unique but. Rester en vie pour ne pas sombrer…
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Cdt. Libé.
Respect diplomatique : 35
21/07/1014 ETU 14:17
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Score : 8
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Libé ouvrit les yeux. Quelle sensation merveilleuse d’ouvrir les yeux la première fois. La sensation de se sentir vivant, de sentir l’air frais parcourir tout son corps et toute son âme. Se sentir vivant pour la première fois depuis tant de temps qu’il ne se rappelait pas la première fois où il avait « pensé ». Le Destin lui avait pour la première fois accordé une chance et il allait la saisir. Il se révéla péniblement mais ne sachant comment faire, il retomba aussitôt. Tant d’espèce observé en train de marcher et incapable de se relever pensa Libé. Deux cavaliers s’avancèrent vers l’homme à terre : - Comment allez-vous mon seigneur ? Libé n’arrivait pas à parler non plus. Toutes les fonctions élémentaires lui étaient impossibles. Il devait apprendre, et apprendre rapidement avant qu’il soit considéré comme inapte à gouverner. L’officier de sa garde personnel qui semblait le plus grader s’avança vers lui. Il l’examina brièvement et donna des ordres pour le faire rapatrier au château. Pendant le trajet, Libé réussit à bouger quelques doigts. Première victoire. Arrivé au château, les gardes le transportèrent dans sa suite personnelle. Ils le posèrent sur le lit et ordonna d’appeler le médecin de toute urgence. Il resta un long moment tout seul, le médecin, ne devant pas être disponible dans l’immédiat. Libé essayait de se débattre tant bien que mal dans ce corps qui n’était pas à lui. De temps à autre il arrivait à bouger quelques oreilles, mais pas plus de quelques secondes. C’était comme s’il n’arrivait pas à trouver le centre de contrôle principal de son corps.. Le médecin arriva un bon quart d’heure plus tard. Il était chauve avec une longue barbe blanche. Symbole vraisemblablement de sa supériorité « anatomique ». Il avait amené avec lui une petite sacoche, qu’il posa à côté de lui, pour en sortir un petit marteau. Un commença par lui tapoter sur les genoux, puis sur les mollets, pour finir sur les pieds. Aucune réaction.. Il posa alors le marteau et commença à lui inspecter la tête, cherchant surement l’origine de la paralysie. Malgré la chute de Ligua, aucune blessure n’était visible. Le médecin, interloqué, se grattait alors la barbe, cherchant une explication qui ne vint finalement pas. Libé se débâta de toutes ces forces, pouvant jusqu’à la limite de ce que sa conscience pouvait endurer. Il était comme un fauve dans sa cage. Ne cherchant qu’une seule chose, « bouffer » le dresseur et sortir… Plusieurs sentiments lui vinrent alors. La combativité pour commencer, qui céda vite sa place au défaitisme et au découragement, pour finir par la résignation. Le temps défilait, sans que Libé ne puisse y faire grand-chose. Ce n’est qu’en fin d’après-midi qu’une personne encagoulée, franchit le pas de la porte. Cherchant à ne pas faire le moindre bris, elle referma doucement la porte. Pour la première fois de son existence, Libé eu un sentiment de peur. La peur de cesser d’exister. De ne plus être. De ne pas avoir compris le véritable message derrière son existence. Sans un mot, la personne encagoulé s’avança vers lui, et se pencha pour l’embrasser. Immédiatement, il sentit un picotement au niveau des oreilles puis une grande douleur à la tête (surement la chute à cheval). Libé s’était éveillé, sans réellement comprendre qui ou quoi l’avait sauvé, et surtout pourquoi. |
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Cdt. Libé.
Respect diplomatique : 35
22/07/1014 ETU 11:54
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Score : 5
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Plusieurs mois ont passé depuis le réveil de Libé. Beaucoup de monde l’avait trouvé bizarre au début mais vue le génie dont il avait fait preuve, personne n’avait remis en doute son identité. Tout le monde pensait belle et bien que Ligua était toujours en vie et personne ne se souvenait de cette chute de cheval qui l’avait amené à être amnésique pendant plusieurs heures. Monsieur « Destin » aurait très bien pu lui laisser le corps d’un paysan ou encore d’un manant ou d’un petit noble. Mais non. Il lui avait laissé le corps d’un roi : Ligua.. Et le roi le plus puissant de tout le royaume.. Jours après jours il avait changé le mode de fonctionnement, unifié les petits bastions, changé les techniques de combat, assez rudimentaire. Enseigné à ses généraux de nouvelle technique pour augmenter la puissance de son armée. Et cela avait payé. En quelques mois, la plupart des royaumes adverse était tombés. Seule restait des poches de résistance aux confins du royaume, là où personne n’allait jamais. Il ne restait maintenant plus qu’un point à améliorer. La technologie.. Seulement voilà. Comme dans beaucoup d’époque médiévale, la technologie était considérée comme l’œuvre du mal et les personnes jugées comme tel étaient généralement brulées ou écartelées. Libé n’ayant pas envie de finir comme cela, il se devait de trouver une idée de génie. Libé n’avait cependant pas atterris dans le corps le plus svelte du monde. Ligua mesurait dans les 1m80 mais pesait plus de 130 kilo ce qui l’éprouvait durement au quotidien. Deux heures de sport par jours avait été nécessaire pour qu’il perde du poids. Les séances se répartissaient en deux étapes. D’abord le footing d’une heure le matin tout autour du château puis, la séance d’entrainement à l’épée qui durait aussi une bonne heure. Tout avait été fait pour qu’il perde du poids en un minimum de temps. Le sport allié avec une alimentation équilibré avait eu raison de la plupart des kilos en trop du corps de Ligua. On ne pouvait pas dire que celui-ci était maigre mais on ne pouvait pas dire non plus qu’il était gros. De toute façon, vue la fonction du bonhomme, mieux valait qu’il soit imposant, pensait Libé. Les jours et les mois passèrent sans que rien ne change réellement. Des idées par ci par là avaient été proposées au « scientifique » du château, mais rien qui ne puisse attirer l’attention, donc rien de bien intéressant pour le développement de la cité.. Il devait trouver une solution au plus vite pour ne pas vivre dans une terre médiéval tout au long de sa vie. D’ailleurs Libé ne savait pas grand-chose sur celle-ci. Etant un parasite dans un corps qui ne lui appartenait pas, il ne savait pas comment tout cela allait se passer. Allait-il mourir une fois sa vie achevé ? Allait-il réapparaitre en tant que conscience comme avant ? Ou n’allait-il pas vieillir Tant de question dont il n’avait pas la réponse et qui l’angoissait au plus haut point. Tout le monde savait ce qu’il allait devenir. La vie des êtres humains était très courte. Les plus vieux humains qu’il avait vu étaient morts aux alentours de 130 ans. Mais lui ? La forme de vie : Libé, n’avait pas compté mais il devait avoir dans les 250 000 ans. Mais au final qu’est-ce que c’est d’avoir cet âge ? Pour un être d’ôté seulement d’une conscience, naviguant dans les tréfonds de l’univers, parcourant des galaxies en une fraction de secondes, s’arrêtant quelques centaines d’années pour voir l’évolution d’une peuplade et leur avancé civil et militaire, cela ne représentait au final pas grand-chose. La notion du temps était purement humaine et le fait est que chacun des êtres peuplant les galaxies ont chacun « leur notion ». Une fois libé était passé par une planète, très éloigné de là où il était actuellement, où les être vivant là-bas n’avaient pas de réel alignement temporel. Ainsi bien qu’une tâche effectué de leur part pouvait aller de 1 heure à des centaines d’année. Les humains ne pourraient concevoir cela mais finalement, qui a dit que tous les êtres vivant devaient vivre au même rythme temporel ? Qui est venu vous voir le matin en vous disant « Ce matin ta ligne temporel sera la seconde » ? Personne. Et le fait que certain sois aligné viens surement du fait qu’ils ont été « choisi ». Libé c’était posé beaucoup de question sur son existence dans la galaxie et sur l’existence de chaque être et de chaque chose. Le seul truc dont il était sûr, c’est qu’il n’était pas là par hasard et que sa venue était unique en son genre. Le créateur n’avait qu’un être comme Libé. Le fait d’être unique le rendait presque merveilleux, puissant mais aussi immortel et il comptait bien exploiter cela au maximum.. |
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Cdt. Libé.
Respect diplomatique : 35
26/07/1014 ETU 08:26
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Score : 5
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Cela faisait déjà quelques temps que les plans que Libé étant dans l’impasse. Coincé dans le corps de Ligua sur une terre ou la moindre avancé technologique était considéré comme de la sorcellerie, Libé ne voyait pas d’issus. Ce n’est que lors de la chasse traditionnelle, qui avait lieu au moins une fois par semaine, que la solution vint enfin. Libé était en tête de cortège, essayant de guetter la venue d’un animal sauvage, pour le pourfendre de son arc ou de sa lance, qu’un éclair dans le ciel lui fit lever la tête. Une gigantesque boule de feu fendait le ciel en deux, illuminant toute la vallée encore mal éclairée du matin. La boule géante alla s’écraser, non sans dégât, à plusieurs kilomètres de là. L’onde de choc fit tomber les chevaux, et leurs propriétaires, et sema un chao incommensurable dans cette petite vallée anciennement tranquille. Sonne, Libé se releva non sans peine. - Comment allez-vous seigneur Ligua ? dit un noble qui c’était révélé plus vite que lui. Libé, encore sonné, se gratta la tête. - Je vais bien, je vais bien. Rassemblez tout le monde, nous partons dans la direction du crash. - Mais seigneur c’est bien trop dangereux, nous ferions mieux de rentrer au château et de revenir avec une escorte. - Non partons, dit ’il d’un ton ferme et provocateur. La troupe partit au galop en direction de l’endroit du crash. L’endroit était quand même assez éloigné et ils mirent une bonne heure pour y arriver. L’endroit était chaotique, les arbres étaient à terre et le sol était jonché de débris de métal. Le crash avait eu lieu dans une immense vallée où la végétation était heureusement peu nombreuse. Au centre de la vallée c’était formée un gigantesque cratère laissant échappée une épaisse fumée noir. Libé fit un signe de tête au reste de la troupe pour qu’il ne le suive pas. Il se dirigea immédiatement vers le cratère. Il tenait absolument à voir le crash au cas où il pouvait exploiter tout cela à son avantage. Ce qu’il vue ne le déçu pas. Un vaisseau spatial était au centre du caractère. Grandement endommagé il était en flamme à certain endroit. Libé n’eut pas beaucoup à réfléchir. Il se devait absolument de sauver le vaisseau. Le sursaut technologique qu’il attendait temps était enfin arrivé et il se devait de saisir l’occasion. Libé s’éloigna au pas de course du lieu du crash pour retourner vers sa petite troupe. - Aller chercher de l’aide, et surtout de quoi éteindre l’incendie au plus vite. Mobiliser le plus de personne possible. Se retrouvant seul Libé retourna sur les lieux du crash. Le vaisseau qui s’était crashé ressemblait vraisemblablement à un vaisseau d’exploration comme il en avait souvent vu. Généralement deux à trois personnes pilotait l’appareil donc il allait trouver des corps. Surement des corps humains pensa libé. Le nouveau-né avait vu beaucoup de monde durant sa longue « vie » et en règle générale la créature rencontrée était humaine, à quelques exception près où il avait déjà vue notamment des poussin et des vaches ridicule géré, si on pouvait appeler cela ainsi, des civilisations. Cela l’aiderait bien si ce n’était pas humain. Il pourrait expliquer plus clairement et sans passer pour un illuminer la galaxie dans sa globalité, mais il ne saura que quand l’incendie sera éteins.. Espérons que les corps ne soient pas trop amochés… |
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Cdt. Libé.
Respect diplomatique : 35
29/07/1014 ETU 16:35
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Score : 4
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Une demi-heure plus tard, le petit cortège arriva enfin. La citerne avait été mobilisée et les « pompiers » en herbe étaient déjà en train d’éteindre l’incendie, tant bien que mal. Pour l’époque Libé avait été surpris par cette civilisation par bien des aspects. Autant la civilisation pouvait être primitive, notamment sur la technologie ou encore sur l’énergie ou sur le sociétal mais sur certain point il était très évolué. Ligua avait mise en place un système anti-incendie. Une énorme citerne avait été embarquée sur un chariot fabriqué pour l’occasion. Pouvait contenir une quantité d’eau impressionnante, la citerne était à même d’arrêter les petits et moyen incendie. Près de 5 ternes avait été fabriqué et une petite équipe de garde du château avait été formé au métier de « pompier ». Les gardes « pompiers » mirent plusieurs heures à éteindre l’incendie. Les tuyaux utilisés pour puiser l’eau de la citerne avait un débit assez faible et pour éteindre l’incendie qui était dans l’énorme cratère, les gardes avait dû descendre à l’intérieur.. Plusieurs c’était déjà blesser dont un mortellement.. Une fumée épaisse s’échappait maintenant du cratère. Les contours du vaisseau ce dessinait enfin et c’était exactement ce qu’il pensait : un vaisseau d’exploration. Il y avait déjà une petite foule, tassé aux abords du cratère, regardant le vaisseau comme s’il s’agissait de la main du diable, comme s’il n’existait pas vraiment, ne croyant pas ce que leurs petits œil pouvaient bien leur montrer… Libé fit mine de paraitre choquer, voir interloquer. Il ne voulait absolument pas que la moindre personne s’imagine qu’il n’était pas Ligua ou quoi que ce soit d’autre. Le seigneur passa quelques ordres et immédiatement les curieux étaient évacuer. Il ne restait plus que son homme de confiance : Alexantos. Chacun ordre passer palais passait par lui, c’était le deuxième homme fort du palais. Quand il n’était encore qu’esprit, il avait vu que certain homme pouvait avoir des prédominances cosmique. Il pouvait ainsi ressentir les énergies de façon à faire les bons choix au bon moment. Ceci ne marchait pas à chaque fois mais c’était un outil très pratique quand on savait le manipuler. Chaque planète était vivante et menait sa vie dans le plus grand secret, sans que la plupart des individus ne connaissent, ni même ne comprennent son existence. Ces planètes dégageaient une énergie que chaque être vivant recevait. Ceci était d’ailleurs inscrit dans l’ADN de chaque vie minéral, végétal et animal. Ce petit Génome qui faisait en sorte que l’énergie vital de la planète passe en toute chose pour que chacun agisse pour le bien commun. Malheureusement pour l’homme, ce génome présent dans l’ADN de chaque être humain était plus ou moins complet. L’évolution de cette race étant issu de croisement en laboratoire par des races plus évolué, le génome en question était donc « cassé ». Seuls quelques individus gardaient le génome intact et pouvait s’en servir.. C’était le cas d’Alexantos… Les deux hommes descendirent doucement à l’intérieur du cratère. Celui-ci faisait au moins un bon kilomètre de circonférence par dix bons mètres de profondeur. Ils arrivèrent sans trop de mal devant l’appareil. Alexantos ne paraissait pas plus surpris que cela, malgré tout le bouleversement que cela aurait dû lui causer. Libé n’en était pas mais il se demandait si celui-ci ne possédait pas une connaissance globale de la galaxie dans laquelle était la planète. Comme si le génome humain possédait tout de savoir de l’univers. Perdu dans ces pensées, Libé ne vit pas tout de suite son homme de confiance, forcé une grande trappe à l’arrière du vaisseau et entré à l’intérieur… |
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