Cdt. Mercenaire Wolf
Respect diplomatique : 231 ![]() 24/04/1015 ETU 17:19 |
Score : 0
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Station de largage Alpha: Shan: Kobaï! Hurla Shan en se fessant un arc demi-tour avec son épée laser tuant l'infecté qui avait mit le cœur du Wolf à vif, puis il fit son tour en assignant un coup de pied à l'autre qui alla s'empalait dans les griffe d'un des siens. Kobaï se transféra en arrière ligne et se releva non sans mal, il insulta les infectés et sortit une console de contrôle d'une des parois ou il était adossé et activa une défense qui rendit le haut et les côtés des parois contrôler par les infectés si chaud qu'il brûlèrent littéralement. Deux Wolfs arrivèrent d'un couloir secondaire l'un se mit en position de tir à genoux avec son fusil de précision et tira les infectés armé d'arme à feu tandis que l'autre sécurisa l'état de Kobaï. ???: Ça va? Demanda doucement la Louve qui venait de guérir Kobaï. Kobaï: Ça pourrait être pire. Rigolat-il. Au même moment une communication arriva signalent que les infectés avait prit plusieurs sas obligeant les Wolfs à se replié dans la zone de commande de la station. Nyark: Uniquement cinq sas de perdus tout les autres sont sécurisé les armes de la station ont détruit les derniers vaisseaux... Ont a battu notre record. Imposa Nyark sur la situation; une heure plus tard, sur ces mots Shan est son équipe qui avait finit de sécurisé le sas se redirigèrent en courant vers le centre de la station.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 22/05/1015 ETU 09:57 |
Score : 2
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De fortes secousses saisirent le Polyphème lorsque les grappins percutèrent la coque. « Abordage ! » Cria un soldat, l’alarme stridente spécifique fut donnée. « Que les hommes se tiennent prêts à… » Il ne put terminer car une communication externe s’imposa. « Un croiseur scorvien loyal ? Première fois que l’on en rencontre dans leur propre espace… bien, transmettez.... Ici le croiseur Impérial Andari "Polyphème", vaisseaux amiral du corps expéditionnaire Andari de soutien à Scorva. Nos unités sont au cœur du combat, impossible de se désengager et d’opérer un rassemblement sans s’exposer à de lourdes pertes. Nous continuerons à nous battre, votre aide est la bienvenue. » «Aidé par la victime quelle ironie» pensa-t-il. Il distribua quelques ordres tactiques aux escadres encore en ordre avant de se recentrer sur la communication. Une explosion se fit entendre et suite à cela un lieutenant ne put s’empêcher de remarquer sa position dangereusement proche. Une radio interne s’activa. « Général ! Les infectés ont débarqués, je répète, les infectés ont…shhht ». La communication fut brutalement coupée. Le sous-officier au poste de sécurité signala alors que plusieurs centres d’importance du vaisseau avaient été violemment attaqué. Plusieurs petits groupes lourdement armés faisant fi de tout danger fonçaient sur ces lieux. Les soldats de l’Astromarine étaient dépassés et seule l’intervention des Grenadiers put apporter un certain équilibre dans la balance. « Le lieutenant Basilius à envoyé toutes les réserves sécuriser le secteur des machines. Il signale que quatre groupes ennemis y sont présents. Un autre élément se tiens dans la coursive principale, occupant les postes de garde des niveaux supérieurs. » « Et qu’est-ce que c’était cette explosion à notre niveau ? Vous a-t-on signalé des intrus vers notre position ? » « Pardonnez-moi, les rapports arrivent de toute part, il semble que les intrus aient placé des mines et des explosifs dans divers recoin du vaisseau… attendez… confirmation ! Présence ennemie sur le pont seize ! » Le pont seize était juste en dessous de la passerelle, là se situaient les complexes médicaux du navire. « Evacuez le pont !» Voyant que la retraite du personnel médical était bloquée par l’autre groupe ayant prit position dans la coursive principale, il ajouta : « Donnez leur l’ordre de se retirer à notre niveau. Nous pour organiser des défenses en attendant les Grens ! » « Général l’opérateur au pont seize ne répond plus, j’entend des coup de feu, mais personne ne répond. » Isaur Pyrrhus réfléchit rapidement. Quelle honte pour un officier supérieur de sa trempe de s’être fait aborder ! « Bon on y va ! Combattants avec moi ! » Cria-t-il en dégainant son arme de poing, un Gladius Mk II, aux courbures chromées, une arme de bonne facture généralement réservée aux officiers Andari de haut rang. *** Ils avaient dû se frayer un passage parmi les cadavres en flammés. Apparemment l’ennemi utilisait des grenades à fragmentation ou incendiaires à tout va. Le groupe avait surgit au beau milieu d’un massacre. Les infectés tuant frénétiquement les membres du personnel médical. Ils avaient du batailler dur et vider de précieuses cellules d’énergie avec leurs armes afin de bloquer la progression ennemie. Alors que les survivants du pont seize évacuaient avec leurs nombreux blessés, l’ennemi observa que le nombre de tir de couverture baissait. Il décida donc de charger. Pyrrhus hésita avant de mettre sa dernière cellule d’énergie, avant de l’engager. Mais il rengaina cette arme et en dégaina une autre : son sabre de bataille, marque distinctive de tout officier de l’Armée Impériale. Il entreprit de mettre en branle ses talents d’épéiste. Un des infecté avais directement chargé en sa direction, tirant sans discontinuer d’une main et levant l’autre, armée de griffes. Pyrrhus et ses hommes étaient planqués derrière divers postes médicaux largement mis hors service par les échanges de tirs. Lorsqu’il jugea le mutant suffisamment proche, il se redressa l’épée au clerc, en criant sa charge : « Ad victoriam ! ». Et chargea. Le général porta son premier coup sur la main portant l’arme à feu, tranchant plusieurs doigts, et para de justesse une lourde attaque verticale. Comme le mutant décida de redresser son gantelet afin d’effectuer une frappe latérale, Pyrrhus se décala sur le côté tout en laissant le fil de sa lame mordre les chaires abdominale de son adversaire. Criant de rage, l’écume aux lèvres, le monstre le frappa d’un coup de pied qui le fit virevolter. Quelque chose de mou amorti sa chute. Se relevant avec vivacité il nota l’infirmière se relevant avec instabilité derrière lui et ses hommes aux prises avec deux autres mutants, de l’autre côté. Il ne put continuer son observation, l’ennemi avait effectué un immense bond afin de l’atteindre. Pyrrhus n’hésita pas une seconde, il roula en avant afin de se dégager de la zone atteignable par les griffes et entama au passage la jambe du scorvien. Celui-ci cria en projetant toute l’écume qui dégoulinait de la gueule en se retournant, la griffe en avant. Ce fut alors la chance de Pyrrhus, il espéra un instant que son adversaire ne connaissait pas l’antique botte secrète du duc de Nevers, connue de tout escrimeur qui se respecte. Il saisit le poignet et par une rotation sur lui-même, l’entraina avec lui ainsi que le corps du scorvien. Lorsqu’il se rétablit devant, sa lame avait pénétré dans le crâne, sa main tenant toujours le poignet adverse. Le mutant, cerveau percé, s’affaissa. Une silhouette plus grosse que les autres se rapprochait de l’entrée. Voyant les soldats déjà en difficulté avec deux mutants et quelque araignées mécaniques, Isaur décida que la passerelle donnerait un avantage certain ; les militaires encore présents avaient encore toutes leurs munitions. Il saisit l’infirmière qui se tenait la tête, les mains en sang et l’entraina avec lui. « À la passerelle ! Vimaire ! Votre dernière grenade, maintenant ! *** Ils avaient pu cacher l’essentiel du personnel dans centre COP (Commandement des Opération Planétaires), normalement inutilisé. Le reste était amassé dans la passerelle. Les sas blindés rougissant commençaient sérieusement à montrer des signes de faiblesse. Isaur Pyrrhus distribuait les derniers ordres à la flotte tandis que le sergent Vimaire haranguait les derniers soldats encore en vie sur ce pont. Soudain, les sas déjà ramollis par ce qui semble être une sorte de fuseur, furent percés par de minces mandibules de métal. Un flux de petit droïdes araignées s’infiltra alors dans la chambre. Tous les militaires commencèrent à tirer leurs dernières munitions afin d’en détruire le plus possible. *** Lorsque Pyrrhus se retourna il observa tout autour de lui : Les soldats étaient aux prises avec ces monstres mécaniques, les derniers membres du personnel étaient tapis derrières des abris de fortune, certains préparant des outils médicaux dans l’intention de s’en servir comme arme, l’infirmière qu’il avait ramenée, était parmi eux. Puis son regard se dirigea sur le sas, une silhouette plus grosse que les autres le traversaient. Une fois dans la pièce, le scorvien en armure fit quelque pas lourds avant de s’arrêter et de rendre le regard à Isaur. Le général le reconnu : l’officier scorvien ! Mais il n’avait plus rien d’un officier, la figure’exprimait plus qu’une colère digne des plus sombres démons. Poussant un terrible cri de rage, il se rua soudainement vers ce qui semblait sa seule cible : Isaur Pyrrhus. Les deux humanoïdes commencèrent un combat acharné, assurément en défaveur pour le général. Il compensait sa faible force et sa piètre robustesse par une extrême mobilité, ne donnant pas plus d’un coup ou parade au même endroit. Tournoyant autour du leader infecté faisant de ce fait grandir la rage de celui-ci. Le combat continuait ainsi parmi d’autres combats rapprochés. Les soldats avaient fort à faire avec ces bestioles mécaniques. Mais Isaur bien qu’excellent escrimeur ne pu éviter un franc coup d’épaule le projetant contre une cloison. Reprenant ses esprits l’andari évita de justesse les griffes de son adversaire. Il profita pour ramasser son arme de poing, entre temps tombée à terre. Sachant la cellule d’énergie proche de la fin, il entreprit afin de viser soigneusement la tête mais la vitesse du mutant était telle qu’il dû faire feu à bout portant sans viser. Le tir atteignit le torse du monstre ; celui-ci parut incommodé durant un court instant avant de se redresser et de continuer sa route. Pendant ce temps un groupe de médic s’était rapproché, et un des leurs planta sa scie chirurgicale dans le dos du mutant. Un terrible cri résonna jusque dans le couloir, et le mutant se retourna violemment ; saisit le médecin par le cou, le rapprocha de son visage, et mordit la moitié du sien. Pendant ce temps là un soldat et des médic tentaient de planter baïonnettes et scalpels dans le scorviens, peine perdue. Il les tua d’un simple revers de sa main gantée. Pyrrhus s’était entre-temps ressaisit et s’élança sur son adversaire, attaquant, feintant, esquivant le plus souvent et jouant avec la rage de son ennemi, sans voir aucun de ses coups l’handicaper d’aucune manière. Plusieurs hématomes, entailles et brûlure plus tard, Pyrrhus fut fatalement coincé contre la console de tir. Alors que l’ancien officier scorvien approchait avec délectation afin de plonger ses lames dans l’humain, il dût faire volte-face : un Grenadier en Exo-armure passa par ce qui restait de l’encadrement de la porte, puis un deuxième... L’ancien scorvien hurla alors sa rage, un reste de son esprit logique lui soufflait que le détestable humain allait lui échapper… C’est alors qu’il dégoupilla une grenade et la laissa choir par terre… Pyrrhus ne pouvait bouger sans risquer de se faire découper ; l’on pouvait alors dire « Échec au roi… » *** Tandis que la scène se déroulait au ralenti dans son esprit, le Général fut surprit de voir l’infirmière se trouver à ses côtés. Que faisait-elle là ? Il n’en savait rien, et ne l’avait pas remarquée. C’est alors qu’elle le regarda droit dans les yeux et articula des mots, « Ad Victoriam » sembla-t-il, avant de se jeter à terre, sur la grenade. L’explosif remplit son office alors que les deux Exo-armures se jetèrent sur le mutant… *** Pyrrhus se réveilla avec difficulté. Il avait l’esprit las et des douleurs sur l’ensemble du corps. Il ne se souvenait pas immédiatement des derniers évènements, quelques images, un choc, une douleur atroce qui disparut aussi vite qu’elle était venue, un bain de sang, puis plus rien. Ah si une civière, et le sentiment que quelqu’un lui appliquait quelque chose sur la moitié du visage. Lorsqu’il fut plus réveillé, un médic vint et lui fit un résumé de la situation. Cela faisait plusieurs jours qu’il était inconscient, et les médecins avaient réalisés des miracles sur lui. Un éclat de la grenade traversant le corps de l’infirmière s’était fiché dans le crâne du Général, crevant au passage son œil gauche et laissant une cicatrice de plusieurs pouces au travers du visage. Une chance inouï fit que l’éclat évita la masse cérébrale. Le Colonel Eol Valascaris avait prit la relève et ils étaient arrivés depuis quelques heures, en orbite autour d’une planète scorvienne. Une ordonnance arriva afin de transmettre divers rapports à Pyrrhus, ignorant les protestations des médecins. Isaur les prit et y lut rapidement plusieurs éléments: … lourdes pertes de notre côté… navire amiral abordé mais a su repousser l’ennemi…. Spécimen capturé vivant… Général Pyrrhus gravement blessé... Colonel Eol Valascaris maintenant Commandant de Corps par intérim… Empereur Silius Mengsk… situation changée…déploiement planétaire et sécurisation puis arrêt des poursuites… Général Pyrrhus rappelé sur Andara dès que possible… Et ainsi de suite... Valascaris avait déployé les troupes transportées et appuyait des survivants scorviens avec les divisions blindées. Parfait pensa-t-il, il fera un bon général. Isaur Pyrrhus posa le rapport et poussa un grand soupir. Au moins ils avaient réussi la moitié de la mission initiale : un spécimen vivant, il leur manquait juste un dernier élément… *** Le lieutenant Lucius avait déployé ses hommes à travers tout le contre médical ; ils cherchaient des registres génétiques de la population scorvienne. « Vous autres, trouvez-moi ces registres ! » Beugla-t-il. « Et vous professeur Morituri préparez-vous à les analyser au plus vite avant l’arrivée des reste des forces scorviennes. Vous devez me trouver ces individus exceptionnels ! » *** Vahorsa était fatigué, il avait vu toute sa famille mourir, massacrée par les infectés ou par les loyalistes, il n’avait plus goût à la vie. Alors lorsque des soldats de cet étrange empire humain le forcèrent à venir avec eux il ne protesta pas ; de toute façon il attendait une fin qui ne viendrait pas… **** **** **** ****
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Cdt. Mercenaire Wolf
Respect diplomatique : 231 ![]() 30/05/1015 ETU 17:50 |
Score : 0
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Une jeune WerWolf Alpha entra dans la salle, dans son armure en vif-argent, ont pouvait voire que son armure moulante lui fessait des forme pour lesquelles même Gabryelle serait jalouse, mais quelque chose choquer sa lame en métal organique rouge corail de la planète Warrior (G4), était sortie de son fourreau et elles étaient elle et sa lame recouverte de sang et de morceau de chair... Si vous aviez tendus l'oreille avant vous auriez pus savoir qu'elle avait négocier à sa façon, pour entré dans l'assemblée et si déplacer. -Commandant, commandante... je me présente Louvegrise, Alpha des fils d'Ylia avec Enfier, le mâle dominant de la meute de commandement. Si j'ai prix tant de mal pour venir ici, seul... oui le groupe diplomatique est bien sûr partit pour le front contre l’infestation. Bon je parle trop alors je viens livrer le message qu'Enfier m'a confié, Yui. -Ouverture de la sauvegarde auditive: L'infection ne peut plus être stopper malgré les effort de nos troupe, elle se propage comme une trainer de poudre grâce à une mussitation de Stade 6 les corps mort se transforme en spore et se propage de planète en planète nous ne pouvons rien faire, je sais que vous trouverez une solution pour évacuer avant qu'elle égratigne vos monde. Je retire mais troupe du combat, selon Nitro, le derniers secteur qui sera toucher sera le cinq, je vous conseil d'évacuer le plus vite possible... Je suis désoler Korda cette phase est apparut peut après le début de vos évacuation et je pense qu'elle à muter pour survivre. Fin de sauvegarda. Louvegrise: Enfaite les troupes retiré du champ de bataille seront mobilisé pour faire gagner du temps, utiliser le de la manière que vous trouvez la plus juste... Elle ne put avoir le temps de finirent sa phrase que la brigade d'intervention arriver et à ce moment là elle disparue dans une gerbe de flamme spectrale.
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