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> Loi sur l'ouverture sectorielle
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Cdt. Yowan Acktt
Respect diplomatique : 178 
03/04/1015 ETU 00:45 |
Score : 5
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I had a dream ... c'était beau, une vaste prairie inondée d'un chaud soleil. La soeur cabriolant sur son fauteuil roulant, un sourire radieux perçant ses rides pyrénéennes, et Olhorin s'adonnant à des pas de danses aériens dignes d'une jeune chèvre. Au loin les kangourous sautaient sur des rythmes kenyans et partout, je dis bien partout, les habitants de la galaxie s'abandonnant consciencieusement à une org... Puis là, je me suis réveillé. Et quel réveil ! Quelle triste ironie ... des commandants respectables et intelligents, du moins capables de se faire tourner les neurones pour les trucs simples du quotidien, genre faire une grille de la galactique des jeux, qui se retrouvent crispés et grimaçants comme des guenons parce que pour établir leur autorité politique sur quelques centimètres d'épaisseur à la surface de planètes cultivables, ils estiment qu'ils doivent condamner des années-lumières-cube d'espace. Alors qu'Utopie, c'est chaque petit centimètre cube de ce qui nous entoure, de l'air qu'on respire, du vide entre planètes et dans nos têtes. Et là, t'entends : "Notre liberté, c'est d'enfermer nos possessions dans une bulle" Mais c'est, c'est ... c'est faux, man ... Ta liberté commence où commence celle des autres. Alors autant libérer ce que t'appelle "ton" espace, parce que non, quoique tu penses, ta liberté, c'est les autres, c'est pas ces surfaces planétaires sur lesquelles veillent tes bunkers, ça ce sont tes propriétés, tes moyens de subsistance, si tu veux, mais c'est pas toi, man ! T'en as besoin, OK, mais si tu t'identifies à elle, t'iras pas plus loin que le kangoo qui se retourne pour voir sa queue. Pour aider Utopie à se réaliser, je propose un gigantesque meeting dans les secteurs 12 et 16. Venez nombreux avec tous les vaisseaux qui vous encombrent et que vous n'arrivez pas à refourguer à la contrebande pour faire sonner vos klaxons dans le vide et faire griller vos merguez sur les planétoïdes ! Esprits prisonniers de vos secteurs natifs, on vous aime et vous faites partie de nous ! On ne vous laissera pas sombrer dans votre déprime. J'apporte des brochettes de kangoo, et vous ? |
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 
03/04/1015 ETU 01:45 |
Message édité -
Score : 4
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Un droïde placarda une affiche à l'entrée de la salle. Il comportait ce message: "Bonsoir à toutes et à tous, Le service diplomatique Andari rappelle que les substances psychoactives sont prohibées dans l'espace dédié aux affaires politiques. De plus, il invite également les représentants accompagnant le Commandant Acktt de bien vouloir céder leurs plantes d'herbe-à-kangoo, détenues plus ou moins secrètement dans leurs quartiers, aux autorités civiles compétentes de la métropole. Le sort de millions de vies sont en jeu et cela ne fait pas bon ménage avec les pratiques hippies, certes joyeuse et décontractées, mais entrainant très souvent des actes irresponsable. Bonne soirée, L'équipe diplomatique Andari."
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 
03/04/1015 ETU 03:23 |
Score : 4
Détails
La rouquine dut se retenir de rire à la déclaration de Yowan. Cela lui faisait du bien. Les précédentes intervention avaient assombri son teint, ses yeux s'étaient ternis et avaient perdu ce petit éclat pétillant. Un tic nerveux avait même fait une brève apparition : une contraction incontrôlée des mâchoires tandis qu'elle serrait les dents. Pour la première fois depuis son apparition dans cette Assemblée, elle ne paraissait plus aussi jeune. Mais les paroles du jeune homme ramenèrent une esquisse de sourire sur ses traits. "C'est pour cela que je vous aime Yowan. Je ne sais si vous êtes sincère ou si c'est une manière de moquer ma candeur, mais vous m'avez calmée. Détendue. Merci pour cela." Puis le regard émeraude se tourna vers ses autres interlocuteurs. Un par un, elle les regarda. Puis, pesant ses mots, elle finit par exprimer sa pensée. Ses premiers mots furent pour Jorbu Jorbu et son regard était dur et sans émotion. "Votre position ne m'importe que peu, Jorbu. Vous êtes minable en diplomatie et votre gestion du conflit lors du legs de Diospher fut des plus déplorables. Vous êtes un être buté et belliqueux. Enfermez-vous chez vous si cela vous est préférable. Peu me chaut. "Boko... Comment vous dire ? J'ai envie de répondre à votre question de la manière la plus simple qui soit. Pourquoi vouloir à tout prix faire passer cette loi ? Parce que. Point. Il me semble avoir déjà répondu dans d'autres salles. Mais il semble que le message ait du mal passer. Alors écoutez-moi jusqu'au bout et vous aurez la réponse attendue. "Mon Pourprinet, je n'ai strictement rien à faire de l'image que je dégage. Je fais ce que j'estime devoir être fait. Et si mon prestige doit en souffrir, qu'il en soit ainsi. Je n'ai pas accepté ces responsabilités pour être aimée et choyée. Sinon, j'aurai fait marchande de fleurs... "Quant à la Soeur... Donc, si j'ai bien suivi votre raisonnement, c'est celui qui tape le plus fort qui a raison. Il faudrait donc que j'élimine un commandant de cette galaxie pour avoir votre attention ? Vous pensez donc que mon joli minois ne me permet pas de mordre ? Vous ne me pensez pas armée et dangereuse ? Méfiez-vous quand même de ne pas commettre l'erreur de me sous-estimer... Ce n'est pas parce que je privilégie la diplomatie à outrance que je ne sais pas piloter une corvette." Elle se tourna enfin vers Silius Mengsk. "J'aime discuter avec vous. Vous êtes un des rares à avoir un discours cohérent dans cette affaire. Je ne partage absolument pas votre point de vue, vous le savez, mais j'apprécie nos échanges. "Faites sécession, que voulez-vous que je vous dise ? Vous n'avez jamais été un de mes partisans et ne le deviendrez jamais. Que croyez-vous donc que cela change pour moi ? "Je vous remercie de m'avoir éclairé sur votre silence lors du discours de la Sœur. Je le comprends mieux à présent. Et j'apprécie aussi la confiance que vous avez placé en moi dans la reprise de la Capitale. "J'aimerais que vous m'expliquiez une chose, cependant. Si le nombre de planètes n'a jamais été en cause, si le fait de voir s'installer un indésirable à côté de vous ne vous a jamais effleuré ou inquiété, quelle est la cause de votre réticence ? Voir ces mêmes indésirables passer dans la rue devant chez vous ? Mais le ciel ne vous appartient pas, mon cher. "Et, voyez-vous, tout le problème est là. "Vous n'avez pas trouvé dans la partie adverse (c'est à dire moi, en quelque sorte) d'arguments réellement convainquant, et je n'ai pas trouvé dans vos assertions de quoi me dire que je me trompais. Nous sommes donc condamnés à camper sur nos positions. "Vous voulez fermer vos secteurs, soit. Mais ne vous étonnez pas alors que d'autres civilisations ne souhaitent pas votre présence au-dessus de leurs planètes. Ils vous chasseront alors. Et vous l'accepterez, parce que vous comprendrez leur position. Et en retour, vous les chasserez des orbites de vos planètes. Principe de réciprocité. Et puis, ils décideront de chasser vos alliés également. Alors, ils feront de même... Etc. En général, c'est comme cela que commencent les guerres. Bel esprit d'ouverture en vérité. Ce que vous protégez n'est pas votre liberté mais votre égoïsme. Quelle que soit votre motivation. "Alors, rassurez-vous, Silius, Jorbu, Boko et tous les muets qui pensez pareils. Je n'ai pas l'intention d'imposer ce projet. Je n'ai jamais imposé quoi que ce soit, je ne vais pas commencer aujourd'hui. Vous m'avez pris pour qui ? Surtout sur un tel sujet. La liberté ne s'impose pas. C'est à celui à qui on la propose de savoir la cueillir. "J'ai joué un coup de poker, j'ai bluffé... Et j'ai perdu. A ma grande déception. Non, d'avoir perdu. Je sais accepter mes défaites lorsque celles-ci me semblent légitimes. Mais parce que je ne pensais pas voir les commandants se refermer comme des huîtres. Et cela me peine. "J'ai tenté la négociation, j'ai tenté la discussion, le projet de vote, et pour finir, en dernier recours, j'ai professé l'inéluctable. Rien n'est passé, je jette l'éponge. Que rien ne bouge donc à ce niveau. Je vous laisse cette manche. J'ai d'autres projets sur le feu. "Laissez-moi quand même vous donner la raison pour laquelle ce projet était important à mes yeux. Et c'est ceci qui pourrait vous intéresser, Boko. "Dans les faits, cela n'aurait rien changé. Boko, regardez donc le secteur 3. Il s'agit déjà d'un secteur ouvert. Des civilisations des quatre coins de la galaxie. Des propriétaires et des flottes extra-sectoriels à foison. Que croyez-vous ? Que parce que l'ouverture sectorielle est prononcée, vous alliez voir débarquer des ennemis par milliers, le couteau entre les dents, venir vous menacer dans vos lits ? "Votre peur est irrationnelle. Vous n'auriez pas été alors plus en danger que maintenant. "Même chose pour les secteurs 12 et 16. Franchement, qu'aurait changé une telle loi ? Vous auriez vu débarquer des extra-sectoriel... La belle affaire. En seriez-vous morts pour autant ? D'autant plus que vous enfermer dans un secteur ne vous protège pas pour autant. Il a suffit de seulement deux commandants et d'un peu de persévérance pour passer votre défense atomique. Il ne s'agissait que d'une frappe chirurgicale sur un commandant en particulier, mais si le but avait été de réduire vos civilisations en poussière, vous ne les auriez pas plus arrêtés. Conclusion : votre défense est faillible et inutile. "Moi, ce que je vois, c'est que cette attitude d'enfermement ne peut amener que des situations de conflits. Des histoires de protections territoriales parfaitement ridicules. "Ce projet de loi n'était pas destiné à faire changer les faits. J'aurais aimé qu'il soit accepté pour faire bouger les mentalités. Vous faire vous ouvrir aux autres. Que vous arrêtiez d'avoir peur de l'autre. On ne peut constamment recevoir sans jamais donner. En quelque sorte, je voulais abolir les frontières que votre esprit vous impose. Vous faire comprendre que nous arpentons tous la même galaxie, le même univers. "Mais je ne vous convaincrais pas. "J'abandonne ce projet. A mon grand regret. Puissiez-vous ne pas le regretter. Ce ne sont pas des menaces : juste un souhait. Et ce seront mes derniers mots sur le sujet."
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Cdt. T.W.
Respect diplomatique : 667 
03/04/1015 ETU 10:26 
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Score : 2
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On est d'accord sur un point : le secteur III est actuellement ouvert. Tout le monde s'y promène, et je m'en fiche. Là où vous vouliez ouvrir les esprits, changer les mentalités, moi je ne vois qu'une méthode brutale qui voulaient nous brider. Brider notre liberté. Peur? Je n'ai jamais dit que j'avais peur parce que ce n'est pas le cas. Si depuis le début je suis contre ce projet, c'est parce qu'el touchait à ma liberté. A la liberté de chacun de choisir qui peut entrer dans une zone d'attaque ou non. Dans les faits, que je mette une interdiction ou non, ça ne changera pas grand chose. Cel qui veut venir au-dessus de mes terres le fera. De la même façon instaurer cet loi n'aurait rien changé dans les faits. Haussement d'épaule Mais nous ne sommes tout simplement pas d'accord sur l'effet psychologique de cet loi. Vous y voyez une ouverture d'esprit, j'y vois une limitation de notre liberté individuelle. Enfin, bien content que tout cela soit fini. Je ne pense pas être le seul. Utopie
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488
03/04/1015 ETU 12:11 |
Message édité -
Score : 2
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Silius écouta attentivement, une légère expression de surprise pouvait se lire sur son visage. Après avoir donné quelques instructions au diplomate qui prenait des notes à ses côtés, il se concentra de nouveau sur le sujet de la salle. Après un premier silence, il se leva et parla. Non Commandant Boko je vous rassure, vous n'êtes pas le seul. Je vous présente mes axcuses à tous, ce que je vais dire sera long à écouter. Silius se tourna alors vers Olhorìn. Ainsi il s’agissait à nouveau d’une feinte ? Soit, c’est assez habile en fait, prenez garde tout de même à ce que cela ne devienne pas une habitude… Je vous remercie, en tout cas pour votre reconnaissance de mes arguments. Les échanges, pour peu qu’ils soient bien réalisés, sont toujours un minimum fructueux ; le plaisir est partagé. À présent, par rapport à ce que vous m’annoncez, non je n’espère rien de votre part à propos de ma déclaration. Je me dégage officiellement afin de marquer ma non participation à tout projet de cet acabit. Ainsi je n’aurais plus à discourir à ce propos. Quand à la sœur, oui j’estimais certain qu’un commandant seul, ne tiendrait pas une éternité sur la capitale… À présent parlons de vos interrogations. "J'aimerais que vous m'expliquiez une chose, cependant. Si le nombre de planètes n'a jamais été en cause, si le fait de voir s'installer un indésirable à côté de vous ne vous a jamais effleuré ou inquiété, quelle est la cause de votre réticence ? Voir ces mêmes indésirables passer dans la rue devant chez vous ? Mais le ciel ne vous appartient pas, mon cher. " Et ainsi de suite… En premier lieu, je me suis peut-être mal exprimé dernièrement, et vous m’en voyez désolé, ce peut être dû à la fatigue… En réalité je souhaitais dire que seules mes possessions en secteurs XVI se voient attribuée une interdiction, avec bombardement à l’appui. Le fait de voir un indésirable s’installer dans ce secteur est bien un problème pour moi, mais uniquement là. En dehors de ce lieu important pour moi, chacun peut bien se placer au dessus de chacune de mes planètes dans le reste de la galaxie, si je ne reçois pas de rapports, c’est sans importance. Ensuite, d’après vous je vais me faire attaquer partout ailleurs que dans le XVI eme… Sachez, et je vous mets au défit de me prouver le contraire, que j’ai toujours respecté les règles sectorielles de chacun. Demandant immanquablement la permission de placer des forces de défenses faces aux brigands, le Commandant Teteuche pourra en témoigner. Si d’aventure celui-ci souhaite me reprendre l’ambassade qu’il m’a octroyée, je m’y plierais car c’est lui le chef. De plus, je me suis même plié, sans faire de protestations quand votre amie illuminée aux mèches blondes à envahi les mondes que je possédais dans le secteur qu’elle s’était octroyée, le vingt et quelque chose, je ne me souviens plus. Certes je n’ai pas l’ombre d’une chance face à elle, mais j’aurais pu porter plainte. Je ne vois donc pas la justification possible de me punir parce que je refuse de changer mes règles. Les secteurs natif sont une chose, les secteurs neutres en sont une autre, et comme je l’ai dit précédemment : peu importe qui navigue autour de mes planète Outre-XVI, donc une agression en terrain neutre ne sera pas sans conséquences. Bien, continuons, à plusieurs moments diverses annonces parlent de peur, d’aveuglement et d’irrationalité dans votre discours, laissez-moi vous expliquer votre égarement. Vous me questionnez sur les raison de ma réticence, alors que mes précédentes interventions étaient bien marquées par cette volonté d’explication. Soit, les discours étaient peut être trop longs pour y voir clair. Je vais donc résumer le tout. Pourquoi Silius Mengsk d’Andara Prime est réticent à une loi obligeant chacun à ouvrir ses frontière ? Alors que « Dans les faits, cela n'aurait rien changé » pour le reste de la galaxie. Eh bien… par Principe… Par principe je ne peux accepter que l’on m’enlève le droit de disposer des mes possessions comme il m’en prend l’envie. Voilà, ceux qui ne souhaitaient juste savoir ma motivation principale peuvent s’arrêter là… *** Pour ceux qui veulent voir le fond de ma pensée, et me voir répondre une dernière foi sur ce sujet à la Commandante Olhorìn, je vous invite à poursuivre. Par principe donc…ridicule ? Non … Non car comme vous dites le secteur III est un exemple selon vous d’ouverture. Certes, mais cela montre surtout que chaque commandant ne nécessite aucunement une loi pour se créer un lien social. Ce secteur s’est ouvert sans votre aide législative. Mais vous, Olhorìn m’annoncez à présent que changer les faits n’étaient pas votre intention primordiale. Soit, donc encore une subtilité de votre discours originel en quelque sorte … L’éternel problème des idéalistes de votre trempe est votre aveuglement face à la réalité. Tel que la vie et la mort qui sont éternelles, s’il n’y a pas d’enfer, il n’y a pas de paradis. Plus aucune colère, personne ne se réconcilie… Vouloir le bonheur universel conduit immanquablement à la déception, quelque soit votre honnêteté et votre cœur dans la tâche que vous vous attribuez. Mon attitude est génératrice de conflit dites-vous, ce peut être vrais, mais ceci ne saurait être porté uniquement par ma faute. S’il y a friction, c’est qu’il y a plusieurs intervenants, donc la faute est donc partagée. Et qu’est-ce qu’une faute sinon un échec ? Afin de ne plus échouer, tout homme intelligent se doit de tirer les leçons du passé. Si comme vous dites votre système de pensée empêche toute friction, qu’est-ce qui nous fera progresser ? Qu’est-ce qui empêchera un dirigeant capable d’échouer à respecter les lois d’un secteur, d’échouer à son tour dans la pleine compréhension du bien que vous leur souhaitez ? C’est ainsi que votre rêve est voué à l’échec car toute communauté fait preuve de friction à un moment ou à un autre si la sagesse la plus pure n’est pas l’apanage de chacun. Ce qui est illusoire d’expecter… Ainsi, si telle était vraiment l’extrême volonté de votre part, sans aucun autre objectif bluffologique caché, vos intentions, certes louables, n’en étaient pas moins vouées à l’échec… Aussi j’espère pour vous que vos autres projets « sur le feu » sont d’un registre différent. Pour ceux qui, par miracle, ont survécut jusqu’à la fin de mon discours, je vous remercie de votre attention. Silius se rassit, et la gorge sèche, il commanda une pinte de cidre de pommoire, une variété de fruit assez rare.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203
03/04/1015 ETU 14:30 |
Score : 0
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"Il me semble que le coup du bluff, c'est la première fois que je l'utilise... Il faut savoir se diversifier, n'est-ce pas ?" La rouquine rassembla ses documents, s'approcha de Silius et lui glissa à l'oreille : "Désolée... J'ai pas pu m'en empêcher finalement !" Et sur un dernier clin d'oeil, elle sortit, ses talons résonnant encore longtemps dans le couloir.
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Cdt. Yowan Acktt
Respect diplomatique : 178
05/04/1015 ETU 23:22 |
Score : 1
Détails
Les Caravanes de l'Amour et de la Fraternité arrivent dans 1h45 en secteur 12 et 16. J'espère qu'elles seront accueillies avec chaleur humaine et sens de l'hospitalité.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488
06/04/1015 ETU 11:32 |
Score : 0
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Il est de coutume, de par chez nous, de pointer le feu d'artifice directement sur les visiteurs. J'espère que la caravane fera preuve de respect envers les traditions...
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