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Pages : 1
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Cdt. Kutusov
Respect diplomatique : 121 
01/09/1015 ETU 11:56 |
Message édité -
Score : 4
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Il avait fallu du temps pour organiser cette entrevue au sommet ... Les diplomates du Buveur de thé avaient été pénible au possible et on avait été à deux doigts de leur envoyer les Cosaques de la Garde dans la gueule à plus d'une reprise. Ils avaient fait chier sur tout, tout le temps. Même la couleur des tissus avaient été analysés par les scribouillards d'en face pendant deux cycles ! La Petite Eau les faisait tousser et il avait fallu trouver autre chose pour fêter la signature de la Naissance du plus beau des accords. Du coup, on a pris un petit vin de chez nous puisque ces couillons ne distillaient que des boissons pour gonzesse. Comme les cérémonies de l'accord se finissaient par une biture monstre, il fallait se murger et vite ! Le Buveur de thé avait imposé la présence des trucs couineux, comment disaient-ils ? Ah oui ! Des cornemuses ! Un truc inventé par le Diable certainement pour corrompre l'âme des guerriers ... Et les mecs qui en jouaient portaient des jupes ... Beurk ! Mais ces couillons étaient riches ... Très riches ... Très très très riches. Leur chef était laid. Très laid ! Même pas gros, pas un poil de graisse. Les espions disaient même qu'il ne baisait que sa femme ! Du coup, on avait rangé les escort-girls. Ils savaient même pas s'amuser ... Mais ces couillons sont riches, très riches. Très très très riches ... "Maréchal ! Ils arrivent ! Le radar les a accrochés ! On tire ?" "Laisse-moi réfléchir, Ivanovich !!!!" Un vrai paysan cet officier ... Il est moins laid que le Buveur de thé mais lui aussi il est laid. Il est encore plus laid que moi ! Moi aussi je suis laid. Et gros. Un vrai fils de la Mère Patrie ! Et j'en avais fait des fils pour la Mère Patrie à force de culbuter les paysannes de l'Empire ! "Je rigolais, Maréchal !" "Pas moi. Envoie quand même le programme d'approche pour leurs vaisseaux. C'est qu'ils sont riches ces cons ! Faut pas l'oublier !" Mais ils sont laids, très laids ... Mais riches, très riches. Très très très laids et très très très riches.
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Cdt. Wellesley
Respect diplomatique : 15 
01/09/1015 ETU 17:30 |
Score : 4
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William peaufinait les derniers préparatifs pour l'entrevue entre le Maréchal et le Duc. "Le thé est préparé. Les cornemuses sont armées. Les jupes sont repassées ..." Le Duc fit alors son entrée dans la salle d'apparat, sa main droite sur le pommeau du sabre qu'il portait à la ceinture, ainsi qu'une tasse de thé dans la main gauche. Il sirotait son thé avec manière et élégance, c'est à dire en relevant son petit doigt. Il ne concevait pas, de par son éducation, le moindre geste décadent. Raison pour laquelle il redoutait son entrevue avec le Maréchal. On lui dit que ces gens là étaient rustres et primitifs, en plus d'être surtout portés sur l'alcool et les filles faciles plutôt que sur l'étiquette. "Duc ! Duc ! Nous sommes prêts à accueillir nos hôtes comme vous le souhaitiez." "Merci, mon brave William ! Que ferais-je sans vous ? A propos, avez-vous étudié le langage de nos invités ? Je crains, hélas, de ne comprendre l'intégralité des débats si ceux-ci parlent de la même manière qu'ils vivent. J'aurai besoin de vous comme interprète pour que nos deux peuples travaillent main dans la main. Je compte sur vous William". "Ne vous en faites pas cher Duc, nous serons à même de communiquer sans problème. J'ai côtoyé pas mal de ces gens dans des lieux malfamés - Dieu, pardonnez mes péchés ! - et je peux vous affirmer que leur langage, qu'ils soient avinés ou non, n'a plus de secret pour moi. Mais cher Duc, permettez moi une question." "Je vous permets mon brave." "Pourquoi vouloir s'allier avec des gens si différents de nous ?" "Nous ne sommes hélas William pas assez nombreux et pas assez forts à l'heure actuelle pour satisfaire à nos dessins. En revanche nous sommes riches, très riches et nous pouvons trouver ceux qui feront la besogne sans que nous ayons à nous salir les mains et sans que nous subissions de pertes parmi nos beaux soldats. Ces gens là le feront d'autant plus volontiers que nous les paierons grassement." "Vous êtes en train de dire cher Duc que ..." "Oui, William, oui ! Ils sont sots, ils sont très sots !" Une alarme retentie alors alertant immédiatement l'équipage. Le radar venait de succomber ! Un officier scrupuleux identifia le problème sur sa console "Défaut olfactif". William vint aux nouvelles et ne put que constater les dégâts. Très rapidement il comprit ce que voulait dire ce message et alla prévenir le Duc. "By Jove, que se passe t-il William ?" "Le radar vint de planter en raison d'un problème olfactif cher Duc. Ils arrivent !" "Qu'entendez-vous par là William ?" "Ils sentent, Duc. Ils sentent"
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Cdt. Kutusov
Respect diplomatique : 121
01/09/1015 ETU 18:08 |
Score : 4
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Le moteur avait des ratés ! C'était pourtant pas le moment alors que les pisse-froid étaient arrivés dans l'horizon du radar de bord du croiseur Borodino. La dernière bataille avait laissé des traces sur la carlingue et tous les trous n'avaient pas été bouchés. Serrant les derniers rapports des attaques contre ... Mince ! On avait trucidé quoi la nuit dernière ? Des mecs qui hurlaient "pas nous ! pas nous!" mais le nom de leur stupide civilisation échappait au Maréchal ! En tout cas, tout avait été réglé en quelques minutes et les buveurs de thé étaient contents de ce qui avait été fait. "La passerelle est prête pour s'arrimer ?" "Oui, on a même posé quelques traces de gras pour pas qu'ils se croient trop bien reçus !" "C'est bien Ivanovich ! Tu connais les arcanes de la Diplomatie maintenant." "Ah ?" "Bon, maintenant on se gratte les fesses une dernière fois et on essaie de faire bonne impression : les gros fainéants d'en face croiront même qu'on les aime !" On a une musique à leur faire écouter Maréchal ? "Oui on a trouvé un hymne de chez eux : https://www.youtube.com/watch?v=S1O0m9UXAwk ! Ils vont apprécier le geste !" "Vous êtes trop fort, Maréchal !" "Je sais Ivanovich, je sais ..." "C'est pour ça que vous êtes Maréchal ?" "Non" "Ah. Leur vaisseau est plus petit que notre soleil mais il est plus propre que nos habits." "Vous avez appris leur langue ?" "Pire, Maréchal ! J'ai vécu parmi eux !" "Voilà pourquoi vous avez l'air stupide ?" "Oui" "Mais ils sont riches, très riches, très très très riches !"
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Cdt. Wellesley
Respect diplomatique : 15
08/09/1015 ETU 22:48 |
Score : 4
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Un hymne retentit dans les hauts-parleurs du vaisseaux amiral Nelson. Le Duc tend l'oreille et se tournant vers William "Qu'est-ce donc que cette horreur ?" "Un air en votre honneur. Sans doute une marque amicale de la part de nos alliés pour lancer dans la joie et l'allégresse les discussions à venir" "Damned ! Autant dire que ces gens n'ont aucun gout ! Quitte à nous abreuver de musique laide, pourquoi pas une chanson d'un groupe de l'antiquité scandinave ? Les sots. Mais puisque ces personnes nous accueillent en musique, nous ne devons pas passer pour des rustres. William ! Veuillez s'il vous plait répondre à cette ... comment qualifier cela ? A cette chose par une musique un peu moins abrutissante mais néanmoins qu'ils puissent apprécier sans mal et teintée d'un profond respect. Bref, quelque chose qui leur donne l'impression d'être grands, beaux et forts. N'oubliez pas que cette rencontre vise à les faire périr à notre place !" "Bien sûr Duc. A vos ordres Duc. J'ai en tête cette œuvre qui pourrait par ailleurs convenir aux oreilles du Duc" Le Duc acquiesça et ordonna alors à William de diffuser sans plus attendre cette musique dans les hauts parleurs du vaisseau amiral Nelson. Les deux hymnes se firent alors face et dans le vaisseau amiral raisonnait un brouhaha indescriptible. "Duc, l'hymne est en cours de diffusion. Nous approchons lentement de leur vaisseau et sommes prêts à nous amarrer. Néanmoins je suis circonspect quant à la rapidité de la manœuvre tant leur bâtiment est dans un piètre état. Voyez tous ces trous ?" "Certes oui ! Ils sont nombreux mais ils témoignent de l’âpreté de leur batailles. Et surtout si ils sont en mesure d'exhiber ces trous, c'est qu'ils sont sortis victorieux des dites batailles." "En d'autres termes, lorsque l'on se prêtant être un guerrier, il est hautement recommandé d'exhiber ses gros trous Duc ?" "Et même impératif de bien les mettre en avant. Ces gueux sont finalement plus fineaux que je ne le pensais." Pendant que le Duc et son chef d'état major parlaient de trous et d'autres choses, la manœuvre d'arrimage poursuivait son cours. Le Duc répétait les dernières consignes à ses gens qui consistaient à ne pas brusquer les paysans bourrus. Il souhaitait qu'ils se battent pour lui et non contre lui. La manœuvre était terminée. Le sas du vaisseau amiral Nelson s'ouvrit. Le Duc prit la tête de sa délégation alors que William le suivait quelques pas en retrait mais néanmoins prêt à bondir pour traduire les propos injurieux des alliés. La frontière entre les passerelles était proche. Le Duc la vit sans mal. L'une était clinquante et reluisante, l'autre était quant à elle graisseuse et rouillée. Mais ce qui inquiétait le plus le Duc est que personne de la délégation de ses alliés n'était présent. pour l’accueillir. "William. Vous qui connaissez ces personnes mieux que quiconque ici, dois-je prendre cette absence comme une offense ?" "Non Duc, juste comme un oubli." "Mais comment cela se peut-il ? Il y a à peine quelques minutes, ils diffusaient un hymne en notre honneur. Comment ont-ils pu oublier que nous étions présents et prêts à nous rencontrer un un laps de temps si court ?" "Cher Duc, vous devez savoir que leur esprit - si il est humainement adéquat de parler d'esprit les concernant - peut être traversé par mille et une choses en peu de temps. Il arrive parfois qu'ils oublient même de tirer sur un ennemi lourdement armé qui frappe à la porte de leur vaisseau amiral juste parce qu'ils sont en train de jouer au bilboquet." "Ah ! Dans ce cas, que dois-je faire ? Dois-je m'avancer sur leur passerelle et frapper à leur porte ? Ne prendront-ils pas le franchissement de cette frontière comme une déclaration de guerre ?" "Je vous en prie Duc. Allez à leur rencontre. Je suis persuadé qu'ils en seront très honorés ... ... ou presque" rajouta t-il tout bas. Le Duc s’avança suivi de William. Ils parvinrent par miracle à éviter les traces graisseuses qui jonchaient la passerelle du vaisseau allié. Et lorsque la porte du vaisseau s'ouvrit pour accueillir le Duc, ses gens qui suivaient et n'avaient pas vu l'état de la passerelle, se mirent toutes et tous à tomber comme des mouches de sorte qu'une fois le sas allié complétement ouvert, seul le Duc et William se tenait debout ...
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Cdt. Kutusov
Respect diplomatique : 121
09/09/1015 ETU 16:32 |
Score : 4
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Le mécano était laid, lui aussi ... Mais ses états de service indiquaient qu'il maniait le marteau de guerre à deux mains avec brio : il avait écrabouillé 50 crânes de brigands lors de la dernière bataille en défendant sa bouteille de Petit Eau. Au bout d'interminables minutes, il avait enfin ouvert le sas avec son cric. Les impacts des armes des brigands avaient faussé le mécanisme automatique ... Le sas ouvert, une odeur fétide et cruelle envahit le vaisseau impérial et le Maréchal crut qu'il était l'heure de vomir avant de commencer le 3 dîner ! Un instant, tout le monde crut que les défenses biologiques allaient sonner dans le vaisseau mais rien ne vint perturber ce moment historique avec la première rencontre du troisième type ! "Votre Altesse ! Je reconnais cette odeur : ils ont pris des bains et se sont parfumés ?" "Qui ?" "Eux, les Rosbifs !" "Et leurs femmes aiment ça ?" "Heu ... ben oui !" "Quelle déchéance ! En plus, il est tout maigre ce duc !!! Il mange au moins ?" "Logiquement que des pétales de maïs aplatis pré cuits stérilisés mélangés avec du lait et de la confiture de citron ou de pâquerette!" "Mon Dieu quelle horreur ! Il va falloir que je le salue quand même ..." En s'avançant vers les deux rosbifs, le Maréchal se moucha bruyamment dans ses doigts et essuya rapidement vers son invité. Heureusement qu'il avait pris un bain voilà 10 ou 20 cycles ! Il sentait sous les aisselles mais ça plaisait aux femmes donc cela devrait aller avec les Rosbifs. Pourtant, bien que laids, ces deux hommes semblaient propres ! Trop pour être honnêtes ! Tendant la main, le Maréchal fit son plus beau sourire et salua ses hôtes ! "Salut riches rosbifs ! Tout roule pour vous ?" Ivanovich commença sa traduction : "Hello Gentlemen ! Iou ouante to mite eusse wiz keindenesse ?"
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Cdt. Wellesley
Respect diplomatique : 15
11/09/1015 ETU 22:53 |
Score : 4
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Le Duc observait avec attention le Maréchal qui lui tendait la main et s'adressant à William à voix basse "Pourquoi ces bougres m'envoient-ils leur écuyer qui sent le crottin pour venir m'accueillir ?" "C'est une méprise Duc. C'est le Maréchal qui vous salut !" Dubitatif, le Duc se tourne vers le Maréchal pour lui serrer la main et alors que quelque chose de visqueux commençait à coller la main du Duc toute propre, celui-ci dit à son homologue "Maréchal, vous sentez mauvais, vous n'avez plus beaucoup de dents, mais je suis disposé à vous payer des frais de nettoyage intégral à vous, vos hommes et vos flottes, et tout ce dont vous aurez besoin. God save the Secteur !" William commença sa traduction à son tour en occultant volontairement la première partie pouvant être offensante : "Bonjour Machin, j'ai de l'oseille pour te payer à toi et à tes pantouflards des femmes, de la gnôle et des flingues. Ça te tente ?" "William, au-delà des quelques approximations que vous avez traduites, il ne semble pas que j'ai entendu la moindre mention à l'odeur fétide de ces gaillards" "Vous avez compris ce que j'ai traduit Duc ? Vous comprenez leur langue ???" "Ma foi, il s'avère que j'ai en tout cas compris que votre traduction n'était pas complète ... Veuillez traduire une autre phrase pour nous assurer que nous ne nous trompons pas. Dites leur de faire comme chez eux et que ce vaisseau est le leur" "Pour vous biturer, c'est la 42ème porte à droite. Vous pouvez amener vos filles." Le duc se rendit vite à l'évidence, il comprenait le bouseux ! Il décida donc de se passer du brave William dans le but de nouer une relation franche et amicale entre lui et le Maréchal en discutant directement de commandant à commandant. "William, merci pour vos services, je n'ai pas besoin de vous pour le moment, mais n'allez pas trop loin quand même, on ne sait jamais." William se dirigea vers Ivanovich et d'un geste de la main, lui montra une direction vers laquelle les deux hommes pourraient discuter tranquillement. Pendant qu'ils s'éloignaient des deux commandants, William s'adressa à Ivanovich : "Pas mécontent de prendre une pause ! C'est qu'à force de vouloir faire le distingué, elle commence à me fatiguer la grande chouette ! Au pire, il va dire une connerie, ton paysan de commandant va le trucider, et je m'engage avec vous. Et à moi les filles, l'alcool et la coke ! Ca me changera de la cornemuse, du thé et du boeuf bouilli à la menthe. D'ailleurs vous avez une place de disponible ?"
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Cdt. Kutusov
Respect diplomatique : 121
21/09/1015 ETU 23:04 |
Score : 2
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Une semaine complète de biture pour les aides de camp et une semaine de boulot pour les têtes d’œuf qui dirigent les empires ... Parfois la vie a du bon ! Mais on devait arriver à la fin des négociations entre les pontes parce qu'ils avaient commandé du vin avec des bulles. Et quand le Maréchal commandait du champagne, c'est qu'il voulait dégriser et signer un truc important ! "Mon bon William ! Une semaine de vie à la Cosaque, avec des femmes, des pilules, de l'alcool c'est quand même bon, non ?" "Va falloir que je retourne chez les puritains alors ?" "Pas forcément, il faudra des officiers supérieurs qui restent avec nous et d'autres d'entre nous qui partent chez vous !" "Vous les choisissez comment ceux qui iront chez nous ? Beuuuuuuurrrrrrpppppp" "Les mous, les punis, les pédés, les bras cassés ou les pros du scribouillage !" "Intelligent comme mode de choix ! Buuuuuuuurrrrrppppp" "Mais nous, on veut des guerriers, des burnés, des soiffards, des alcoolos qui ont pas peur de culbuter nos filles !" "Mais c'est moi ça ?" "Ouais brother !" Un bruit de trompette de fin du monde indique la présence de quelqu'un qui veut entrer. "J'ai invité les gonzesses des tranmissions à passer quelques heures avec nous ! Elles ont très faim ! T'es prêt ?" "Par Saint Georges ! Il reste des capotes ?"
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Cdt. Wellesley
Respect diplomatique : 15
26/09/1015 ETU 00:35 |
Score : 3
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Les négociations continuaient. Les traits de certains visages étaient tirés, alors que d'autres semblaient plus détendus. Parmi ces derniers, celui de William qui profitait des négociations pour rattraper le temps perdu à servir le Duc. Il mettait à profit chaque instant pour se saouler, baiser et nettoyer ses narines avec des produits stupéfiants. En un mot, il était heureux ! Cette folle insouciance fut néanmoins gâchée par un officier du vaisseau amiral. "Monsieur, monsieur ! Excusez moi de vous déranger pendant vos ... hum ... discussions, mais nous avons reçu un rapport de la plus haute importance !" "Sniffffffff ! Hein ? C'est quoi ? C'est qui ? Ah, c'est toi ! T'en veux ? C'est de la bonne, vas-y ! Je te roule un petit billet de 10 leems, ok ?" "Euh, non merci monsieur. Étant donné que monsieur n'est pas en état de lire le rapport. Je vais le lui lire. Nos services nous informent que nous avons subi un assaut sur 350 000 de nos ..." "On s'en fout de ça. Qui ?" "Hum ... Monsieur, c'est là que tout devient un peu plus délicat. Il s'agit de la flotte du Maréchal Kutusov." William venait d'avaler un rail de coke de travers et alors qu'il tentait de reprendre sa respiration, il se tourna vers Ivanovich "Hé, dis donc Coco, c'est quoi ce bordel. Me dit pas que ton gros péquenot nous a fumé une partie de notre flotte !" Ivanovich émergea des seins d'une hôtesse et lui répondit "Laisse moi regarder. Deux secondes ... Si ! C'est bien lui ! Pourquoi ?" "Ben déjà, rien que le principe ! Prendre un coup de ionique par hasard, ça se défend. Encore que, vu comment il louche ton chef, j'aurais du mal à comprendre mais pourquoi pas. Là on parle d'un assaut ! Si j'étais susceptible, je le prendrais pour un affront personnel." "Et du coup tu le prends comment ?" "Je m'en fous pas mal à dire vrai. C'est plutôt le grand coton-tige que ca peut emmerder, et je te parle même pas de l'ambiance qui en prendrait un coup." S'adressant alors à l'officier qui venait d'annoncer la mauvaise nouvelle : "Bon, en fait, j'ai encore du boulot avec ces demoiselles et mon nez est encore tout bouché, DONC on va modifier le rapport. Mets moi cet assaut sur la tronche de Lucy. Vu la masse d'emmerdes qu'elle a en ce moment, une de plus ou une de moins, ca ne changera pas grand chose à l'affaire." "Euh, bien Monsieur ! Vous êtes sûr Monsieur parce que techniquement ce n'est pas trop possible de ..." "Fais-le ! Et quand tu auras terminé, reviens nous voir pour te détendre un peu. Hé Ivano ! C'est toi qui a les menottes ?"
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