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Cdt. velgeta
Respect diplomatique : 409 05/10/1015 ETU 13:38 |
Score : 7
Détails
Pendant ce temps sur le vaisseau Amiral du Commandant Velgeta, dans un secteur un peu à l’écart de l’agitation galactique. Cela faisait plusieurs cycles que le Commandant Velgeta avait fait un malaise en Assemblée. Après cet événement, il avait été mis en cuve de guérison et il était tombé dans le coma. Malgré les efforts des meilleurs médecins, son état continuait à se dégrader. Le Commandant Velgeta était en train de payer les expériences de divination, à base d’injections d'Apotium, qu'il avait réalisées dans la Galaxie 5. Ces expériences avaient permis d’anticiper et de préparer l’Apocalypse ( voir en ce sens les archives de la galaxie 5). Cependant, son corps avait atteint ses limites. Le Conseiller Saxonte, son fidèle bras droit dans le Conseil de l’ordre du silence, entra dans la pièce. Il s’adressa au médecin de service: le Docteur Zalinka. Saxonte: " Docteur Zalinka, toujours pas d'évolution? Zalinka: Non, nous avons mis le Commandant dans un coma artificiel en attendant de trouver une solution. Saxonte: Nous n’avons pas le temps d’attendre. L’Assemblée réclame le Commandant Velgeta. Il faut lancer le protocole LAZARUS. Zalinka: Vous délirez ! Cette thérapie est encore au stade de l’expérimentation. Vous avez bien saisi les risques et conséquences ??! Saxonte: Oui, le protocole LAZARUS va extraire l'Apotium du corps du Commandant Velgeta mais cela va parallèlement provoquer une réécriture proportionnelle de son code génétique. C’est le seul remède que nous avons à ce jour pour contrer les conséquences des expériences divinatoires, à base d’apotium, que nous avons réalisées en Galaxie 5. Zalinka: C'est exact. Nous estimons le taux de parasitage de l'Apotium à 40%. Donc le code génétique du Commandant Velgeta serait réécrit à ... Saxonte coupa la parole au docteur Zalinka et il termina sa phrase: « 40% » Zalinka: Oui 40%, le Commandant Velgeta ne sera plus tout à fait le même… Saxonte : Lancez la procédure docteur! C’est ce que le Commandant VELGETA ferait. Nous n’avons pas le temps de chercher une autre thérapie. D’ailleurs, je ne pense pas qu’une autre thérapie existe… L’Apotium est une vraie saloperie". Le docteur tapa une séquence sur son ordinateur. Quelques secondes plus tard, le Commandant Velgeta se mit à se tortiller dans sa cuve de guérison. Bien qu’il ne fût pas conscient, on lisait la douleur sur son visage. Le liquide de soin qui l'enveloppait passa d’une couleur blanchâtre à une couleur verdâtre. Il s'agissait de l'Apotium que rejetait le corps du Commandant. Au bout de quelques longues minutes, le processus s'arrêta. La cuve s'ouvrit. Le Commandant Velgeta tomba nu et mouillé sur le sol. Ce dernier repris connaissance et hurla: « donnez-moi un miroir! Sur le champ! » Saxonte s'exécuta.Le Commandant Velgeta attrapa le miroir et regarda son nouveau visage. Tout avait changé. Il laissa échapper ces quelques mots: " Ce n’est pas gagné avec une gueule comme ça, mais bon il faut faire avec" Le professeur Zalinka s'approcha avec la tunique et la cape habituelle du Commandant. La nudité de son dirigeant l’embarrassait. Le Commandant Velgeta repris la parole plus calmement un peu essoufflé : « Foutez ces fringues à la poubelle! Comment j’ ai pu me balader comme ça durant toutes ces années... Qu’on m'amène un beau costard, un magnifique, un sublime un somptueux Costard ! Saxonte s'exécuta. Après quelques minutes il ramena un costume que le Commandant Velgeta enfila. Commandant VELGETA: Maintenant ma bague d'Apotium! Saxonte lui donna. Commandant Velgeta: Parfait, j adore cette bague, on lui doit la vie et l'arrivée dans cette galaxie. Le Commandant Velgeta se contempla et laissa échapper c’est quelques mots : "c'est parfait" Zalinka pris la parole: "oui c est parf..." Le Commandant Velgeta lui coupa la parole: " Chut! La perfection et le silence vont de paire". Au bout de quelques minutes, le Commandant Velgeta quitta le laboratoire du vaisseau d'un pas déterminé. Saxon le suivait et repris la Parole : Saxonte : « Commandant Velgeta, j’ai pris la décision de vous réveiller car en Assemblée votre nom a été cité pour intégrer un conseil des sages ». Velgeta : « Et bien allons à l’Assemblée immédiatement » Saxonte : « Vous êtes sûr Commandant, qu’est qui vous motive de remettre de l’énergie dans la politique galactique? » Velgeta : « Le défi ! Nous avons survécu à une Apocalypse, essayons de survivre à une seconde. Et puis y‘a du potentiel pour se marrer dans cette Galaxie. A ce sujet, avez-vous les retours de l’opération « sac à bonbons » ? Saxonte : Oui Commandant, voici le rapport. Velgeta : Autre chose, où en est le projet « Archange »? Saxonte : Commandant, vous aviez donné l’ordre de le suspendre. Et puis votre apparence a changé, qui me dit que vous êtes encore vous-même ? Velgeta : Je suis toujours moi-même, je vais même vous le prouver tout de suite en un seul ordre : ressortez le dossier des latrines de l’Assemblée de la Galaxie 5 ! Saxonte : Ah Commandant Velgeta, je vous reconnais bien là. Pas de doute vous êtes de retour. Je suis heureux. Vous allez remettre le dossier des latrines sur la table? (voir les archives de la Galaxie 5) Velgeta : Je ne sais pas, peut-être… C’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures soupes". Le Commandant Velgeta embarqua dans une navette en direction de l'Assemblée.
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Cdt. velgeta
Respect diplomatique : 409 16/10/1015 ETU 15:49 |
Score : 6
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Le Commandant Velgeta était dans la salle d’attente de son médecin personnel. Il feuilletait de la presse de second rang, disposée sur la table de la salle d’attente. Quelques minutes plus tard, le docteur Zalinka arriva et fit entrer le Commandant dans son bureau : Docteur Zalinka : « Bonjour Commandant, comment allez-vous ? Les résidus d’Apotium ne vous rendent pas trop la vie dure ? » Commandant Velgeta : « ça va mieux, j’ai appliqué vos conseils consistant à canaliser ma concentration. Cela limite les effets de l’Apotium résiduel. Comme vous me l’avez préconisé, je me suis essayé au « Rubik’s cube » et à « l’Origami ». Docteur Zalinka : « C’est très bien, mais j’ai remarqué que quelque fois vous ne pouvez vous empêcher de perdre votre sérieux… » Commandant Velgeta : « Oui c’est vrai, mais bon ça amuse la galerie… » Docteur Zlainka : « Effectivement, cependant, ne souhaiteriez-vous pas retrouver votre aura et votre plume du passé, de temps en temps ? » Commandant Velgeta : « Pourquoi pas, on me prendra peut-être plus au sérieux ». Docteur Zalinka : « Depuis l’application du processus Lazarus, nos chercheurs ont progressé. En se basant sur les résultats des capteurs intégrés dans votre esprit, nous avons crée artificiellement les molécules de concentration que vous dégagez lors de vos séances de « rubik’s cube » et « d’origami ». Ces molécules bloquent provisoirement l’Apotium résiduel dans votre cerveau. Nous avons isolé cette molécule dans ces calmants ». Le docteur donna un tube de calmants verts au Commandant Velgeta. Docteur Zalinka : « Si vous avez une décision importante à prendre ou si vous devez faire un discours important, prenez un de ces cachets. Cela vous donnera 10 minutes de répits vis-à vis de l’Apotium résiduel ». Commandant Velgeta : « C’est peu 10 minutes… mais c’est mieux que rien… et puis ça marche votre truc ? » Docteur Zalinka : « Faisons un test. Prenez-votre « Rubik’s cube" et décrivez-le. Que voyez-vous ? » Commandant Velgeta : « Je vois un bordel de couleurs insoluble me rappelant le bazar dans cette galaxie ». Docteur Zalinka : « Très bien, prenez un cachet maintenant et recommencez l’expérience » Le Commandant Velgeta avala un cachet, son regard et son visage s’apaisèrent. Il reprit la parole : « Je perçois un nuancier de teintes chromatiques agrégées dans un somptueux maelstrom cubique, reflet de notre galaxie magnifique et éthérée ». Docteur Zalinka : « Vous voyez ça marche ! » Commandant Velgeta : « Effectivement, au revoir docteur ». Docteur Zalinka : « Au revoir Commandant, cependant, rappelez-vous de 2 choses! Le cachet ne fait effet que 10 minutes et surtout laissez une heure entre chaque prises !" Le Commandant VELGETA quitta la pièce un peu « perché ».
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