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Après la vie, viens la mort.

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Cdt. Graham
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11/10/1015 ETU 10:38
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Aujourd'hui, par grande chance, nous avons eu le plaisir de filmer la vie de notre cher président, il va nous montrer comment se passe une journée typique pour un commandant galactique. Voici les images.
La matinée venait de commencer timidement sur la Planète Batlhimore Prime. La douce chaleur du printemps commençait à réchauffer l’atmosphère tandis que le président de cette planète était en train de prendre son petit déjeuner en terrasse. Une vue magnifique sur une mer calme s'offrait à lui. L'eau turquoise donnait des envies de baignade à quiconque y plongeait son regard. Toutefois, ce calme fut rapidement anéantis via l'arrivée d'un de ses conseillers, ce dernier devait avoir couru le plus vite possible étant donné son rythme de respiration haletant.
« Président Graham... Nous avons reçu une missive de l'Empire Renégat. »
« Qu'est-ce qu'il me veut lui... »
L'homme prit alors la tablette qui lui était tendue par son conseiller, et commença a chercher la missive. Le commandant John, qui lui avait déjà réclamé une planète qu'il lui avait envahit, planète reprise par la civilisation de Graham grâce à des diplomates, exigeait maintenant que Graham, son ancien partenaire lui rende les planètes échangés avec celui-ci, trouvant que le prix de 1200 kamikazes, cinq millions de métal ainsi que deux millions d'énergies, sans compter les transferts de leems, étaient insuffisant pour... Quatre planètes. En effet, l'empire renégat n'avait donné que quatre planètes à cette civilisation. Les autres planètes échangées l'avaient été après certains croisements d'ordres entre les deux commandants.
Les ressources données avaient permis à ce perfide être d'envahir des dizaines de planètes, mais aucun remerciement de sa part.
Mais il y avait quelque chose de plus malsain là dedans, le commandant John le menaçait de guerre, ou du moins il menaçait Graham de créer un conflit diplomatique sans précédent si celui-ci refusait de donner des planètes.... lui appartenant depuis plus d'une trentaine de cycles. Aucune négociation, aucune volonté de paix, et aucune communication ou demande n'avait jamais été faites de la part de l'Empire durant leur « collaboration ».
Pourtant Graham avait déjà prévenu au sein d'une factice assemblée sectorielle aux relent de mensonges que l'Empire souhaitait l'éliminer du secteur. En effet, Graham avait trouvé cela maladroit l'idée du commandant John de créer une coalition sectorielle, car cela montrait une fermeture sur le monde ouvert qui se présenterait bientôt à eux. Vexé de l'argumentation négative du président du Triumvirat, John avait déclaré avec une verve détestable tout ce qu'il pensait de ces idées contre sa coalition.
Mais il donnait raison à notre chef d'état, en le menaçant de guerre. Le plus drôle là dedans venait du fait que lui et Londo, son allié, ne se sentait plus pisser depuis des cyles, se sentant surpuissant, n'hésitant pas à vouloir imposer leurs idées. La dernière en date, venait de l'ouverture du Secteur, annoncé pour un certains jour, d'une semaine... Repoussé à la semaine d'après. C'était anecdotique, mais suffisament pour exaspérer les commandants qui souhaitait de l'expansion au delà de leur secteur... Plus ces deux pourritures tardaient à ouvrir le secteur, plus il contribuait à rendre leurs co-natifs moins évolués que celles du secteur premier.
En outre, l'Empire menaçait à nouveau le commandant Graham de posséder une flotte de vaisseaux diplomatiques, crées pour les secteurs nouveaux. Une autre volonté de l’annihiler, déguisée. Le pire là dedans, ce n'était pas que celles-ci soient mal déguisées, mais que les commandants du Secteur II ne s'en rendaient même pas compte. De plus d'autres accusations avaient été données contre l'homme aux cheveux verts parce qu'il n'avait pas participé au « débat » sur l'ouverture du secteur. Il avait simplement voté, oui. Et maintenant on lui reprochait de ne pas venir déblatérer avec eux. S'il ne disait rien, c'est qu'il n'avait peut être rien à dire ou qu'il était occupé. S'il avait été contre les idées, il se serait sûrement exprimé, mais même là on venait à nouveau l'accuser. L'arroseur arrosé peut être, il le savait quand il était contre une idée, il avançait de nombreux arguments contre, et cela agaçait ceux qui proposait cela. Pourtant, il avait posé le pour et le contre, mais les imbéciles ne retiennent que le contre que l'on suggère. En plus de lui offrir de l'eau tout en sachant que pure, cela constituait un poison pour le commandant Graham, une tentative d'assassinat.
La missive venait d'être lue. La tablette la contenant venait, elle, de voler.
« Amener moi des ingénieurs, il va falloir renforcer nos défenses de manières exponentielles. Par ailleurs... Amener moi autant d'enfumeurs que possible. »
« Mais... si vous en prenez trop vous risquez de mourir ! »
« Mes capacités seront plus grandes. Pas de discussions. »
Les constructions allaient alors à un train effréné sur tous les mondes du Triumvirat. Pendant ce temps, le dirigeant s'était réfugié dans une pièce fermée, respirant le plus de fumée possible, buvant l'hydromel des guerriers de son peuple. Notre reportage s'arrêta ici quelques jours, le temps que le président sorte de sa « méditation ». Il y avait plus de fumée dans cette pièce qu'à woodstock et la Jamaïque réunies. Et un homme en sorti, entouré d'un voile gris clair, ses yeux étaient eux devenu très étrange, il y avait une traînée lumineuse d'un vert clair qui flottait autour d'eux. Il semblait transcender.
« Président Graham, vous allez bien ? »
« Je suis le Dévoreur. L'homme que vous avez connu n'est plus, il a invoqué ma puissance disparue depuis des millénaires. Je ne sais comment. Transmettez ceci de sa part à Sinaloa Los Zetas. »
L'homme transcendé passa alors une nouvelle tablette comportant une missive pour une dame avec qui notre président avait des correspondances, que l'on peut qualifer de romantique.
« Chère Sinaloa.
Je crains que, malgré l'ouverture prochaine de mon secteur, il va nous être impossible de se voir... L'Empire Renégat m'a proposé un verre d'eau, en guise de provocation, ce breuvage étant un poison pour mon peuple. Il a depuis proféré des menaces à mon encontre, voulant que je lui rende des planètes m'appartenant depuis de nombreux cycles. Et tu sais comme moi, qu'il m'en a donné tellement peu que j'ai tout pris de moi même.
Oh, tu sais ce qu'ils veulent maintenant dans mon secteur ? Créer une charte pour montrer « l'union » dans notre secteur. Mais de ce que tu m'as parlé, par rapport à ton frère, on sait tous les deux qu'un certain commandant, fer de lance de cette union, insulte à tout va ses co-natif via x-com, en essayant de gagner vos faveurs pour avoir des planètes en secteur 0. Ah, face de Peigne, je l'aime pas, mais il va me manquer (rire).
Bref, il y a un but derrière mon x-com... C'est le dernier que je t'envoie. Je crains que ma vie est en danger, à cause de l'Empire Renégat et son allié. Mais il ne me tuera pas, je connais un ancien rituel. Il me changera, mais ce ne sera plus moi.
Nous ne nous sommes jamais vu, mes sentiments étaient sincères.
Amoureusement, Graham. »
[TO BE CONTINUED BY GRAHAM]
Cdt. Graham
Respect diplomatique : 166

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14/10/1015 ETU 09:39
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La guerre faisait rage depuis quelques cycles, du moins dans un seul sens, puisque le Dévoreur avait organisé qu'un seul cycle d'attaque, le reste il s'en foutait totalement, il n'avait aucun intérêt là dedans. Il s'était simplement nourri de la rancoeur accumulé par Graham depuis quelques temps contre face de brosse et l'empire Raplapla. L'empire Raplapla était fier de lancer des assauts inutiles et d'écraser ses flottes sur des planètes. C'était de loin son jeu préféré, mais de cela le Dévoreur n'en avait cure. Il continuait de consumer le corps de Graham tout en recherchant un autre hôte digne de son accueil. En fait, il recherchait son véritable corps, enfoui depuis des milliers de siècle dans une planète lointaine. La guerre ne l'intéressait pas.
Mais il était à noté l'extrême malveillance de ses ennemis. Tout d'abord le commandant John qui affirmer vouloir récupérer la moitié de sept planètes données, dont trois dû à des croisements d'ordres. Sous prétexte qu'il n'avait reçu que trois millions métaux, même si la vérité s'approchait plus de six millions que de trois. Il omettait évidement la première offre de cent kamikazes, celle de cinq-cent ainsi que celle de mille qu'il avait reçu.
Pour le second compère, qui assurait qu'il ne donnerait jamais la planète prise dans le système natal du feu commandant Graham, il avait menti. En plus de cela, il avait évidement attaqué des civils, diplomates, commerciaux, qui n'avait eut rien à voir avec ce qui se passait, créant plus de crimes de guerre comme il les appelait que ce qu'avait fait Le Dévoreur.
Cependant il y avait quelque chose de plus malsain dans leurs dires. Ils appelaient les flottes ayant attaqués les troupes en orbite appartenant à la civilisation Balthimore, « Opération Brigands ». Pourtant quand les assauts lancés par le dévoreur avaient été lancé, ces troupes n'existaient simplement pas, et le seul système où les brigands avaient disparu, était celui tenu par le commandant aux cheveux verts, ainsi que les autres pcs qu'ils contrôlaient. La volonté de détruire les brigands ressemblaient alors plus à des foutaises qu'à une vérité, ils cachaient l''accumulation d'une troupe de guerre énorme dans un autre but que celui de détruire les brigands. Tuer Graham, le détruire. C'était leurs dires. Et ils ne cherchaient pas à détruire le dévoreur, qui était dorénavant connu de tous et qui prenait possession du corps de Graham. Non, ils cherchaient simplement à tuer l'ancien commandant, déjà mort par ailleurs. Montrant leurs envies bellicistes et mensongères.
Le dévoreur, lui, se délectait de la situation, absurde au possible, que ces deux traîtres, essayait de cacher. Le pire c'est que cela marchait, montrant l'ignorance des commandants présents à l'assemblée. Certains savaient toutefois, espérons le, que c'était de la poudre aux yeux. Il suffisait de les voir continuer à appeler cet homme « Monsieur Graham », avec tant de suffisance, de dégoût, pour savoir que ces deux compères cherchaient à le détruire depuis un petit moment. Car il le visait personnellement en l'insultant publiquement.
L'entité s'avança alors au milieu de la chambre des conseillers de Balthimore Prime, ceux-ci se turent, ils ne savaient de toute façon quoi dire devant cet être.
« Je l'ai trouvé. Mais il va me falloir de l'énergie pour y aller... »
Il tendit les mains et quelques fumées noires jaillirent de son corps et touchèrent une à une les personnes présentes, qui s'écroulaient dans un cri de terreur.
Son hôte s'écroula alors, laissant l'être flotter dans les airs, deux yeux rouges fixant simplement le corps par terre, qui était prit de spasmes. Les yeux de Graham s'ouvrirent et le dévoreur disparut.
Michel arriva en trombe dans la salle, en hurlant qu'il était en retard. Il vit soudain le corps de son président, au sol, pâle, qui tentait vainement de se mouvoir.
« Graham... que faites-vous ? »
« Je... dois... insulter Londo et John. Ils... pas privé... alors qu'ils savaient... »
« Non, il faut vous soigner. »
« Trop...Tard. »
Et dans un dernier souffle, alors qu'il réussit d'un dernier effort à établir une communication directe avec l'assemblée, il hurla :
« LONDO ET JOHN SONT DES GROSSES TEPU ! »
Il tomba alors au sol, frappant du poing sur une tablette, qui envoya un dernier message à Sinaloa.
« Je vous ai aimé. »
Cdte. Anya
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14/10/1015 ETU 18:36
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Un rapport arrive accompagné de son dring caractéristique.
- Haaaaaan, j’y crois pas, t’as joué au Galactomillion derrière mon dos sans m’dire !!!
- Mais non enfin, qu’est-ce que tu racontes ???
- Là un virement en Leems du commandant Graham !
Nouveau dring en provenance de l’assemblée, un grand cri.
Elle regarde l’écran stupéfaite.
- ça alors, tu crois qu’il est...vraiment...complètement...
Regard horrifié
Et moi qui pensais qu’il s’en foutait de moi, jamais je n’ai réussi à me rapprocher de lui malgré quelques tentatives, timides je l’avoue, mais sa fiancée avait l’air super violente, elle m’faisait flipper alors j’voulais pas trop insister tout ça...
- T’enflammes pas hein, il était à l’agonie, ça s’trouve il s’est juste trompé de destinataire !
- C’est pour ça que j’te garde je crois, ta bienveillance à mon égard... ça m’fait chaud au cœur...
...Mais il faut pas qu'on organise quelque chose pour sa disparition ? des recherches pour être sûrs que c'est vraiment fini, qu'on ne peut plus le sauver ? Une cérémonie en sa mémoire, quelque chose, je sais pas moi ?? Pourquoi personne ne dit rien ?
- J'en sais rien moi, dans le doute, reste naturelle, fais-toi toute petite et tais-toi !
Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760

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14/10/1015 ETU 23:54
Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.  Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.
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- Aaaah, la poisse. Il a fallu que l'autre meure.
Hazard entra dans la pièce des jumeaux. Les enfants se tenaient par la main. Immobiles, ils restèrent ainsi plantés devant le portrait holographique du défunt. Une odeur de brûlé flottait. Il en identifia rapidement la source à côté de la télévision : les DVDs. Une paire de jambe dépassait de derrière le lit. Alicia. La belle Alicia. Il jura intérieurement. La Merveilleuse Alicia. Celle qui avait égayé ses nuits malgré son physique disgracieux. Cette ancienne star du X qui s'était retrouvée malgré elle à devoir avoir apprendre aux enfants les joies des adultes. Il la récupérerait. Il lui rendrait sa beauté, et finalement lui offrirait l'immortalité aux côtés de ses autres poupées.
Après avoir essuyé une petite larme, il décida de s'attaquer au problème. Les enfants, comment avaient-ils réagi ? Il ne voyait que leur dos. Il s'approcha doucement, se courba en deux, et les vit. Deux poupées sans émotion. Impassibles, comme figées dans le temps.
- Hé les mio-
Les larmes commencèrent à tomber, le coupant dans son élan. Silencieux, ils ne bougeaient pas. Seules les larmes témoignaient qu'il y avait de la vie dans leur corps. Alors qu'il ne savait que faire il se redressa, et se tourna.
Devant lui se trouva la mère des deux enfants, Harley. Il était pourtant sûr que celle-ci n'était pas là quand il était arrivé. Et pourtant. Elle se tenait droite, une arme entre les mains, le canon rivé sur son visage. Ce n'était pas la première fois qu'il avait eu une arme rivée sur lui, pourtant cette fois là il eu un pressentiment.
-« Tu étais censé prendre soin d'eux. Et regarde dans quel état je les trouve !
- Mais patronne, je... »
BANG !
Elle n'avait pas attendu qu'il termine sa phrase. C'en était trop. Ses petits chéris pleuraient et elle n'était pas là pour les consoler. Le corps de Hazard s'écroula lourdement, la tête en sang. Elle jeta le pistolet au sol et se dirigea en courant vers ses petits chéris pour les dorloter.
Mais la mort ne l'attendait pas tout de suite. Il fallait d'abord qu'il pût conclure la résolution du dernier acte. Dernier retournement : stupeur ! Sa main s'anime, tâtonne, trouve l'arme de Harley tombée à deux pas d'elle. Il faut finir ! Pas question de crever sans l'emporter avec lui pour la baiser en enfer ! Il l'agrippe, la lève, vise l'échine de son bourreau… il va tirer… son doigt est posé sur la gâchette et s'apprête à faire feu…
PAN !
« DAAAAH ! »
Un pied chaussé était venu s'écraser sur sa main. Il sentit tous ses os, carpes, métacarpes, jusqu'aux phalanges proximales, se briser. Il leva les yeux, et ceux-ci s'écarquillèrent de terreur. Même à l'article de la mort il pouvait reconnaître ce costume violet, ces cheveux verts, cette peau crayeuse, ce rictus démentiel. Et ce regard… il claqua des dents et trembla de tous ses membres. Le Joker. Si Hazard
« Pa-pa-pa-p-p-pa-patron…
Peu-peu-peu-peutron… fit le Joker en éclatant de rire. Hazard, tu chies dans la colle. Tu nous fais quoi, là ? Tu fais pleurer mes morpions ? Tu veux tuer ma femme ? Tu veux aussi que je t'ouvre mon frigo et que je te file ma bagnole ? HA HA ! TU RIGOLES ! Tu sais ce que je t'ai dit, Hazard… mon number one guy… le tout premier jour…
Il n'y a que moi qui ai le droit de le faire, HA HA HA ! »
CRAC !
Premier coup de pied de biche. En plein dans les parties les plus précieuses du condamné.
« Ça me fait plus mal qu'à toi… HA HA HA ! C'EST UNE BLAGUE ! »
Et il frappa, frappa encore, et à chaque coup, un mot :
« Ça (CRAC) va (CRAC) être (CRAC) une (CRAC) longue (CRAC), longue (CRAC) nuit (CRAC), Hazard… (CRAC) et (CRAC) je (CRAC) vais (CRAC) apprécier (CRAC) chaque (CRAC) seconde (CRAC). Essaie (CRAC) de (CRAC) GARDER (CRAC) LE (CRAC) SOURIRE ! (CRAC) »
Au matin, Hazard n'était plus qu'une espèce de beefsteack cru, tellement tuméfié, tordu, brisé, que l'artiste qui avait fait ça était parvenu à figer son visage dans un dernier rictus.
« Ce qu'on est bien en famille ! »
Heureusement, les enfants avaient encore beaucoup de gens avec qui jouer !

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