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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 ![]() 21/12/1015 ETU 21:49 |
Score : 5
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Hagard, trottinant en zig zag dans les couloirs de l'assemblée, le bonhomme crie a pleins poumons. Enfin, pas très fort, parce que il a pas l'air en forme, et sous sa chemise d’hôpital mal boutonnée, on aperçoit des pansement plein de liquide rougeatre. Il va pieds nus, dans un pantalon trop court pour lui. Plusieurs personnes ont tenté de lui dire que la capitale , c'est plus chez Madame Sinaloa, qu'elle peut etre n'importe ou, mais il n'écoute pas vraiment. Il refuse d'avoir fait ce chemin pour rien. Essouflé, il s'appuie contre un mur. qui fait bip. un terminal d'info. "ou t'es, ou t'es..." Il regarde les dernières nouvelles. Soupire. " oh.. pu.. Phoenix??? et Harley????.. mais,...nan, je suis mort, c'est sur. Y faut juste que je réalise que je suis mort, et les anges vont se pointer... Sinaloaaaaa..." Il pianote sur le truc un moment. Se pince le bras, puis se dirigige vers le spatiport, en se grattant sa barbe de 30 jours.
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Cdte. Hyrèn Amiral-H
Respect diplomatique : 255 ![]() 21/12/1015 ETU 23:47 ![]() |
Message édité -
Score : -1
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La princesse: "Faut se détendre l'ami, il est juste arrivé ce qui devait arrivé, depuis le temps que tout le monde parle de ça il fallait s'y attendre, alors relax tu vas pas mourir demain ... enfin normalement non.
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Cdte. Sinaloa Los Zetas
Respect diplomatique : 341 ![]() 22/12/1015 ETU 05:52 ![]() ![]() |
Score : 2
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Voilà des semaines que Sinaloa était sans nouvelle de Mael. Elle avait pourtant remué ciel et terre pour tenter de le retrouver. Elle avait fait passer le mot à tous les clients influents du Cartel, toutes informations sur son homme seraient récompensées. En vain. Il avait tout bonnement disparu des radars et même ses gens ne pouvaient informer Sinaloa sur l'état de leur dirigeant. Etait-il mort ? - Maitresse, des contacts sur la Capitale m'indiquent que le Commandant Mael se trouve en ce moment dans les rues de Poiland. Il serait désorienté et aurait été vu en habits d'hôpital, voilà qui expliquerait sa longue absence de la vie politique. Sinaloa était toujours dans le Saloon de Lucky Puke. A l'annonce de Molly elle se leva d'un bon et se précipita dans sa navette sans même dire un mot à ses compagnons de beuverie. Une seule idée en tête, le retrouver. Au bord de sa navette, en partance pour la Capitale. Le pilotage enclenché, elle put sniffer un bon gros rail de coke. Elle devait être la plus en forme possible pour savourer ces retrouvailles tant attendues. - Molly, ma belle, j'vais enfin l'revoir ! Fais passer l'message à nos gars restés sur la Capitale, trouvez Mael et, dans la mesure du possible, essayer de le surveiller dans un endroit tranquille. Une fois qu'ils l'auront localisé, qu'ils m'envoient les points d'coordonnées pour qu'j'aille l'retrouver ! Et Molly, fais moi un p'tit lavage d'estomac pendant l'trajet, histoire qu'j'arrive pas complètement pétée ! Héhéhé ! L'excitation de la situation et la montée fulgurante de la cocaïne dans son cerveau la rende presque folle. Elle met la musique à fond, défait son harnais et se met à sauter dans tous les sens histoire d'évacuer se trop plein d'énergie artificiel.
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 ![]() 22/12/1015 ETU 08:44 |
Score : 4
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L'équipe du Cartel le rattrape dans un couloir. Perdu dans ses pensées, Mael bute dans la poitrine d'un colosse de 2m 15. Le grand gars sourit. dentition d'enfer. Il croise les bras, difficilement. Mael penche la tete. Fait un pas de coté. Le colosse fait doucement non de la tete. Il continue à sourire.. ca déforme les tatouages qu'il a dans le cou. (un petit garcon qui passe pas loin apercoit le visage du type. Il fera des cauchemars toute l'année qui suit.) Mael soupire. regarde derrière lui. Un autre type, et plus loin une femme, habillés pareils. Ils sourient bêtement, enfin comme des gens qui ont pas l'habitude. Deuxième soupir. Mael s'adosse au mur, puis s'assied en tailleur. Les chiens de gardes ne bronchent pas. "ok ok... je bouge pas... Vous auriez un bidule a preter?" Le deuxième type lui prete un bidule, plein de taches de doigts... et Mael commence à lire ses rapports en regardant régulièrement le temps passer.
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Cdte. Sinaloa Los Zetas
Respect diplomatique : 341 ![]() 22/12/1015 ETU 10:43 ![]() ![]() |
Score : 2
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La navette se pose sans même avoir demandé l'autorisation aux nouvelles autorités en place. Sinaloa sort du cockpit et d'un pas alerte part en direction du signalement. Son bidule dans la main, elle court maintenant dans les dédales de la Capitale qu'elle connaît si bien. Ses gars ont du mal à imprimer le même rythme et se font peu à peu distancer. Qu'importe pour elle sa propre sécurité, ce qu'il compte, c'est lui. Elle descend les escaliers quatre à quatre, prend une petite ruelle à droite et tombe sur un colosse qu'elle reconnaît immédiatement à ses tatouages. Pousse toi d'la mon gars ! Elle ne laisse pas le temps au colosse de s'exécuter, elle l'esquive et se jette dans les bras de Mael, l'étreinte et l'embrasse. Mon Dieu, Mael, qu'est ce qu'il t'est arrivé ? J'te r'connais plus, t'as maigri ! Pitié, raconte moi et promets moi d'plus jamais m'laisser toute seule !
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 ![]() 22/12/1015 ETU 17:19 |
Score : 4
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"...gubrelfm... SinALOA! YES! " Il se jette vers elle, et la prend maladroitement dans les bras. D'un coup, il chuchote en parlant si vite que les mots s’entremêlent, se mélangent dans une soupe mi prière, mi chanson... "ahbonsangtropbien de tevoir il m'ontdit que des betises pourrait pas te voir desuite dépendance rechute responsabilité que des conneries tout ca. me suis réveillé ce matin, j'ai viré deuxtroistousles docteurs, enfin eu un bidule, suisvenutout desuite c'est memepas mon pantalon jecrois j'ai tabassé quelqu'un pour le prendre ou bien lui ai offert une planeteoules deux. je suis la, t'es la, trop bien." Inspiration. sourire. " Apres notre week end..sportif.. ces cretins m'ont fait un examen pendantlevoyage duretouret pafpouf grossefrayeur du medecin personnel tu serais dangereuse pour moi mon oeil ouais, t'es la meilleure chose qui soit arrivée dans ma viedepuistoujoursen fait. Cetimbécile s'inquiete pour les millions de millards de gens qui dépendent de mes petits doigts, et me fiche dans un coma artificiel pour me soigner. comme quoi j'aurais pas tenu le choc de la séparation... ouais ya une histoire de dépendance, en fait meme si je prends rien directement, rien qu'avec ce qu'on fait - bon sang c'était bon!- bein t'es tellement chargée que j'ai pris cher. pas une dose pour un gars clean en tout cas. Mais je m'en fiche totalement. je t'aime comme t'es. je te veux comme t'es. On trouvera un truc, et si pas, tant pis, tant pis si j'en creve, tant pis si t'es trop en forme pour moi. Je mourrais heureux, et ca c'est pas quelque chose que j'aurais cru l'année passée. Je veux le risque! m'en fous de tout le reste! Alors voila, coma artificiel, grossegestapoautoarrangée sur mon empire, j'ai viré bob qu'en a trop fait, en fait jevaisle reprendre parceque niveau service secret il assure, mais fais chier fais chier cettesecuriténationale soitdisantprimordiale.. monculouais j'étais dans un lit avec des tube partout.. ouais, partout, je te fais pas un dessin, niveau dignité au reveil c'était nul. Et donc voila. Je débarque à l'instant. Et toi? qu'est ce que c'est que ce bordel? t'es pas du genre à faire de la dépression, alors qu'est ce qui justifie... ceci?" Il fait un grand geste du bras gauche, pour désigner tout les alentour. de sa main droite, il la maintien tout près. Elle peut sentir qu'il tremble un peu, ne sent pas très bon, et qu'il est drolement content de la voir...
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Cdte. Sinaloa Los Zetas
Respect diplomatique : 341 ![]() 23/12/1015 ETU 09:13 ![]() ![]() |
Score : 2
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Sinaloa ne comprenait pas tout ce que lui racontait Mael tant son débit de paroles était soutenu mais elle se voulait rassurante et continuait à le regarder dans les yeux, un peu émerveillée, un sourire béat sur les lèvres. Lorsqu’elle comprit que le problème venait d’elle et que finalement elle avait failli tuer son Amour malgré elle, une violente décharge d’adrénaline vint secouer son corps de la tête au pied. - Mael, mon Mael, j’suis vraiment désolée ! Si j’avais su qu’tu pouvais tomber malade à cause d’ma propre addiction, j’aurais calmé l’jeu ! M’détruire la santé, ça m’regarde, mais j’peux pas jouer avec la tienne maint’nant qu’j’t’aime ! Elle marqua un temps, ferma les yeux, histoire de s’imprégner de ce moment difficile, comme pour sublimer la profonde tristesse qui l’envahissait tout à coup, afin de se punir. Des larmes coulèrent sur ses joues, un mélange de joie retrouvée et de profond désespoir. - Mael, mon Mael ! T’as vu c’bordel ! Ton absence m’a rendu dingue ! J’ai cru qu’j’allais mourir ! J’ai paniqué et j’ai fait n’importe quoi ! Sans toi à mes côtés, j’ai pas su faire face à la pression, j’me suis débarrassée d’la Capitale et j’ai voulu la donner à Londoku mais c’était sans compter la fourberie d’la Famille Joker et leur talent d’piratage informatique ! En changeant l’code source d’l’ordre d’transfert d’légitimité, ils ont réussi à prendre d’la Capitale sans la force. Leur hackage a ensuite provoqué un immense bug qui a touché l’ensemble d’la Galaxie ! Tu t’rends compte ? Ils sont très dangereux, j’me d’mande comment t’as fait pour survivre pendant des cycles en étant seul face à eux, dans un secteur encore fermé ! T’es tellement courageux ! Elle l’embrasse de toutes ses forces, colla sa tête sur son torse afin d’entendre son cœur battre et s’extasier de son odeur, qu’importe s’il n’avait pas mis son parfum si délicat et rare. - Mael, mon Mael ! Que souhaites-tu faire ? Tu m’promets qu’on s’quittera plus jamais ? J’veux faire attention à toi, j’vais essayer d’arrêter la came, pour toi !
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