Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 28/06/1016 ETU 23:04 |
Score : 3
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« Allez profite un peut… regarde, je vais tranquillement égorger ce général de tyran sans aucune conséquence… aucune ! Oui car c’est la guerre ! Et tuer les représentant de ces dictatures n’est qu’un geste de bienfaisance envers le peuple, tu le sais tout autant que moi… admire-le tousser son propre sang et nous regarder de ses yeux bovins hahaha !… » Le député « chasse, pêche & prédation » Maliarg venait de joindre la parole aux actes, devant le jeune conseiller Debrrag. Ils n’étaient que les deux, restés en arrière afin de s’assurer qu’aucun andari ne sorte vivant de la salle de réception. Il ne restait plus guère de monde d’ailleurs dans cette salle : quelques accompagnateurs oubliés de quelques délégations depuis longtemps enfuis, quelques civils et militaires blessés, des cadavres, et, le sarcophage de Mengsk. Debrrag avait mortellement envie d’en découdre avec ces andari, mais ayant eu vent de la fureur de la guerre, avait finalement été heureux de rester en arrière. Voilà maintenant qu’il hésitait à finir le travail. Heureusement que M. Maliarg était là pour l’aider. Prenant son courage à deux mains, il s’approcha de la jeune femme apeurée. Celle-ci, blessée à l’abdomen et à l’épaule, voyait son sang maculer sa combinaison médicale d’infirmière. Devant l’avancée inexorable du jeune tarkyen dont l’œil brillait d’un mauvais éclat, elle tentait, haletante, de s’échapper en rampant, en vain, l’effort lui arrachant de petits cris de douleur. Plus il se rapprochait, savourant l’instant, plus la panique se faisait sentir sur le visage de la jeune andari. Elle cria de surprise et se mit à pleurer lorsqu’il lui attrapa violemment les cheveux. D’un mouvement sec, la lame tarkyenne fit en sorte que ses larmes se perdent dans le flot de sang qui jaillit de sa gorge taillée. Debrrag se mit à rire tout en repoussant la tête de sa victime, il se sentait bien, un sentiment de toute puissance naissait en lui. Il resta quelques instants ainsi, les yeux fermés. Quelque chose lui revint toutefois à la mémoire, un détail… Qu’avait-il entendu pendant qu’il s’occupait de la femme ? Ah oui, comme des bruits de succions, comme quelqu’un qui patauge dans son propre sang, ainsi qu’une espèce de souffle régulier, comme venant d’une soupape. Ces bruits était venus de l’autre bout de la salle, derrière lui. Probablement un autre andari blessé tentant de s’échapper !…Dommage, M. Maliarg devait sûrement déjà s’en être occupé… Debrrag se retourna mais ne vit personne, du moins personne debout. Où était passé son mentor de l’instant ? Après un moment à se déplacer où une once de doute s’installa en lui, il faillit trébucher, accroché par les pieds. Maliarg ! D’une main tenant sa gorge manifestement tailladée, d’une autre s’agrippant fermement à la jambe du jeune homme. Un regard de franche panique dans les yeux, le vieux député gargouillait quelque chose. Debrrag était trop choqué pour réagir. Soudaine le bruit de souffle mécanique se fit entendre derrière lui, très proche ! Le tarkyen se retourna vivement et tomba à la renverse, tétanisé par la vision cauchemardesque qui se tenait devant lui. Un être humanoïde aux yeux grands ouverts injectés de sang, la chair d’une blancheur maladive mordue à quelques endroit par des implants mécaniques ou cybernétiques. Certaines parties du corps étaient dépourvues d’épidermes, et visiblement certains muscles manquaient à l’appel. Une jambe était même remplacée par un membre artificiel sommaire, et la tête de la chose était à moitié cachée au niveau de la mâchoire par un appareil de respiration noir. Et ces yeux de ténèbres et de sang… Bruit de souffle mécanique. « AAArrrrAaaggh !! » Hurla la chose comme à travers un masque de plomb. Le cœur de Debrrag fit un bond ; tétanisé , il ne pouvait plus bouger. « Rrhhhhaaaaa ! Vengeaaance ! » cria la chose en brandissant un sabre andari. Mengsk ! Debrrag comprit trop tard, seulement lorsque le métal mordit sa chaire au niveau de l’estomac, répandant ainsi ses tripes sur le noble marbre du palais. Ses cris, à faire claquer les cordes vocales, furent ses seuls réponses aux coups acharnés de l’empereur en colère tailladant ses chaires. *** La douleur avait tellement été insoutenable dès les premiers instants qu’il avait manqué de perdre connaissance et s’était immédiatement injecté un puissant antidouleur. Il avait ensuite finis de s’extraire de son sarcophage, profitant des cris de ses malheureux compatriotes agonisants comme diversion. Tremblant, asphyxiant presque avec ce respirateur protégeant ses poumons endommagés, incapable ne serais-ce que de ramper droit, et devant la situation d’extrême urgence, il s’était injecté une de ces dose d’amphétamines de guerre funèbre que chaque gradé andari portait sur lui. Le déferlement d’énergie lui avait alors fait tourner la tête et hoqueter. Cela faillit le trahir. Rassemblant ses esprit, et, pourvu d’une énergie aussi nouvelle qu’artificielle, il s’était emparé de « Dolorem » le sabre du général Titus Valar tombé non loin de lui et s’était lancé énergiquement d’un pas instable en direction du premier tarkyen qui avait rit, le plus proche. Notant du coin de l’œil l’action en cours à l’autre bout de la salle, l’esprit de raison commençant à disparaître devant l’agressivité narcotique, il réussit néanmoins à estimer brièvement la situation et à s’imposer une relative discrétion. Le vieux tarkyen ne pu même pas prononcer le moindre son qu’il se retouva à tomber à genou devant l’aberration médicale aux pupilles surdilatées que représentait le maître de l’empire andari. Puis ce fut au tour du gynocide … *** Ariès fut le premier à franchir la zone criblée d’impactes, abattant son sabre sur le crâne d’un blessé tarkyen. Le bataillon les avaient rejoins embarquait à présent dans le croiseur tandis que plusieurs sections de grenadiers s’engouffraient dans le palais. Ils n’allaient pas tarder à dénicher tous les Tarkyens et leur faire payer l’affront ! *** « Situation de proximité lieutenant ? » « Douze escadrons en renfort, ils éliminent nos derniers chasseurs ! » « Situation en atmosphère ? » « Les corvettes seront sur nous dans vingt… » « Je vois… rapprochez-vous du bâtiment ! Je veux que le sas de tête se place au niveau de cette tour ! » Le général désigna un élément de la représentation holographique du château. « Qu’on la détruise et qu’on fasse préparer un détachement de la sécurité de bord afin de prêter main forte à nos troupes depuis les étages supérieurs ; nous ferons un étau ! » « Bien reçus mon général ! » Le jeune homme courut distribuer les ordres. Belliare, bien que satisfait de la situation de l’instant présent, appréhendait néanmoins la suite des évènements. Ils devaient capturer Zitarg afin de s’échapper de la planète !
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 05/07/1016 ETU 16:00 |
Score : 3
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Détruire… détruire… tuer… Voilà les seules choses qui venaient à l’esprit de Silius Mengsk, souverain des fiers Andari, aujourd’hui réduit à consommer des drogues afin de se maintenir sur pieds. En effet, suite au massacre du hall de réception, il s’était injecté une seconde dose du puissant stimulant, diminuant ainsi temporairement mais sérieusementt ses capacité cognitives tout en augmentant son agressivité. Silius avançait, tout d’abord courant, maintenant d’un pas tremblant, sans réellement savoir où aller. Le corps a ses limites que le délire ignore. Ainsi il avait erré dans les couloirs du palais sans aucune concertation avec sa raison toujours endormie, et ses réflexes primitifs prenaient le relais. Son esprit n’enregistrant pas clairement les informations voilà plusieurs minutes qu’il s’acharnait à charcuter un tarkyen mort depuis des heures. Il y avait bien eu quelques victimes durant ce périple, de simples civiles travaillant dans le palais, mais rien de significatif par chance. Chance oui, car ce n’est pas avec son épée qu’il allait pouvoir se mesurer à un quelconque adversaire moderne… Il marchait donc, son arme laissant derrière lui des gouttelettes de sang. Tiens… une impression au milieu de ce chaos intellectuel. Une idée fébrile semble prendre forme… Ah quelle fatigue ! Mieux vaut rester encore en sommeil, c’est si bon. Et cette chape de plomb… Mais l’idée est tenace et insiste pour se manifester à l’esprit du souverain. L’avantage que cette flamme de raison détient contre les hordes du néant intellectuel est qu’elle sait parler aux réflexes. « Oui esprit, oui, rappelles-toi de cela: dans un combat la moindre des choses est de s’armer correctement… Vois-tu ce pistolet exotique ? Il est chargé, et pourrait très bien se tenir dans la main gauche… " La voix de la raison peinait à se frayer un chemin dans la tempête narcotique, la dose avait été dangereusement élevée. Cette drogue était faite pour donner d’ultimes forces au guerrier afin d’emmener le plus d’ennemis avec lui dans l’au-delà, pas pour soigner un corps durement sollicité. Mais, étrangement, le corps du mutilé réagissant relativement bien. Là, contrairement à d’ordinaire, c’était l’esprit qui peinait. « Prend garde tout autour de toi… » L’esprit se fronça, se complaisant dans sa tranquillité. « … apparaissent maintenant des bruits, te rappelles-tu de ce qu’il signifient ? » L’esprit restait muet. « Cris, explosions, tirs… c’est la guerre ! » Souvenir ! Une image s’impose, celle du vieux sergent instructeur. Un choc réflexe secoue Silius. Le corps se baisse, ramasse l’arme du tarkyen décédé, vérifie les munitions et la place dans la main gauche. L’esprit s’inquiète, cette petite flamme à semé le doute. Tiens, une porte « Ennemis ou amis ? N’oublie pas la différence… » Lentement, Silius s’approche de la porte et active l’ouverture. ***
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 08/07/1016 ETU 17:08 |
Score : 2
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Toujours pas de notion du temps, mais quand même une amélioration des capacités intellectuelles. Il était tombé en pleine zone de combat située dans un hall d'exposition d'art ancien. Inutile de préciser que les éclats de projectiles et le rayonnement thermique des armes à énergie avaient mit la plupart des objets dans un sale état. À nouveau conscient d'un minimum de technique de combat, il s'était rapproché de couvert en couvert avant de jaillir au milieu d'une position heureusement adverse occupée à mitrailler l'entrée d'un couloir. Tandis qu'il taillais dans le lard des tarkyens pris par surprise, il nota du coin de l'oeil un des homme s'enfuir en prenant des escaliers. Mengsk acheva de raccourcir l'existence de ses ennemis avant de se lancer, avec une démarche inquiétante, à la suite du fuyard. Des marches et des marches plus tard, Silius parvint enfin à un étage. Était-ce là que sa proie s'était rendue ? Aucune idée, et aucune réflexion à ce sujet non plus, car de toute façon Mengsk s'y engagea sans attendre. C'était une grande salle où débouchaient plusieurs couloirs et escaliers, un tas de cadavres s'y trouvaient baignant dans leur sang relativement frais. Là, un homme à uniforme rampe, Silius l'ampale de son épée tout en grognant. Il continue ensuite instinctivement vers ce qui semble être l'entrée d'une autre grande salle. "BANG!" Silius chancelle mais ne ressent rien de la balle lui ayant éraflé les côtes, puis se jette tout de même à couvert. S'en suit un échange de coup de feu qui dure relativement longtemps avant de s'éteindre, les munitions ayant été consommées. Ce que dira par la suite Mengsk à propos sera quelque peu confus, mais ce qui est sûr est que le tarkyen d'en face, un haut gradé d'après l'uniforme, fit de même lorsqu'il aperçut Silius, sabre au clair. "En garde Tyran! Vous ne partirez pas de ce lieu sans avoir tâté de ma lame..." Silius le regarda une lueur agressive dans les yeux. "Hrr...zitarg! Hrrr venger ... Bassesse..." Grogna-t-il en réponse, avec le chuintement de sa respiration mécanique. Les deux belligérants se mirent à se mesurer du regard un instant tout en déroulant le poignet afin de le réveiller pour l'un, et en haletant progressivement plus vite pour l'autre. Puis Mengsk n'y tînt plus et se jeta sur le général tarkyen. Et les coups se deroulèrent, tanto avec une fluidité exquise pour qui savait juger, tanto avec une brutalité saccadée. Attaque, parade, feinte, contre-attaque, coup de taille... Plus le combat continuait plus Mengsk sentait ses réflexes longuement entrainés revenir. Son esprit aussi, était plus clair. Mais inversement, son corps devenait plus lourd, ses gestes plus lents, et ses blessures, plus douloureuses. Le stimulant de combat andari perdait de son effet! Toute la rage de Mengsk se déversa alors dans ce combat, et son coeur se mit à battre à tout rompre. Il déchaîna de plus en plus d'attaques, poussant son corps au delà de la douleur qui ne cessait de grandir. Jusqu'au moment où, l'on pouvait s'y attendre, son organisme flancha. Mengsk ressenti une peur soudaine: sa vision se restreigna brusquement et ses membre avaient comme disparus. Après un instant qui lui sembla une éternité où il vécut une sensation de chute incontrôlée, un violent choc le réveilla, suivit d'une douleur aiguë. Lorsqu'il reprit ses esprits il était à terre, une entaille sur le torse entamant son pectoral droit. Porté par sa victoire, le général tarkyen se mit à rire. "C'en est finis de vous et de vos méfaits envers les peuples, empereur." railla-t-il en crachant la fin. Il leva son sabre de façon théâtrale et prononça solanellement ces mots: "Ainsi périssent les ennemis de la République!" Son bras était en train d'entamer un rapide mouvement descendant lorsque avec fracas, son crâne explosa tout en projetant de la cervelle tarkyenne mêlée à des mèche de perruques aux alentours. Le bras finit mollement sa course et le sabre fendit légèrement la jambe de Silius. Éreinté, Silius pu lutter assez longtemps pour apercevoir avec soulagement une paire de botte de combat andari s'approcher en courant, avant que son corps ne réclame son dû et que son esprit ne sombre dans l'inconscience la plus totale.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 09/07/1016 ETU 01:02 |
Score : 2
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« Zitarg ! » Il est enfin à portée de main ! Quelqu’un crie à côté d’Arbès, son hurlement se perd dans un gargouillis sanglant. Le capitaine se retourne à temps pour bloquer la baïonnette du garde républicain avec son propre fusil. Décalage, coup de talon dans le tibia, coup de crosse. Le garde tombe à la renverse tandis que le capitaine des grenadiers épaule et tire un jet de plasma incandescent créant un trou béant et fumant au torse d’où l’on pouvait voir le sol calciné. « Lieutenant ! Prenez ces hommes et allez rejoindre le sergent Ostias, dans le couloir à l’autre extrémité ! » Le subalterne comprend immédiatement l’importance de cette mission : garder l’effet d’étau sur les dernières forces tarkyennes encore en ce lieu. L’officier ordonne ses hommes et va s’acquitter de la tâche au pas de course. « À général Belliare, de capitaine Arbès. À 1984, huitième niveau du palais Tarkyen, j’annonce rencontre avec forces présidentielles. Tenons l’ennemi en étau. Forces adverses estimées à une section de gardes républicains renforcée de forces disparates. Présence de Zitarg fortement présumée ! Demande envoi de renforts immédiats. Pertes : soixante-huit pourcents, Munitions : onze pourcent… » Le capitaine faisait un rapport de combat au général tout en réfléchissant à la situation présente. Zitarg était là ! Arbès n’en avais pas la preuve, mais il était sûr de l’avoir aperçut furtivement parmi la masse de politicien s’enfuyant par le couloir principal de l’aile du palais. Les gardes républicain avaient ensuite pris le groupe andari pour cible. Encore juste un peu… Arbès harangue une foi de plus ses hommes. Ils sont épuisés par ces incessants combats et ont perdu nombre de frères, mais le capitaine le voit : dans leurs yeux brille encore la flamme. Arbès le sait : elle allait les pousser à se battre jusqu’aux portes des Enfers.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 09/07/1016 ETU 22:45 |
Score : 3
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*** Le capitaine déclencha l’ouverture de son masque protecteur et enleva son casque. Il se passa la main plusieurs fois sur le visage, essuyant la crasse et la transpiration. « Vous pouvez répéter ? » « Eh bien nous sommes arrivé à peine trop tard : le groupe du sergent Ostias a été vaincu et tout un groupe de civils passait dans ces escaliers, escortés par quelques gardes dont nous nous sommes chargés. Nous n’avons pu en rattraper que sept. Ils sont d’ailleurs assis contre ce mur, désirez-vous les interroger ? » « Zitarg ! Concernant Zitarg ! » « Aucune trace capitaine. Les hommes partis en reconnaissance ont rapporté que les installations descendent bien plus bas que les simples sous-sols du palais. J’ai estimé par la suite qu’il valait mieux rebrousser chemin. » Arbès ferma un instant les yeux et soupira ostensiblement. Puis il jeta son casque au sol, et l’envoya contre le mur d’un coup de botte tout en pestant et jurant à l’encontre du Joker et des démocrates. Silius Mengsk était sauf, pas sain, mais pour l’instant bel et bien sauf. Une patrouille sanitaire s’occupait d’ailleurs de lui à l’instant quelques étages plus haut. Mais sans un otage-clé pour quitter l’espace Tarkyen, tout ceci était vain. Le casque heurta le mur à proximité d’un des prisonnier. Le jeune homme s'écarta vivement en criant de surprise. C'était visiblement un jeune politicien fortuné. Le capitaine, comme piqué par une guêpe réagit violemment « Quoi ? Tu oses élever la voix ? Ne bouge pas ! Que je vienne te corriger ! » répondit Arbès accourant presque sur l’otage. Il se mit à le frapper, sous l’attitude consentante de ses hommes. Le capitaine laissa libre court à sa colère et à sa frustration en frappant violemment du pied le politicien dont la tête roulait maintenant mollement au rythme des coups du militaire. Une des prisonnières s’agrippa soudainement au capitaine tout en essayant de s’interposer entre eux, avant que les grenadiers ne puissent réagir. « Pitié Monsieur, vous allez le tuer ! Nous sommes riches et influents, nous pourrons vous être utiles ! » hurla-t-elle avant de se faire tirer en arrière par un homme particulièrement massif. Cela refroidis immédiatement Arbès. Soudainement conscient de la situation, il s’écarta remit en place son équipement. Rien ne pouvait plus être fait pour Zitarg, mais il réalisa que les prises récoltées n’étaient pas anodines. Après quelques instants il reconnu le sénateur Frizlarg, ex porte parole de Zitarg et membre du parti progressiste, un proche de Zitarg. Cela valait peut-être la peine d’essayer… Le capitaine ordonna le départ, direction le croiseur qui devait maintenant arriver sur zone.
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