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> Ier Sommet Inter-Galactique
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 
07/06/1016 ETU 23:38 |
Message édité -
Score : 2
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Les combats s'intensifiaient à mesure que les forces andari progressaient sous les appuis conjoints de l'artillerie et l'aviation. Tentant de percer le front sur le secteur des avenues, le commandant de bataillon avait lancé toutes ses forces dans la bataille. Beaucoup de pertes étaient à déplorer du côté du commando blindé. Les andari ne cessaient d'essayer de pénétrer la place sans pouvoir y parvenir. A tel point qu'Ariès avait ordonné de ne simplement plus que tenir les positions chèrement acquises. Ils attendaient les renforts tout en bloquant l'adversaire à l'intérieur. Du coté de croiseur, Belliare s'étonnait de l'absence de réaction de la part de la marine tarkyenne. Seuls plusieurs escadrons de chasseurs avaient tentés des frappes. Il y avait bien eu une Elvis café à partir du sol avec des armes DCA, mains rien de sérieux que l'artillerie de bord ne puisse venir à bout. C'est en observant des images de la ville que la général remarqua le flot inhabituel de civils se rassemblant. Attisé par la curiosité, il avait alors gardé un oeil là dessus. ...et vu des scènes de violence à l'encontre des forces de l'ordre. Un soulèvement ! La population locale se soulève contre Zitarg! Un évènement inespéré, se dit- il. Il ordonna aussitôt qu'une estafette entre en contacte avec les rebelles afin de négocier une éventuelle alliance.
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 
08/06/1016 ETU 13:19 |
Score : 3
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Un homme de main à Zitarg montra empressement les image de la population locale arrivant en masse devant le Palais. Leurs revendications étaient assez inhabituelle pour une manifestation. D'autant plus qu'il molestés quelques dizaines forces de l'ordres. Avant l'entrée du Palais il y avait plusieurs check-point, mais ils ont été balayé par la foule. Et il y avais également l'intrusion de l'armée de Silius Mengsk. Dans la grande salle du Palais, Zitarg reçu la nouvelle un peu de manière passif. Avec tous les éventements qui s’enchaîné,plus rien ne pouvait lui faire sortir de ses gonds. Dés qu'il appris ce qui se passé à l'entrée du Palais et la confrontation qu'avait lieu en ce moment même, Zitarg força son regard vers l'espèce de tombeau qu’abrité l'empereur Silius Mensk qui se trouvait juste en face de lui. - Mais que fait votre armée !!! N'avez-vous donc rien compris sur la situation actuelle. Le Palais s'étant vidés de gardes, qui étaient tous à l'entrée entrain de battre, la quelques dizaine de conseillés derrière Zitarg sortirent leurs armes et encerclèrent la délégation andari. - Personne ne sortira d'ici, tant que je n'en aurais pas donné l'ordre. Avec tout le respect que je vous dois, vous êtes un irresponsable empereur Mengsk. Vous envoyé volontairement vos soldats à la mort. Venir ici dans la Capitale Tarkyenne, le jour d'un Sommet, vous pensiez réellement pouvoir conquérir ma ville ! --------------------------------------------------------------- A l'entrée du Palais, les balles fusées de partout, les cadavres gisais à même le sol appartenant aux deux côtés. Le Général Byarg qui était entrain d'évacuez ses troupes du Palais ne s'attendais pas à un tel débarquement. - Général, leurs forces blindés sont beaucoup trop puissantes. Les renforts mettront plus de temps que prévus, il y a une révolte ou je ne sait quoi de l'autre côté. Puis Byarg mit sa main sa poche, attrapant quelque chose. - Ordonnez la retraite, que tout le monde retourne dans le Palais. - Massacrez- les Général sourit le garde --------------------------------------------------------------- Du côté de "la révolte" , les millions de Tarkyens marchaient tous en direction du Palais, en scandant leurs revendications. Le dernier barrage avant l'entrée du Palais n'avais rien avoir avec les autres, il s'agissait d'un long mur métallique ayant une seule porte de passage. Plusieurs milliers de soldats Tarkyens s'étaient positionnés à se barrage, l'arme en point. Des millions de Tarkyens dans les rues, tous avec un mystérieux 'téléphone" en main. Le Peuple Tarkyen, manifestés très souvent, cela faisait parti des coutumes locales, peuple démocrate, ils croyaient en la lumière de lysbia. Même si l'intensité de violence de celle-ci n'avait rien a voir avec les autres, et sa spontanéité si soudain. Devant la porte métallique une retransmission allait avoir lieu en face, il s'agissait de Zitarg, en personne. - PEUPLE DE TARKYA !!! Dés la vue de leurs Président les tarkyens arrêtèrent leurs progression pour l'écouté.
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 
08/06/1016 ETU 15:45 
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Score : 5
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Harley sentit son pad vibrer à trois reprises, son visage changea entièrement pour devenir sérieux. Elle bascula en avant pour donner un coup de son talon en pleins dans les parties du pauvre Ekko qui ne s'y attendais pas, le pad ayant déjà vibré auparavant et affiché des messages en provenance de la civilisation Olhorin. Harley passa ensuite ses mains devant elle et ramassa le marteau tombé à terre, s'exerçant avec la tête du pauvre Ekko plié en deux comme un joueur de golf avant de tirer. Désolée mon petit. Mais Maman à une urgence, on joueras au bondage et tout ça une autre fois si tu survis ici. Promis. Elle lui fit un clin d’œil et lui envoya un baiser avant de lever son marteau bien haut. Un tel coup de marteau en plein crâne aurait vite fait de le réduire en bouillie. Au lieu de ça elle échangea le sens du marteau et le tint au niveau de la tête, frappant Ekko avec son manche, l'envoyant dans les cordes pour quelques minutes sans aucun doute. Harley profita de ce moment libre pour défaire ses liens, se saisir de son pad et y répondre en hurlant, à côté d'un Ekko trop sonné pour y comprendre quoi que ce soit, puis s'en alla.
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Cdt. Le Joker
Respect diplomatique : 1224 
08/06/1016 ETU 23:00
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Score : 2
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Sur la capitale Tarkyenne, les nuages se sont amoncelés sur le chaos ambiant. Une goutte. Puis deux. Fines. Plus grosses. Plus serrées. Plus rapides. Sur la capitale Tarkyenne, une averse digne des moments les plus dramatiques vient couronner les événements.
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 
08/06/1016 ETU 23:42
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Score : 2
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Dans le vacarme ambiant des combats incessants, l'opérateur situé dans une pièce sécurisée du château était chargé de recevoir tout message venant de l'extérieur lorsque, il se leva d'un bond et se précipita dans les couloirs a la recherche de Colner .... Il retrouva celui ci enfin a donner ses dernières consigne pour défendre au mieux les fenêtres ... Mon Commandant ? Sergent Landyen au rapport, je viens de recevoir un appel de l'Andromèda me transmettant le message suivant que de nouvelles instructions pourraient être données directement du Sénat Kröne dans peu de temps ! Et quelles sont ces instructions Sergent ? Justement, cela pourrait dépendre de ce que va dire ou décider le Président Zitarg dans son allocution.. Colner compris instantanément qu'ils arrivaient peut être a la fin du conflit Parfait Sergent retournez a l'écoute de l'Andromèda et attendez la déclaration de Zitarg, une fois fait, vous retransmettrez tout ce qu'aura dit Zitarg, a ce moment, ce sera au Sénat de décider, et nous nous rangerons a leurs décision, la balle sera alors dans leur camp ... Le Sergent salua et reparti rapidement ..... Colner fit, quand a lui, barricader le passage donnant sur les égouts
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 
09/06/1016 ETU 20:07 |
Message édité -
Score : 5
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Sa tête avait taper le mur. Il s'était fait éclaté par le manche du marteau, et en plus, il avait mal aux burnes. ça faisait mal... Un mal de chien. Il émergea quelques minutes après qu'Harley l'eu assommé. Il était complètement hagard. Il tenta de se relevé... Echec. Il retomba sur l'épaule. Il s'aida donc du mur pour retrouver un semblant d'équilibre. Une bonne minute après, il fut debout. Ses esprit redevenaient clair. Il posa sa main sur la tête comme pour apaisé la douleur. A cet exact moment, il se mit à crier à injurier Harley. C'était la fois de trop. HARLEY QUINN, ESPECE DE... " Devant la violence de cette scène, nous préférons vous montrez ce document, sur la langouste." ... J'ARRIVE ! Il se mis donc en route pour le toit. Endroit où la famille allait se réunir selon les dires d'Harley. Le charivari de dehors ne lui faisait ni chaud ni froid. Pourtant, ça ressemblait à s'y m'éprendre à l'apocalypse. Le gardien du temps marchait vite. Il n'y avais pas de temps à perdre. Et si Olorin avec trouvé le Joker ? Et si elle se retrouvait seule avec la famille sur le toit ? Son cerveau tournait de nouveau à plein régime. Plus il réfléchissait, plus cette situation sentait le sapin. Il entendit un bruit en se rapprochant de l'intersection du couloir. Sans même réfléchir une seule seconde il tira ses lames. Le garde eu juste le temps de voir Ekko. Avant même de pouvoir hurler, sa tête roulait sur le sol. Il augmenta la cadence. Ce n'était plus qu'une histoire de vengeance, Olorin était peut-être même en danger.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488
11/06/1016 ETU 07:08 |
Score : 3
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"votre armée..." ainsi le général Belliare avait déclenché une attaque, tel qu'il l'avait prévu. Quel bon élément... Silius analysait les paroles du président tarkyen au fur et à mesure. Lorsque ce dernier eu finit sa diatribe, et que les tarkyens eusse encerclés Mengsk et sa délégation, Silius ouvrit soudainement les yeux et fixa Zitarg. Bras croisés autant que permettaient transfusions et appendices médicaux, Silius lui répondit de sa voix mécanique. "Ainsi mon escorte s'est mise en marche... Je vous remercie pour l'information, Président Zitarg. Il vous est certainement venu à l'esprit qu'avec votre brouillage, je ne maîtrise aucunement mes hommes... En d'autres termes, la situation catastophique actuelle est uniquement de votre fait; par votre incompétence à gérer une situation de crise. En fait il ne tenait qu'à vous de me laisser les arrêter. Ne vous est- il jamais venu à l'esprit qu'il est tout à fait justifié pour quelqu'un de ma position de vouloir disposer de sa personne à sa guise? Vous auriez dû réfléchir avant de décider de me confiner dans ce château en compagnie de vos gardes efféminés." Dit-il sur un ton plein de sous-entendus en direction du garde blessés, toujours geigant. " je suis curieux de voir comment vous allez gérer ce pétrin." *** "Détection! Nombreux impactés dans l'atmosphère... Plus de trois cents! Analyse en cours... les relevés indiquent des masses correspondant à des unités moyennes... Corvettes légères laser! Arrivée prévue dans seize minutes!" La nouvelle força Belliare à reconsidérer ses plans. Plus question de faire dans la dentelle. Le général se jeta sur la carte tactique et se mit à analyser la disposition de ma ville à la recherche d'une solution. Et il trouva... Décision prise, il ordonna de manière rapide et efficace. L'intention était de prendre de court la flotte tarkyenne en atteignant le château de Zitarg le plus rapidement possible tout en atteignant au passage un point vital de toute la ville: la centrale énergétique. Cela allait s'avérer compliqué...
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252
11/06/1016 ETU 19:54 |
Score : 4
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La quinzaine de conseillé tarkyens encerclèrent la délégation andari, une arme légère au poing. Zitarg se leva et fit le tour de la table, puis marcha en direction du corps médical qui entourés l'empereur Mengsk. - Hmm, quel culot ! Votre flotte de guerre est juste en bas, essayant de prendre le contrôle de ce Palais, et vous osez insinuer que c'est moi le responsable de se désastre. Je n'ai de cesse à vous protéger vous TOUS dans cette pièce et voila comment certains me remercient. Ma Capitale est entrain de tomber en ruines !! Et vous m'accusé d'en être l'origine. Le Jeu a assez duré, je sauver mon pays dorénavant, votre ingratitude vous perdras. Puis il s’arrêta de marché, et se tourne vers l'un de ses techniciens. La retransmission est-elle prête ? - Oui Monsieur le Président *Direct* PEUPLE DE TARKYA ! C'est votre Président qui vous parle, je suis actuellement dans le Palais, accompagnés des autres dirigeants présents pour le Sommet. Tarkyens, l'heure est grave, notre nation viens d'être attaquer en son cœur. En effet des individus indésirable ont réussi à pénétrer dans notre belle Capitale, pour y instaurer le chaos et la désolation. Ses mêmes personnes nous tiennent en otage dans le Château, nous menaçant de mort. Cependant Tarkya ne négocie jamais avec les terroristes. Le faites est que vous avez été bernés mes frères ! Tous sa pour nous diviser ! Ne tombons pas dans leurs piège. Ses énergumènes ont peut-être réussit à nous surprendre, mais ils connaissent pas l'esprit fraternel qu'unissent les Tarkyens !!!! La lumière de Lysbia est de notre côté, je ne baisserais jamais les bras, surtout lorsqu'il s'agit de la survie de mon peuple et de mes valeurs. Soyons fort et montrons leurs la lumière, éclaircissons leurs âmes et purifions notre pays. Je m'adresse également à nos alliées démocrates ou qu'ils soient. Ceux qui ressortirons vainqueurs aujourd'hui, déterminerons le sort de toute la galaxie jusqu’au jour de l'apocalypse. Imaginé, ce qu'il adviendra des démocrates et de ses idées si nous abandonnons. En ce qui me concerne j'irais jusqu'au bout, nous sommes dans une guerre totale ! Je ne compte pas m'agenouillez, soyez en sur. Il y'a eux, et il y a nous. J'ordonne l’évacuation de toute notre Capitale, ainsi que le déploiement de toutes nos forces armées, l'objectif numéro un, étant, l'éradication pur et simple de toutes personnes se montrant hostiles. *Coupé* - Désolé, Monsieur le Président, nous n'avons pas pu maintenir la retransmission plus longtemps, les explosions ont beaucoup endommagés nos systèmes. C'est bon, j'ai dit ce que j'avais à dire. Zitarg se tourne maintenant vers les andari et s’avancent, il resté bien à l’extérieur du cercle qu'avaient formés ses conseillés autour d'eux. tuez-les Puis les conseillés armés se mirent à tirés sur tout les andaris, aux yeux de tous les autres dirigeants, les membres de la délégations andari et leurs cadavres gisais sur le sol, baignant dans leurs propre sangs, la seule personne qui était encore intact parmi eux , était l'Empereur Silius Mengsk et son appareil lui permettant de resté en vie. |
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488
11/06/1016 ETU 20:47 |
Score : 5
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Ariès regarde, observe, scrute, analyse, mais ne comprend pas. Pour une raison ou pour une autre, les adversaires reculent. Il croit voir des altercations entre les forces Krönes et Tarkyennes, mais n’en est pas sûr… Eux qui tenaient les couloirs avec une telle fermeté que même des troupes d’élites Andari peinaient à progresser, procèdent maintenant à un retrait tactique. Tellement de pertes de son côté… Ariès doute, Ariès réfléchit, le général lui à donné une mission, il doit la remplir. Le problème est que la situation est désespérée, son détachement n’est plus à même de tenir les entourages du château et les renforts tardent à venir. Dans l’esprit d’Ariès commence alors à couler l’idée du sacrifice ultime. Ses hommes détiendront, à titre posthume, de prestigieuses décorations dont la symbolique résonnera à travers leurs noms pour des siècles et des siècles. Ariès commence à lâcher prise. Ariès désire se battre, désire courir vers la Gloire… Dans son esprit l’image de sa femme apparaît soudainement. Se divise alors quelque chose en lui, d’une part l’envie de la revoir et de la serrer dans ses bras, et d’une autre, la volonté de faire le cadeau le plus fort qui soit : un époux tombé au combat dans des circonstances dignes des plus grandes légendes. "Lancé avec ses frères à l’assaut d’une citadelle pour le sauvetage de l’empereur lui-même, sans renfort et sans possibilité de retraite…" Que rêver de mieux ? Se battre aux côtés de Mengsk peut-être… Oui , le sacrifice serait d’une noblesse telle que son nom serait peut être mentionné en lettres d’Or dans la Nécropole. Mais sa femme est si jeune, supporterait-elle sa perte ? Que feraient ses enfants en si bas âges ? Ils ne le connaîtraient même pas… Il était trop tôt… Ariès doit se faire violence, et se forcer à patienter, car tout n’est pas encore perdu, et en attendant un officier se doit d’être le dernier rempart à l’échec. Ariès à reprit confiance en lui et rassemble ses hommes. *** Le croiseur se dirige maintenant droit devant, en direction de la centrale énergétique. Un éclat bleuté au loin trahit la présence d’un champ de force. Le croiseur continue sa route, et accélère même. Le général Belliare à ordonné un étalonnage de la poussée des réacteurs, pour l’instant l’accélération est relativement faible. L’immense masse de métal pourfend continuellement la masse d’eau tombant sur la ville. Soudain, des tirs. Beaucoup de tirs. Ils viennent de tous les alentours, du sol, des immeubles, gratte-ciels, l’artillerie de bord réplique. L’ARES II arrive à l’endroit critique. L’immense zone industrielle concentrant, générateurs et transformateurs apparaît au loin. Le croiseur, tout en échangeant des obus et des masses de plasma incandescents vire soudainement de bord à une vitesse folle. Puis l’enfer se déchaîne. Simultanément, toutes les batteries turbolaser, les silos de missiles et canons à obus déversent une seule et unique salve destructrice. Les armes à énergie, plus rapides, s’abattent sur le mur d’énergie, le faisant rougeoyer. Puis viennent les armes dites conventionnelles qui finissent d’abattre le bouclier tarkyen, qui s’effondre. La centrale est là ! Jaillissent alors brusquement les flux radioactifs des réacteurs sur les environs de la ville, calcinant tout sur leurs passages. Un bâtiment s’effondre tandis que le croiseur s’éloigne de la zone de danger, son écran de protection commençant aussi à rougeoyer... Un dernier missile, plus gros cette fois, est lancé à partir du navire de guerre dont le fracas du mouvement avec l’air se répand sur des kilomètres. Puis vient une lueur aveuglante, qui diminue d’intensité, suivit d’une onde de choc, d’un bruit sourd mais puissant. Les bâtiments se consumant alors, sont définitivement rayés de la carte par l’onde d’énergie cinétique. La ville est désormais livrée à elle même, plus d'énergie, le chaos s'installe... Le croiseur, lui, vacille quelque peu mais continue sa course folle au dessus d’une ville maintenant endormie. Devant le croiseur, au loin, se dresse à présent la silhouette d’une immense bâtisse de style ancien tandis que des centaines de traits blanc se dessinent très haut dans le ciel, vers l’horizon… *** Silius regarda tout autour de lui ; il était le seul debout du groupe andari. Ses yeux se firent alors minces, très minces, le bas de son visage caché par le respirateur. D’une voix mécanique aussi calme que froide, il se contenta de répliquer : « Président Zitarg, j’en fait le serment, vous payerez cher votre erreur. »
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338
19/06/1016 ETU 23:18
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Message édité -
Score : 2
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Un silence impressionnant régnait maintenant dans les couloirs du château ..... Colner faisait les cent pas lorsque, un soldat arriva enfin .... Ca y est mon Commandant, l'ordre est donné ! fit il essoufflé Parfait ! allez allez faites passer le mot aux traqueurs et aux 6eme des sables on se cassent d'ici, les blessés d'abord, le reste en formation de marche exécution .... Ce fut un nouveau brouhaha mais les soldats semblaient être frappé d'une énergie nouvelle, sans doute a l'idée de rentrer chez eux .... c'est en parfait ordre de marche que le 6eme des sables sorti d'abord, suivi de prés par le 561eme Traqueurs de New Stalingrad, Delna, la chef des services secrets avec eux.... Enfin le Commandant Colner et son 26eme raptors de Needa .... quelques instants après ils sortirent du château et se dirigèrent vers l'astroport ou les attendait un vaisseaux ....
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