Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 ![]() 03/06/1016 ETU 12:25 ![]() |
Score : 6
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Décha chi tu chrois qu'une mère va te dire où chont ches choupinets chais pas che que tu as pris avant mais chétais de la bonne. Et franchement ch'est pas bien de pas partacher. Ch'est dégueulache même de pas faire tourner aux chopains. Pis tu chais, ch'crois t'as oublié un ch'tis truc très important. Chais juste un peu chemé achez de bombes pour racher la moitié de cette fichue capitale et tout cha cha feras boum chi tu me touche moi ou mon biquet. Donc ichi la cheule en pochichion de faire des menache ch'est moi. Après chi tu t'en fous d'faire boum avec tout cheux ichi ch'est pas ma faute à moi. Mais y'a réunion d'famille d'ichi quelques minutes sur le toit. Donc t'es chympa et tu m'laiche aller là haut avec mon marteau, chais quelqu'un à taper avec. Après chi tu veux pacher par le bondache et tout, che doit te rappeler que ch'uis avec le choker. Alors ch'est pas que tu me fais pas peur à me menacher mais ch'ais un peu vu le pire qu'on puiche faire et ch'te promet ch'étais pas beau à voir. Alors pour m'faire peur on repacheras. Ch'uis même tenté de rire chi cha devait pas me faire perdre ma chuchette. Y a rien de pire que les tortures du choker, chauf peut-être le poichon.
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 03/06/1016 ETU 13:40 |
Score : 5
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Réunion de famille hein ? Donc c'est là bas que j'ai le plus de chance de trouver les deux calamités. Tu vois quand tu veux. Je sais bien que tu as foutu des bombes partout, mais entre toi et moi, ne me dis pas que ça changera quelque chose que soit gentil avec toi. Ne me dis pas que si je te relâche tu ne vas pas tout faire péter de toute façon. Tu n'es pas vraiment sport Harley. Moi quand je t'ai donné mes deux proposition, je ne t'ai pas caché que je voulais te tuer de toute façon. Vilaine menteuse... Il se leva et détacha Harley de la chaise. Il lui laissa les mains attachés. Aller, on va aller faire un tour sur le toit. Bouge toi. Il lui attrapa la sucette de la bouche et la jeta. Il attrapa le marteau d'Harley et les deux sortirent de la salle de garde pour regagner le couloir. En fait ça m'énervait ta façon de parler avec la sucette. Par contre si tu ris j'te fais tomber ton marteau sur le pied. Marche devant. Si tu te met à courir, je t'assome. En route.
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 03/06/1016 ETU 14:39 |
Score : 5
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TAC TAC TAC TAC TAC TAC TAC TAC - Ici Darintarg, Monsieur le Président excusez-moi d'avoir si tardé à vous contacter. J'ai trébuché en chemin. TAC TAC TAC TAC TAC TAC - AAh, tu est la, ekko et olhorin sont-il encore.... TAC TAC TAC TAC TAC TAC - Ils m'ont échappés votre grâce. Je suis actuellement à la recherche du Joker, apparemment il est n'ai plus dans la salle de vidéo-surveillance et personne ne sait ou il se trouve. TAC TAC TAC TAC TAC TAC - CHUUTE ! Oublie pas que je suis avec les autres dirigeants, tout doit paraître sous notre contrôle. TAC TAC TAC TAC TAC TAC - Veuillez m'excusez mais cela risque d'être difficile à tenir. Le bâtiment peut exploser n'importe quand. dit Darintarg d'un calme insolent TAC TAC TAC TAC TAC TAC - Hmm ce n'est pas sa qui me préoccupe le plus, tu n'est pas le seul à détenir une pierre de lysbia. Notre réputation est beaucoup plus importante. Ou êtes-vous ? TAC - Je viens de rejoindre le Général. - Ici le Général Byarg, Monsieur le Président, excusez-nous , nous avons réussi à capturer la commandante Olhorin, mais elle nous a filé entre les doigts cette peste et a tranchée la gorge à deux de nos hommes. - A quoi servez vous tous ! Bon sang ! Vous n'êtes que des incapables ! Vous allez m'écouter maintenant, je veux que vous évacué tout le personnel du Palais, TOUS,sans exception, cela comprend également ma garde personnelle, dans la discrétion la plus totale. Je veux que le Palais soit vide dans moins de 10 minutes. Et personne ne doit le remarquer. C'est clair ?! Byarg vous en serait le responsable, te concernant Darintarg, descend au sous sol, et active la salle de commande d'urgence au boumkoeur, de las bas tu pourra suivre tout ce qui se passe dans le Palais, localise les terroristes et éliminent les tous ! Nous devons redorés notre blason, et gardé le menton soulevé coûte que coûte ! - Vous pouvez comptez sur moi Monsieur le Président ! - Je les tuerais un par un.
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 05/06/1016 ETU 14:50 |
Score : 6
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Silius avait beau réfléchir, il n’avait pas encore découvert le pot aux roses de cette histoire. L’apparente bienveillance et amabilité du Président Zitarg lui paraissait de plus en plus hors de propos. Il ne maitrisait que très peu de choses dans son propre château, contrairement à ce qu’il laissait entendre. Hormis les gens de l’Aliance Tabor-Crantell, personne n’était venu au secours des hommes blessés. Même pas Silius, qui estimait le sort du garde tarkyen, qui lui avait interdit l’accès à la sortie, bien adapté alors que celui-ci suppliait à terre qu’on lui administre un antidouleur. Mengsk n’avait pas encore réussit à communiquer avec le général Belliare, commandant de l’ARES II. De plus, le système de sécurité tarkyen avait réussit à découvrir les instrusions de l’IA du sarcophage de Silius, depuis, ce dernier était aveugle à ce qui se passait en dehors de la salle de réception. S’en était presque décourageant. *** Bien que son attitude affichait un calme stoïque face au malheur, un dédain certain pour les évènements, Mengsk n’en était pas moins extrêmement agacé de se retrouver coincé dans une situation où son sort ne dépendait pas de son geste. « Par pitié seigneur ! Aidez-moi… » Voilà une heure que le garde était sortit de son inconscience. Au grand dam de Silius qui appréciait le silence de mort régnant dans la salle. « Silence ! » Que faisait Belliare ? « Je veux pas mouriiiiiiire ! » L’homme se mit à pleurer. Il faut dire que ce garde n’avait pas été épargné par le destin : brûlure au soixantième degré environ, vingt-cinq litres de sang perdu au minimum, un millier d’éclat à travers le corps à n’en point douter, dont un gros traversant de part en part la jambe gauche de l’homme, le rendant ainsi solidaire du sol dans lequel la tige de métal s’était également plantée. Certes le narrateur n’a aucune connaissance médicale, mais en tout cas le pauvre garde faisait peur à voir. Où en étaient les Commandants Ekko et Olorìn ? Progressaient-ils ? Étaient-ils morts ? « Je vous donnerais les codes d’accès à tous les étages, juré ! » « mmh ? Tu ferais cela ? Ouvres donc cette porte afin de le prouver… » « Ah non ! Vous en profiteriez pour filer à l’angloise » « Angloise ? » « Rien, laissez tomber, c’est une vieille expression de chez moi… Je vous donnerais les codes lorsqu’une de vos infirmières m’aura soigné, pas avant ! » « Mes infirmières ne s’occuperont que de moi espèce de lâche. Maintenant meurs en silence que je puisse réfléchir à comment sortir de ce tombeau en devenir. » Le garde pleura de plus belle, toussa puis hurla de douleur en tenant sa jambe transercée. Silius ne savait rien de la situation extérieure et « profitait » donc de ces instants pour s’isoler et réfléchir à la situation globale. « Pitiiiiéééé ! » « Non ! » *** « À général Belliare, de Commandant de bataillon… … Ligne de phase ANNA, « transitum », répondez.» « Bien reçus, continuez la poussée selon ordre de bataille. Terminé. » Belliare réfléchit un instant. Il avait reçut les capacités plénipotentiaire du Grand Amiral Pyrrhus pour l’opération d’extraction de l’empereur, mais avait toujours une appréhension à marcher dans les plates-bandes de son suzerain. En effet, qui d’autre que Mengsk, chez les Andari, était mieux placé pour décider qui combattre ? Mais la situation présente n’avait que trop duré. Ce président Zitarg mentait à plein nez. Pourquoi brouiller les communications si tout était sous contrôle ? Pourquoi interdire l’accès aux délégations pour les membres accompagnants ? Pourquoi ce déploiement de force de tarkyen, de Krönes ? L'ultimatum adressé personnellement à Zitarg n'avait rien donné, pas une réponse même de forme. Une insulte en soi! Belliare avait donc décidé d’agir… *** Reniarg, membre des forces de l’ordre de son état pianotait tranquillement sur ses écrans, tout en surveillant les détecteurs aériens. Il avait déjà repéré une bonne soixantaine d’infraction à la vitesse en ce début de journée. « Les gens sont plutôt nerveux ces temps» dit il pour lui-même à voix basse. Soudain, sur une caméra d’un district de l’Est, tous les aéronefs d’une voie d’accès firent embardées, looping et autre cabrioles pour accélérer en sens inverse, poussant probablement leurs machines jusqu’au point de rupture. « Aha ! » s’écria Reniarg, content d’un peu d’action. « À toutes les unités District huit ! Groupe d’aérocars à appréhender… vous envoie les données… » Reniarg tapota sur ses écrans et entreprit de lancer l’acquisition automatique des identifications de véhicules. Alors qu’il jetait un dernier coup d’œil sur l’image, quelque chose obstrua un bon quart de l’écran, et avançait. Reniarg plissa les yeux, un véhicule ? De grosse taille ? Les engins de chantier sont pourtant interdits dans les zones urbaines ! Il dézooma quelque peu pour se rendre compte que l’engin était vraiment plus gros qu’un aérocar. L’image disparut. L’écran affichant un « problème technique » sur fond noir. « Foutrebleu ! Ma caméra ! Qui à osé? » Reniarg, en colère et bien décidé à relever les identifiants du délinquant, tapota encore plus fébrilement sur ses appareils, pour finalement se recadrer sur zone à partir d’une caméra auxiliaire, placée quelques rues plus loin. La mâchoire du tarkyen s’en décrocha presque. Là au beau milieu de la circulation, en pleine zone habitée, et escorté par une myriade de chasseurs, voguait lentement un de ces gigantesques navires de guerre étranger. Titan imperturbable marchant parmi ces liliputiens d’aérocars. Les bips marquants le nombre d’infractions automatiquement envoyées aux citoyens augmenta de façon violente, réalisant presque un son continu tant les aérocars fuyaient en masse. Le monstre de métal bardé de canons venait de l’astroport, le neuvième ditrict. Reniarg déglutit et appuya en tremblant sur le gros bouton rouge marqué « Alarme ». *** Linus Ariès, Capitaine au sein du corps des grenadiers impériaux fit un rapide récapitulatif de la situation au sein de ses hommes. Une compagnie entière d’infanterie débarquée, plus les chars de transport. Ils avaient été transportés par des véhicules civils tarkyens de grosse taille « réquisitionnés » par des agents Andari en vue de l’opération. Cela devait se dérouler rapidement car les Trakyens n’allaient pas tarder à détecter une incohérence du trafic. Certes la diversion qu’allait créer le croiseur amiral au milieu de la ville ainsi que le reste du bataillon marchant au milieu des rues leur feraient gagner du temps, mais cela resterait tout de même serré. Les Andari faisaient ainsi « tapis », déployant toutes leurs forces présentes ceci afin de se concentrer sur trois objectifs simultanément. Le premier, le plus important : le commando blindé du capitaine Ariès dont le but était de pénétrer le château, libérer Silius et capturer Zitarg. En second, le reste des forces blindées tentant un encerclement de la zone et attirant un maximum de troupe ennemies. Et enfin le croiseur, prenant en quelque sorte en otage la ville et ses habitants pour se prémunir des frappes orbitales se déplaçait en direction des centres névralgique énergétique de la mégalopole. Serré, très serré... Surtout quand on pense aux flottes de défenses patrouillant dans le système. C’est pour cela que la capture de Zitarg était importante. Ariès chercha dans sa mémoire une pareille situation où le plan reposait sur tant d'inconnues...mais n'en trouvait pas. *** Atmosphère musicale suggérée:http://tinyurl.com/joscajj "Que diantre se passe-t-il en ce lieu mon cher?" "Point d'idée ne me vient à l'esprit camarade." "Cela me pèse, ce haut lieu fortifié résonne comme un carnaval en boîte et notre ost d'honneur est maintenu ici telle des statues." Son interlocuteur, irrité par la poudre mal appliquée à son visage, éternua, projetant ainsi sa perruque poudrée par terre. "Cornegidouille! Ma coiffe se prend pour une alouette!" Il était de notoriété publique que la Garde Républicaine Tarkyenne du Panthéon, formation militaire de parade mineure servant plus à la décoration et à la préservation des garçon issus de familles aisées, recrutait uniquement sur affinités intellectuelle et pécuniaire. Cet état de fait avait fait entrer cette unité parmi les établissement de Lettres les plus reconnus tant les discussions allaient bon train pendant les heures de garde, principale activité de ces militaires. L'homme de la garde de parade se baissa afin de ramasser l'objet. "Il me serait fort aise de vous indiquer une manière plus adaptée à la survie de votre personne cher ami. En effet, qu'imaginez-vous qu'il puisse nous arriver ici au dehors alors qu'au dedans de ce nid de frelons trafiquent à coeur joie cette fille de petite vertu et ce coquin de Joker." "Votre parole est d'or mon cher..." Il replaça délicatement la perruque sur sa tête ..."ce n'est pas la première fois qu l'on chante vos louages ce me semble... Depuis le temps que nous nous connaissons, ll ne me viens que maintenant cette chose à l'esprit, connaissez-vous le salon de Madame de Récamille?" "Oh que par ouï dire j'en ai peur." "Eh bien soit, le seize brumaire nous y tiendrons une séance à propos des us et coutumes en voie de disparition. Je serais fort flatté de vous y voir." "Cela me semble ma foi fort approprié en ces temps, j'accepte avec joie." "Cela me réchauffe le cœur..." Pendant toute cette discussion enflammée, ils n'avaient pas remarqués plusieurs transporteurs de marchandises marqués "Perruques Calvin, pour une chevelure saupoudrée!" en gros, se parquant non loin d'eux. Plusieurs hommes en sortirent pendant que les deux gardes de d'honneur discutaient des dernières futilités en matière de poudre. Ces hommes débarqués ouvrirent les portes en grand afin qu'apparaissent les gueules de plusieurs canons monté sur un châssis de métal. changement d'atmosphère musicale:http://tinyurl.com/zjja9uq Des moteurs démarrèrent. "Mais quel est ce vacarme?" "Surement un de ces indigent d'ouvrier..." Cela était manifestement une coutume chez les Tarkyen car la mâchoire de l'homme faillit également se décrocher. Ils ne purent continuer leur pensées car les canons hurlèrent leur colère sur la porte du château. Les chars avancèrent de concert, se déployèrent de manière à établir un point d’appui tandis que des hommes en descendirent et franchirent tactiquement la porte de l'antique bâtiment fortifié, Ariès à leur tête. Plus loin le bataillon blindé se déploya selon une ligne de front étendue, prêt à englober l'objectif d'attaque. Ils commencçaient tout juste à rencontrer des éléments de sécurité planétaires qui se mirent à reculer devant chars et marcheurs de combats. Dans les airs, les chasseurs montèrent subitement au ciel formant une gigantesque croix pour aussitôt retomber vers le sol et se disperser à travers la ville, réacteurs au point de rupture, perturbant un maximum la circulation, détruisant des installations-clé de surveillance et d'alimentation en énergie. Dans le château deux sections en avant, une en direction d'une entrée secondaire et enfin une dernière se déployant le long de la ligne de sécurisation du point d'appui, c'était ainsi que le plan avait été établit. Malheureusement, le destin ne tient rarement compte des plan bien établits. Ariès fut un des premiers à apercevoir les premiers adversaires: toute une flopée de soldats et membres du personnel du château. Les militaires tarkyen, soudain conscients du danger prirent aussitôt position. La surprise n'avait pas duré longtemps,dirait-on... "Eh me***..." Ariès ne s'attendait pas du tout à autant de forces tarkyennes. Tel un flot humain, c'est comme si tout le château évacuait ses membres par la même voie d'accès. Voilà qui change la donne. Les andari avaient la puissance de feu et les Tarkyens, le nombre. Les Andari n'étaient pas vraiment dans la place, les Tarkyen n'en étaient pas encore sortit. Ils étaient tous bloqués, et la tension montait...
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 05/06/1016 ETU 16:17 ![]() |
Score : 2
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Des l'Attaque, les forces Krönes ouvrir automatiquement le feu ! Les Divisions blindées de la 2eme 45eme et 75eme en première.... http://img110.xooimage.com/views/4/e/6/chars-kr-nes-4f936f4.jpg/ A l'intérieur avec les Tarkyens ce fut un feu nourri qui se déclencha, Les Tarkyens les traqueurs de New Stalingrad et le 26eme Raptors de Needa... pas une entrée de porte, pas une colonne de marbre ou derrière un coude de couloir qui n'abritaient de tireurs embusqués ...Tarkyiens comme Krönes et Kreens se battant côte a côte.... Le Commandant Ivanov, dans le vacarme ambiant fit en hurlant a l'un de ses Sergents évacuez Mollari et Zitarg ....Manu Militari si il le faut ! ils attaquent en force !!! Dans les couloirs ... Certains Krönes n'hésitèrent même pas a employer leurs plus puissantes armes comme les grenades Elecktros qui illuminaient, des arcs électriques fouettant furieusement l'air totalement au hasard pendant près de 8 secondes.... Un soldat ennemi fut touché et semblait tressauter sur place, l'arc le traversa de part en part rentrant du coté droit, l'arc se distordant et ressortant par la nuque, creusant ainsi des sillons dans la chair et les os se liquéfiants..... quand il retomba, le corps fumait de partout.... au dehors, le spectacle était effrayant...les blindés répondaient aux blindés, les tirs éparses s'entre croisaient dans toutes les directions, ce ne fut bientôt plus que des ruines sur une centaine de mètres carré .... les Soldats se battaient dans toutes les rues, derrière des pylônes, des véhicules brulés, dans des entrées, derrière des murets, a travers des fenêtres.....Et tous ce qui pouvait servir de couvert.... Ailleurs, on pouvaient assister à de véritables batailles de rues, de vraies batailles rangées .... Les uns acharnés a défendre la ville, les autres acharnés a la détruire..... Les Forces Tarkyenes, Krönes et Kreens refusaient de lâcher un seul pouce de terrain ! Sur certaines hauteur, la 17ème division du Génie venait installer des emplacements des Mitra flascher monté sur support anti grav qui tiraient sans discontinuer sur les assaillants..... Bientôt, d'épaisses fumées apparurent qui envahirent lentement la ville .... |
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 05/06/1016 ETU 23:47 |
Score : 4
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La bataille faisait rage à proximité du château. Si la brusque riposte des Xéno alliés aux Tarkyens avait stoppé net l’avance jusque là facile des Andari, l’artillerie légère, appuyée par des frappes aériennes locales avait fait des miracles en désorganisant les éléments de soutiens ainsi que les lignes logistiques adverses. La suprématie aérienne Andari s’étendait alors sur plusieurs dizaines de kilomètre, jusqu’où le croiseur pouvait abattre les chasseurs ennemis. Ce faisant, le front Tarkyen-Krône dû reculer et, au prix de nombreuses pertes, les forces andari se rapprochaient maintenant toujours plus de la zone. En revanche, l’intérieur de la place forte était une autre histoire. Ariès avait d’abords tenté une attaque perçante en utilisant leurs mitrailleuses comme feu d’appui. Mais l’adversaire était trop bien ancré dans le terrain. Tout un groupe fut balayé par une multitude de projectiles et rayons blaster sortants de couverts insoupçonnés. Le capitaine voulait maintenant essayer autre chose et fit donc passer un char de transport en utilisant des explosifs pour faire une route assez large à travers l’immense bâtiment. C’était un crime envers la culture, mais on ne badine pas avec la sécurité de l’empereur ! Alors que le calibre trente du char tenait en respect les adversaires, Ariès allait tenter un second assaut. Prévoyant d’utiliser des roquettes à charges creuses pour « nettoyer » une portion de terrain à travers un mur, pour ensuite tenter d’y infiltrer un groupe de combat et prendre l’adversaire à revers. *** « Eh bien envoyez donc immédiatement un détachement sur zone ! Dépèchez-vous bon sang ! si nous perdons la couverture de nos flancs je ne donne pas chère de nos force débarquées ! » Belliare venait d’accepter d’envoyer des membres de la sécurité interne du navire en renfort pour les troupes se battant au sol. Le général savait qu’en utilisant un itinéraire passant par les zones les plus peuplées de la ville aucune tentative de frappe orbitale n’était à craindre, du moins pas de la part des Tarkyens. Les possibilités adverses étaient moindres et le commandant du navire n’avait guère besoins de combattant au sol sur sa position. Il fallait juste éviter de s’exposer trop en hauteur et ainsi faire les frais des canons de défense Sol-Espace. L’ARES II continuait donc sa route au milieu des gratte-ciels en direction de la centrale énergétique. L’adversaire avait probablement comprit sa tentative car de plus en plus de chasseurs tentaient d’arriver à portée. C’était sans compter la DCA du croiseur ainsi que l’excellence des pilotes Andari habitués aux âpres combats avec les terribles Krags de Décadence. Belliare analysait les deux champs de batailles holoreprésentés devant lui. Il faisait des estimations et des calculs de trajectoire : l’objectif principal devrait être à portée dans 55 minutes.
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 06/06/1016 ETU 02:06 ![]() |
Score : 4
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a l'intérieur du château : Le Commandant Colner avec le Commandant Ivanov était dans une salle sécurisée et discutait ferme .... Le Commandant Colner était penché sur une carte représentant la ville Quel sont les rapports Ivanov ? Mon régiment se bat dans certains couloirs ! le 6eme des sables défend la porte avec les Tarkyens, ils tiennent assez bien me semble il, vos raptors également .... Maintenant, on nous signalent des batailles de chars sur les grandes avenues un peu a l'écart du château ici et ici .... l'un des Astroports est défendu par le 17eme génie de Sahelis avec le 4eme d'artillerie du Cmdt Zlenn de Solarion III. Enfin le gros de l'infanterie a reculé au cœur de la ville avec les Tarkyens mais le recul s'est arrêté au centre de la ville, le front s'est donc stabilisé, aidé en cela par la 112eme blindés lourds de Vélizia... On me signal de nombreux blessés des deux bords et des pertes considérables dans les deux camps sans pouvoir préciser le nombre... Cependant, le gros de notre infanterie ainsi que l'infanterie des Tarkyens sont a présent dans le centre de la ville et ne sont pas près d'y êtres délogés je peut vous l'assurer ! nous y avons près de cinq divisions d'infanterie retranchées et bien armés.... Maintenant nous avons aussi un régiment de cavalerie des Sables ! qui attendent avec le Génie a l'astroport que nous contrôlons Évacuez les ! ils ne nous servent a rien, pas en milieu Urbain en tout cas qu'ils dégagent de là en vitesse ! Colner se redressa et fit Que Zitarg vienne ici, c'est une pièce sure et barricadez tout accès menant a cette salle ....Ensuite mettez vous en défense ! Tout ce qui n'est pas Tarkyen, Kröne ou Kreen, et qui tentera de passer cette limite ! foutez les moi en l'air ! aucune pitié, tirez sans sommation c'est bien clair ? Très clair fit Ivanov qui se précipita dans les couloirs ...
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Cdt. Silius Mengsk
Respect diplomatique : 488 ![]() 06/06/1016 ETU 10:09 |
Score : 4
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"...demande intensification de l'appui aérien sur secteur 757/433. Demande renfort immédiat sur flanc gauche, avons repèré une poussée adverse via bâtiment civil. Et où se trouve le ravitaillement pour mon artillerie?" Belliard écoutait les rapports des différents chefs de formations et se rendait compte d'une chose: ils avaient sous estimé la défense adverse. Plusieurs divisions avaient pu être comptabilisées, bien trop pour un sul bataillon, même renforcé et soutenu par l'aviation. Le général réfléchit quelque instants, puis s'adressa à son ordonnance: " changement de plan, maintenez un semblant de front sur toute la ligne et préparez discretement le gros des forces pour une percée via les grandes avenues. Ordonnez une frappe aérienne intense locale en plus du feu de préparation de l'artillerie. Nous devons jouer sur la vitesse, passer et prendre de court l'armée ennemie qui s'étale du centre vers l'astroport, ici là..." fit il en désignant chaque éléments avec son sabre. " bien compris mon général, mais que fait on pour les autre forces?" "Eh bien il faudra qu'elles passent également le plus rapidement possible. Peu importe que nous nous retrouvions encerclés, cela est inévitable, mais la priorité pour nous est d'encercler à notre tour ce château." Reste à savoir combien de temps jusqu'à ce que les tarkyens débarquent avec leurs navires. Oh et avez vous préparé l'itinéraire pour la suite des opération?"...
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 ![]() 06/06/1016 ETU 21:18 |
Score : 4
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Et puis, il fut l'heure. Anna, citoyenne Tarkyenne parmi tant d'autres, se leva, tremblante, le téléphone contre son coeur, et sortit. Se demandant vaguement comment elle en était arrivée là. Tot ce matin, le livreur avait frappé à la porte. Il ralait un peu d'avoir été retardé par tout les controles de sécurité à cause du somment qui était sur le point de démarrer. Elle avait signé le papier, pris le petit paquet, et était aller finir son café, sinon elle n'aurait jamais le temps, déjà qu'elle avait raté la moitié du petit déjeuner parceque sont plus grand avat fait une crise pour aller à l'école avec son blouson rouge, qui était sale. Elle avait pris sa tasse, siroté une gorgée, puis elle avait ouvert le paquet. Un bete téléphone. Rien de suspect. aparemment un controleur zélé avait meme inspecté l'appareil. Mais elle n'avait rien commandé a personne. Le nom et l'adresse étaient correct... ...Dring... Elle sursauta. les téléphones ne sonnaient pas comme ca. ...dring... Encore une saloperie de pub invasive? Elle décroche. au moins le bouton est normal. "-Allo? - ...ouh.. (quelqu'un ravale se larmes. essaie de parler. voix de femme.) ..ppp.. pardon madame. pp..ardon. - Mais que.. - s'il vous plait, s'il vous plait, laisser moi parler. C'est pour mes enfants. ils vont.. - dites, votre blague, c'est mauvais. j'ai un million de choses à faire avant que les garcons reviennent - DE L ECOLE oui je sais justement. C'est pour les enfants. j'ai aussi des enfants. quatre. ...trois... ecoutez moi, par pitié... ...quelque chose dans la voix n'est pas normal. Anna s'inquiete. Ecoute mieux - C'est.. c'est ce type, là, le Mael. enfin, des gens qui font pour lui mais.. ils ont mes enfants...schnirf... Je. Je suis opératrice, vente par téléphone. c'est mon métier. enfin, un de mes deux jobs, parce que voià, c'est pas facile,avec les enf... schnirf.. - ca va mada - Ils nous ont embauché. c'était un job normal. je vendais des trucs par correspondance. des assurances le matin, des téléphones, des abonements... j'était pas mauvaise. on est beaucoup dans les bureaux. quasiment que des femmes. et d'ailleurs les quelques mecs sont des.. schnirfl... - je - puis il y a eu les bombes, là, vous savez. et ils, les hommes, nous ont enfermées. je devenait folle: c'était l'heure d'aller chercher les gamins, et quand je suis en retard ils sont pénibles, d'ailleurs on est toutes dans le meme cas, l'école est à coté, ca fait partie de la raison pour laquelle j'ai signé, oh bordel c'est pour ca que je me suis faites avoir! - d.. - on était enfermées.. mais ils ont amené les enfants. mon grand Sam, et mes jumelles, et ptit tom. oui.. ouis.. ils..puis... - puis? Anna ne respirait plus. mal au ventre, contagieux. elle pensait à ses propres enfants. Elle aurait frappé quelqu'un. -...schnirfle... puis ils ont dit le job. je devais vous appeler. enfin, appeler quelqu'un, une dame, et la convaincre...schnirfl... Vous devez surtout pas bouger. pour les enfants. il y a.. il y a des bombes dans les écoles.. partout. meme les putains de creche! - NONONONONONONON - schnirfle.. s'il vous plait.. s'il vous plait - NONONONONONNON - MADAME ILS SONT ENCORE EN VIE -... - Ecoutez moi. s'il vous plait. Vos enfants sont en vie. Il a promis de les laisser, si vous faites ce que je vais dire. Il va laisser mes.. ils ont tué ptit TOm. devant moi. parce que ils.. ils... voulaient faire comprendre qu'ils étaient sérieux. devant son frere, devant ses soeurs. Sam a pas pleuré et.. - Nooooooooooooooonnn - Madame... madame... j'ai peur. j'a pas beaucoup d'espoir... je les crois pas vraiment, mais j'ai pas le choix... et vous non plus.... Madame...écoutez moi... les bombes dans les écoles.. c'est pas là que vous devrez aller. - mais... - madame... s'il vous plait... il me reste trois enfants... eux, ils doivent vivre... et les deux vôtres aussi ...et puis ca peut bien se passer.. - et... il... - c'est simple. Quand ce sera l'heure, schnirfle, vous irez au sommet. sans armes. en silence..vous serez pas seule. Et vous confisquerez les armes de tout les militaires. Si ils veulent vous arrêter, vous résistez. SI il y a blocage, vous restez devant leur armes...vous vivantes, ils ne doivent pas pouvoir s'en servir... schnnrrfle.. - mais ils vont.. - hé bien soyez plus fortes, bordel! vous avez mis deux enfants au monde , et si vous faites pas tout votre possible, tout ce que votre vie permet, alors vos enfant seront vaporisés!.. c'est.. c'est sérieux. - comment... - il y a des vidéos, ici.... j'ai.. j'ai sosu les yeux l'école.. mes collègues et moi sommes chargées de celle ci.... schnirfle...il faut.. il faut sauver les.. - les enfants. meeeeerde.... En attentant l'heure, Anna écrivit longuement. laissa son mot dans deux enveloppes. Puis une alarme, sur le téléphone. Et Anna se retrouva dehors. Avec sa voisine, les yeux rouges. et une autre. et plein d'autres. En 5 minutes elles étaient des centaines. et il fallait encore marcher une bonne heure avant d'atteindre les locaux du sommet. Il y avait près 50 millions de mères à une journée de marche de la capitale Tarkyenne. Et elles étaient presque toutes en route. Pretes à se faire tuer, plutot que de laisser leurs enfants mourir à leur place. Les premiers agents de police n'eurent meme pas le temps de comprendre ce qui leur arrivaient: ils furent dépouillés, molestés. Que feront les militaires? Auront ils assez de balles? Et seulement la volonté d'en tirer une seule
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Cdt. Mokaregister
Respect diplomatique : 4 ![]() 07/06/1016 ETU 17:43 |
Score : 4
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Le commandant Mokaregister était dans son vaisseau amiral. Adossé à la verrière de son vaisseau, il rêvait. Il revenait de voyage diplomatique et avait fait escale par quelques planètes afin de conclure des accords commerciaux avantageux. Il était de bonne humeur, car sa république était en pleine expansion commerciale et scientifique. Il allait dorénavant pouvoir se consacrer plus activement à se forger un respect politique qui lui permettrait d'obtenir des avantages non négligeables pour son peuple. Un des mécaniciens de son vaisseau interrompit sa rêverie en faisant une entrée fracassante dans son bureau. L'homme paraissait affolé, et une lueur dans son regard convainquit le commandant Mokaregister qu'un incident grave venait de se produire. Qu'est-ce ? Parlez, vite ! Commandant, le moteur, le moteur... Eh bien ! Dépêchez-vous, nom de dieu ! Notre moteur bafouille, commandant. Probablement un sabotage. Si nous ne nous posons pas dans les heures qui viennent, le vaisseau explosera ! Qui est au courant ? Le mécanicien-chef et moi-même, monsieur. Bien. N'en parlez à personne. Il ne faut pas déclencher de mouvement de panique. Retournez à votre poste et faites ce que vous pouvez pour retardez l'explosion Il sort. Le commandant ouvre sa carte holographique. Il marmonne quelques paroles incompréhensibles qui n'ont de sens que pour lui-même. Heureusement, il ne sont pas très loin d'une planète. Seul problème, cette planète est actuellement un lieu de discussion entre personnalités.Les gardes surarmés tirent à vue, car depuis le début du sommet politique, quelques bandits ont tentés d'enlever les hauts dignitaires présents. Comment faire ? Soudain, une idée lui vint à l'esprit. Un de ses alliés avait eu quelques contacts avec le chef du gouvernement Londo Mollari. S'il arrivait à le contacter... Que l'on me mette en visioconférence avec mon principal allié !cria le commandant Mokaregister avec force. Quelques minutes plus tard, une voie impersonnelle lui répondit : La communication est établie, commandant. Que me voulez-vous, mon cher Laisse tomber les formalités, nous sommes entre nous. Ecoute, la dernière fois que nous nous sommes vus, tu t'es vanté d'être en contact avec Londo Mollari. Il est temps de prouver ce que tu avances. Dis -moi clairement ton problème. Tu es attaqué ? Non, mais je suis en rade de moteur, et je suis mal si je ne peut pas me poser sur la plus proche planète, à savoir celle où se tient le congrès. Mais les gardes tirent à vue, et... Tu veut que j'intercède en ta faveur. J'ai compris. Très bien, mais tu me devras un bagel. J'ai pas le temps de plaisanter, dépêche-toi. Le commandant Mokaregister met fin à la communication. Quelques minutes plus tard, une nouvelle communication s'établit. Autorisation de se poser accordée. Fin de la liaison. C'est ainsi que le commandant Mokaregister, parfait inconnu, fit son arrivée dans le monde politique. Sans pouvoir participer aux débats, il fut autorisé à observer les délibérations. 5 jours plus tard, les pièces de rechange étant arrivées, il put repartir pour sa planète natale avec un nom connu. Pas forcément apprécié, mais connu.
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