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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 29/05/1016 ETU 22:49 ![]() |
Score : 6
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Pendant ce temps, Crantell tachait de soigner les blessés Tarkiens, de les soulager et de leurs insuffler son espérance Les installer au mieux, leurs porter a boire et aidait les Médecins, il aida a leurs transports, leurs installations, passa le plus clair de son temps a discuter avec les victimes encore et encore ... ce n'est qu'ainsi qu'il pouvait se rendre utile de toute façon, il n'y avait rien d'autre a faire ... Ses connaissances en électronique lui permit aussi de réparer quelques appareils médicaux .... Ensuite il se permit de donner quelques ordres a quelques soldats Tarkyens......ensembles ils ramenèrent d'autres victimes de certaines décombres, et les aida a s'installer sur des civières anti grav tout en les réconfortants en même temps il organisa les secours du mieux qu'il pouvait... les Soldats Tarkyens suivaient ses consignes comme si c'était leur supérieur mais, il faisait simplement marcher son expérience....Il se rappelait bien sur, le jour de la prise de pouvoir sur Krönis ....Alors que là aussi, il aidait les blessés de la révolution, comme tout ceci était loin déjà .... comme quoi ! pensait il, chaque expériences passées peuvent servir encore ....
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 ![]() 30/05/1016 ETU 00:29 ![]() ![]() |
Score : 9
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Revenons quelques minutes en arrière. Le petit Dylan et la femme se préparaient à sortir de l’infirmerie. La femme avait échangé ses habits avec ceux du médecin. Quand au petit Dylan, il avait trouvé un fauteuil équipé d’un répulseur antigravité, habituellement réservé aux patients qui ne pouvaient plus marcher. Le plan était simple, mais très risqué. Faire passer le petit dylan pour un handicapé et la femme, un des médecins du palais. Il fallait juste espérer que les soldats ne seraient pas trop regardants sur la carte d’autorisation de médecin du palais qu’ils avaient subtilisés au réel médecin. « Tu es sure de ton coup ? Je le sens pas bien… demanda la femme - Mais oui ! La fortune sourit aux audacieux non ? Il prit ensuite son gros cartable, l’ouvrit et en sortit une réplique bien plus petite. - On a plus besoin que de ça normalement…» Il prit le petit avec lui et laissa donc le gros par terre visiblement. Ils sortirent et se mirent à avancer a travers les couloirs. Leur informateur au palais leur ayant fourni les plans du lieu, ils savaient exactement où ils devaient se rendre et quels couloirs emprunter. Bizarrement, il n’y avait plus tant que ça de soldats dans les couloirs comparé au moment où ils étaient rentrés. Ce fait amena la femme à questionner la sécurité du sommet mais dylan se voulait résolument positif : « Profitons en ! Tu vois je te l’avais dis ! Sur un malentendu ça peut passer ! » Tandis qu’ils avançaient le plus rapidement possible pour essayer de ne croiser personne, ils virent tout au bout du couloir débouler une quarantaine de soldats, armés jusqu’au dents, qui arrivaient vers eux en courant. Dylan soupira alors : «Hé bah finalement, ça n’aura pas duré longtemps…» Alors que les soldats arrivaient a leur niveau, dylan commença a lever les bras pour se rendre mais les gardes leur passèrent a côté a toute vitesse, presque sans un regard tandis qu’ils parlaient entre eux. Vite ! Il est à la centrale de surveillance ! - Tout le monde fonce la bas ? - Il parait qu’il est tout seul… - C’est moi qui le tuerais ! - Non c’est moi ! - Choucroute. Après leur passage, dylan et la femme, demeurant tout seuls dans le long couloir, restèrent un moment a se regarder, s’interrogeant du regard sur ce qu’il se passait mais aucun des deux n’avait de réponse. Ils reprirent alors leurs routes et arrivèrent à un check-point, l’un des seuls a être encore gardé Elle s’apprêtait a tendre son autorisation, inquiète de l’issue. Et si ils s’apercevaient de la supercherie ? Et si ils décidaient de les exécuter ? Son cœur battait la chamade comme jamais. Mais elle eut a peine porté la main a sa poche qu’un des gardes lui cria dessus : « C’est pour l’évacuation ? Bon sang mais vous foutiez quoi ! Vous étiez en train de dormir ? - Euh, je… je... - Bon allez, dépêchez vous de partir !» Et il les fit passer en vitesse tout en continuant sa discussion avec son collègue : « Il parait qu’elle est dans les souterrains. J’aimerais pas être sa place quand ils vont lui tomber dessus….» Dylan et la femme continuèrent donc leur chemin et arrivèrent à l’embranchement dont leur avait parlé leur informateur. A gauche, c’était vers la sortie. A droite, vers le couloir qui menait à l’ascenceur donnant sur le toit, ascenceur réservé au personnel qu’ils allaient pouvoir utiliser grâce au pass du docteur. Ils firent une fois de plus surpris, de voir que personne ne gardait l’ascenceur mais c’était tant mieux pour eux. Ils empruntèrent alors l’ascenceur et tandis que celui-ci montait, dylan descendit du fauteuil. «Bon, on y est presque ! notre « ami » nous a dis qu’il y avait des gardes sur le toit, pas ceux de Tarkya, d’autres types, des gars de « Krone » ou je ne sais quoi… Des types balaises sans doute ! Tiens prends ça. Il sortit de son cartable deux petits pistolets. - Mais on ne va pas les tuer quand même ? - Non bien sur que non ! Ils sont remplis de balles tranquillisantes, ça leur fera juste faire un gros dodo !» La femme prit l’arme dans ses mains, pas bien rassuré tout de même, quand soudain l’ascenceur indiqua arriver au dernier palier, le toit du palais. La porte s’ouvrit sur l’extérieur et tous deux en sortirent le pistolet a la main, prêt a tirer sur tous les soldats qu’ils rencontraient. Personne. Les gardes étaient tous repartis. Dylan jeta son pistolet au sol, poussa un long soupir d’exaspération tout en levant les bras et en les laissant retomber le long de son corps. « Pffffffffff… Franchement c’est la dernière fois que j’me casse le cul à faire un plan aussi compliqué… C’est abusé ! - Bah c’est tant mieux non ? J’étais pas spécialement motivé à l’idée de devoir tirer sur des gens… - Ouais je sais… C’est juste que c’est blasant quoi… C’est quand même deux mois de préparation un coup comme ça… Enfin bon, on s’y mets ? - Quand tu veux ! Attends… Tu les a bien pris au moins ? - De quoi ? - Bah……. les bombes.» Il sourit en retour, et acquiesça de la tête tout en tapotant avec sa main sur le petit cartable qui se trouvait sur son dos. Non vraiment… ils auraient du vérifier le cartable avant de le laisser rentrer.
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 30/05/1016 ETU 02:40 |
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Score : 10
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De retour dans les couloirs de la station. Le commandant Ekko se trouvait une nouvelle fois projetée par la mystérieuse gemme de son opposant. Il avait entendu le message de ce dernier via l'appareil de communication qu'il portait. Il s'adressa donc au commandant qui se relevait doucement. - Excusez moi, mon cher, mais je vais devoir reporter votre jugement Un sourir au coin des lèvres, le gardien du temps se frotta rapidement les genoux, il y avait de la poussière sur sa tunique. Mon jugement ? Un petit blanc installé par le commandant permit de faire monter un peu la tension à la suite de sa question. Laissez moi vous raconter une histoire. Il était une fois un petit garçon orphelin. La grande ville et ses crimes avait pris ses parents dès son plus jeune âge. Il régnait démence et corruption sur la planète de Zaun. Les dirrigeants ne pensaient pas du tout au bien du peuple. La seule chose pouvant remplir un peu d'espoir le coeur des Zauniens était une vieille légende concernant un temple enfoui au milieux d'un vaste désert. Le jour où l'élu se présenterai, les Dieux du temps lui confierait leur pouvoir afin de faire briller à jamais la civilisation du temps. Le petit garçon grandit et décida d'aller exploré la planète. Il trouva le désert de Shurima et son temple caché. Le peuple du temps avait trouvé l'élu de la légende qui devait leur apporter gloire et prospérité. Une fois l'élu entrainé par les maitres du temps, il quitta le désert afin de reconquérir la capitale et prendre la tête de la civilisation. Cet homme arriva jusque dans le grande ville qui avait vu ses parents mourir, bien décidé d'embrassé son destin. Et il l'embrassa ce destin. Ooooh oui, et il l'embrassa dans la violence. Il fit une pause dans son histoire et sortit de sa poche un petit sablier contenant 10 grains d'or. Il le tenait entre ses doigts, il semblait nostalgique, puis il reprit son histoire. L'histoire raconte, qu'il y a deux mille ans, l'homme pénétra dans la grande tour de Zaun armé d'une dague noire comme la nuit et d'un petit sablier contenant des grains d'or. Lorsqu'il lacha le sablier, le petit objet se mit à léviter comme par magie. Et lorsque les dix grains de ce petit sablier furent écoulées... Ekko lacha le petit sablier et il se mit à léviter au milieux du couloir. C'est à ce moment là que le compte à rebours à commencer. 10. Le commandant coupa son histoire et s'élança. Il commença de nouveau à voltiger. C'était de l'art. L’agilité avec laquelle il se déplaçait et la fluidité et l'harmonie des mouvements faisait qu'il était presque agréable de le voir fondre vers soi. 9. Une seconde ombre se dessina dans la main du gardien du temps. Une seconde dague. Identique à la première. A n'en pas douter, il prenait son opposant au sérieux. 8. Deux dagues. Cela ne l’empêchait pas de continuer ses arabesques. Il semblait presque plus agile encore, comme si sa deuxième arme lui apportait de la stabilité. 7. Darintarg n'arrivait pas à se concentré. Son opposant approchait voltigeant dans une danse de la mort ne lui permettant pas de viser correctement avec son arme. 6. Il commançait à paniquer. Il utilisa la gemme. 5. La moitié des grains d'or du petit sablier étaient tombés. L'onde de choc ne trouva pas sa cible. Ekko l'évita d'une pirouette tout en continuant de fondre vers darintarg. 4. C'était la panique, impossible d'utiliser la gemme. 3. Darintarg chercha donc desespéremment son arme à sa ceinture. 2. Trop tard. Il était au contact. 1. Ekko sauta au dessus de Darintarg, un premier coup de dague main droite au niveau de la nuque. Il prit appui contre le mur, sauta et fit un demi tour sur lui même lui permettant de se retrouver devant Darintarg. Un second coup de dague main gauche au niveau de la trachée. 0. ... Et lorsque les dix grains d'or furent écoulées, ils étaient tous morts. Le corps de Darintarg gisait au sol. Le gardien du temps rangea ses deux dagues autour de sa ceinture. Une fois ses armes rangées, il ouvrit sa main droite, paume vers le ciel. Le petit sablier se mit à bouger et regagna la main du gardien du temps. Paix à ton âme Lord Darintarg, ton temps était écoulé.
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 ![]() 30/05/1016 ETU 21:04 ![]() |
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Score : 10
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Harley s'ennuyait dans ces conduits de métal, passer tout ce temps là dedans à juste zigzaguer était en train de la rendre folle. Non pas que l'on puisse rendre une folle encore plus mais la claustrophobie n'est pas un trait que l'on souhaite avoir dans des conduits d’aération. C'est avec soulagement qu'elle accueillit la première sortie et enfonça d'un coup de pieds la grille. La salle sur laquelle elle déboucha était des vestiaires. Ils étaient vides et la porte fermée, Harley en profita donc pour fouiller chacun des casiers et y trouver de nouveaux vêtements pour changer les siens qui étaient tâchés de sang. C'est alors qu'une voix familière provint de la bouche d'aération. Youuuuuhouuuuuu ! C'était le Joker. Celui que tout le monde cherchait si intensément. Il était là en train de faire signe à sa compagne. J'ai trouvé des biscuits, un peu de vin et de quoi manger. Ça te dit un petit dîner en amoureux ? Après quelques secondes de réflexions, le Joker lui répondit. - Bien sûr ! En plus l'atmosphère s'y prête ! Allez, file moi mon flingue. - Tiens, tu pourras allumer cette bougie que j'ai trouvée ! Elle lui tendit un coffret contenant son arme favorite avec dessus une bougie à moitié utilisée, accrocha à sa ceinture un marteau de démolition trouvé là et remonta dans les conduits avec ses provisions où ils dinèrent tous les deux, éclairés par une chandelle. Ils passèrent un moment, là, Harley engloutissant la quasi totalité du repas et se plaignant d'avoir encore faim une fois les provisions terminées. Ils reprirent ainsi leurs route originale, vers le toit. En cours de chemin, alors qu'il grimpaient verticalement dans une conduite, le Joker ouvrant la voie s'arrêta. - Haaaaarlleeyyyyy. J'ai besoin de toi. - Ouuuuuiiiiii mon biquet ? - Fait diversion. - Mais, mais, comment ? - COMME CA ! HA HA HA HA HA HA HA HA ! Il lui donna un coup de talon, la faisant perdre prise et elle glissa le long de la colonne, jusqu'à heurter le bas de la conduite qui céda sous la contrainte et laissa Harley tomber dans le couloir où elle tomba, coup du sort, devant Ekko qui crapahutait à travers le palais. Celui-ci tendit les bras par pur réflexe et attrapa une Harley, trop occupée à pestiférer contre l'énergumène l'ayant faite tombée pour s'occuper de son sauveur. TU VAS VOIR TA DIVERSION JE VAIS TE LA FAIRE BOUFFER ! T'AS INTÉRÊT A PAS BOUGER DE LA HAUT OU TU VAS COMPRENDRE LA DÉFINITION DE TÊTE DANS LE CUL ! Heu... Hem... Elle remarqua enfin l'absence d'une douleur aux fesses et se rendit compte que quelqu'un la tenait dans ses bras et lui fit un grand sourire. Salut, ça boom ?
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 30/05/1016 ETU 23:53 ![]() |
Score : 3
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Tout allait être réglé en un éclair..... les soldats se répandirent en un instant dans toutes les pièces, regardant et cherchant Crantell dans tous les coins.... Ils le trouvèrent enfin a l'infirmerie ou il aidait des gens blessés, il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit ... Crantell reconnu ses troupes pour certains mais juste, eut il le temps de dire mais qu'est ce ..... Un Commandant fit allez on l'évacue direct ! hop hop hop ! En un clin d’œil Crantell fut emmené presque de force.... il disparut emmené par une foule de soldats vers les sous sol.... En un rien de temps Crantell fut sorti manu militari.....embarqua dans un vaisseau et décolla, il gagna rapidement l'espace ou il fut rejoint par plusieurs autres vaisseaux C'est alors que le Colonel en question un humain au visage bariolé se présenta a Zitarg et a Mollari .... Colonel Colner 26eme régiment "les Raptors" des marécages de la planète Kröne de Needa j'ai une question a vous poser Souhaitez vous que l'on vous évacuent ? si oui c'est maintenant sinon vous restez mais comme le bâtiment est surement miné, nous pourrions évacuer tous le monde vite fait ????
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 ![]() 31/05/1016 ETU 01:50 |
Score : 7
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La rouquine remontait rapidement de couloirs en couloirs. Elle arrivait près du terminal de contrôle lorsqu'une explosion eut lieu. Les murs tremblèrent et Olorìn pu percevoir la lumière et la chaleur dégagées. Elle ralentit le pas et se colla à l'angle du mur. Elle fit un rapide contrôle de la voie et découvrit l'étendue des dégâts. La porte de la salle était éventrée et toutes les vitres, pourtant blindées, avaient explosées. Quelques gardes de Zitarg étaient à terre, certains inanimés, voire pire, d'autres blessés. Heureusement pour eux, la charge placée par le Joker n'était pas assez puissante pour atteindre tous les soldats. A moins que ce ne fut volontaire et qu'il ne jugeât qu'il était plus drôle de faire ça petit à petit. La rouquine passa les gravats sans un regard pour les blessés, une légère appréhension au ventre. Elle avait peur de découvrir au milieu de tout ce fatras le corps sans vie du Joker, un dernier sourire aux lèvres d'avoir échappé à sa vengeance. Mais elle n'y vit que les corps des Tarkyens. Aucune trace du cadavre du clown. Elle en ressentit un petit soulagement. La vengeance était toujours sienne. Elle prit un moment pour examiner les lieux et aperçut le Général Byarg, près des écrans de contrôle, apparemment absorbé dans la contemplation de... Quelque chose. Elle se rapprocha un peu et se plaça à côté du soldat. Un message. Pour elle, visiblement. Tracés en lettres de sang, le Joker lui adressait ces quelques mots : "Trouve-moi, ma sorcière bien-aimée ! ❤" Il se permettait encore de la narguer. Elle leva les yeux et observa son environnement, ainsi que l'avait fait le Joker un peu plus tôt. Et son regard tomba sur les conduits d'aération. Elle sourit. Absorbée dans sa tâche, elle ne se rendit compte que les choses avaient évoluées autour d'elle que lorsqu'elle sentit une main sur son épaule et entendit les quelques mots que le garde de Zitarg lui adressa.
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 31/05/1016 ETU 23:51 |
Score : 6
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Ekko avançait rapidement dans les couloirs de la station. Il ne connaissait pas les lieux, il décida donc de se diriger vers le grand hangar de la station. A coup sur, si une bombe devait tomber, c'est là bas qu'harley irait en premier, elle tenterait de détruire les vaisseaux permettant aux commandants de s'enfuir loin de ce traquenard. Il s'orientait donc au bruit, cherchant le bruit du vent, quelque chose qui le conduirait là où il voulait. Il était aux aguets et très sérieux. Après ce qu'il avait fait à Darintarg, il ne reculerait devant rien. Il avait la vive intention de tuer quiconque se mettrait entre lui et sa cible. Déjà qu'il lui en fallait pas beaucoup pour jouer du couteau, là il n'y avais que trop de motifs. Il entendit un bruit. Léger au début. ça venait du dessus de sa tête. Le système d'aération. Il y avait quelqu'un qui hurlait à l'étage supérieur ? Mais quel est l'intéret de crier dans un conduit d'aération? Si c'est quelqu'un qui passe devant, le son devrait être fugace. Mais le bruit s'intensifia. jusqu'a ce qu'il vit apparaitre un derrière rouge au dessus de sa tête. il ouvrit les bras d'un geste relevant plus de l'instinct que d'une réelle volonté d'agir en sauveur, et une femme atterit dans ses bras. Ekko se retrouva littéralement figé devant la scène. Dans ses bras, il portait la commandante Harley Quinn, épouse du Joker, mère des deux calaminités, miss pot de peinture de l'année et tout le toutime. Elle hurlait après ce qui semblait être le Joker. Une fois terminé elle eu l'aplomb de s'adresser au gardien du temps comme si tout était normal. Salut, ça boom ? La seconde qui suivit fut nécessaire au commandant pour réaliser que la scène était bien réelle. Une fois cette prise de conscience effectuée, il reprit ses esprits. Si ça boom ? Il lacha les jambes d'Harley et garda uniquement son cou entre ses bras. Il commençait à l'étranglée. Tu n'imagine même pas a quel point je suis content de te voir. C'est justement toi que je cherchais. Elle commença à rire. Il se mit instantanément à serrer plus fort afin d'étouffer le bruit qui commencer à sortir de la bouche d'Harley. Non, non, non, non, non... J'en ai marre que vous vous fendiez la poire. On va aller discuter toi et moi. Elle perdit connaissance peu après par manque d'oxygène. Le commandant laissa s'effondré le corps d'Harley par terre. Il lui attrapa la botte et traina son corps inanimé dans le couloir comme une vieille serpillière. Il arriva à un croisement. Une salle des gardes. Personne à l'intérieur, c'était parfait. Il se saisit d'une chaise, posa Harley sur celle-ci et la ligota. Il s'assied en face, alluma une petite bougie et attendit qu'elle reprenne connaissance. Lorsque ce fut le cas, il lui adressa un grand sourire. Et bien, voila, on l'a notre petit tête à tête. Personnellement je n'ai pas très faim, oublions le dîner si tu veux bien. Par contre comme tu peux le voir j'ai pensé aux chandelles, je voulais faire ça bien. Je te dirais bien de profiter du moment présent, mais je doute qu'il te reste agréable bien longtemps. Evite l'humour, j'suis pas trop d'humeur.
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Cdte. Harley Quinn
Respect diplomatique : 981 ![]() 01/06/1016 ETU 00:50 ![]() |
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Score : 8
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Toi t'es pas quelqu'un qui traîne ! A peine on a parlé de rendez-vous que tu me kidnappes pour m'amener dans un pièce sombre et fermée, sans ajouter que je la trouve un peu glauque mais ça fait sans doute trop cliché, il faudrait l'égayer un peu, et que commence le bondage. Nan, franchement ça m'étonnes pas que t'aies trouvé aucune fille qui tienne plus de deux rendez-vous. T'es p'têtre en manque mais c'est pas une raison ! En plus t'es pas mon type moi je préfère les personnes avec du caractère et qui sont un peu intéressants et intéressés. Tout le contraire de toi en somme ! Bon, je doit admettre que t'as amené la bougie. C'est un bon début pour bien commencer avec une fille mais 'va falloir arrêter tout ce qui va pas si tu veux t'en trouver une et conclure. Après j'dit ça pour toi hein, c'est toi qui vois si tu veux finir celib' pour le restant de tes jours ou pas, moi je sais que tout les mecs de cette galaxie me veulent vu à quel point vous voulez tous me courir après. Y'a que Londo qui à comprit que ça marche pas comme ça, mais il a toujours pas calculé que me filer des infos sur tout et n'importe quoi ça fonctionne pas non plus et qu'il faut s'intéresser à la personne pour qu'on aies envie de le faire en retour pour lui même ! Trop imbu de lui-même, je l'ai toujours dit. Ou pas doué avec les filles, ça marche aussi. Bon par contre j'veux bien te donner une nouvelle chance si tu m'invites au resto et que t'arrêtes le bondage et tout ça. J'ai faim tu peux pas savoir je boufferais un éléphant. Mais d'abord j'ai quelqu'un à aller tarter sur les toits si tu permets.
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 02/06/1016 ETU 14:49 |
Score : 5
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Trouve moi ma sorcière bien aimée Tel était message du Joker découvert part Olhorin. Lorsque le rousse était entrée dans la salle de vidéo surveillance, enfin, ce qu'il en resté.... l'armée Tarkyenne prient rapidement position. Derrière elle, près de 102 soldats d'élite Tarkyens se tenais arme au point. Le Général Byarg en tête, s'avança doucement vers Olohrin, puis il lui toucha l'épaule. - Commandant Olhorin, au nom de la divine démocratie, vous êtes en état d'arrestation, pour haute trahison contre l'Etat Tarkyens et Galactique. Olhorin sursauta, surprise, elle se retourne pour voir quel problème allait s'ajouter à sa longue liste. Elle y voit une centaine d'agents, tarkyens, elle les reconnus direct, avec leurs armures argenté et brillante et leurs casques métalliques. Elle vit des armes sophistiqués pointé sur elle. - Pardon ? Elle prit du temps pour comprendre la situation, d'autant plus qu'elle n'avais pas de temps à perdre - Par les 7 pierres de lysbia, nous attraperons tous les terroristes qui déambulent dans se Palais, nous éradiquerons les menaces, toutes les menaces quel quel soit. Puis une dizaine de garde s’avancent pour la maîtrisé et la menotté. Elle se débattit un instant et, jetant un regard aux caméras qui restaient, elle cria. "Zitarg ! A quoi jouez-vous, bon sang ? Me prenez-vous pour une ennemie ?" Elle marqua une pause et hurla plus fort. "Zitarg ! Soyez tous maudits !" Elle avait beau savoir que les intéressés ne pouvaient lui répondre, cela n'enlevait rien à sa colère. Elle analysa la situation en une seconde. Beaucoup de gardes. Beaucoup trop. C'était une alliantiste. Pas une fédérée. Un assassin. Pas une guerrière. Elle arrêta de se débattre et se laissa emmener. Puis un agent s'approcha du Général - Monsieur, les troupes du Sénateur Crantell sont arrivés, ils se mettent en place autour du Palais. - Parfait ! -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Salle du Sommet Zitarg était assit au centre de la table, tous les dirigeants attendaient impatiemment de pouvoir sortir de cette pièce. Zitarg se tourna vers l'un de ses nombreux conseillés - Avait-vous réussit à prendre contact avec Lord Darinatarg ? Cela va faire plus de trois heures qu'il n'a pas donné de nouvelle. A t'il fait ce que je lui est dit ? - Désolé monsieur le Président mais il ne répond toujours pas. - Hmm, Je ne m’inquiète pas pour lui, il a l'une des 7 pierres après tout, rien ne peux lui arrivé. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Couloir ou avait lieu la confrontation entre ekko et Darintarg. Darintarge était au sol la tête coupé, baignant dans son propre sang qui s'étalé le long du couloir. Cette fameuse pierre si mystérieuse qui lui servait d'arme, de couleur verte, était toujours dans sa mains, il ne l'avait jamais lâché . Elle mit tout à coup à s’instiller, des rayons émeraudes sortit de la pierre. Après une dizaine de minutes, il n'y avait plus de sangs, et Darintarg...... Darintarg lui, était debout. Il pencha sa tete à droite puis à gauche, ou ses os se craqués, puis il étiras ses bras, ou un craquement se fit également entendre. Puis il prit sa radio, qui était resté intacte. - Avez-vous trouvé Le Joker ?
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 ![]() 03/06/1016 ETU 01:44 |
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Score : 5
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Ekko n'en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles. Il savait qu'Harley était un personne un peu unique en son genre. Après tout, c'est l'inconvénient d'interroger un fou, on ne sait jamais à quoi s'attendre. Toujours est-il qu'elle était là, attachée en face qu'un interlocuteur pas visiblement dans son meilleur jour, et qu'elle arrivait quand même à faire comme si tout était normal. Elle lui donnait des conseils, rouspétait quant à sa condition, et lui demanda même de se rendre sur le toit afin vaquer à ses occupations. Il se frottait les yeux avec le pouce et l'index de sa main gauche. Difficile de dire si il était fatigué ou exaspéré. Surement un peu des deux. Quel réveil. C'est comme ça tous les matins ? Parce que personnellement, j'ai horreur qu'on jacasse le matin. Çà à la légère tendance à me mettre les nerfs en pelote. Ne prends pas ça pour du bondage chérie, t'es vraiment pas mon type. Et puis tes petits conseil sur comment trouver sa moitié, tu m'excuseras mais vu le bonhomme qui t'es attitré, à ta place, je balaierais devant ma porte. Enfin, revenons-en à nos affaires. Tu es ici parce qu'en réalité, j'ai besoin de toi. Et tu es attaché parce que je veux que ton petit cerveau de détraqué soit bien concentré sur ce que je vais te dire et non sur une quelconque alternative pour te tirer ou me faire la peau. Tu vois, dans cette histoire, il y a plusieurs méchants. Toi encore, on a toujours sut que tu étais une dégénérée. L'autre timbré pareil. Mais par contre, ce que je hais par dessus tout... Ce sont les menteurs et les traîtres. Il regardait Harley droit dans les yeux. Laissant volontairement un blanc dans la discussion. Il se leva et repris. Je suis certain que tu vois où je veux en venir... Alors voila, tu as deux options chérie. Il fit le tour de la table et se plaça au niveau de l'oreille droite d'Harley. Première option. Tu me conduis jusqu'aux deux calamités que tu qualifie " d'enfants ". Je te tue, je les tues, tout se passe bien, tout le monde est content, plus personne ne rigole, une super histoire en somme. C'est l'option la plus sage. Il posa son menton sur l'autre épaule d'Harley pour lui parler au niveau de son oreille gauche. Deuxième option. Je te torture, et en effet au final je te tue. Mais crois moi. Ca sera très, très... très long. Il se releva. et fouilla dans la poche d'Harley. Il ne restait plus rien ormis une sucette. Il l'avait sentie quand il l'avait fouillée avant de la ligotée. On est jamais trop prudent avec cet engin là. Il déballa la sucette. Voila le deal. Tu me conduits aux deux petits monstres. Tout le monde meurs rapidement, je te le promet. Ou alors tu fais le vilain clown, mais l'histoire est beaucoup plus douloureuse, j'en ai peur. Il fourra la sucette dans la bouche d'Harley. Tourne la sucette au moins 7 fois dans ta bouche avant de dire une bétise chérie. Mais fais vite... le temps tourne.
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