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Pages : 1
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 
20/05/1016 ETU 20:08 
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Score : 4
Détails
Introduction : La Young Men Cowboy Association, aussi appelé YMCA, est une association regroupant les cowboys existant à travers la galaxie, visant à promouvoir le mode de vie des cowboys. Cette association a été fondée par Lucky Puke à l’âge de ces 19 ans, pensant qu’un tel rassemblement serait extrêmement classe. Bien que ce club de jeunes cowboys galactiques ait été utilisé pendant des années principalement comme une excuse pour se réunir boire du whisky, faire du rodéo et regarder des westerns entre cowboys, il arrive apparemment parfois qu’elle ait une utilité mais cela reste encore à démontrer. Cette association est composée de 5 membres. Oui je sais. C’est peu. Il faut dire qu’il n’existe pas tant que ça de cowboys a travers la galaxie pour commencer. Ensuite, un certain nombre ont pris leurs retraites et ne sont plus en activité. Il parait aussi que certains cowboys qui prenaient leur fonction très au sérieux auraient été outrés après la première réunion du club et auraient ainsi catégoriquement refusés d’être associé à une telle organisation, déclarant au passage « C’est un attroupement de débiles. », « Une honte pour les vrais cowboys. », « Sans intérêt. », « Sérieusement les gars, faut les foutre tous dans une navette en mode pilote automatique direction le soleil ! » Mais cette information a toujours été niée par Lucky Puke. Veuillez trouver ci-dessous un petit descriptif des membres de l’association. Lucky Puke étant un gros flemmard, cette description est très courte. De plus, nous tenons a informer quiconque la lirait qu’elle a été écrite par Lucky Puke et est donc très subjective. NOM : Lucky puke SURNOM : Cowboy le plus classe de tout le secteur 1 PROFESSION : Roi d’Oblidiia et cowboy a plein temps PARTICULARITE : Pense que les cowboys sont les êtres les plus classes de toute la galaxie et a sans doute raison, étant lui-même un type super classe. NOM : A définir, ça dépends des cycles… SURNOM : Le poète PROFESSION : Cowboy a plein temps PARTICULARITES : Ridicule. NOM : Otto Zeng Vaspasirt SURNOM : Big Cow PROFESSION : Eleveur de bétail des ranchs Vaspasirtes, numéro 1 galactiques dans la production, l’élevage et la vente de vaches bon marchés. PARTICULARITES : Bon vivant NOM : Zblaarg SURNOM : Zblaarg PROFESSION : Zblaarg Particularités : Zblaarg NOM : Wyatt Burp SURNOM : Wyatt PROFESSION : Chasseur de primes PARTICULARITES : A la gachette facile.
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363
20/05/1016 ETU 21:44
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Score : 2
Détails
[rp privé au fait mais vous vous en doutiez je pense] [Quelque part au milieu de la galaxie, il y a dix cycles de cela] Dans un vieux rade au beau milieu de la galaxie, Jim était assis au comptoir en train de lire un bon bouquin tout en sirotant un lait fraise. Le bar était vide et il n'y avait que lui et le vieux Charly, le patron du bar. Charly était un ancien cowboy qui avait pris sa retraite depuis longtemps et se contentait désormais de tenir sa bicoque pour avoir de quoi vivre. « Alors Jim, Lucky n’est pas encore arrivé ? - Arf, il est dans le coin mais tu sais comment il est, il ne voulait pas arriver le premier. Il dit que ça fait plus classe d’arriver en plein milieu de la conversation, comme un « vrai » cowboy. - Rah ces jeunes… De mon temps, y avait pas tout ça, ces histoires de classe et tout. Tu étais un cowboy ou tu ne l’étais pas, point a la ligne. Je te jure… C’est vrai qu’il va être papa ? - Hé oui… Qui l’eut cru ? - Surement pas moi en tout cas hahaha ! Le gamin est pas sorti de l’auberge en tout cas… Il va sûrement essayer d’en faire un cowboy non ? - J’en sais rien, peut être.. peut être pas… je pense qu’il grandira comme il grandira hein…On verra bien comment ça va se passer ! - Moi j’ai une idée… répondit une voix. Dans un coin sombre de la pièce, un homme d’un peu moins de deux mètres, habillé en cowboy et vêtu par-dessus d’un large poncho se tenait debout, le dos collé contre un mur. L’homme craqua une allumette pour allumer sa cigarette, laissant la flamme illuminer son visage. Il était métisse, avec une barbe de trois jours et des yeux verts couleur rubis. Cet homme était un chasseur de primes connu sous le nom de Wyatt Burp et avait la réputation d’être particulièrement tenace et appliqué dans son travail. Il sourit alors en regardant les deux hommes. - Cet homme dont vous parlez, on n’a qu’a le tuer. - Oh, c’est toi Wyatt ? Dis pas n’importe quoi, tu ne sais même pas de qui on parle… - Si vous en parlez comme ça a voix basse, il doit sûrement y avoir une prime sur sa tête… On pourrait bosser ensemble. Qu’est ce que vous en dites ? On se partage le butin en trois ? - Roooh… On parle d’un bébé qui n’est pas encore né idiot ! Et tu veux déjà lui mettre une prime sur la tête ? Une autre voix, plus familière a vos oreilles, se fit alors entendre : - Est-ce que je rêve ou tu viens de parler de mettre une prime sur la tête de mon enfant ? Oses faire ça et tu vas au devant de gros ennuis Wyatt… Lucky se tenait à l’entrée du bar, il s’avança jusqu'à Wyatt très lentement, comme en slow motion, surement parce qu’il trouvait ça classe. Arrivé a son niveau, il le salua d’une légère inclinaison de chapeau. Il s’appretait a dire quelque chose quand il reçut un coup de poing dans la face de la part de Wyatt. - Lucky ! Espèce d’enfoiré ! Tu croyais vraiment que j’allais oublier les 25 millions de leems que tu me dois pour la prime de Jack Ballantine’s ? Tu m’as doublé comme un traitre ! T’as plutôt intérêt à me rendre mon fric qu’à me menacer ! - De quoi tu parles, idiot ! T’as raté ton coup c’est tout ! J’te dois rien ! - Grrrr… - Je vois que c’est toujours autant l’amour fou entre vous deux ! Lança un homme qui venait de rentrer dans la pièce, habillé comme un riche fermier texan. L’homme devait peser dans les 150 kilos et tenait a la main un énorme os a moelle qui avait taché toute sa chemise. Il portait de toutes petites lunettes sur le bout du nez qui contrastait avec son imposante carrure. L’homme s'appelait Otto Zeng Vaspasirt, propriétaire des ranchs vaspasirtes et des grands paturages des lunes de Otesson, Obus, ou encore de la grande Orcanie pour ne citer que les principales mais ses possessions s’étendaient a travers tout le secteur 1 qui avait fait sa fortune. Jim, toujours assis au bar, le salua de la main. - Salut Big Cow ! Ca faisait un bail ! - Hééé oui mon vieux Jim ! Je vois que tu n’as toujours pas lâché ce loser ! Faudrait penser à te décerner une médaille un de ces jours quand même ! - Hé la, c’est moi que tu traites de loser ? J’t’arrêtes tout d’suite ! - J’arrêterais de te traiter de loser le jour ou tu m’rendras le fric que tu m’as piqué en trichant au poker ! - Je te l’ai déjà dis… je n’avais pas triché ! - Oui j’me doute bien… C’est pour ça que t’as sorti un carré d’as quand j’avais un full au roi, PAR LES AS ! - si on se fait pas prendre… C’est pas tricher, c’est exploiter les failles de ses adversaires… - Rends moi mon blé Lucky. - Moi aussi. - Mais vous allez arreter ? Sinon j’vous jure que… - Zblaarg ! La créature qui venait de pousser ce cri se tenait désormais juste a côté des trois cowboys. Il était très difficile de donner un nom a cette espèce car a vrai dire, il en existait très peu. Il mesurait dans les un mètre vingt, de couleur mauve qui tirait par endroits sur le vert caca-d’oie et de nombreuses tentacules sortaient de divers endroits de son corps. Sa chemise était très mal boutonné et laissait des morceaux de son corps sortir de toute part. Il dégageait de plus une odeur pas particulièrement ragoutante et semblait incapable de s’exprimer par autre chose que par Zblaarg, ce qui était devenu son nom a force. On n’aurait jamais pu deviner qu’il appartenait au groupe de cowboy si un vieux chapeau tout troué ne tronait pas sur sa tête. La créature poursuivit alors : - Zblaarg ! Zblaarg zblaarg zblaarg !! - D’accord, salut vieux ! - Zblaarg ! - Putain… Dix ans qu’on le connaît et il a jamais été capable d’apprendre notre langue ce con… - Remarque nous non plus… Personne n’a réussi a trouver une traduction a ça alors finalement ? - Non… J’ai mis des chercheurs dessus mais ils ont tous lâchés l’affaire. Ca ne ressemble a rien de connu, il n’y a presque aucune variation de son, ni même de fréquence et aucune logique apparente. Faut croire qu’il est juste demeuré. - Zblaarg ! ZBLAARG ! - Oui oui, on sait… - Pffff… Bon, Lucky et pourquoi tu nous a fais venir dans ce taudis ? No offence Charly… - Peut être qu’il voulait juste nous rendre nos sous ? Lança Big cow avec un sourire - Tu commences a sérieusement me souler Big Cow… - Zblaarg ! - Tu as une prime a chasser ? - Non, c’est pas ça, je vous l’ai dis, je veux réunir le YMCA pour discuter d’un projet philantropique, pour pouvoir aider des gens dans le besoin. - Zblaarg ! - T’étais sérieux ? C’est pour ça que tu m’as fais venir d’aussi loin ? Putain j’me casse d'ici… - Attends Wyatt, j’t’ai même pas encore expliqué ! - Sérieux Lucky t'abuses, T’as cru qu’on avait gardé les vaches ensemble ? Bon certes, on l’a fait mais voila, y a pas marqué bonne sœur sur mon front… - Et pourtant… le cowboy est amour… L’amour est le cowboy. L’un ne va pas sans l’autre. Il sont comme deux forces attirés l’une vers l’autre, jusqu'à se réunir dans une gigantesque apothéose d’amour inconditionnel… La dernière voix qui venait de surgir provenait d’un homme se tenant à l’entrée du bar. Il était lui aussi évidemment vêtu comme un cowboy mais ses habits étaient tous d’un blanc immaculé, jusqu'à son chapeau, sur lequel ne traînait pas même la moindre petite poussière. En le voyant, Lucky prit un air exaspéré : - Oh non il fallait qu’il vienne celui-la… - Hello les boys ! Je vous ai manqués pas vrai ? - Non. - Bof. - Pas du tout. - Zblaarg ! - Merci Zblaarg ! Tu as toujours été un fidèle ami, brave compagnon d’infortune, un oasis au milieu de ce désert qu’est la vie solitaire des cowboys ! - Il me fatigue déjà. - Et quand a toi, Lucky ! dit-il en le pointant du doigt N’oublies pas que tu me dois toujours un autre duel ! Ne t’avises pas de mourir d’ici là… car c’est moi, your rival ! Qui te tuerais ! - Ohlala le lourd… Lucky poussa un long soupir de désespoir. Le cowboy blanc était surnommé « le poète » et depuis leurs plus jeunes ages, lui et lucky se connaissait et se détestaient. Tout avait commencé dès l’école primaire, lorsque Lucky alors âgé de 6 ans avait ramené a l’école sa tenue de cowboy pour la première fois, celle que sa mère avait passé tant de temps a confectionner et a raccommoder. Notre Lucky pensait ce jour être le centre de l’attention et que tout le monde allait voir à quel point il était classe. Seulement, lorsqu’il était arrivé dans la cour, tous étaient déjà agglutinés autour d’un autre enfant, un nouvel arrivant, vêtu lui aussi d’un costume de cowboy flambant neuf. Le poète. Lucky était resté la dans la cour à regarder de loin les autres enfants s’émerveiller devant sa belle insigne de shériff qui brillait au loin. Sa plus grande honte avait été lorsque l’on avait traité de copieur et que c’était le poète qui était intervenu pour empêcher les autres enfants de le martyriser. La suite, n’avait été que pire. Quand Lucky réussit à attraper sa première vache au lasso, le poète venait d’attraper son premier cheval. Quand il reçut son premier colt, le poète eut droit à sa carabine. Ce fut la même chose pour le rodéo, les filles et même pour leurs changements de noms, car ils décidèrent par pure coïncidence de le faire le même jour. Seulement, Le poète arriva quelques minutes avant et put changer son nom en Lucky Luke, ne laissant a notre cowboy que le choix de prendre un autre nom, son surnom de l’époque : Lucky Puke. Toujours dans l’ombre de premier, Lucky grandit en nourrissant une haine envers lui, s’entraînant d’arrache pieds pour devenir un meilleur cowboy que le poète. Mais les efforts de notre cowboy finirent un jour par payer. Après des années d’entraînement, il défia le poète en duel pour décider qui d’eux deux aurait le droit de porter le surnom de « cowboy le plus classe de tout le secteur 1 » Et contre toute attente de tout ceux qui était venu voir le duel (c'est-à-dire trois personnes.) Ce fut Lucky qui l’emporta. Depuis ce jour là, la rivalité autrefois a sens unique se mit a concerner les deux cowboys. D’autres exploits de notre cowboy (et quelques coups fourrés) réussirent a tourner le poète en dérision qui depuis ne rêvait plus que d’une chose. Retrouver son statut d’autrefois, et devenir « le cowboy le plus classe de tout le secteur 1 » Il reprit alors son monologue de plus belle : - Tu pourras fuir tout ce que tu veux, ça ne changera rien ! Tu sais que ce moment arrivera. Nos destins sont liés que tu le veuilles ou non. Nous sommes comme deux forces en mouvement, l’expression la plus pure de cette forme d’art représenté par nos façons de vivre, deux forces inarretables qui quand elles se rencontrent, provoquent une explosion dantesque ! Ha ! C’est vraiment beautiful ce que je dis là ! - Salut poète ! Alors il parait que tu as encore changé de nom pour la je-ne-sais-combientième fois ? - Ah enfin ! Tu as fini de te ridiculiser, et moi par la même occasion, a travers toute la galaxie ?! cria Lucky a l’attention du poète qui sembla ne pas du tout l’écouter. - Yes Big Cow, C’est vrai ! Ma tentative d’embêter celui-ci -Il pointa Lucky du doigt sans le regarder- en me faisant appeler Lucky Sucks était une bonne idée au début, mais avec le temps j’ai remarqué que ça me desservait plus qu’autre chose… - Allez avoue, tu as eu des propositions louches par des vieux messieurs hein ? - Ton sarcasme me passe au dessus de la tête tel les étoiles mon cher Lucky. - En vrai, ça t’est arrivé ? - Mais non voyons. - Je suis sur que si… - Allez tu peux nous dire quand même, on est entre cowboys ! - Ha ! Mais arrêtez voyons, c’est ridicule, on peut recentrer le sujet sur un truc plus sérieux ? - Je suis sur que c’est ça. - Zblaarg ! - Allez… Tu peux nous dire, il a raison ? - Mais… Il serra les poings comme pour se battre avant de… fondre en larmes en jetant son visage dans ses mains. Mais il avait dit qu’il m’aimait !!! Et moi j’ai juste voulu croire en cette belle histoire et le lendemain, il m’a jeté comme une vieille chaussette ! Comme a chaque fois ! Bouhouhou... Je suis si malheureux… je ne trouverais jamais le true love ! - AH ! Je l’savais ! Le poète pleurait maintenant à chaudes larmes tandis que les autres avaient l’air de s’en foutre comme de leurs premières couches, Lucky ricanait dans son coin, Zblaarg était absorbé par une mouche qui volait, Wyatt semblait exaspéré. Cela dura un moment jusqu'à ce que Big Cow vienne lui poser la main sur l’épaule pour le réconforter. - Allons allons, faut pas te mettre dans des états pareils voyons. Je suis sur que tu trouveras quelqu’un un jour. - Sniif… Tu crois vraiment ? Demanda-t-il en essuyant ses joues avec sa manche - Mais oui, surement.. Enfin, peut-être… Très probablement ! Finit-il avec un sourire au poète avant de se retourner en direction des autres cowboys et de faire un discret non de la tête. - Et du coup, tu as changé en quoi comme nom ? - Sniif… Justement… J’ai choisi d’attirer la chance vers moi de ce côté la et vous avez donc devant le nouveau…. Lucky Luv ! Yeah ! Lucky prit une mine dépitée. - Tu rigoles ? Je croyais qu’on avait dit que tu devais changer de nom pour ne plus t’appeler Lucky bon sang ! - Pfff ! Et Pourquoi je ferais ça ? Pour autant que je sache, j’étais le premier a porter le nom de Lucky ! Tu m’as simplement sûrement suivi et imiter alors bon, je ne vois pourquoi je lâcherais mon nom ! - Pour la centième fois, je ne t’ai pas suivi ! - Moi je pense que si ! Tu me suivais beaucoup d’ailleurs a l’époque, et tu m’imitais sans cesse… - C’est toi qui… - Je me demande si dans le fond, tu n’as pas toujours eu un faible pour moi ? - Je vais te buter. Sérieusement. Tu vas mourir. - Hahaha ! Attention, boy. Tu pourrais te blesser... Tous deux portèrent la main au niveau de leur colt en ne se lâchant pas du regard. - Bon les filles, j’ai déjà vu cette scène des dizaines de fois, j’connais la fin du film, Lucky tu me rends mon fric que je puisse m’en aller ? - Héhéhé a lui aussi tu lui as piqué du fric ? J’te rappelle que tu me dois toujours 20 Millions au passage mon petit Puke. - Bon sang Lucky, mais est ce qu’il y a quelqu’un dans cette galaxie a qui tu ne dois pas du fric ? - Zblaarg ! Zblaarg Zblaarg ! - Je suis sur qu’il en a même tiré à ce pauvre zblaarg… - Vous commencez tous à me prendre la tête… J’crois que j’vais faire un carnage. - Quand tu veux, boy. - Et en passant Big Cow, tu me dois toujours 60 Millions pour la capture du robot bandit G-6-GEMS… - Y’avait marqué « en état de marche » pour récolter la prime… tu m’as ramené un bras. - Tu m’l’avais pas dis. Et j’me suis donné beaucoup de mal. - Zblaarg ! Il ne fallu que quelques secondes avant que tout ce petit monde n’arrive a bout de nerfs. Très vite, les cinq cowboys se retrouvèrent en cercle, chacun ayant ses deux mains tendues au niveau de son ceinturon, prêt à dégainer. Chacun scrutant les mouvements de l’autre. Un duel de regard était maintenant lancé. Au bar, Charly nettoyait tranquillement ses verres tandis que Jim, toujours installé sur sa chaise de comptoir, regardait la scène d’une bonne distance. Il posa son livre sur le comptoir, croisa les bras et enfonça sa tête dans le creux de son bras. Avant de s’endormir il murmura : « Je sens que ça être trèèèès long encore cette histoire… »
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