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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 20/07/1016 ETU 01:05 |
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Cela faisait maintenant une petite éternité que le peuple Kaiserdien, qui était parmi les peuples les plus anciens de cette galaxie à avoir foulé l'assemblé, si ce n'était le peuple le plus ancien, compte tenu de ceux qui avaient disparus entre-temps, n'avait pas donné signe de vie. Oh, bien entendu, le commerce et les rapports liés à la mystérieuse disparition de flottes bandits laissaient deviner que le Dominium était encore bien actif, seulement, ce dernier n'agissait tout simplement plus à l'international, comme s'il avait comprit que l'époque reculée des premiers secteur était terminée, et que son rôle, s'il n'avait pas exactement été joué, avait tout de même perdu beaucoup de son importance. Pour être tout à fait exact, certains officiels dirigeants considéraient avoir laissé passer beaucoup trop d'occasion: Pour eux, le Dominium ne pouvait plus trouver de réussite que dans l'isolation. Et en dehors de ces pensés défaitistes qui animaient déjà les mêmes officiels aux temps des premiers secteurs, il y avait aussi les troubles internes, ce que les informations officielles du Parti avaient appeler "La Seconde Guerre des Mécha", sur lesquels personne ne semblait rien savoir et personne ne disait rien. Quoi qu'il en soit, il faut croire que les troubles en question étaient terminés, puisqu'une flotte Kaiserdienne approchait désormais de la capitale Galactique. Les vaisseaux, au nombre de six, encadraient un destroyer lourd. Tous avaient ce qu'on appelait un chassie en "pistolet", avec un corps allongé en forme de "L". Chaque côté était bardé de canon fixe, de tourelles, de tube lance-torpille, de hangars, d'antennes en tout genre et, plus important que tout, d’innombrables holo-emblèmes Kaiserdiennes. Ainsi, les vaisseaux ressemblaient à de titanesque cathédrales volantes d'acier sombre et brillaient tous comme des portes étendards. Bien qu'avançant à bonne vitesse, la flotte se soumit sans poser de problème à tout les tests de sécurité habituels. Lorsque quelqu'un demandait ouvertement ce qu'elle venait faire ici, les officiers de communication répétaient inlassablement la même question, avec cette ironie froide que l'on connaît aux habitants du Dominium: "Avez-vous vu le moindre Kaiserdien sur ce monde ?" C'était un peu tordu, cela voulait simplement dire qu'ils venaient remplir un vide. De toute façon, c'était répondre ça ou demander sur un ton à la limite de l'agressivité assumée si les bureaux Kaiserdiens avaient étés touchés et si oui, par qui. Dans le destroyer lourd qui dirigeait la formation se trouvait un drôle de duo, anciennement habitué de l'assemblée et dont les membres avaient, chacun leur tour et chacun à leur manière, organisés de grandes campagnes de désinformation, de mobilisation générale, de longs débats, bref, des guerres diplomatiques composée de discours, de preuves, de procès improvisés et d'appel à témoins. On avait à une époque connu le Dominium pour ses diplomates flamboyant qui, tout en faisant en sorte de dire juste (de leur point de vue), s'amusaient à amuser la galerie, que ce soit par des jeux de mots, des piques, de l'ironie ouverte ou un comportement un peu décalé, clownesque. A noter que ce dernier point était plus lié au caractère un peu étrange d'un des deux représentants. Car dans ce duo, il y avait clairement un auguste et un clown triste. Quoi-que le terme duo semble un peu usurpé, bien qu'ami, les deux individus agissaient souvent seuls, et c'était lorsque l'un était indisponible que l'autre prenait sa place. Il s'agissait d'Alice et Spielton. A noter si que la première étant présente en chair et en os, le second n'était pas vraiment là, ainsi, lorsque tout à l'heure j'écrivais que le destroyer lourd contenait un drôle de duo, il aurait été plus exact de dire qu'il contenait Alice, et que Spielton parlait à cette dernière via holocran. -Tu veux que je te dise ? Je pense honnêtement que c'était une erreur de refuser cette offre pour revenir ici. Tu bloque ta carrière. Enfin, je veux dire, sincèrement Alice, tu ne veux pas passer toute ta vie à t'époumoner là où personne ne t'écoute alors que tu pourrais dicter des ordres suivis à la lettre par une cohorte de serviteurs dociles, si ? -Je suis diplomate, Spielton, je suis bonne pour parler et représenter les intérêts de ma nation, par pour les définir, et encore moins pour les dicter. Comme elle savait pertinemment qu'il allait insister, elle coupa la communication non sans se targuer d'un large sourire froid et d'un salut réglementaire. Il y avait un moyen très simple de différencier Spielton d'Alice, passé le détail évident de leur sexe. Pour commencer, Spielton était très grand, là ou Alice était plutôt petite et menu, ensuite, Spielton portait toujours une sorte de combinaison noire ainsi qu'un monocle, là ou Alice ne se séparait jamais de son attirail d'officielle politique. Enfin, ils ne se ressemblaient pas du tout. -Madame, nous sommes en orbite, votre navette est prête. Il s'agissait d'un de ses deux gardes du corps, il venait d'entrer dans le petit salon au confort spartiate dans lequel elle se trouvait. Il était suivit de près par un autre militaire en armure. Pour les personnes ayant déjà connaissance de l'existence de ces personnages et se posant la question: Oui, il s'agit des mêmes deux gardes en armure que ceux qui, il y a de ça maintenant bien des cycles, accompagnaient la diplomate partout. Ils ne s'étaient jamais vraiment éloignés d'elle, et dès qu'elle en avait eut la possibilité elle avait exigée leur présence. C'était ainsi accompagnée de ses deux gardes habituels qu'Alice approcha de la navette, traversant pour se faire un large hangars remplit de chasseur et une longue haie d'honneur. Comme elle sentit qu'un retour sans fanfare ne serait pas assez clinquant pour le Dominium, elle se stoppa devant son véhicule, passa une main dans ses courts cheveux raids, aussi blonds qu'elle pouvait être froide, et se retourna avant de marquer un temps d'arrêt. -Y-a-il un officier de présent ? .... -Dites, vous êtes sûr que les nouvelles autorités nous laisseront faire ? -Les anciennes ont toujours laissées faire. Je ne vois pas pourquoi cela changerait. Bigre, il y a même une statue à l’effigie de nos hommes en plein centre-ville ! -Oui, elle avait été érigée après la révolution et personne n'avait prit le temps de l'enlever avec les troubles sectoriels, mais rien ne dit que... -En fait, si mes souvenirs sont bons, il y avait même plusieurs statues. Il faudrait que j'en commande une à mon effigie. J'étais là, moi aussi, vous savez ? -Madame, ils pourraient avoir des réactions... Disproportionnées. -Par rapport à la statue, vous voulez dire ? -Au débarquement de troupes. -Vous leur avez dis que nous allions débarqué de nombreuses unités pour la sécurité de la cérémonie ? -Heu... Oui. -Alors ils laisseront faire. Et dans le pire des cas, je prendrais grand soin de leur faire comprendre en quoi nous stopper était une erreur diplomatique absolument méprisable. -... Soit, il en sera donc selon votre volonté. ... La flottille s'était stoppée en orbite géostationnaire au dessus de la planète. De manière assez surprenante, les vaisseaux semblaient peu à peu prendre une formation comparable à un losange dont le centre serait occupé par le destroyer Amiral. L'avant de ce dernier pointait la planète. Pour être tout à fait exact, il pointait le centre-ville de la capitale planétaire. Soit le centre du centre du centre de la politique galactique. Certains paranoïaques auraient sans doute des choses à redire à ce propos, mais plutôt que de les laisser s'exprimer, détaillons ce qui suivit la mise en place de cette formation, il est vrai un peu étrange. Il y eut un moment d'inaction totale durant lesquels les vaisseaux Kaiserdiens, dont la simple présence avait de quoi attirer l'attention, ne bougèrent tout simplement pas. Puis, suite à un "top" inaudible, chaque hangars de chaque vaisseau laissa s'échapper au moment exact ou chacun de ses voisins le faisait une nuée de chasseurs escortant un transports de troupe. Suivant une trajectoire gracieux jusqu'à se retourner presque en parallèle de l'atmosphère que la planète, les chasseurs et leurs navettes descendirent progressivement dans l'atmosphère jusqu'à enfin arriver dans l'atmosphère. Aussitôt, ils se dispersèrent et commencèrent à défiler dans le ciel, au dessus de la ville, tandis que les navettes partirent se poser aux alentours de l'assemblée. En sortir plusieurs soldats en armure d'apparat noire et rouge. Chaque escouade était dotée de portes étendards. Quelqu'un, quelque-part, se mit à diffuser une marche militaire. Les Kaïserdiens avaient le chic pour improviser des défilés militaires un peu n'importe où, quitte à enquiquiner les autorités locales et à stopper toute circulation. Enfin, il leur arrivait d'être un peu agaçant, quoi. ... Même si quoi qu'on puisse en dire ou en penser, il fallait admettre qu'ils étaient tout de même très bon, pour faire des défilés. ... Ouais, en fait ça avait carrément de la gueule. Soit ils étaient ridiculement doués pour l'improvisation, soit ils avaient ça dans le sang. Ou alors, mais cette hypothèse est tout simplement trop stupide pour être énoncée sérieusement, il existait dans les recoins sombre de l'administration militaire kaiserdienne un plan d’opération consistant à mettre en place un défilé militaire dans ces rues précisément pour répondre à on ne sait quelle situation hypothétique, et ces militaires étaient entraînés pour y répondre. ... Non, n'y pensons plus, ils sont sans doute tout simplement très doués. Ainsi-donc, les soldat défilèrent dans un ordre parfait, portant sur eux les drapeaux de leur faction. Chaque colonne semblait converger vers un même point qui correspondre à l'entrée principale de l'assemblée. Enfin, pas "chaque", pour être exact, plusieurs unités se dirigeaient aussi vers les quartiers kaiserdiens de la ville, conçus après qu'une partie de la dite ville se soit retrouvée sous occupation Kaiserdienne après une sorte de simili-révolution anarchisto-religieuse. Tandis que les troupes défilaient, et que les chasseurs faisaient mumuse dans le ciel, la navette d'alice, encadrée par quatre chasseurs lourds, se posa parfaitement en face de l'entrée principale de l'assemblée. Les soldats qui jusque-là convergeaient en un même point entreprirent dans un ordre parfait de mettre en place une longue, très longue haie d'honneur parcourue d'emblème. Alice, manteau au vent, casquette vissée sur le front, attendit patiemment que le sas de son véhicule s'ouvre pour sortir d'un pas à la fois fier et indifférent, uniquement concentrée sur ses pensés et ce qui l'attendait à l'intérieur du bâtiment. Sur ses pas, les troupes levaient un bras, la saluant tour à tour. Lorsqu'elle arriva au bout de la haie, les deux derniers soldats, qui portaient des étendards, et huit autres militaires en armure prirent sa suite. ... Ce fut ainsi une Alice toute en beauté, très froide, et passablement victorieuse qui déboula dans l'assemblée galactique, accompagnée de dix hommes dont deux portaient des étendards. Elle eut un délicieux petit sourire en coin et posa une main au niveau de son cœur. -Kaiserde vous fait ses honneurs, et que vos peuples survivent aux temps. Puis, après quelques secondes de silence dont le seul but était d'expliciter qu'elle venait de souligner ce qui était, de un, assez visible et, de deux, absolument audible (puisque les marches victorieuses fanfaronnaient encore à l'extérieure), elle fit signe à ses soldats de se disperser, ce qu'ils firent donc à l'exception de deux d'entre-eux. Tandis que les portes-étendards approchèrent de la loge Kaiserdienne pour y placer les drapeaux, les six autres militaires partirent simplement inspecter les appartements de la diplomate ainsi que ses bureaux. Puisque cette dernière n'avait jamais donnée sa démission et que, du point de vue d'Alice, rien ne justifiait que l'on lègue "ses" biens à quelqu'un d'autre, elle avait donnée des ordres on-ne-peut-plus clair, à savoir: Foutre à la porte l’intrus qui, hypothétiquement, s'y trouverait. Quand tout les militaires furent loin, Alice quitta son immobilisme pour scruter d'un air absolument neutre les têtes qu'elle ne connaissait pas: Il y en avait beaucoup. Au moins l'immondice qui servait de bouche à l'Ombre n'était pour sa part plus de ce monde... Ou du moins, de cette salle. Quant elle eut terminée, ce qui fut assez rapide, et comme elle sentait que le silence se faisait pesant et que, à chaque seconde qui passait, la chance statistique que l'on lui demande quelques explications augmentait, elle avança en direction du promontoire qui avait toujours été utilisé par les leaders de la capitale et pose ses mains sur ses hanches. -Salutation, camarade, je suis la représentante Dominium de Kaiserde en ces lieux, aussi nommée Alice. Bien entendu, comme je viens ici reprendre mon rôle après une... Malheureuse période d'absence, nous aurons sans doute quelques... Menus détails à régler. Ceci étant dit, j'espère que tout les peuples sont encore les bienvenus en ces lieux et que je pourrai de fait reprendre immédiatement mes activités. Puis, après un bref salut et sans attendre de réponse, elle se dirigea vers sa loge où l'attendaient deux étendards flambant-neuf, un holo-projecteur défectueux et un verre de cocktail à la menthe. Sur le chemin elle reprit, cette fois à l'adresse de toute l'assemblée: -J'ai conscience que beaucoup ici ne nous connaissent que par les archives, si ce n'est pas du tout. Sachez que nous sommes ouverts à toute question et à toute offre. Puis enfin, pour elle-même, alors qu'elle retrouvait à la fois un air serein et le vieux fauteuil amovible qu'elle avait fait installer là le jour de son arrivée: -On est jamais mieux que chez soit...
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 21/07/1016 ETU 15:26 |
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Après "l'interrogatoire raccourcis" de Miron, Préservation marchait dans le centre ville de la capital dans le chahut de la foules. Malgré le mépris qu'il affichait au asynchrone habituellement le kantus adorait la foule. Il y reconnaissait les prémices d'un commun primitif encore dépourvus de conscience mais pourtant fonctionnelle. Les foules se comportant spontanément comme un fluide et réagissant à des stimulus de ba.... Le bruit assourdissant du passage d'une douzaine de chasseur en formation de delta provoqua la panique... Brisant de même la sérénité de Préservation Il observa le ciel et vit la centaine, les milliers de chasseurs effectuant de nombreux passages dans des formation divers et varié Les formations était trop esthétique pour être réellement belliqueuse. Et ça il en était certains. Très peu d'asynchrones acceptaient de mourir au combat pour le maintien d'une forme géométrique dans le ciel. Néanmoins pour des asynchrones il fallait avouer que la chorégraphie était plus que respectable. Puis il observa la descente d'une navette et d'une escorte légère vers l'assemblé dans une descente beaucoup moins chorégraphié mais beaucoup plus efficace Il se mit à sourire... Puis il se dirigea plus rapidement vers l'astroport. --- Il arriva dans l'astroport toujours camouflé et vie de loin une asynchrone de petite taille blonde dans une tenue d'officielle. C'était donc elle l'épicentre de toute cette flotte. Il changea de direction pour rejoindre son propre vaisseau et y ranger son arme et son équipement. L'astroport était remplie de soldats au garde à vous protégeant les vaisseaux de la diplomate. L'un d'entre eux patrouillait devant le vaisseaux du commun. Il marcha vers son vaisseau et coupa son camouflage A sa vue le soldat aboya : Au nom du Dominium identifiez vous ! après un spasme le soldat répondit à sa propre injonction : Kantus Préservation, chargé de la sécurité du commun et ceci est mon vaisseau Puis le soldat repris le contrôle de son corps et se poussa au passage du synchrone qui n'avait pas arrêté de marcher Il entra dans son vaisseau, posa l'équipement et se changea pour une tenu plus "présentable" que l'équipement d'infiltrations. Une fois le fameux masque bleue enfiler à la place du casque masque militaire, le synchrone fut pris d'un spasme. Il ressortie alors du vaisseau recroisant le soldat qui était en train de rapporter ce qu'il venais de ce passer à son supérieur Le synchrone sentant qu'il était observé salua les militaire : Kantus Altérité, représentant du commun en cette assemblé. Je m'excu... Il fut coupé par un officier. Circulez diplomates. On est pas là pour tailler le bout de gras. Altérité ne demanda pas son reste et se rendit dans l'assemblé Galactique pour assister au discours de la diplomate du dominium. A la fin de ce dernier Altérité se leva et dit : Nous ne nous connaissons effectivement pas encore mais j'ose espérer que cette situation ne saurait duré. Laisser moi me présenter, je suis le Kantus Altérité, représentant du commun en cette assemblé et j'espère que votre retour vous est des plus agréable Je tenais à vous faire parvenir les félicitations de mon homologue Préservation pour la performance militaire qui a lieux en dehors de ces murs. Vous savez marquer les esprits...
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 21/07/1016 ETU 20:23 |
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Score : 3
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"Le" Kantus ? A priori on aurait put penser à une sorte de prénom, cependant l'utilisation d'un déterminant laissait penser qu'il s'agissait soit d'un titre, soit du nom de l'espèce. De même, le terme "Altérité" renvoi à tout ce qui n'est pas "soi". Ça, plus le nom de "Commun", Alice estima rapidement qu'elle avait affaire au représentant d'un peuple dont le dogme devait donner dans le collectivisme avec un grand C majuscule en gras, souligné et entouré de néon clignotant. La jeune femme répondit au diplomate avec un sourire aimable, le saluant d'un hochement de tête. -Et vous me voyez ravis de l'entendre, Klantus Altérité. Il fallait bien une cérémonie à la hauteur du bonheur qu'éprouve Domiunium en retrouvant ses marques en ce lieu. Simple démagogie ou théatralisme d'origine culturelle ? Difficile à dire, les mots sortaient de la bouche de la diplomate avec la fluidité d'un ruisseau et son ton, clair et aimable, avait quant à lui quelque-chose de tout à fait charmant et chaleureux qui s'éloignait de fait de son apparence plus aride et polaire. L'apparence comme le ton avaient cependant une qualité commune: Ils étaient dignes. -Enfin, pas toutes ses marques. Certaines choses ont changée, et j'ai hâte d'en apprendre plus sur les dits changements. Regard appuyé, Alice s'abaissa un peu en signe de respect et reprit place dans son fauteuil. La diplomate avait de nombreuses questions, mais elle les garda précieusement pour elle, préférant se renseigner plus tard de son côté: Il existait suffisamment de moyen d'en apprendre plus sur une nation, une espèce ou un individu sans avoir à questionner des représentants. Certains auraient estimés qu'il s'agissait d'un acte assez malpoli, mais c'était plutôt le contraire pour la diplomate: Inutile de demander au représentant d'une espèce déjà installée à l'Assemblée de se présenter quand la majorité de l'assistance connait déjà l'essentiel, c'eut été faire perdre du temps à tout le monde.
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