Xivares d'Ombrage, jeune capitaine Kaiserdien, observait l'espace, silencieux. Dans son cerveau se bousculaient de nombreuses pensées, parfois relatives à sa mission, parfois relatives aux événements récents de l'assemblée. Au fur et à mesure qu'il approchait de sa cible, pourtant, une certitude étrange venait peu à peu lui tenailler l'esprit: Lui et ses hommes étaient sans doute les Kaiserdiens à être allé le plus loin dans l'espace connu.

Cette pensé, loin de le rendre fier, l'emplissait d'un sentiment puissant et cynique. Il était loin de Kaiserde, de tout soutient armé et par conséquent, seul.

Seul. Cette pensé, contrairement à la précédente, le remplissait d'une fierté sobre mais puissante. Ses supérieurs lui faisait confiance, sans quoi il ne serait pas là.

Ce n'était pas vraiment une surprise, ceci dit. Il s'était déjà illustra, par le passé, pour son calme redoutable, sa grande capacité à gérer le stress et son remarquable sens tactique.

Kabal était un monde luxuriant appartenant à la faction dite du "Commun". Suite aux récents événements de l'assemblée, Kaiserde avait dépêchée un certain nombre de drone de reconnaissance à travers l'espace de l'esprit ruche, et avait constatée que là-bas, eh bien... C'était le chaos, tout simplement.

Pourtant, émergeant du chaos, on avait aussi et surtout détecté un signal de détresse. Quelqu'un avait besoin d'aide.

Bien entendu, Kaiserde ne donne pas dans l'humanisme gratuit, du moins pas à cette échelle, et si les officiels du Parti avaient décidés d'envoyer une petite équipe enquêter, c'était uniquement pour récolter des informations et, éventuellement, tirer au clair les récents événements.

Ainsi-donc on avait envoyé l'Ocelot, une toute petite frégate furtive appartenant à genre nouveau, et contenant un équipage réduit d'experts et de soldats d'élites. L'Ocelot avait remonté en vitesse le signal de détresse dans ce qui fut un voyage étonnamment paisible, et était finalement arrivé en orbite de Kabal.

Xivares considéra ses options, et répondit sur un ton froid, mécanique.

Dans l'espace, le ventre de l'Ocelot s'ouvrit, et des sortes de grandes tiges, semblables aux branches d'un arbre ou aux terminaisons d'un système nerveux, en sortirent, commençant un scanne méthodique de la planète. Parallèlement, s’échappant du vaisseau via des tubes lance-torpille, des petites nuées de drones prirent leur envole et partirent en direction de la planète.

Dans la jungle épaisse un groupe de 3 Thérons portant tout trois un masque rouge patrouillaient dans la jungle des environs d'un petit bunker caché dans l'épaisse végétation.

La jungle autour du bâtiment souterrain était épaisse et étendus tant et si bien qu'il serait compliqué d'atterrir où que ce soit. Du moins pour un appareil classiques ou pour un atterrissage classique

La clairière la plus proche du bunker était à une trentaine de kilomètres, et elle était truffé de mine. Un piège simple et facile a repéré. Encore fallait il y penser...

Ca n'échapperais surement pas au membre du dominium dont les sonde sillonnait l'épaisse jungle.

Un son alerta les synchrones qui se tournèrent alors à l'unissons vers une de ses sonde leurs étant inconnus qui visiblement les avait repéré.

L'un d'eux sortie de son manteau de cuire les arbalètes bien connue des Théron. Et tira. Le carreaux se planta dans l'objectifs du drone et explosa. Réduisant l'appareil au néant.

Puis les 3 synchrone activèrent leurs camouflage. Et se séparèrent.

Le bruit d'arme que l'on chargeait les accompagnant

A présent qu'il étaient repérer. Il Restait à déterminer par qui et s'ils seraient digne....

...

Conformément à ce qu'exigeait leurs mémoire

...

"Nous avons perdus un drone et les cibles ont disparues."

"Merde, quand on sait ce qu'un seul de ces enfoirés à pu faire à l'assemblée..."

"Excusez-moi sergent, mais j'estime que nos hommes sont un peu meilleurs que les paladins, hein."

"Heu... Ouais. Ouais sans doute. Mais du coup on fait quoi ?"

"Bah, le capitaine a donné ses ordres."

"On s'en serait douté."

...

Les chasseur dans leurs scanner virent 5 signatures magnétiques émanant d'un camouflage finalement très rudimentaire pour l'époques... signifiant la présence de deux thérons supplémentaire

Les drones vinrent à la rencontre des deux synchrone nouvellement repéré tout en diffusant leurs messages de paix.

Les synchrone ne bougèrent pas fixant les drones visiblement trop nombreux pour être abattu rapidement.

Après ce face à face silencieux ils firent demis tour et se dirigèrent au trot vers le bunker.

Parallèlement un des drones reçu un plans indiquant une clairière à un vingtaine de kilomètre indiqué comme zone d'atterrissage pour les visiteur.

Voyant les thérons retourner jusqu'au bunker, les chasseurs Kaiserdiens cessèrent leurs recherches et, suivant les ordres que leur communiquait l'Ocelot, partirent rejoindre la clairière. Avant de se poser, les petits vaisseaux laissèrent les drones toucher le sol, simple précaution. Ayant confirmation que la zone n'était pas minée, les pilotes atterrirent enfin.

Ils furent assez rapidement rejoins par une petite navette de transport, à peine plus grosse que les chasseurs en eux-même. En sortirent une petite asiatique en blouse, un officier en tenue de commissaire et quelques soldats qui partirent rapidement établir un périmètre de sécurité dans la clairière.

Tandis que les fusiliers orbitaux s'assuraient qu'aucune bestiole agressive n'approchait de la zone, la navette et les chasseurs déployaient de l'équipement. Se détachant de petites alcôves situées sur les parois extérieurs, des sortes de moto-antigravité couvertes de matérielles vinrent gentiment rejoindre l'officier et la scientifique, Les véhicules ne payaient à priori pas de mine, ils étaient fin et arboraient des couleurs criardes, mais ils étaient pourtant capable de soutenir des poids très important. Ainsi, chaque moto put accueillir un baluchon de matériel et deux kaiserdiens.

Finalement, lorsque tous furent près, le petit groupe parti en direction du bunker. La densité de la jungle et la prudence des militaire rendit le trajet relativement long. Heureusement le nez des véhicules était muni de petits champs de forces leur épargnant le besoin de distribuer des coups de machette.

Lorsque enfin ils furent à proximité du bunker, les Kaiserdiens descendirent de leurs montures et approchèrent doucement. L'officier avait les mains dans le dos, l'asiatique, qui était entourée par un champ climatiseur d'air frais, les levait doucement et les militaires avaient rangés leurs fusils.

Les trois théron apparurent devant la portes.

L'un d'eux s'approcha du groupe d'un pas assuré et s'arrêta quand il était facile de parler sans crier.

Puis une voix jeunes sortie du masque rouge.

Les militaires saluèrent comme le faisaient habituellement les kaiserdiens, mais ni l'officier ni la femme en blouse ne s'en donnèrent la peine. Avançant d'un pas comme pour accuser réception, ils se lancèrent des regards en coin, comme pour laisser à l'autre la priorité sur la parole.

L'officier avait un petit sourire. Lorsqu'il eut terminé, l'asiatique reprit, elle semblait un peu gênée.

Pendant que les officiers du kaiseerde parlaient, le théron semblait d'avantage captivé par la droiture et la synchronisation du salut effectué par les soldat que par les propos tenus par les deux chef du groupe.

Ce qui dû accentuer le malaise de ces dernier... Pour enfoncer le cloue le théron ne répondit pas tout de suite

Puis un petit rire pouvant paraître méprisant pour qui cultivait l'orgueil suivis d'un courts marmonnement. Le synchrone enfin éleva la voit

Sur ces mots, d'un geste rapide, il sortie son arme.

Avant même qu'il ai le temps de braquer qui que ce soit. les soldats du dominium avait eu le professionnalisme de cesser leur salut et de s'emparer de leurs armes. Mouvement désamorcé par le fait que le synchrone venait en fait de jeter son arme au loin.

Laissant ses interlocuteurs pour le moins perplexe.

Le malaise qui aurait pu s'installer fut désamorcé par un grand éclat de rire du synchrones qui daignât finalement à se tourner vers les deux officiers.

Puis il pris un inspirations

Le silence que provoqua sa déclaration fut brisé par un autre petit rire.

d'un mouvement de tête le synchrone désigna le bunker

L’officier ne répondit pas. Stoïque, il avait légèrement écarquillait les yeux et observait les Thérons avec une incompréhension tenace et vexée, celle d'un homme de stricte logique à qui on venait d'imposer une bonne petite séance de non-sens. Ainsi, ce fut la scientifique, qui pour sa part affichait un air tout bonnement ravit, bien que légèrement assombrit par l'annonce d'une mort, qui prit l'initiative de répondre.

Elle se tourna vers l'officier qui, quittant son air stoïque, hocha imperceptiblement la tête.