Pages : 1 2
Cdt. Zotak
Respect diplomatique : 157 27/09/1016 ETU 15:42 |
Score : 2
Détails
Repoussant avec force une dizaine de Paladins d'un seul mouvement, Zotak répondit: Il est vrai que l'empire de Silius Mengsk était loin d'être faible. Mais, croyez moi, je sais à quel point une civilisation sort affaiblie d'une apocalypse. Et sans planètes déscente que pour se reconstituer, une nation ayant survécus à l'apocalypse, est faible. Oui, vous avez bien entendut! Croyez moi quand je vous dis qu'il est incapable de vous menacer actuellement! Oui, il est vrai que Mengsk parle sans détourds. Oui, il refuse l'autoritée, et cela à toujours été comme cela avec lui. Les archives du commandant d'Utopie: Ouxor le confirme... excusez moi, il semblerais qu'Ouxor n'avait pas tout compris sur cette civilisation. Merci Olhorin. Et désoler pour l'erreure commise. Je ferais ammande honorable dés que possible. Mais, de là réprimer le faible! Vous qui vous prétendez gentil et chevalresque! Vos actions démontre le contraire, Flavius. Alors, oui, je veux bien admettre que vous rester calme, par contre, vous agisser comme le pire des idiots. Vous perdez énormémment de l'estime que j'avais en vous! Et à mon avis je serais pas le seul qui verra sont opignion de vous diminuer. Réfléchisser sur le long terme. Du danger? Mengsk n'en repésente pas actuelement. Un jours, peut-être, mais pas tout de suite. Remarquer, je le défends, non pas sur ces dire du début, mais sur ces droits légitimes (et encore, je ne m'attaque pas à sa situation actuelle), et sur votre réaction disproportionnée pour une simple attaque verbale. Que vous surveiller qui entre dans cette galaxie, je ne suis pas contre. J'ais pas mon mot à dire non plus. Mais, que vous exterminier une civilisation juste pour une attaque verbale, vous allez fort loin. Restraignez ses droits de mouvement, surveiller le à grande échelle, si vous le voulez, mais pas d'attaques sans raisons valables! Et là, il est évidant qu'il n'y à pas de raisons valables. Je vous prierais aussi de rappeler vos paladins, je ne suis pas certain de pouvoir éviter de les blessés si ils insistent de trops.
|
||
Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 27/09/1016 ETU 16:16 |
Message édité -
Score : 3
Détails
Flavius soupira. C'est vous qui agissez comme un idiot en n'écoutant pas ce que je dis. Personne ne sera exterminé, et je ne réagis pas à une provocation verbale mais fait bel et bien appliquée la Loi du Saint Empire, surtout quand l'individu affirme volontairement qu'il ne s'y pliera pas. Alors cessez immédiatement vos bêtises, et écoutez un peu ce que je dis, un monde a été proposé à cet individu, si j'avais voulu "l'exterminer" je ne l'aurais pas fait. Et la Civilisation Andari représente un danger même par son armement, vos arguments qu'elle n'en représente aucun pour l'instant n'a pas de sens, si elle ne représente aucun danger, c'est justement parce-que la Sainte Force veille à ce que ça le soit ainsi. Flavius fit un signe au Paladin de ne pas abattre le gêneur, qui croyait vraisemblablement pouvoir rivaliser contre une cinquantaine d'entre eux, alors que tout jugement d'égo mis de côté, il était évident que ce n'était pas possible, tout avancée technologique confondue, à moins de ne disposer d'aucune conscience narrative privilégiant un des deux parties plus qu'un autre dans la narration des choses. Flavius refit un signe approbateur pour passer outre la "menace". Maintenant, après m'avoir fait répété trois fois, cessez immédiatement, car jusqu'ici personne n'allait être blessé... à moins que vous continuiez, car c'est bien vous qui menacez de blesser mes hommes et non le contraire. Flavius leva les yeux au ciel. Alors, non, je me suis déjà expliqué, je ne les rappellerai pas, mais sachez que si vous en blessez un seul, l'agresseur sera bien vous et non eux. Le regard de Flavius revint sur la machine folle, se demandant bien si celui-ci avait bien fini par écouter ce qu'il disait. Et j'en tirerai conclusion à votre égard... De toute façon, Flavius savait comme cela allait finir, pendant que le robot faisait des siennes dans une attitude burlesque, la commission diplomatique Andari se serait certainement décidée à partir d'elle même, ce n'était pas comme si elle même aurait apprécié traîner avec les... indigènes. Flavius prit tout de même le temps de faire un signe de tête approbateur à Olorin, signifiant qu'il croyait sa version des faits.
|
Pages : 1 2