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> Procès et Jugement
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079 
17/10/1016 ETU 17:34 |
Message édité -
Score : 7
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"En toute logique, nous devrions aussi juger monsieur Mollari. A vrai dire, compte-tenu du talent politique de l'individu, je pense en toute sincérité qu'il n'aurait pas collaboré avec nous si le complot avait été réalisable, et par réalisable j'entends "sans grand risque de prise de contrôle par des criminels". Quant aux arguments de l'Empereur, ils m'échappent de part leur nature autocratique: Puisque monsieur Mollari a manifestement agit pour l’intérêt commun, quel mal y-a-il à le faire juger pour des crimes avérés ? Les jurés sont assez sages pour le dédouaner, s'il le faut. Non, vraiment, tout cela révèle un certain nombre de chose sur l'Empire. Des choses qu'il faudra rapidement changer, si je puis donner mon avis (il me semble que c'est constitutionnellement autorisé, alors autant en profiter). Le Guide avait fait preuve d'un certain cynisme qui caractérisait les débats de son peuples, marqués par de l'ironie et de l'agressivité non-dissimulée. Bras croisés, air glacial, il fixa l'Empereur sans plus émettre le moindre son. "Nous en reparlerons à la fin des procès. Si, du moins, mon manda n'est pas terminé entre-temps."
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Cdt. Castellan
Respect diplomatique : 547 
17/10/1016 ETU 17:43 |
Score : 3
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Les gardes ouvrirent la porte, me permettant d'entrer dans l'hémicycle. Comme l'avait promis l'Empereur, après la démobilisation de mes flottes, un croiseur Salusien était venu me chercher une fois mes coordonnée saisi. Et il n'avait pas perdu de temps. L'accueil fut glacial, à quoi m'attendre d'autre? Mais pas aussi inconfortable que je ne l'aurais pensé. Il me fallait réfléchir à beaucoup de chose. Le procès en premier lieu, bien évidement, mais pas que. De nombreux proches étaient portés disparus et je craignais le pire. Le trajet jusqu’à la capitale m'avais laissé suffisamment de temps pour m'inquiéter de tout cela. Par chance, personne à bord n'était capable de me déconnecter du réseau. J'avais donc pu me tenir informé de ce qui se disait à l'assemblée. Et ce qui se passait juste à mon arrivée avait de quoi faire sourire... Je pris la direction de la place qui m'était attribuée, mais avant de m'y assoir, je devais prendre la parole, une réponse était attendue. Notant au passage que personne ne semblait vouloir du difficile exercice qu'était la défense. Soit. Heureusement, je pouvais compter sur une amie. Bien, puisque cela m'est proposé, je souhaite que dame Korda, reine de Scorva participe à ma défense. Elle a ma confiance. Enfin, je me tournais vers les hautes autorités Salusiennes. C'est quand vous voulez.
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Cdt. Flavius
Respect diplomatique : 2044 
17/10/1016 ETU 18:00 
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Score : 4
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Il y a déjà une certaine règle de bon sens, si Londo Mollari n'a pas de procès, ce n'est pas à lui qu'il faut le reprocher... mais bien à moi, j'ai bien affirmé que j'en assumais l'entière responsabilité. Ce que vous me demandez n'a que peu de sens, je suis par définition l'accusateur Impérial, et je peux jusqu’à preuve du contraire porter mes accusations contre qui je le souhaite, et j'ai donné mes arguments expliquant pourquoi je ne porterais aucune accusation à Londo Mollari et Korda II, car comme vous le dîtes, si les Juges sont assez sage pour les dédouaner, ils devront les faire pour les deux, car personne ne semble protester pour le cas de Korda II alors qu'aucun procès n'a réellement déterminé si elle n'était finalement pas impliqué, mais le bon sens nous dit le contraire. Flavius marqua une pause. Ensuite... oui, nous en reparlerons après les procès, libre à ceux le souhaitant d'en faire ce qu'ils en veulent. Je n'ai pas autorité à empêcher qu'une plainte soit déposée auprès du Saint Empire, si certains persistent à vouloir accuser Londo Mollari, ils seront en droit de le faire, que l'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dis, mais ils ne le feront pas à travers moi, il y a déjà bien assez à faire avec les procès actuels, ceux pour lesquels je porte accusation. Sur ce, nous avons à faire... avec ces procès.
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Cdt. Arkhangel Hismer
Respect diplomatique : 1079
17/10/1016 ETU 18:07 |
Score : 4
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"Eh bien soit, je porterai plainte contre nos deux camarades extra-galactiques, le comploteur et "l’emmerdeuse", pour des questions d'éthique, de parité et de bienséance. Quant à vous, Flavius, cessez immédiatement d'user de vos sophisme avec moi. Je ne suis pas l'un de ces débutants que vous pouvez manier comme une marionnette, j'ai vu plus de gouvernement que vous n'en verrez jamais." Il croisa les bras. "Dix cycles de procès, je ne sais pas si j'aurai la sagesse d'attendre tout ce temps pour déposer une plainte." Il eut un sourire mauvais et secoua doucement la tête.
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Cdt. Olhorìn
Respect diplomatique : 3203 
18/10/1016 ETU 13:03 |
Score : 4
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La commandante Olorìn était arrivée depuis un petit moment déjà à l'Assemblée Galactique, mais avait pris soin de passer par les douches mises à la disposition de tous. Elle voulait être fraiche et dispose pour sa mise en accusation. Il était hors de question qu'elle se présente en tenue de baroudage, après avoir passé des heures dans son furtif. Elle prit donc le temps nécessaire à sa toilette, sachant que de toute façon la juge et les jurés étaient déjà bien surchargés de travail. Deux gardes patientaient devant les portes. Elle ressortit dans une magnifique robe de soirée noire moirée, au col montant, attachée dans la nuque. Un profond décolleté descendait bas dans son dos, et si l'avant était extrêmement sage, l'arrière l'était un petit peu moins. Le bas de la robe légèrement asymétrique laissait apparaitre des jambes fuselées, gainées dans des bas de soie, noire également, le tout épousant parfaitement sa silhouette. Comme à son habitude, elle ne portait aucun maquillage, ses yeux mauves rehaussant à eux seuls la pâleur de son teint. Enfin, presque à eux seuls. Ses cheveux rouges vifs noués en une lâche queue de cheval, faisaient comme des langues de feu sur sa peau. Juchée sur de fins escarpins sachant se faire oublier, elle franchit le seuil de la salle de bains publique et s'engagea dans le couloir, sans un regard pour les deux gardes à l'entrée. Elle murmura simplement d'une voix douce. "Je suis prête. Nous pouvons y aller." Au détour d'un couloir, deux silhouettes apparurent, se dirigeant nettement vers le petit groupe. Olorìn fronça les sourcils. Arrivés à quelques mètres, les deux groupes s'arrêtèrent. Les soldats encadrant la commandante se préparèrent à agir et levèrent leurs armes. En face, se trouvait un vieil homme tenant un bâton à la main et un jeune homme aux cheveux argentés. Leurs lèvres étaient serrées et leurs traits tendus. Le vieil homme fit quelques pas vers la jeune femme et, d'un geste rapide, la gifla violemment. La tête d'Olorìn partit sur le côté. Lorsqu'elle fixa de nouveau le vieillard, ses yeux mauves flamboyaient. Le vieux prit la parole. "Au nom des Cieux, comment as-tu pu te retrouver dans une telle affaire ? Si la rouquine était sur pieds, elle ne t'aurait jamais laissé faire..." La réponse ne se fit pas attendre. Avant que les gardes n'aient pu réagir, la jeune femme avait fait un pas en avant, et son poing s'écrasa sur le visage de son vis à vis. Qui fit quelques pas en arrière et se retrouva à côté de son collègue. Olorìn cracha quelques mots à l'intention de ce dernier. "Quoi ?!! T'en veux un aussi ? T'es jaloux ?" Elle toisa ses deux alter-ego d'un regard mauvais. "Quand j'vous vois, j'ai envie d'vomir, sans déc'. La rouquine, tu dis ? Si elle était valide, elle vous aurait fait bouillir pour n'avoir rien fait au moment voulu." Puis s'adressant aux gardes : "Allez, les gars. On continue. Il ne s'est rien passé." Olorìn reprit sa route, passant à côté de ses deux congénères sans un mot. Et c'est ainsi que les portes s'ouvrirent lors d'une pause dans les débats, et qu'Olorìn arriva dans le tribunal, les deux gardes censés l'encadrer donnant plus l'impression de la suivre que d'être ses geôliers. La tête et les épaules droites, elle se rendit jusqu'au centre de l'hémicycle, fit une pause, salua respectueusement la juge, les jurés, l'accusation et prit place entre Ekko et Harley Quinn. Elle se pencha doucement à l'oreille du Gardien du Temps et lui glissa quelques mots. "J'ai bien utilisé tes £eems, non ? Et encore, t'as pas tout vu. Mais le reste, j'pouvais pas l'montrer d'vant tout l'monde. Mais comme j'sais pas si on r'ssortira d'ici libre, j'me suis dit qu't'aimerais quand même en voir une partie. Pis si on est libérés, j'te montre la suite, promis..." Elle lui fit un clin d'œil appuyé et s'avança sur son siège pour prendre la parole, offrant son dos nu et la naissance de ses reins aux regards du Gardien. "Je prie la Cour de bien vouloir excuser le retard dans mon arrivée. J'avais prévenu Flavius que ma disponibilité n'était point la meilleure en ce moment, et il m'a assuré que cela n'influerait pas sur mon procès et que vous ne m'en tiendriez pas rigueur. "Avant de répondre aux accusations qui me sont faites, j'aimerais juste dire un mot à Maitre Gimli." Elle tourna ses regards vers ce dernier. "Déjà, je regrette que vous ne m'ayez point encore reconnue, mais je ne saurais vous en tenir rigueur à mon tour, mon apparence d'alors étant... Disons, bien différente. Et mon langage l'était tout autant. Je parlais beaucoup moins. Mais nous avons traversé de nombreux périls ensemble, notamment en traversant la Moria, et peut-être aurais-je était émue d'une petite reconnaissance. Qu'importe. Tout cela pour dire que je suis sûre que vous pouvez comprendre que nous n'employons pas le même discours lorsque nous sommes au bar, en réunion, ou devant une Cour Suprême. Il ne s'agit nullement de duplicité, mais d'adaptation. "Cette précision étant faite, je m'engage à employer le langage que vous préférez lorsque je m'adresserai à vous. Les mots sont certes importants, mais leur sens bien plus encore... Et cela sera démontré tout au long de ces procès, soyez-en sûrs. Vous avez déjà dû vous en rendre compte." Elle marqua une pause se leva, Ekko devint rouge tulipe, et la commandante commença à prêter serment.
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Cdt. Ekko
Respect diplomatique : 857 
18/10/1016 ETU 14:34 |
Score : 3
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Le Gardien semblait embarrassé. Il ne pouvait s’empêcher de regarder les courbes de sa compagne. Elle le savait embarrassé et si il était certain qu'elle l'avait remarqué, son teint halé lui sauva la mise, et personne ne remarqua son changement de couleur quand la commandante se leva. Elle adorait flirter avec la limite de la provocation et le mettre à sa merci. C'était sa façon d'entretenir la passion, et il aurait eu du mal à le reconnaitre, mais au fond il aimait ça. Si la cambrure de ses reins lorsqu'elle s'était levée avait été visible uniquement par le Gardien, son dos et sa silhouette étaient visibles de tous, et l'assemblée entière se faisait un plaisir de dévorer la commandante des yeux. Au lieux d'éprouver de la jalousie et de sentir son ventre se serrer comme il avait pu le faire auparavant, il ressentit une bouffée de chaleur enivrante. Il était fier. Fier d'elle. Fier d'être avec elle et que sa compagne soit l'objet de tant de désir. Il était dans le fond de son siège. Son coude était posé sur l'accoudoir et sa main retenait sa tête avec seulement l'index sur la joue droite. Au dessus de sa main, son traditionnel petit sourire présent en toute situation qui lui plaisait, éclairait son visage. Il susurra doucement pour que seul sa compagne l'entende. Que le spectacle commence.
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 
19/10/1016 ETU 13:16
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Score : 0
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Ah ? Je ne savais pas que l'on pouvait renvoyer un Conseiller sous ce simple prétexte. L'obstruction à la justice avec renvoi du Conseiller par un conseiller a dû être noté sans que je le remarque. Ou alors, il me semblait qu'il fallait attendre la fin du mandat sauf cas grave comme le commandant Ekko. Mais je dois me tromper. Grenn était vexé, attaqué dans son honneur. Les politiciens...
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
19/10/1016 ETU 15:53
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Score : 1
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Grenn était surpris. Là, c'était trop fort. Il attendit que la commandante Chrysalide rejoigne sa loge où il était à la place du Lord Commandant Jon Snow25. Une fois arrivée, visiblement énervée, il lui dit : "Je pense que ces procès sont énervants. Je vous propose de quitter les lieux un moment, qu'en dites-vous ?"
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
19/10/1016 ETU 15:57
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Score : 1
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C'est gentils, Green. Oui, un peu d'air frais me ferait vraiment du bien. Acceptez-vous de me soutenir un peu en m'offrant votre bras ? Je suis tellement triste, déçue et fatiguée... Ils partirent se promener dans un mot, chacun dans ses pensées
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Cdte. Korda II
Respect diplomatique : 1374 
19/10/1016 ETU 19:39 |
Score : 0
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*Attends toujours Harley Quinn et le Joker.*
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