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Prisonnier

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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034

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23/01/1017 ETU 22:20
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NB: pas de magie svp :)
Espace sombre.
Planète morte: planète "Haute Sécurité".
8.0.10.3.4
Un désert.
Barrage combiné de deux flottes en orbite très large. Rien n'est toléré entre eux et la planète, pas même une météorite. Tout ce qui ne s’arrête pas est détruit, tout ce qui ne recule pas au premier avertissement est également détruit. Et aucune communication ne peut filtrer vers la planète.
Le silence est la preuve du succès continu.
Au sol.
Paysage détruit. rien de de la caillasse et de la poussière, partout où se pose le regard. sur des centaines de milliers de kilomètres. Rien d'autre que le bruit du vent. Comme le reste, la météo est morte, il ne reste que la poussière.
Une plaine, ou plutot un terrrain plat. plus de cailloux, mais une marrée de béton, ou de macadam... dur à savoir, la poussière recouvre tout. Mais la main de l'humain est passée là, après la destruction.
Au centre du terrain plat, une cabane en tole, avec une porte métallique, et un gros cadenas à chiffres.
Derrière la porte, un trou, avec une échelle brillante. Pas de lumière: juste un trou noir.
Noir profond. Très profond.
La descente est interminable: dans le noir, le temps disparait. et chaque barreau est semblable a tous les autres. encore et encore et encore et encore et encore.
Il faut de la force pour descendre, et surtout de la volonté. Celui qui glisse, meurt.
Il faut aussi l'autorisation, pour descendre. Parce que les barreaux sont rétractables.
Des heures plus tard, le pied touche le sol.
Il fait toujours noir.
Alors, le garde vous examine.
Et ensuite, et surtout peut être, le garde allume. Et il vous regarde au travers de sa vitre.
Si il a un doute, il a ordre de tuer, sans alternative. Les ordres qu'il recoit sont parmi les plus cryptés de l'empire. Les machines sont là pour ca, communiquer, tuer, laisser passer, lui, il ne peut qu'appuyer sur les boutons. Pas moyen de parler avec les visiteurs, et encore moins avec le prisonnier.
Car le garde est aussi prisonnier: il ne peut pas quitter son poste. Il sera cerbère jusqu'à sa mort, ou celle du prisonnier.
Le garde a été choisi. Il a donné sa vie pour etre là, il ne fera plus rien d'autre.
Son remplacant est connu, ce second homme attend son tour en orbite, branché sur les signes vitaux du garde.
Après Salusa, ils étaient des dizaines à se porter volontaire.
Le garde vous laisse passer. Il a oublié comment sourire depuis longtemps. Depuis Salusa.
Long couloir étroit, très éclairé. Lumière indirecte qui vient de tout les cotés.
Long couloir. très long couloir.
Encore une éternité à marcher.
Un embranchement, sur le coté gauche. Encore un long couloir.
Une fléche, et une inscription:
Appareil Xcom. Ne pas consulter seul: souvenez vous des derniers analystes.
Signal totalement coupé depuis le 18/11/1016 (date de capture).
Réactivation uniquement possible par l'empereur.
PS: et c'est non! F.
Vous continuez tout droit. encore une porte, et un gros cadenas à combinaison.
Un sas. Il faut vous enfermer pour ouvrir la porte suivante.
Qui donne sur un second sas.
Dans d'autres situation, ça prêterait à une blague, mais l'envie vous a quitté après les premières minutes de la descente.
Et après quelques pas, le couloir devient une salle de cinq mètres de large... une demi salle. Votre moitié est nue, pas même une chaise. L'éclaire est bien plus doux, plus jaune, plus chaud. Vous etes dans le bon camp.
Puis, il y a la vitre. Ou quelque chose comme ca: transparent, épais, dur. Imperméable à tout.
De l'autre coté, la lumière est froide, plutot bleue, triste. Mais le prisonnier s'en fiche.
Il est attaché. très attaché. étendu sur un disque métallique de près de trois mètres de large, ses bras et ses jambes sont immobilisés à l'intérieur de coquilles moulées en position. Sa tête est plaquée contre le disque par plusieurs arceaux, qui semblent également coulés directement en place, tout comme les multiples entraves du torse, des hanches et des cuisses. L'équivalent high tech d'un gros papier collant lui barre les yeux et la bouche.
Il y a des tuyaux partout: le nez, les bras, le torse, le ventre.
On vous a expliqué le protocole: aucune nourriture solide, aucun déchet organique, aucune communication sensorielle avec l'extérieur. Aucune intervention humaine dans le processus. Le disque tourne lentement, dans tous les sens, afin que le sujet ne s'abime pas.
Et qu'il ne s'endorme pas. jamais correctement, parce que quelque part, son esprit fini toujours par sombrer ailleurs.
Du coté de l'équipement, c'est sans limite, aucun problème de réserve. Le prisonnier est tout seul dans sa tête. Jusqu'à sa mort.
Vous, vous pouvez parler. Le son sera retransmis. Mais il ne peut pas répondre.
Il faudrait une autorisation de l'empereur, pour que la machine ôte le papier collant sur sa bouche ou sur ses yeux.
Mais pourquoi l'autoriserait-il ? Cela fait des mois que personne n'est plus venu. Au début, des dignitaires plus ou moins importants sont venu vider leur rage dans cette pièce.
Puis ils se sont lassés.
Et l'empereur a durci les conditions d'accès. Et tend même à regarder d'un oeil suspect les demandeurs... en effet, qui voudrait bien pouvoir parler au prisonnier? et qui voudrait encore l'écouter?
Ce type, c'est Mael.
Alors à quoi bon?
Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034

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23/02/1017 ETU 22:05
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Phase de sommeil paradoxal, ou du moins ce qui en approche, car la machine veille à ce que cela reste ainsi. Les capteurs enregistrent des légers mouvements, des soubresauts. une vibration.
Mael fredonne.
....hum hum hummmmm
humm hummm hummm....
hum huuuummmmmmm huuuuum....
stupide bâillon à 4 millions de leems.
Il faudrait être dans sa tête pour savoir. Car l'ordinateur n'est pas curieux, et il ne retirera jamais de lui même le bâillon.
bon, allez, d'accord. On va faire comme si vous y étiez aussi.
"Réveille-moi,
Attrape un pinceau et met un peu de maquillage,
Cache tes cicatrices pour effacer mes blessures,
Pourquoi aurais-tu laissé les clés sur la table ?
Et me voilà en train de créer une nouvelle fable,
Je ne crois pas que tu aies confiance,
En mon suicide bien-pensant,
Je pleure quand les anges méritent de mourir,
Père, père, père, père,
Père, dans tes mains je remets mon esprit
Pourquoi m'as-tu abandonné ?
Dans tes yeux, tu m'as abandonné,
Dans tes pensées, tu m'as abandonné,
Dans ton cœur, tu m'as abandonné,
Aies confiance en mon suicide moralisateur,
Je pleure quand les anges méritent de mourir...."
Cdt. Mael
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08/03/1017 ETU 17:21
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D'un coup, ca arrive.
La folie dure une éternitité, folie parfois douce, souvent absolue. Le manque, l'absence totale, de sommeil n'aide pas.
Mais là, maintenant, c'est un de ces rares moments. Mael a enfin tout son esprit à lui, conscient... et comme le temps ne veut plus rien dire, dans cette prison pleine de néant, cet instant semblera durer éternellement.
Ou suffisamment. Il sait que la fois précédente, il a faillit y toucher. Sa pensée a effleuré le concept, mais il a été interrompu.
Mais était ce une interruption?
Ou bien est ce moi qui ne suit pas réél? Quand l'autre est là... est ce qu'il m'invente au fur et à mesure? Je devais être l'artifice, la diversion, le paravent, l'excuse, le masque... était ce mon role ou ma nature?
oh et merde. tout ca c'est des questions pour les chiants.
Je l'avais sur le bout de la langue.
ce truc là. la MORALE.
reprenons. phrases simples. penser aux idiots qui écoutent.
Je... chhh...
Mael est un monstre. je sais. avant tout le monde, je sais. depuis que j'ai 6 mois, je sais.
Mais les galaxies et les gens dedans le savent depuis que j'ai tué. Ils disent des centaines de milliards. des milliers de milliards. des calamards. Je m'en fiche, je voulais le faire. Ce n'était..
J'étais la mort. Je suis la mort.
Ais je pu tuer la galaxie?
non. J'ai échoué, et cela a laissé des traces.
Me voila échoué dans la suivante, et enfermé ici... Je suis le mal, exhibé et honni pour ce que j'ai fait, mais surtotu pour ce que je représente. Et l'autre type...
"Un sort pire que la mort! Bien FAIT!"
Le type bave un peu. je ne l'ai jamais vu, c'est pas un commandant, et je ne le verrai plus: le bandeau est collé sur mes yeux quelques secondes après.
Et pourtant le type ne s’arrête pas: pendant des heures, il déverse sa haine sur moi. Je suis stone, les drogues, pas encore la fatigue, juste les drogues, et pourtant j'entends distinctement chacun de ses mots creux.
Et je visualise ses postillons. Je suis sur qu'ils sont énormes.
Son discours dure trois heures, et tient pourtant en quelques mots: je vais subir l'enfer, bien vivant, et c'est ce que je mérite.
Un sort pire que la mort. Je confirme.
Ah, et il remercie Flavius, une bonne douzaine de fois. C'est aps un autre qui aurait fait ce boulot.
Un sort pire que la mort.
Flavius... non. Flavius. oui.
C'est pas un monstre, ce type. Ca se saurait. Franchement, à coté de Mael, il brille et il marche sur l'eau ce gars. Et puis, c'est quand même pas mal trouvé cette punition qu'il réserve à ses ennemis. non,pas ses ennemis, c'est juste des méchants, il fait son job. Les méchants. les douteux. les hors la loi.
Enfermer quelques gens sur un monde mort, sans aucune possibilité d'agir contre la galaxie. Résultat: une galaxie en paix. Vierge de tout dégat apotique. Et puis l'autre Mael justement, condamné à vivre seul dans sa tête.. c'est un beau symbole, tout de meme? non?
Saloperie d'imbécile qui regarde le doigt. Problème d'échelle. de perspective. Regarde la lune, idiot.
Un sort pire que la mort.
Il y avait combien, 12 secteurs quand ils m'ont mis ici? facile 120 commandants donc. Puis la poignée de miséreux qui sont venus de la galaxie d'avant. et si on compte mille milliards d'ame... bah des tas de gens quoi.
Des gens qui ont la chance de vivre, grâce à Flavius, vivre... oui, mais de vivre comme Mael: enfermés physiquement, muselés, en frustration permanente. Emmurés vivants avec pour seul interlocuteur un esprit inflexible.
Ceux qui veulent de la liberté meurent.
Mael voulait etre la mort des galaxies. Il a échoué.
Flavius voulait leur bien. Il a réussi.
Le sort de Mael, c'est le sort de toute cette Galaxie.
Un sort pire que la mort.
Tu vois cette prison? Chaque marche pour y descendre, c'est une petite étape, une petite concession qu'il a fallu faire. Et cette galaxie est descendu profondément.
Et le type, Flavius, s'est sacrifié aussi. Lui aussi, il est au fond du trou, jusqu'à sa mort. Le gardien, c'est lui.
Et chaque pas dans cette prison est long, lent, pénible. Tu avances pendant des heures dans un couloir, pour au final trouver une simple cage.
Avec dedans un type incapable d'agir, de se faire entendre. Et qui vit en permanence avec les même idées dans la tete. En boucle. Pour toujours. Sans répit.
As tu vécu autre chose dans cette galaxie, que la domination permanente de la doctrine salusienne?
T'es tu fait entendre? peut être ceux qui se sont fait tuer. Les morts, là, maintenant, à vivre intensément le sort de chaque commandant de cette galaxie, je les envie, les morts.
J'ai échoué.
Je voulais que tout cela finisse. Je voulais qu'ils meurent, qu'ils renoncent. Leur mort me semblait être la bonne solution.
Je me suis trompé. J'aurais du faire comme Flavius. J'aurais du être Flavius.
Flavius avait raison. Flavius a raison.
On peut leur faire accepter un sort pire que la mort.
Et je v
L'appareil enregistre une nouvelle phase de coma éveillé. Leur fréquence augmente depuis plusieurs cycles..
Cdt. Le Joker
Respect diplomatique : 1224

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09/03/1017 ETU 20:48
Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.  Ce(tte) commandant(e) soutient beaucoup Apocalypsis.
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https://www.youtube.com/watch?v=_4Vt0UGwmgQ
Espace sombre.
Planète morte: planète « Haute Sécurité ».
8.0.10.3.4
Vous entrez dans un espace restreint. Déclinez votre identité.
Déclinez votre objectif.
Déclinez votre autorisation.
Autorisation confirmée. La Grâce du Seigneur soit avec vous.
L'information ne s'est pas encore répandue : bien.
La navette peut se poser dans la plaine morte. Le pilote s'attarde un instant pour contempler le paysage désolé. Pour s'en imprégner. Les cailloux gris, la terre qui n'est plus qu'un amas de poussière soulevée par le vent paresseux ; pas un signe de vie, le néant partout qui règne en maître absolu.
Une préfiguration de ce que va devenir la galaxie entière.
Il avise la cabane en tôle — son objectif. Il sort de sa navette et s'y dirige à grands pas, traînant le bas de sa soutane sur le cadavre de la terre. Dans le cabanon, l'échelle et le trou sont bien là. Il sait qu'il faut un mental d'acier et une condition physique solide pour descendre dans ce puits d'obscurité sans fond. Ou être complètement fou. Il choisit la seconde option et emprunte l'échelle.
L'échelle qui descend dans le boyau de l'enfer.
Des heures plus tard, un pied touche le sol. Il fait toujours noir. Il sait pourtant qu'il est examiné de fond en comble — il se laisse faire ; Cerbère peut après tout constater qu'il n'est pas armé. La preuve : il le laisse passer sans un mot, sans un sourire. Le pilote poursuit dans un autre boyau, éclairé celui-là, mais non moins infernal ; l'enfer n'est, après tout, qu'une vaste prison. Il note silencieusement l'embranchement qui mène à l'appareil à Com-X.
Il en aura besoin sur le chemin du retour.
Le passage de l'ultime porte s'est fait sans encombre. Il est debout maintenant dans cette pièce chaudement éclairée, petit écrin un peu rassurant dans cet endroit maudit. Une demi-salle, coupée par une vitre ; l'enfer a son parloir.
De l'autre côté du verre — ou de tout autre composé blindé et imperméable qui fait la séparation —, l'homme qu'il cherchait est assis, restreint par tout les liens de l'univers.
Le Mal est derrière la fenêtre.
Le prêtre mystérieux sait qu'il n'a plus beaucoup de temps. Pourtant il ne peut s'empêcher d'entamer le dialogue. Un vrai dialogue. Le prisonnier n'en a plus entendu depuis bien longtemps après tout. Les insultes et les invectives ne sont pas un dialogue.
« Bonsoir, Maël. Ça fait longtemps, pas vrai ? Je ne compte plus les cycles. Tu es traité encore plus mal que je ne l'imaginais. Je ne t'ai pas apporté d'oranges, ils auraient pris ça pour des grenades. »
Il rit un peu de sa plaisanterie, maque un petit temps d'arrêt.
« J'ai mis un moment à venir, j'espère que tu me pardonneras. Il y avait tant de choses à régler, tellement d'obstacles. Si j'avais précipité les choses je n'aurais jamais pu parvenir jusqu'ici. »
Il s'arrête, encore ; prend conscience qu'il manque quelque chose… Ah. Son regard s'éclaire. Bien sûr, bien sûr…
« Oh, excuse-moi. C'est vrai que tu ne me reconnais pas. Attends, je recommence. Tu vas comprendre.
Bonsoir, Maël. »
Dans sa cabine, Cerbère peut voir les signes vitaux du prisonnier se réveiller un peu. C'est inhabituel. Le Mal Incarné est morne et plat depuis qu'on l'a branché à sa prison…
Dans le parloir, le Joker, lui, répond avec un rictus triomphal.
« Tu n'es pas surpris ? J'ai dû te le dire. Enfin, le moi dans ta tête. Il ne pouvait savoir qui, il ne pouvait savoir quand, mais c'était certain qu'un jour un autre moi apparaîtrait. Quand la plus petite étincelle suffit, ce n'est qu'une question de temps. Un type qui a perdu son boulot, sa femme et sa piaule le même jour ; une nana qui n'a pas eu son jouet dans sa boîte de céréales… En l'occurrence, moi, mon étincelle, c'est Salusa. Je devrais te remercier, mais tu sais ce qu'on dit… pas de ça entre nous.
Tu as compté les jours ? Non ? Bah, je ne t'en veux pas, le temps n'existe plus dans ton état. Mais le Grand Boum est pour bientôt. Quelques heures, à peu près. De l'autre côté le terrain est préparé, à peu près. C'est un autre moi qui s'en est chargé à ma place, tu sais, dans l'asile où on a cru m'enfermer. Enfin, enfermer un autre moi. On peut passer, pour peu qu'on survive. C'est là la partie la plus difficile. Tu te rappelles du dernier Grand Boum ? Moi pas, je ne l'ai pas vécu, mais c'était quelque chose… on a du de la chance. Peut-être pas cette fois…
Mais devine quoi ? On est dans l'endroit le plus protégé de la galaxie ! »
Alors il renverse la tête en arrière, lève les bras vers le ciel dans un geste de triomphe absolu. Cerbère derrière le sas ne peut qu'entendre son explosion de joie…
HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HAAA !!

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