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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
20/02/1017 ETU 19:33 
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Score : 2
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La pierre Naga qu’elle portait toujours autour du cou révélait d’étranges manifestations depuis quelques temps. Elle chauffait… Elle exhalait une chaleur de plus en plus forte jusqu’à des sensations de brûlure au creux des seins de Chrysalide. Il lui était arrivé de la plonger dans de l’eau froide, mais l’énergie de la Naga finissait par réchauffer l’eau sans qu’elle ne refroidisse d’un seul degré. Chrysalide n’en dit rien à personne et ne tenta même pas de contacter le Commandant Suno. Elle présumait que si c’était très inhabituel, ce serait provisoire. Dans ces moments-là, la Commandante se sentait également fébrile dans son corps comme dans son esprit. Pourtant, elle ne pouvait pas s’en défaire sous peine de voir sa maladie dégénérative ressurgir… Elle avait tenté de se changer les idées et de se focaliser sur le malheur de ses amis en allant suivre le combat entre Flavius et Ruby… Ça aussi, ça faisait mal et nul n’avait le droit d’intervenir, de perturber les combattants, de dire haut et fort qu’ils se trompaient tous deux d’objectif… Elle avait quitté l’arène un goût de bile dans la bouche. Quelques jours plus tard, la situation empira encore : la Naga se mit à crépiter. De petits arcs électriques bleus sortaient de la pierre et en plus de la chaleur, elle ressentait des picotements désagréables sur la peau de sa poitrine. Au lieu de s’atténuer, les manifestations de la pierre « magique » des Cynos s’amplifiaient de manière alarmante. Elle la portait dorénavant sur ses vêtements et non plus contre sa peau nue et elle éprouvait des faiblesses qui l’obligeaient à s’asseoir et la laissaient essoufflée comme si elle avait couru dans les bois pendant des heures… Elle s’installa à son pupitre. S’il te plaît, viens au plus vite. Quelque chose ne va pas mais je ne sais pas ce que c’est. Je me sens très mal et j’ai peur… Je t’attends.
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Coa. La Division Noire
Respect diplomatique : 32 21/02/1017 ETU 12:13 |
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Score : 1
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Un vaisseau cargo pénétra l'atmosphère de la planète .... Toutes les tentatives pour rentrer en communication restèrent sans réponse .... Le vaisseau survola alors une ville a basse altitude ne manquant pas de semer la panique parmi la population... Le vaisseau percuta même une grosse antenne qui se cassa net... Enfin, il dépassa la ville, les soldats se précipitèrent car il était visible qu'il allait se poser en pleine nature ... Si le vol était aléatoire, l’atterrissage lui se fit en douceur, absolument parfait ....Il était visible que c'était un vaisseau flambant neuf, et parfaitement intact... Le sas s'ouvrit alors et la passerelle se mit également automatiquement en place......Mais....personne n'en sorti... Les soldats attendaient, devant l'absence totale de réactions, ils décidèrent de monter a bord.... A bord silence total, ils visitèrent ainsi le vaisseau entier mais il n'y avait plus personne nulle part, le vaisseau étant sur pilotage automatique ...L'ordinateur de bord ne révélait rien de spécial mais il était a noter qu'une large partie de mémoire avait été effacée...Volontaire ou bug ? Une musique pourtant quelque part se faisait entendre .... l'un des soldats en trouva la source ... Dans une chambrée, sur un plateau antigrav en fonction, se tenait un petit diffuseur d'hologramme musical qui passait en boucle.... https://www.youtube.com/watch?v=oF5cBoAV5Ys Le soldat l’arrêta...Silence ....Silence total.....Du coté du lit était une petite armoire portant le numéro 18 Il inspecta l'intérieur mais il était visible que cela devait appartenir a un sujet de sexe féminin ... Dans une salle d'eau, comme a peu près partout d'ailleurs dans le vaisseau, ils trouvèrent des ustensiles soit encore branchés, soit en fonctionnement et a l'abandon, comme si leurs utilisateurs avaient subitement disparus Dans le vaisseau, tout était en place, mais comme arrêté dans le temps, dans les cuisines, les repas étaient préparés, les fours s'étant arrêtés automatiquement....Dans les salons, toutes les tables étaient mises, mais il n'y avait plus personne ..... Que s'était il donc passé ? Il régnait ici, une atmosphère pesante, inquiétante, les soldats devinaient que quelque chose de grave avait du se produire .... Un silence de mort régnait à présent ....Ajoutant encore a l'atmosphère déjà lourde .....
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
05/03/1017 ETU 14:06
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Score : 4
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Chrysalide allait de plus en plus mal, le souffle court, la peau craquelée surtout au niveau des extrémités, le visage, les mains et les pieds... La mort était proche. Le destinataire de la lettre ne s'était pas manifesté et elle ne savait quoi en penser. Etait-il malade, lui aussi ou la fuyait-il dans cette ultime épreuve ? Elle ne voulait pas y penser... Close, le vieil aveugle à son service depuis très longtemps, semblait s'en sortir plus facilement : il était encore alerte et ne se plaignait d'aucune maladie. Maîtresse, les Brigands sont de plus en plus virulents. Ils attaquent nos possessions sans relâche et les armées locales sont en piteux état ! Même si nous les repoussons toujours, nos troupes s'amenuisent lentement et sont épuisées. Je sais, Close... Je sais. Il faut se battre jusqu'au bout, ne serait-ce que pour sauver les enfants et perpétuer notre espèce à travers eux. Moi, je suis à bout et je ne vais plus tenir très longtemps : mon sang devient de plus en plus épais avec le temps qui passe et la Naga est incandescente, je ne peux plus la porter. Il faut emmener Tekoa loin de cette Galaxie en perdition. Où ? As-tu connaissance d'une échappatoire, toi ? Oui, mais je ne peux sauver qu'un seul être par cette filière... Nous n'étions pas assez riches pour deux passagers. Tu veux dire que... Tekoa va partir seul ? Sans toi ? Oui et je le regrette, mais il est notre Prince, plus précieux que ma propre vie. C'est lui qui partira. Chrysalide sourit faiblement à son serviteur en inclinant la tête en signe d’acquiescement. Dès qu'il se fut retiré, elle sombra dans un chagrin qu'elle n'avait jamais éprouvé, pleurant et saignant de tout son coeur. Tekoa, mon amour, mon fils, ma chair... que le destin te soit clément. Sois fort ! Dans son esprit embué de larmes, elle se posait diverses questions : Qu'avaient-ils fait pour mériter de telles souffrances ?
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632 
05/03/1017 ETU 18:10 |
Score : 4
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Depuis que le message lui était parvenu il ne pensait qu'à aller voir son amie. Voilà bien longtemps, de très nombreux cycles qu'ils ne s'étaient vus. Le considérerait elle encore comme un ami, un proche? Rien n'était moins sur mais il se devait de venir la voir. Les derniers instants de ce monde étaient en train de se dérouler. Dans la danse macabre que jouait Dieu en cet instant, ils n'étaient que des pions et certainement un amusement pour ce dernier. Insectes à la vie inutile et imparfaite, se débattant dans une existence illusoire... Ils avaient traversés les galaxies pour être ici. Le vaisseau Cynos approchait de l'orbite de la planète Morphe. D'un geste de la main, Suno commanda l'arrêt. Mon fils ira avec moi. Nous seulement. Nous serons de retour rapidement. Il regarda alors son aîné. Il lui sourit tristement et ils disparurent dans une lueur. Cette même lueur de fit présente dans les appartements de la Commandante. Elle était là, à son bureau. Quand elle se retourna, ses yeux trahirent sa surprise. Il faut bien avouer que les deux Cynos ne ressemblaient plus à ceux qu'elle avait connu. Suno avait de nombreuses cicatrices sur le visage, un morceau d'oreille en moins, une main recouverte de bandage et encore légèrement sanguinolente. Tarlen faisait meilleure figure mais ses blessures étaient cachées par ses habits. Bien le bonjour mon amie, cela faisait de trop nombreux cycles que nous ne nous étions vus.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
05/03/1017 ETU 20:59
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Score : 4
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Elle se retourna péniblement... et faillit pleurer de joie à la vue de Suno et Tarlen. Certes, ils étaient moins fringants que dans son souvenir, mais elle savait qu'elle leur offrait un visage ravagé, elle aussi. Entrez, mes amis et pardonnez-moi si je ne me lève pas pour vous accueillir. La maladie m'a rattrapée depuis que je ne supporte plus la Naga contre ma peau. Rapprochez ces fauteuils de moi. Close ! De quoi boire... Merci. Elle leur sourit et ses lèvres craquelées la rappelèrent très vite à la réalité. Seuls ses yeux gardaient leur vivacité, comme son esprit, malgré les souffrances de plus en plus insupportables. C'est aimable à vous de me faire une dernière visite. Commandant Suno, Tarlen, je voulais vous demander pourquoi votre pierre s'était mise à brûler, je voulais savoir ce que cela voulait dire, même si j'en ai une vague idée... Close apporta des boissons chaudes et Chrysalide se mit à laper son bock par petites gorgées comme les vieux le font. Sa langue était devenue du carton. Elle parlait encore distinctement mais savait que cela ne durerait pas. Je suis désolée de me montrer à vous dans un tel état de décrépitude et vous êtes les derniers à pouvoir me visiter. Les autres seront refoulés. Mais je me souviens que vous avez eu le courage de vous montrer à moi tels que vous étiez et je ne peux pas être moins courageuse, surtout par amour propre. Elle eut un petit rire qui se termina en toux sifflante. Je vais mourir très prochainement. Peut-être cette nuit ou la suivante... Je suis heureuse de pouvoir vous dire adieu.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632
06/03/1017 ETU 10:41 |
Score : 4
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Suno sourit doucement et s'assit péniblement. Vous devez vous doutez mais sans savoir où cela peut mener. Vous pensez à la mort mais pensez à l'inverse. Voyez la vie et le renouveau dans ces perturbations. Les Nagas sont complexes. Elles ressentent les bouleversements mais tels des phénix elles ne veulent que pour mieux revivre. Il avança sa main et toucha la Naga. Une vague d'énergie l'emplit et il accusation le coup. Un léger filet de sang coulant de sa bouche. Vous souffrez et elle aussi. Elle se meurt mais vous pouvez survivre si vous le souhaitez car elle reviendra. La fin de notre monde est proche mais un échappatoire existe et en cela réside la clé de sa survie. Si vous choisissez de vous donner une chance dans l'autre galaxie alors vous vivrez et elle avec vous. Il ferma les yeux et enleva sa main. Il leva les yeux vers Chrysalide et se remémora tous ce qu'ils avaient vécu. Depuis si longtemps.... Que le temps était passé vite. Il se leva et prit un verre. Nous suivrons notre peuple et partirons vers ce nouveau monde qui nous est proposé. Nous y serons tels des étrangers mais cela ne changera pas beaucoup d'ici. Nous le sommes deja plus ou moins. Mais nous vivrons, notre peuple survivra à cela. Vous pouvez nous suivre commandante. Réfléchissez y je vous en prie. Votre esprit et votre conviction sont des choses dont nous ne pouvons nous passer dans ce panier de crabes qu'est la politique. .. Il leva son verre, comme pour ponctuer son toast et le but d'un trait.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
06/03/1017 ETU 17:46
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Score : 4
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Chrysalide tendit la main vers Tarlen qui s’approcha d’elle. Elle prit appui sur son bras pour aller se servir un verre elle aussi. Sa main tremblait tellement que le fils de Suno lui prit la bouteille de rhum des mains et lui remplit un verre lui-même avant de la raccompagner à son fauteuil. Merci Tarlen. Close s’est absenté pour quelques jours… Il serait bien présomptueux de ma part d’espérer une autre vie ailleurs. Vous m’avez offert un long sursis grâce à la Naga et vous m’avez permis d’avoir un fils qui me survivra longtemps, je l’espère. Je lui ai inculqué tout ce que je savais et surtout mes valeurs de tolérance, la foi en l’amitié et un regard objectif sur les hommes et sur les événements. J’espère qu’il fera un bon Commandant dans l’autre Galaxie. Elle huma le parfum ambré du rhum avant d’en siroter une gorgée. Quand elle regarda à nouveau ses convives, elle eut un sourire taquin. Rien ne me manquera de ma vie en Révolution : ni les guerres d’égo, ni les batailles de convoitise, ni les crêpages de chignons, ni même les tirades religieuses et interminables de l’Empereur ! Je ne regrette rien de ce que j’ai fait parce que je sais pourquoi je l’ai fait. Suno, quand vous aviez envie de me critiquer, vous vous êtes tu et quand j’avais besoin d’un soutien, vous étiez là… Je n’ai jamais eu d’ami plus courageux que vous. Mais je vous assure à tous les deux que la politique et la diplomatie, les insultes et les brimades m’ont usée et que je ne veux plus les revivre. Je ne suis pas masochiste. Son regard était rieur. La présence de ses indéfectibles amis et la chaleur de son breuvage lui avait mis du baume au cœur et son avenir « très immédiat » ne lui importait pas. C’est vrai que vous ne pourrez pas vous passer de moi au sens où vous l’entendez, alors je vous permets de penser à moi très souvent, si vous me promettez que ce ne sera pas avec chagrin ! Ses yeux pétillaient quand elle leva son verre pour la seconde fois.
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 
07/03/1017 ETU 09:19
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Score : 6
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Quelque part dans l'espace, Secteur I, une flotte de croiseurs, de corvettes, d'escadres, et de tous types de transporteurs avançaient. A bord du croiseur Amiral, le seul de la flotte, le Lord Commandant Jon Stark. A ses côtés, la meute de loups, Fantôme en tête. Près de la moitié du peuple de la Garde se trouvait là, à bord de ces appareils, leur survie ne tenant plus qu'à l'épaisseur des blindages des appareils, et à leur degré de chance, l'autre moitié étant dispatchée en deux flottes, l'une de l'Amiral Verinus en Secteur IX, l'autre du Vice-Amiral Alvhérion, qui venait d'arriver en Secteur VIII avec les habitants de tous les Secteurs ayant peu de possessions. Jon rejoignait Chrysalide. Leur réconciliation avait pris un certain temps, mais il tenait à dire au revoir à son fils, Tekoa. Il savait que l'Enarque s'y trouvait également, en bon ami de Chrysalide. Alors que la flotte entrait dans le système capitale, Jon repensa à ce qui s'était passé sur la planète sanctuaire. ... Il devisait avec Samwell, son grand-mestre, émérite, dans la forêt en contrebas de la ville. Ils aviaent elors vu les bunkers atmosphériques entrer en action, violemment, contre des milliers de vaisseaux qui tentaient de se frayer un chemin. Jon et Samwell était alors rentrer dans la ville, à couvert, et il avait réuni les quelques gardes du sanctuaire, 200 au total, et aménagé des points fortifiés. Puis, silence complet, les vaisseaux ennemis restaient en suspension dans la couche atmosphérique, les quelques dizaines d bunkers anti-aériens attendant leur heure, puisque aucun autre bunkers, orbitaux ou atmosphériques, n'avaient tenus le coup. Puis, ils avaient fondu, tous, des dizaines de milliers, entrainant le feu de la défense planétaire. Au sol, les bunkers automatiques planétaires entrèrent en action, près de 50 000, et déversèrent leur feu, tandis que les unités DCA se faisaient massacrer l'une après l'autre. Rapidement, les Brigands se rendirent maître des quartiers Ouest et Nord de la ville, tandis que la Garde d'élite de la Garde se battaient au Sud, protégeant ainsi l'entrée du Sanctuaire. Rapidement, ils se firent encercler et reculèrent vers ladite entrée, non sans perte. Les Brigands tenaient dès lors la quasi-totalité de la ville à l'exception du fort au centre, et des deux ou trois rues qui étaient situées juste devant. Jon, blessé au bras gauche, vint à l'intérieur, et appela les renforts aériens, puis ressortit aussitôt, reprenant sa place parmi les Gardes. Près d'un quart d'heure après, alors que la cinquantaine de survivants se terraient dans le fort, profitant des petites meurtrières creusées à même le mur pour tirer au-dehors sans crainte, on entendit un grondement sourd, et apparut des nuages la flottes de frégates portenefs, des chasseurs d'élites et des croiseurs impériaux, les uns déversant des soldats par centaines, les autres tirant et tuant par centaines d'autres les Brigands. Rapidement, ceux-ci commencèrent à évacuer la ville, se repliant soit dans la forêt, soit dans les maisons que les vaisseaux évitaient soigneusement. Jon sortit de la citadelle, et prit le commandement des soldats ordonnant le nettoyage complet des maisons et entrepôts. LA bataille, qui durait depuis déjà quelques heures, se termina dans le sang pour les brigands. En effet, ceux-ci se firent traquer et tuer impitoyablement dans la ville, tandis que ceux qui s'étaient réfugiés dans la forêt virent se déverser sur eux le feu des lances-flammes tirés depuis les croiseurs. ... Jon le savait, cet événement n'était que le reflet de tant d'autres dans la galaxie, celui-ci étant le pire à supporter pour lui du fait que ce soit un sanctuaire. A l'oreillette, il entendit du pilote : "On arrive en vue Lord Commandant" Jon se leva et alla dans le poste de pilotage. Il prit le micro, régla les chiffres suivant ce que lui avait dit Chrysalide, et échangea quelques paroles avec la sécurité planétaire. Puis, il donna ordre au pilote d'atterrir. Une demi-heure plus tard, le croiseur était à terre, les loups et Jon dehors, marchant vers un arbre aux dimensions peu communes.
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Cdt. Suno
Respect diplomatique : 632
08/03/1017 ETU 10:56 |
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Score : 5
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À ce discours, le coeur de Suno se serra. Il comprit que rien ne ferait changer d'avis son amie. Elle avait choisi son destin, qui était de pourrir en cette galaxie qui l'avait vu naître. Vous serez toujours avec nous. La Naga y pourvoira, je le sais. Il leva son verre et une voix se fit entendre dans son communicateur. Des vaisseaux étaient en approche. De nombreux vaisseaux en provenance de du secteur IX. Snow est en approche de la planète. Nos furtifs viennent de m'aviser de sa présence. On dirait que vous avez un invité surprise de plus.. Il but une gorgée de son verre et parla au soldat dans son communicateur. Les brigands lançaient encore des attaques sur leurs mondes. Il crispa sa main et l'envoya dans le mur. Une fêlure apparut, le mur était solide. Pas de pitié. Tuez les tous.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
08/03/1017 ETU 19:36
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Score : 4
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Chrysalide eut un petit rire à l'adresse de Suno et lui tendit son verre pour qu'il le remplisse... Non, ce n'est pas une surprise pour moi, mais ça a failli en être une pour lui : il a failli être en retard au rendez-vous ! Close entra en s'excusant de son intrusion. Maîtresse, le Lord Commandant Jon Stark est accompagné d'une meute de loups ! Humm... Ha ha... Tout me fait rire, maintenant, c'est incroyable... qu'il les laisse gambader dehors, je ne peux décemment pas les accueillir dans cette pièce. Et lui, donnez-lui accès à la maison, évidemment. Je suppose que vous connaissez le père de mon fils, Suno ? A vrai dire, il ne me rend pas visite au sens où vous l'entendez... il vient clore notre histoire d'une manière très romanesque. Chrysalide regardait son ami d'un regard doux en espérant qu'il comprendrait ses paroles et surtout ce qu'elle ne voulait pas dire crûment. Face à ce Commandant toujours noble et élégant, elle avait à coeur de ne point choquer. Elle était sûre qu'il l'avait entendue et que l'arrivée de Jon Stark le tranquilliserait. Il pouvait la laisser en toute sérénité. Tarlen, Suno, que ce futur incertain mais porteur d'espoir pour votre peuple, vous soit clément. Accueillons Jon à présent...
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