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> Le regard du Dévoreur...
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Cdt. Empire Sontarien
Respect diplomatique : 185 
27/04/1016 ETU 18:33 |
Message édité -
Score : 5
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Harper et le marechal Strav, accompagné de leur escorte, sortirent de l'assemblée. Sur le chemin, ils croissairent la bête accompagné de son toutou, ou est-ce le contraire ? Harper s'arrêta pour écouter les discours, menaces et inepties que débitait le nouveau venu. A la fin, il ne put réprimer un petit rire et lâcha à Strav, en partant, suffisament fort pour que tous puis-ce l'entendre : Amateur. Ils croient que plus on est moche, plus on fait peur mais ma seul présence suffit à terroriser un bon nombre de commandants. Je devrai peut-être lui donner quelques tuyaux. Il ne semblait nullement lui porter une quelconque attention et encore moins de la crédibilité. Harper apprenait de ses erreurs et avoir beaucoup d'ennemis n'est PAS une chose à avoir. Ils sortirent de l'assemblée et partirent, dans le vaisseau qui avait emmené Strav, en direction de Sontar.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
27/04/1016 ETU 19:30 
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Score : 3
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Chrysalide se leva en soupirant, voyant l'émissaire de l'Ombre Dévorente et son Prince tyranide menacer sans mâcher leurs mots ni les effets de robe, et surtout en voyant ses co-galactiques s'échauffer progressivement. Émissaire, Prince, nous avons déjà eu peur pour nos peuples et plusieurs fois... Nous tous ! Seulement, je ne suis pas sûre d'avoir compris exactement ce que vous vouliez en nous "titillant" de la sorte ? Souhaitez-vous une levée de boucliers contre vous et vos alliés ou juste vous amuser parce que vous vous ennuyez un peu chez vous ? La voix était calme, comme à son habitude. J'ai quand même entendu une bonne parole dans votre bouche : vous avez conclu des alliances en secteur 2. Vous en êtes donc capables et c'est une bonne chose pour nous aussi. Sachez que si vous vouliez préciser vos demandes à notre égard, j'y serais attentive. Elle se rassit souplement, sans lâcher le regard de l'émissaire Zutho.
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Cdt. Migwel
Respect diplomatique : 122 
27/04/1016 ETU 20:59 |
Score : 3
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Le visage d’un inconnu apparut au niveau de l’hologramme de la République Ganeshienne. Le délégué qui assistait au débat lui laissa la place. L’inconnu semblait assez vieux, la soixantaine, avait une longue barbe, et plus trop de cheveux. Il manipula visiblement des boutons à l’extérieur de la projection holographique, ce qui provoqua un puissant son dans l’Assemblée. Décidément, il n’était pas plus doué que son Président. Il s’excusa d’un signe de la main, puis prit la parole. Je me présente. Je suis Rodrick Lunch, Porte-Parole du Président, Directeur de son Cabinet. Je parle en son nom et en celui de la République. Le Président a des chose à faire, mais, dans sa grande tolérance, m’a demandé de m’abaisser à discuter avec vous émissaire Zutho. Rodrick avait un long passé d’orateur derrière lui, et savait bien mieux que Migwel rester impassible. Son ton était neutre, mais ses paroles assez méprisantes. Il partait du principe que le mépris était la meilleure manière de dominer une conversation. Rodrick ne s’emportait jamais, ou presque. Il savait reconnaitre ses amis de ses ennemis, mais préférait ne pas le montrer en public. Ainsi au premier abord, il traitait tout le monde avec le même ton méprisant. Mais ceux qui le connaissaient bien pouvaient se rendre compte qu’il ne les traitait en fait pas de la même manière. Rodrick laissa planer un léger silence, dans le but d’accentuer son ton méprisant. Il reprit ensuite : Mon Président, qui apprécierait, représentant Zutho, d’être appelé par son titre, a, je vous l’accorde, plusieurs raisons de vous remercier. La première c’est que vous l’avez beaucoup fait rire. La deuxième, c’est que vous lui avez rapidement prouvé que vous n’étiez guère digne d’importance, et que vous étiez un très mauvais manipulateur. Il a néanmoins tenu à ce que je tente de vous faire entendre raison, car, selon lui, chacun mérite une seconde chance. Ne vous détrompez pas, je ne suis pas d’accord avec lui. Pas pour des créatures de votre espèce. Laissez-vous, nobles membres de cet assemblée, une deuxième chance à un moustique qui vous a piqué avant de l’exploser d’un revers de main ? Enfin. Je suis ici pour défendre l’avis de notre Président, et surement a-t’ il raison. Rodrick laissa planer un certain silence. Aucune émotion n’était perceptible sur son visage. Il fit néanmoins un imperceptible sourire de remerciement à Alice. Il regarda ensuite Zutho et sa « bête », puis, commença, son visage passant du sérieux total à un sourire volontairement exagéré pour montrer à l’émissaire qu’il l’importunait : Premièrement, mon Président, à qui vous avez directement porté atteinte à l’aide d’un argumentaire polémique, c’est votre droit, quoique celui-ci cache un vide total d’arguments de fonds, n’est pas un farceur, j’en suis désolé, quoique il est un bon humour, et sur cela, je dois avouer que vous aussi. Deuxièmement, votre connaissance en psychologie est à peu près égale à la mienne en Histoire de l’Art : nulle. Si mon Président avait peur, il ne se serait pas exprimé et serait resté caché dans un coin de l’hémicycle, sans prendre parti. De toute façon, ce n’est pas le problème. Imaginons que vous ayez raison. Et si nous avions peur. Eh bien, cela ne changerait rien ! Car les Ganeshiens se sont battus pendant des années, dans la peur, avec grand courage, pour se débarrasser de notre dictature. Et ils ne se laisseront pas impressionner par deux pauvres insectes. Qu’ils aient peur ou non, ils prendront les armes s’ils doivent défendre leur patrie, car, contrairement à vous, nous avons une culture, une histoire, une société qui nous est chère ! Quant à la démence, j’aimerais vous rassurer là-dessus, le seul dément ici, c’est celui qui s’imagine qu’il va conquérir le Monde entier, comme ça, sans aucune opposition digne de lui résister. J’aimerais maintenant, car je suis bon, vous apprendre une chose. Le Président ne vous menace pas. Il vous prévient uniquement qu’il est prêt, lui, et moi-même et tout notre peuple, que nous sommes prêt à nous défendre. Quant à notre secteur privé, il ne le restera qu’un certain temps, et une fois qu’il sera ouvert, nous verrons si vous viendrez nous attaquer. Mais permettez-moi de supposer (sans certitude, les civilisations avancées, pas comme la vôtre, sont celles qui savent douter) que vous ne le ferez pas, et pour plusieurs raisons. Vous ne le ferez pas car vous ne pouvez affronter tous les peuples de la Galaxie, et aucun ne vous soutiendra. Et si j’ai bien compris votre discours, il n’y a pas de neutralité pour vous. Vous ne le ferez pas car vous n’avez aucun intérêt à utiliser votre force militaire contre nos ridicules armes de pays pacifiques. Enfin, vous ne le ferez pas car vous craindrez trop d’être attaqué par les forces militaires majeures pendant qu’une partie de votre armée s’occupera bêtement de tenter de nous assujettir. Quant au fait que nous soyons derrière un holo-communicateur, cela n’a aucune importance. Vous savez que tôt ou tard vous pourrez mettre vos menaces à exécution… Ou prouver que vous n’en avez pas la puissance. J’aimerais ensuite revenir sur le point le plus important de votre plaidoyer qui, comme je le disais plus tôt, avait un ton trop polémique pour être prononcé par quelqu’un qui était sûr de lui. Mon Président, moi-même, le peuple Ganeshien, tenons énormément à la démocratie. Et vous nous dites en substance, que nous ne sommes pas une démocratie car nous ne vous acceptons pas. Alors là, excusez-moi, nous ne nous étions pas compris ! Je croyais que vous étiez un peuple belliqueux qui voulait annexer des territoires de force ! Alors si ce n’est pas le cas vous êtes bienvenues ! Si vous l’aviez été, cela serait autre chose. Si vous aviez été un peuple qui voulait dominer les autres, cela aurait été un problème, car vous auriez été par nature l’opposition à la démocratie. Si vous aviez été cette civilisation qui n’utilise que la menace et le sang, cela aurait été un problème, car il aurait porté atteinte à la Liberté. Mais si ce n’est pas le cas, veuillez-nous excuser, mais il me semble que votre discours n’était pas très clair. Quant à l’ambition des dirigeants, il est inutile de donner ma parole, vu que vous n’avez pas confiance en elle. Alors admettons que nos dirigeants cachent des ambitions. Quelle importance si le bien du peuple est fait. Et si ce n’est pas le cas, ce dernier change de dirigeants ! Je vais rendre la parole à mes collègues, je m’aperçois que j’ai monopolisé la parole trop longtemps, veuillez m’en excuser. Monsieur Zutho … Il se préparait à partir, laissant sa place à un des sous-fifres de la délégation, quand il se retourna et ajouta : Ah ! Et mon Président a bien reçu vos messages madame La Représentante du Dominium. Il a bien compris et vous remercie pour tout. Il espère pouvoir rapidement rentrer en contact privé avec vous. Merci à tous honorables délégués de l’Assemblée. il s’inclina, puis quitta sa place, un simple délégué prenant sa place pour écouter la suite des débats.
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Cdt. Zah Ardo'K
Respect diplomatique : 45 
27/04/1016 ETU 21:24 |
Message édité -
Score : 9
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De l’autre côté du l’afflux qu’avait créé le prince, le vaisseau tyranide laissa s’échappé un autre occupant. Ni ca grande taille, ni ces grandes défenses n’attiraient l’attention …. Pourtant plus grand que la moyenne des commandants présents, il se faufila entre eux pour observer….. Les interventions des commandants se succédaient, tous avaient des avis très intéressant et Ardo’K était vraiment intéressé ! Mais son regard se posa sur le tyranide garde du corps …. " Finley !?! " C’est alors qu’il sorti des rangs d’un pas pressé et tout sourire, évidement tous les commandants furent intrigués par le nouveau venus, habillé de grandes fourrures très très très colorés et d’une coiffe d’écaille d’une faune inconnu de tous. Il se dirigea directement vers le bête sans un regard pour le prince et lui tapa la base de son coup avec un regard d’affection …. 5 secondes passèrent … " Brave bête t’es toujours pas morte ! t’es une coriace hein ! … tu sais, je savais que tu allais survivre… " puis 10. **Merde ! Je suis à l’AG !** " Et bien j’en oublie les bonnes manières … Je me présente je suis le Commandants Zah Ardo’K. Chef de mon Clan et Chef Elu du peuple Troll. Maintenant que je suis devant vous et bien je pense qu’il est grand temps de m’exprimer. " …. Le silence se fit. ** Bordel …. Par ou je vais commencer !!** …. un long silence **JE ME SUIS MIS DANS LA MERDE!** …un silence qui n'avait que trop durée ! NARRATEUR: BON MAINTENANT ARDO'K TU PORTES TES COUILLES ET TU PARLES ! "D’abord j’aimerais calmer le jeu. Voyez j’ai un peu l’impression, que le prince vous a donner l’impression que les tyranides ne sont que destruction … c’est tout à fait faux ils sont aussi … Euuh des Euuh …….. Des grands explorateurs ! Et puis des alliés sur qui on peut compter ! L’Esprit du Dévoreur est très vieux et a enduré de nombreuses évolutions, c’est pour ça qu’il parait peut sympathique… mais ca fait son charme ! Ca met un peu d’eau dans le gaz quoi ! HAHAHA !" Ardo’k rie alors à gorge déployé. "Bref… pour être plus sérieusement, je trouve que vous jugez les tyranides sur leurs apparences et chez moi on appelle ca du racisme, qui vien de la peur de l’inconnu … au final le Dévoreur n’a pas tout à fait tort. Après vous n’y êtes pas tous, cette jeune femme-là, (Alice) elle a l’air très courageuse" **HAHA elle a des couilles ! J’aime ca ! Une vrai femme !** "Dans un registre géopolitique … les menaces au Dévoreurs passent encore … en revanches a ces alliés, alors qu'ils vous sont inconnus, et qu'ils ne vous ont rien fait … ma mère disait toujours "faut pas vendre les écailles du tyranide avant de l’avoir écrabouillé" … Enfin bref en tant qu’allier du Dévoreur je vous le dit nous ne sommes tous très liés et aucun de nous ne laissera l’autre périr … Surtout pour cette injustice qu’est la première impression." ** En parlant de première impression j’espère pas trop avoir tout gâché avec Finley… ** "D’ailleurs en parlant de première impression ?! Mes fringues ne sont pas trop démodées ?" NARRATEUR: BAH VOILA C'EST PAS COMPLIQUE! ESPECE DE BON GROS TROLL! hrp : les ** …** sont des pensés et faites pas gaffe au narrateur j me défoule :p ^^'
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Cdt. Migwel
Respect diplomatique : 122
29/04/1016 ETU 10:12 |
Score : 2
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Le Président de la République Ganeshienne, Migwel, était à nouveau présent dans l’holographe de sa délégation. Il répondit à Ardo’k, mais en même temps à tous les délégués et à l’émissaire Zutho. Il semblait très calme, même content. La fin de la période d’élections sur Ganesh lui permettait de souffler un peu. Il commença : Mesdames, Messieurs les Délégués, Bonsoir. Je suis heureux de m’exprimer à nouveau devant vous. Malheureusement, je n’ai que peu de temps, recevant actuellement un Chef d’Etat sur Ganesh DC. J’aimerais simplement clarifier la position de la République, en particulier à vous émissaire Zutho et à vous Chef Elu du Peuple Troll. J’aimerais aussi faire remarquer que vous n’avez pas, émissaire, répondu aux très justes remarques de mon Porte-Parole, preuve que vous savez qu’il a raison. Mais n’ayant pas l’intention d’être polémique aujourd’hui, je ne vais pas m’appesantir là-dessus. Je me permettais néanmoins de le faire remarquer aux délégués qui viennent de nous rejoindre. Donc passons ce fait. Monsieur Ardo’K, vous me permettrez de ne pas vous appeler par votre rang, qui est long, bien que je vous respecte en tant que détenteur de celui-ci, et ce n’est pas un manque de respect sinon une manière de faciliter ma prise de parole. Donc monsieur Ardo’K, vous me semblez être quelqu’un d’intelligent. Néanmoins, vous dites dans votre propos que je menace les Dévoreurs et leurs alliés. Il n’en est rien. Notre armée offensive ne viendrait pas à bout d’un peuple de coccinelles. Nous sommes pacifiques, plus que tout autre peuple dans la galaxie. Nous avons réagi à l’émissaire Zutho, Monsieur Ardo’k, car c’est nous qu’il menaçait. Si, et je n’espère pas mieux, si, ce sont les qualités d’orateurs de Zutho qui sont si piètre qu’il ne nous a pas fait comprendre ce qu’il voulait dire, très bien, dans ce cas mon peuple est prêt à s’excuser. Néanmoins permettez-moi, tous les deux, de n’être pas bien sûr que le discours de monsieur Zutho, que je respecte, ait été particulièrement pacifique. J’attendrais là-dessus votre réponse émissaire, ainsi que sur les paroles de mon Porte-Parole si vous le voulez-bien, pour que nous puissions éclaircir votre vision des choses. Dans le cas, messieurs, où nous nous sommes trompés, alors nous vous présenterons nos excuses, et vous payerons un stage, en gage de notre amitié, pour que vous puissiez apprendre à vous exprimer de manière plus claire, et évitez ces tristes incidents à l’avenir. Si, par contre, il s’avérait que nous avions raison, notre position ne change pas et, au nom du Peuple Ganeshien, je vous la rappelle : Nous ne nous laisserons pas soumettre par un peuple belliqueux, nous nous défendrons, et nous ne vous laisserons pas faire. J’aimerais ajouter, monsieur Ardo’K, que nous ne sommes pas en train de menace qui que ce soit, nous l’informons de notre future position en cas de problème, pour que l’émissaire ne soit pas pris au dépourvu. Ce n’est pas une menace, c’est uniquement une manière de permettre une guerre (si elle est nécessaire, j’espère que non) loyale. Et dans cette triste hypothèse où la guerre serait inévitable, je vous affirme solennellement monsieur Ardo’K, que nous ne considèrerions comme nos ennemis uniquement ceux qui le seraient, et pas les amis pacifiques de ces ennemis, excepté dans le cas où ils fournissent un effort de guerre à ces civilisations Mesdames, Messieurs, j’espère avoir été claire et avoir enlevé toute ambiguïté. A vous émissaire, de la faire. Migwel s’inclina à demi devant l’Assemblée. Il était fier de lui. Il avait réussi à parler sans s’énerver. Plus reposé que l’avant-veille, plus tranquille, les élections étant passé, et plus heureux, car des relations pacifiques avaient pu être noués avec les civilisations proche de Ganesh, il avait pu prendre sur lui, et avait l’impression d’avoir parfaitement réussit à enlever toute ambigüité et à renvoyer la balle dans le camp de l’émissaire. Au bout de quelques secondes, et après avoir coupé sans la moindre déflagration son microphone (il progressait assurément, à utiliser les holo-com 3.0), il commença néanmoins à être inquiet. Qu’allait répondre Zutho. A quoi aurait servi ce discours si c’était pour que Zutho clarifie qu’il était un guerrier qui voudrait tout raser. Migwel attendit, inquiet mais plein de courage, la réponse de l’émissaire
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