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Premiers conflits

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Cdt. sephorak
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29/05/1016 ETU 14:05
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Le général Kalahari entra dans le bunker et donna son rapport au commandant suprême sephorak. "Maître depuis quelques lunes déjà qlq unes de nos planètes sont tombées sous le joug d'un certain général Hismer. Nous avons fait quelques recherches cet homme serai un dictateur opportuniste qui prends bien soin d'investir des planètes dont la puissance technologique est bien inférieur à la sienne". sephorak était perplexe il se gratta l'oreille comme à l'accoutumé quand il réfléchit et répondît "BIen je vous remercie de votre rapport nous allons reprendre toutes nos planètes conduisent par ce général. Nous avons d'ailleurs reconquit deux de ces planètes ce général est cette puissant mais il n'est pas dans son secteur il dispose donc à l'inverse de nous peu de ressources matériels et en peut recourir à des renforts immédiat à cause de la distance qui le sépare de ça planète mère. De plus nos ingénieurs ont fini la conception de notre tout premier croiseur équipé de la dernière génération de bouclier et d'armes. Si nous envoyons des troupes massives toute avance technologique qu'il a il ne pourra rien faire, le nombre ayant toujours l'avantage sur la force. Mettez toutes nos ressources dans la recherche faites un avis à la population dites leurs de se mobilisez d'aides nos scientifiques de toutes les façons possibles réquisitionnez les commerces les usines si il le faut. Je veux une flotte de croiseurs lourdement armés, équipes dA.D.M et de déflecteurs de dernières générations dans les dix lunes à venir. Ressources illimités sur toutes les recherches aussi abstraites qu'elle soir, que ce soit sur la physique quantique les champs de forces, les trous de vers, les canons à particules"... Sephorakayant fini de donner ces directives entra dans son tout premier croiseur interstellaire admira les installations intérieurs, pris place sûrs son poste de pilotage, ouvra une fenêtre hyperespace et entra dans celui suivi de dizaine de milliers de vaisseaux avec l'envie d'en decoudre
Cdt. Arkhangel Hismer
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02/06/1016 ETU 09:04
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La guerre faisait rage entre les deux factions, et si le Dominium avait réagit avec l'inertie propre aux méga-administrations centralisées, le temps nécessaire à sa riposte fut proportionnel à la violence de cette dernière.
Très rapidement, des convois de fusiliers orbitaux prirent position autour des mondes ennemis, procédant chaque fois de la même manière.
On commençait par envoyer une offre de reddition au gouvernement officiel puis, en cas de refus, bombardais les centres administratifs et militaires avant d’inonder les centres urbains de soldats.
Les civils étaient, de manière assez peu surprenante, traités avec beaucoup de décence. On les considérait en effet comme des sortes de citoyens kaiserdien sous domination alien. Ce comportement paternaliste et partiellement accentué par la mauvaise foi rhétorique du Dominium, faisait qu'au final, les civils ne souffraient qu’occasionnellement, lorsque les tirs d'obus orbitaux rataient de peu leur cible et rasaient des quartiers d'habitation au lieu d'anéantir des bases militaires ou des canons sol-air.
Des dommages collatéraux regrettables, mais dont Kaiserde ne saurait être portée responsable.
Après tout, c'était Sephorak qui avait déclenché cette guerre, toute perte civile était à mettre sur son compte.
Chaque monde récupéré était fortifié. Pas beaucoup ceci-dit, l'expérience démontrait que le commandant ennemi n'était tout simplement pas en mesure d'envahir un monde, une fois passé l'effet de surprise. Il ne s'agissait pas d'un problème de bravoure: Pour citer les journaux officiels, les hommes de Sephorak se battaient bien, avec vaillance. Seulement, leur nombre et leurs effectifs et leur technologie était inférieurs.
L'histoire aurait put se terminer sur une occupation totale, seulement le Dominium et ses officiels se voulaient magnanimes, et ils savaient qu'un de leurs premiers alliés (tant en matière d'importance que chronologiquement parlant) entretenait une relation privilégiée avec cette sous-faction.
Ainsi-donc, plutôt que d'entièrement civiliser le peuple de Sephorak, il fut décidé de lui proposer une offre de paix en bonne et due forme.
Et ainsi, après avoir prévenu et sans attendre de réponse, un convoi officiel Kaiserdien vint se positionner autour de la capitale ennemi, attendant de pouvoir se poser.
On voulait, disait-on, aider le gouvernement malade de Sephorak. Faire preuve de patience.
"Considérez ce peuple", avait expliqué Hismer à ses sbires, "comme un canari. Non-pas qu'il chante, je faisais évidemment référence à ces oiseaux emportés dans les mines pour détecter la présence des poches de gaz. Nous allons faire un test avec eux, et s'il se montre concluant, peut-être notre politique diplomatique pourra-elle se montrer moins intransigeante à l'avenir."
...
Les raisons qui avaient poussées le Dominium à envoyer Friedreich Kartz négocier ce traité de paix restaient assez obscure, notamment pour l'intéressé qui, à l'heure actuelle, se rongeait les ongles, fixant le sol de la navette d'un air particulièrement anxieux.
Friedreich était un homme simple. Pilote expert de chasseurs orbitaux, il faisait parti du cercle très privé qui composait la cellule centrale du Parti, avec Alice, Spielton, Xajes ou encore la commissaire Umineko. Sa vie était celle d'un héros de salon: Fort de ses exploits, il écrivait des livres, donnait des conférences et profitait du luxe d'une vie d'officiel.
Son caractère était définit par trois points:
Ils était doux, convaincu du bien fondé de l'idéologie officielle, et n'avait vraiment pas envie de mourir.
Plus il y réfléchissait, plus il comprenait pourquoi on l'avait choisis, au final. Alice était occupée, et trop importante pour être envoyée sur un terrain hostile, il fallait donc quelqu'un d'au moins aussi aimable et ouvert qu'elle, mais de moins essentiel.
Lui, il n'était qu'un héros d'apparat. Même mort, il pourrait être changé martyre et utilisé en exemple. Puisqu'il ne revêtait aucune utilité concrète, ce ne serait pas grave.
Ses dents claquèrent et il se débarrassa en vitesse du copeau d'ongle. C'était ridicule. Lui, Friedreich Kartz, expert du pilotage extrême, héros de guerre et ami personnel d'Hismer (pour autant qu'on puisse considérer qu'Hismer ait des amis), effrayé à l'idée de rencontrer des ennemis, comme une jeune recrue devant sa première bataille.
Il soupira, attrapa une paire de gants en cuir et fit en sorte d'y enfiler ses mains.
Aujourd’hui, il représentait le Dominium, il devait donc avoir l'air impeccable, dur et juste.
Le pilote prit une grande inspiration et, comme une baudruche qu'on aurait regonflé, reprit un peu de consistance.
"Je suis le Dominium, et je suis magnanime. Nos ennemis apprendrons à nous aimer."
Cette phrase semblait résumer sa mission, tant et si bien qu'il la répéta plusieurs fois pour lui-même, comme une prière.
Au pire, si sa mission était un échec, le Dominium écraserait Sephorak.
Mais dans l'idéal, il préférait largement l'idée de revenir victorieux.
Cdt. sephorak
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05/06/1016 ETU 10:49
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"vous avez une curieuse façon de faire la paix".Voici les attaques ralliement diplomatique de gaussât et et solive te.

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