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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 20/06/1016 ETU 00:16 |
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Score : 9
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Dans une secteur reculé de la galaxie se trouvait une planète bien peuplé, Chacun s'adonnant avec joie au travaux nécessaire à la vie en société. Les hommes et les femmes semblait oublié doucement l'égoïsme et l'envie. Certain faisait l'apologie du "Communs" comme il l'appelait, une conscience issue de la coopération systématique des individu. Cette conscience les mènerait au bonheur absolue. Dans ce monde étrange une maison délabré se trouvait dans une forêt dense la lueur d'une feu de cheminé se distinguait par la fenêtre dans la pénombre du soir. En face de ce feu un grand fauteuil. Dedans, une femmes dans le début de la quarantaine piquait du nez sous une couverture. Autour d'elle des millier de livre jonchait le sol. Ainsi que de nombreuse notes Elle fut réveiller en sursaut par le bruit de sa portes qu'on enfonçait. Elle saisit un revolver posé sur une pile de livres Ça avait mordu à l'hameçon. 3 hommes entrèrent dans la pièce et se placèrent entre le feux et la quadragénaire Elle les regarda quelques seconde, braqua son arme sur le premier et tira. L'homme visé s'écroula sans bruit. L'un des survivant se tourna vers le corps et l'autre qui n'avait pas cillé prix la paroles. -Vous avez exécuté un homme ... -Exacte, et toi tu en a asservie des milliard Les deux hommes se mirent à parler à l'unissons -L'asservissement est une imitation primitive de ce que nous avons accomplie. il se mirent à sourire en simultané, un sourire plein de douceur. Arrète de causer possède moi saloperie !!! Elle tira une nouvelle fois et le deuxième homme s'écroula. - Finit en ! je suis la dernière que tu n'as pas et ça doit vous rendre fou de ne pas tout maîtriser Le survivant ne cessa pas de sourire. Une voix plus Aïgus répondis dans à l'arrière de la femme. -Maman, nous savons ce que tu as fait et ce qui va nous arriver si on te prend.... On mourra avec toi. La concerné se retourna d'un bond et regarda sa fille se tenir droite. Elle avait ce même sourire plein de douceur que l'homme en face d'elle. La pauvre femme se leva de son fauteuil et s'approcha de sa fille les larmes au yeux Emilie ils t'ont prix aussi ?!? - Nous pouvons faire semblant d'être elle. Mais tu dois d’arrêter de vouloir nous tuer ..Maman pose ce pistolet je peux être la meilleurs des petite fi.... La détonation de l'arme s'entendit de l'extérieur de la maison Quelques minutes après la lueur du feux devint de plus en plus faible alors que la silhouette d'un homme et d'une fillette sortait en silence de la maison pour disparaître dans la pénombre. Ailleurs sur la planètes, les hommes et les femmes étaient satisfaits cette femme qui leurs voulaient tant de mal ne pourrait plus leur nuire...
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 20/06/1016 ETU 21:09 |
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Score : 6
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Dans une salle de l'observatoire spatial de cette étrange planète, Tout était vides sauf une pièce où quelques individus en blouse blanche faisait régner une agréable agitation. Parmi cette petite dizaine d'individus la plupart discutaient entre eux de leurs familles, de leurs travail ou de leur vie en général... La pause café approchait. Mais pas tous, l'un d'entre eux un peu en retrait, lisait et relisait un papier avant de redresser la têtes avec un sourire béat "J'ai un signal nous ne sommes pas s..." Il n'arriva pas à finir sa phrase tout ses collègues s'étaient tournés vers lui d'un seul mouvement, et le fixaient tous exactement du même air plein d'attention et de surprise. Puis tous firent un pas en avant avant de tous se désynchronisé. Ils semblait tous quelques peu sonnée d'avoir perdu et repris le contrôle de leurs corps aussi brutalement Les rôles étaient à présent inversé ils voyaient tous leur collègue lire frénétiquement un document comme s'il ne savait pas ce qu'il contenait. Qu'a t'il trouvé dit un chercheur qui se remettait plus vites que les autres de la possession Il savait à qui il s'adressait. Le concerné leva le nez de sa feuille puis dit d'un air enjoué : Félicitations à vous ! Tous dans la pièce se sentirent alors heureux, fier, immensément satisfait à la limites de l'euphorie. Au même moment partout sur la planète toute les foules se stoppèrent. Tout les hommes et les femmes qui n'avaient pas un toit au dessus de la tête levèrent les yeux vers le ciel quelques seconde du même air songeur et curieux.... Puis tout redevint comme si rien d'étrange n'avait eu lieux.
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 21/06/1016 ETU 21:45 |
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Score : 4
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Le temps était agréable, une après midi de printemps chaude et un vent frais rendait la température parfaites Sur un chantier de fabrication d'une centrale à énergie deux ouvrier, l'un jeune, l'autre plus mur travaillaient sur un grand silo en acier inoxidable -C'est la pause l'arpette, tu viens t'en griller une ? -Bouge pas Jacky, j'termine de serrer ça et... Humpf... Voaalàààà, c'est bon. -Tiens bah tant que t'y es, chope moi mon feux s'teuplait....Merci Munose Les deux compère s'assirent sur un entassement de poutrelle de charpente métallique et allumèrent leurs cigarette observant en silence leurs travail accomplie En face d'eux passa un hommes entièrement vêtu d'une tenus bruns sombre impeccablement entretenue Deux épaulière en forme d'ogive lui donnait un air imposant. Un masque lisse et courbé cachait le visage de l'homme. Le vieille ouvrier l'interpella sèchement en tendant sa main en avant : -Hey Bonjour patron ! L'homme se tourna et marcha vers les ouvrier, les salua poliment et leurs serra la main. Puis repartie sans chercher à converser plus que ça. Quand il fut hors de porté Munose, le jeune ouvrier dit : - Pas causant les gens de l'espace, ça change on s'fait plus gueuler d'sus quand on cause au lieux de bosser. - Ouais, prend pas trop l'plis quand même... - Ouais ouais ouais. Mais quand même les mecs comme lui, là... Comment y s'apellent ? - Les thérons ? - Ouais bah eux, y sont zarb... Y parait que quand y en a deux des fois ils bouge en même temps.Tu te souviens de l'autre qui parlait tout seul sur l'avancement des travaux ? - Ouais j'm'en souviens. - Bah apparemment c'était la discutions qu'un autre de ces mec avait avec le magasinier. Ca veut dire que le boug qui parlait tout seul il parlais tout seul mais au magasinier... Il marqua un court silence puis repris : -J'suis pas sur qu'y soient humains moi. - Ou alors y en avait un qui téléphonais avec une oreillette à un de ces potes et un autre qui parlais au magasinier. Et y parlais juste de la même chose. - Mouais, j'suis pas convaincu, ça reste bizarre. J'ai pas l'impression qu'ils soient vraiment humains. - Dans humains, y a mains ! Et la main d'un mec te dit pleins de chose sur lui - Genre mes mains elle te dise quoi, On m'as jamais lu les ligne de la mains. Le jeune homme se moquait ouvertement de son ainée. Ce dernier lui rétorqua : - Que t'as tout juste 20 berges, que t'es un prolo qui porte pas ses gants et que vu la marque rouge t'as encore du serrer comme un con et foutre en l'air le joint thorique... - Ok, ok et du coups s'pour ça que tu veux toujours qu'ils te serrent la main en fait? - Finalement t'es moins con qu't'en à l'air munoze. Bon viens avec moi j'suis quand même sur que t'as déglinguer le joint. - Ok mais du coup, leurs mains elle t'on dit quoi ? - Qu'il sont tous vachement jeune pour être patron. C'est des fils à papa... Et croit moi ça c'est bien humains. Bon aller go on y retourne. Ceci dit, le vieille ouvrier lui aussi les avaient vu bougé à l'unissons mais c'était de loins.. Et c'était trop tot pour avoir une opinions finie des nouveaux patron ils resterais de toute façon bien plus correct que leurs anciens... Mais les anciens c'était justes des connard. Les nouveau, eux, étaient un peu flippant.
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 27/06/1016 ETU 02:07 |
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Score : 1
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Dans le conseil méhériens un homme et la Emilie discutait. L'homme disait : -Vous dites qu'elle a voulu tué sa propre fille ? Emilie ne bougea pas l'air songeuse et ne répondit pas tout de suite. Mais finit par dire à voix basse. -Sa fille...C'était le piège et nous avons foncé bêtement. Si nous sommes en vie c'est grace à la présence d'esprit de Préservation. Il a repris prise sur le théron et a abattu cette garce avant qu'elle ne finisse... Les hommes et les femmes de la planète frissonnèrent et sur la face non éclairé de Méhère des millions de personne se réveillèrent en sursaut couvert de sueur. Ils avait tous le cœur serré et le souffle court. La sensation horrible d'être enfermé dans un corps trop petit provoquait une violentes nausé chez les milliard d'individus sous l'emprise du Commun. Cela ne duras heureusement que quelques secondes car un sensation de sérénité montait doucement dans l'esprit de chacun L'homme à coté d’Émilie r'ouvris les yeux qu'il posé sur la petite filles : -Voyons le bon coté des choses, Nous n'avons pas perdu en force au contraire. Je constates que Vos émotions violente se transmettent bien plus qu’auparavant... Emilie se tourna vers l'hommes, -Mais si ce corps fragile meurt nous suivrons... La fillette soupira. Puis pris une grande inspiration et la planète entière se mis à pousser un hurlement de rage et de frustration. Sur une autre planètes, dans le chantier de la centrale à énergie. Jacky et Munose venait de finir leurs déjeuner quand ils entendirent quelqu'un hurler à l'extérieur. Il regardèrent par la fenêtre du local. Ils virent le théron hurler à plein poumons avant de s’arrêter, faire demi tours brutal et de se diriger d'un pas vifs vers la sortie du chantier. Munose fut le premier à réagir -Bah finalement, tu vois les nouveaux aussi y gueulent quand on fait durer la pause. -Ouais, en tout cas, ça s'arrange pas chez ces mec là... -Tu m'étonnes ! |
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 01/07/1016 ETU 18:52 |
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Score : 0
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Fausse manip : En cours d'écriture
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 01/07/1016 ETU 21:08 |
Score : 6
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Une mélodie douce résonait dans les couloir du conseil Méhériens Un hommes au masque d'un bleue profond marchait dans les longs couloirs vide du bâtiment, perdu entre le bruit de ses pas et la musique qui raisonnait dans les boyaux du bâtiments. D'où venait elle ? Le conseil Méhérien était une construction immense mélangeants à la fois le poids de l'histoire et la force de la modernité. Autrefois on nommais ce lieux, la bibliothèque pentacentenaire. Les livres qu'elle contenait parlait de la science, de la religions en passant par les archives et autre arbre généalogiques. En d'autre terme les trace écrites des gens de Méhère Le conseil avait jugé judicieux que les livres soient numérisé puis entreposé à l'abris du temps dans les profonds sous sols de la bibliothèque Même si finalement c'était une sage décision, le bâtiment semblait avoir perdu son âmes. La seul présence du lieux semblait être contenus et cristallisé dans les notes qui raisonnait dans ces long couloir vide Cette filles dans laquelle était coincé le Commun devait avoir subit le même sort que la bibliothèque mais sans la numérisation des trace du passé... Le son d'un ensemble d'instrument commençais à se faire entendre, le thérons au masque bleue se figea Un Orchestre ?!? Il y avait donc plusieurs personne dans ce bâtiment. Qu'est-ce qu'il se passait ici ?!? Le théron pressa le pas jusqu'à arriver au niveau d'une grande porte. Autrefois cette pièces servait à réalisé des concert et contenait toujours un gigantesque Orgue... ...Il venait de comprendre ce qu'il se passait Il poussa la porte. Au centre de la salles se trouvais la fillette en question assise en tailleurs dodelinant de la têtes au rythme de la mélodie. Autour d'elle un orchestre au regarde vide jouais au rythme des mouvement de têtes de la fillette. Cette dernière ouvris un œil pour le poser sur l'homme masqué . La musique continuait et la fillette possédée ondulait toujours comme transporté par la musique. Puis elle referma ses yeux Le morceau s'amplifia Le commun semblait ressentir la musique et la synchronisation de l'orchestre était irréprochable. L'orgue donnait à la scène un coté irréelle.Presque religieux. Auparavant Le commun prenait de la puissance à l'image de cette musique. Le commun n'avais jamais attaché d'importance à la musique, à la beauté des chose en général. Mais il était plus que probable que son enfermement dans ce corps ai radicalement changer sa façon d'être. Il semblait beaucoup plus émotifs qu'auparavant ses colère transmettait désormais sur plusieurs dizaine de milliard d'individus. Et à présent il jouait de la musique.... Le théron au masque bleue resta donc là à l'observer et écouter puis demanda -Tout vas bien ? Le commun ne répondit pas. La musique s'amplifia encore comme pour demander de se taire. Ce que fit d'ailleurs l'homme. Quand enfin le morceau fut finit. La fillette ouvrit les yeux en douceur. Et les posa l'air parfaitement détendu sur l'homme masqué -Je vais mieux, pas bien, juste mieux. Merci de me le demandé Altérité -Comment pourrais-je vous être utiles pour mettre fin au tourment qui vous ronge. -Fait moi sortir de se corps sans me tuer. -Je crains que ce soit impossible en l'état Le commun soupira. Alors fait moi sortir de cette planètes. Je veux voire de mes yeux à quoi ressemble mon domaine et pas seulement par le biais des synchrones... Effectivement la condition de mortel avait radicalement changer les priorités du commun... Finalement c'était très probablement une bonne chose. -Suivez moi dans ce cas
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Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 12/07/1016 ETU 20:36 |
Score : 3
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Sur la planète inhabité Hiriü Un jeune couple discutait au fond d'une caverne autour d'un repas. La femme pris la paroles -Je suis arrivé. L’homme redressa un sourcil et planta son regard dans celui de la femme. -Je persiste à dire que j'aurais du venir avec toi. -J'ai besoin de toute ta force pour la naissance d'Affect. Et tes Thérons ne sont pas des plus... Stable -Affect... C'est ça son nom Kantus ? -C'est ainsi qu'elle se nomme... L'homme eu un petit rire. -J'ai compris. C'est ta protégée... Comment compte tu apprendre à Affect qu'elle ne sera plus le commun ? -Elle le sait déjà. Elle s'identifie elle n'est plus le groupe d'ailleurs, les désynchronisation sont de plus en plus importantes. En soit notre créatrice à réussi sa mission... Elle a tué le commun.... A nous de le faire renaître avec l'aide d'affect. -mmmh... Et où est ... Affect en ce moment. - Sur une planète du domaines commun. Elle reviendra sur Méhères d'ici peu. Là je lui expliquerais.... -Elle ne va pas apprécier comme toi en ton temps La synchrone marqua un silence : -J'ai bien dit que j'avais besoin de toute ta forces....
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