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Curriculum Vitae

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Cdt. Martin Tatcher
Respect diplomatique : 259

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11/10/1016 ETU 01:57
Message édité - Score : 9 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
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efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 5
humour décapant : 0
role play intéressant : 4
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Chapitre 1
Entretien d'embauche
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Gérald Barnabé : Techniciens mécanique
23 ans, célibataire
Réside au domicile familial
Niveau C4
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Gérald regarda à sa gauche et sa droite. Sur un long banc sans dossier les candidats au postes était aligné sur un banc. Et attendait qu'on les appelles pour l'entretiens. Gérald avait compté il étaient une quinzaines.
Monsieur Gernoli s'il vous plait.
La voix provenait de derrièrre un bureaux qui faisait face à cette brochette de candidat. Une jeune femme assez belle souriait de son plus beau à l'homme qui se levait pour l'entretient. Elle lui indiqua une porte.
C'est par ici, vous êtes attendus. Bonne journée
Puis la jeune femme repris son travail de dactilo. Le petit claquement du clavier était à un rythme quasi continus. Depuis les progrès en informatique les secrétaires étaient rares. Les secrétaire joli encore plus. Les agence de recrutement s'emmerdaient moins elles... Un prompteur affichant 3 numéro. Un code à trois chiffre était attribué à chaque candidat attendait que son numéro s'affiche pour passer la portes..
Nan décidement ici c'était cool. Et Gérald finie par se dire que zieuter la secrétaire le temps d'être apellé était une bonne occupation
-Après une vingtaine de minutes et 4 candidats-
Monsieur Barnabé s'il vous plait c'est à vous
Il se leva, s'étira, rapidement....
"P'tain une demis heure sur ce foutu banc..." pensat-il
Il ouvrit la portes
Un homme au crane rasé et à l'épaisse barbe mais impeccable était assis à son bureaux
Devant lui une dizaine de CV était disposé certain court d'autre long comme un bras. Gérald ne pus s’empêcher de se dire que le siens ne pouvait pas être meilleurs que tout ceux là.
Le recruteur barbus lisait quelques chose sur son écran et parla sans lever les yeux
-Asseyez vous, monsieur ... ?
-...Barnabé
Gérald, s'installa sur sa chaise... elle n'était pas plans.. Et bougeait si on s'agitait.
Bon pour le confort c'est pas encore ça.
-Vous avez amenez votre Cv ?
-Euh... Non monsieur, je vous l'ai envoyé par holo-mail je pensais pas que vous souhaiteriez un support carboné.
L'homme leva les yeux au ciel et murmura ...
-Ca commence... Bon ne bougez pas je vais demander à ce qu'on me l'envoie.
Le temps de l’appelle Gérald se concentra pour ne pas faire de bruit avec sa chaise bancal.
Puis la secrétaire entra dans la pièce avec le CV papier. Le barbu le prix jeta un regard dessus et le reposa sur la piles des autres et planta son regard dans celui de Gérard
Bon nous allons pouvoir commencer. Essayez de répondre le plus simplement possible d'accord
Il repris aussitôt
Qu'est-ce que vous pensez pouvoir apportez à l'entreprise ?
-Mon savoir faire et ma bonne volonté
L'homme tapa quelques mots sur son clavier...
-C'est un bon début, ici nous cherchons des gens motivé qui on l'esprit d'entreprise. On veut pas quelqu'un qui laisse le boulot en plans sous prétexte que c'est l'heure. Vous comprenez. Ça ne vous pose pas de problèmes je supose
-Non bien sur que non. Vous savez moi tant qu'on me paye je bosse
-Bien, je lis sur votre CV qu'il y a un trous de 4 mois suite à une démission....Vous pouvez m'expliquez ?
-euh.... Un désaccord avec mon dernier employeur il a refusé de me payé ce qu'il me devais et j'ai finie par préféré chercher du boulot ailleurs
Le recruteur eu un rictus désapprobateur
-Intéressant, d'ailleurs concernant vos prétentions salarial ?
Il demandait cela en pianotant quelques mots sur son clavier
-euh... et bien j'avais pensé à 12 crédit de l'heure
deuxième rictus désapprobateur
-Vous savez monsieur, la décision ne dépend pas de moi, mais vous êtes peu expérimenté et votre parcours semble chaotique compter plutôt sur 7 à 8 crédit de l'heure grand maximum. Mais vous pouvez essayez.... Je notes 12 sur votre candidature ?
Un lourd silence s’abattit dans la pièce.
-...Mettez 7.5
-Très bien
Le recruteur se leva et tendis sa main et dit
-Ca irat pour moi, vous recevrez de nos nouvelle d'ici quelques jours. Restez disponible
Gérard se leva hésitant et tendis la mains que le recruteur serra vivement et avec poigne et le raccompagna vers la sortie.
Lorsque le jeune homme passa la port le barbus sourit à gérald d'un air plein de compassion
-Bon courage dans votre recherche d'emploie.
Et ferma la porte laissant Gérard seul face à la porte vitré de l'entreprise donnant sur la rue.
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Dans le bureau l'homme barbus s'étira un bon coup et passa un appelle
Alors pour...
Il chercha des yeux le noms qu'il cherchait sur la pile de CV
...Gérard Barnabé... B A R N A B E....Oui donc lui tu l’appelle dans une semaines pour la prod élèc à 9c de l'heure.... Voilààà merci a tout de suite...
Il s'installa sur son siège
Plus que 10...
Il regarda l'heure.
Putaint j'vais être la bourre...
Il fit ctr+v sur le chat le reliant au secrétariat. Là où les candidat attendaient
>AU SUIVANT
En réponse il reçu un dossier complet... Revenu du foyer, Liens familiaux . Taux d’intérêts des crédit, enfant a charge, commentaire des précédent employeurs... assurances etc...
Une femme d'une trentaine d'année entra dans la pièces une pochette contenant les papier
Installez vous. Je suis à vous tout de suites.
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OBJECTIF
Contrat mi-temps
Agent de cuisines
5c/h
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Le recruteur releva la tête et planta son regard dans celui de cette femmes
Je vois que vous avez apporter votre CV.
Elle répondit oui avec le sourire en lui donnant le papier
Ce CV correspond bien à ce qu'on cherche. Pour moi, c'est correct. Y a juste une chose dont j'aimerais discuter c'est sujet à l’arrêt de votre précédent emplois. Je lis, que c'est suite à votre maternité.... Je vous félicite c'est une fille ou un garçon ?
Cdte. Athenais Isocraste
Respect diplomatique : 77

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24/10/1016 ETU 03:54
Score : 6 Détails Prévenir Dieu
0 : orthographe insuffisante
0 : présentation bâclée
0 : hors sujet
0 : hors role play
0 : message insultant
efforts visibles : 0
message adapté : 0
message remarquable : 3
humour décapant : 1
role play intéressant : 2
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Chapitre 2
Congé maladie
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Gérald Barnabé : Technicien mécanique
23 ans, célibataire
Réside au domicile familial
Niveau C4
Atelier 109.cvs.403 (prod.élec.) à Stark & Tatcher Corporates
Niveau noob
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https://youtu.be/kjPTQLgGpq8?t=2957
Mais les yeux en l'air, Gérald a mal au nez. Et les yeux en bas, il a mal au dos. C'est très grave. Gérald s'est cogné le visage sur un coin de table en trébuchant sur des fils électriques. Nul doute que c'était une bêtise, ce boulot, comme disait Claudette, la minette du Bourlala... Trop dangereux, ce taf !
Le pauvre Gérald devrait être emmené à l'hôpital. Mais ça se produira seulement après ses heures de service ! On ne plaisante pas à la Goldman Suck's. Le nettoyage du sang sur les tableaux électriques sera bien entendu décompté de son salaire de 9 cents de l'heure. Et le règlement stipule même que toutes les heures passées à « saigner comme un veau » comptent d'office pour moitié moins.
C'est normal.
Les syndicats aussi, ils trouvent ça normal. Lorsque Bulpfuge, le camarade de Gérald, est allé trouver Renaud du syndicat, le seul syndicat autorisé sur la planète de Waren Stark, celui qui s'appelle Bon-vivre à la Goldman, le grand Renaud l'a reçu dans son petit bureau et lui a offert une clope, il l'a écouté se plaindre puis il a dit : C'est normal.
Comme ça. Pourtant, il fallait tout de même que Gérald soit transporté à l'hôpital ! Gérald aurait-il des jours de congé maladie ou bien devra-t-il saigner au travail ?
Renaud consulte ses écrans :
- Bon..., dit-il. Je vois que c'est un chômeur activé. Il n'a donc pas de congé cette année. Mal parti. Alors... des heures de compensation ? Nooooon... des heures de récupération ? Non pluuus... Ah ! je vois quelque chose... Attends..
Bulpfuge releva la tête avec espoir. Son pote aurait peut-être une matinée de repos.
- Ouiiiii... On dirait qu'il a encore des heures de...
- ... de quoi ?
- Des heures de... Ah non !
Le grand Renaud releva la tête avec un visage hilare.
- Ha ha ha ha... Me suis trompé... C'est balot, quand même ! Je r'gardais déjà sur l'année prochaine. Ha ha ha ! Elle est bien bonne. Non non, Gérald, il a rien cette année.
- Mais...
Bulpfuge était sincèrement désemparé. Alors Renaud le regarda droit dans les yeux avec un air rusé.
- Mais on peut peut-être faire quelque chose.
- Ah ?! Espoir
- Ouais. Un truc qui n'a pas beaucoup de chances de marcher mais on peut essayer.
Bulpfuge se sentait prêt à tout essayer pour aider son pote d'atelier. Il reprit un air enthousiaste.
- On y va ! Qu'est-ce qu'on fait ?
- On va faire chier l'patron, mon pote.
- Ouais ?! Comment ?
- On va imprimer quelques tracts insultants, et on va les placer à la cantine et dans les toilettes. Tu vas voir, ça va jaser.
Renaud avait un sourire carnassier mais Bulpfuge s'était dégonflé comme un cake au pomme (quand il est mal fait).
- Ah bon ?
- Ouais, on fait une action syndicale, quoi... Qu'est-ce que t'espérais ?
- Mais... mais... on ferait pas plutôt une manif ? Ou bien une collecte de solidarité pour l'hôpital ? Y a déjà des camarades qui se sont fait blesser. On pourrait arrêter les machines dangereuses, par exemple, pendant une matinée en signe de protestation.
Bulpfuge s'échauffait un peu et Renaud le regardait les sourcils levés. Bulpfuge continuait :
- Une matinée ou une journée. Pas du sabotage mais une sorte de grève, quoi...
- Holaaaa... Holaaaa... mon poteau, calme-toi ! Calme-toi ! Qu'est-ce que tu racontes ?! Tu t'emballes là, mon pote. Tu t'es entendu ?
- Je sais pas... peut-être... mais, en fait, on est quelques uns à se dire qu'il faudrait quand même faire une action symbolique, quoi...
- Quelques uns ? Oh écoute ! T'as des bonnes idées, toi. Tu veux prendre ma place ?
- ...
- Nan, je rigole he he he
Renaud riait un peu. Bulpfuge avait été surpris. Mais en voyant l'autre rigoler, il se détendit un peu et rigola aussi. Mais, dans la seconde qui suivit, Renaud reprit un air menaçant, sourcils froncés.
- Tu veux mon siège ? C'est ça ?! Hé ! Tu veux ma place ? Vas-y, prends-là. Vas-y !
Renaud était debout. Alors Bulpfuge jugea qu'il était prudent de temporiser.
- Bêêê non. J'disais juste...
- Bêêê... bêêê... vous êtes tous des moutons. Moi, j'me casse le cul ici pour vous. Mais vous êtes tous là comme des moutons les doigts dans la chatte, et moi, j'ai plus envie de me bouger pour vous.
- Ben c'que j'en dis, moi...
- Ouais, ben justement, t'en dis beaucoup pour un ouvrier. T'ouvres ta gueule ici et là-bas, t'as des avis, tout ça... T'as des idées, c'est ça ?
- J'disais juste qu'on devrait réclamer un peu plus parce que tous les camas font leurs heures et même plus, tu sais bien...
- Ouais ouais, je sais. Je sais. T'es un vrai sociologue et t'as des idées. Tu tiens conférence à l'atelier et tout ça. Un mec sérieux. Un intello. Allez sors, j'ai du boulot.
Bulpfuge était estomaqué. Et fort déçu. C'était un mec un peu épais, le Bulp. Pas vif, quoi. Fallait lui dire longtemps et alors il retenait un peu. Mais son épaisseur, ça lui donnait aussi de l'inertie. Beaucoup d'inertie.
Il bougea pas. Dans un premier temps. Il resta là. Son regard avait changé. L'autre, le Renaud-là, il l'ignorait superbement, il regardait ses écrans. Mais Bulpfuge, en cet instant précis, décida qu'il devrait se prendre en main. Pour lui et pour ses camas. S'il fallait faire sans le syndicat, on ferait sans !
On allait faire sans.
Il se leva en tenant sa casquette à deux mains, jeta un dernier regard à Renaud, puis mit sa casquette sur la tête et sortit.
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Atelier 109.cvs.403
Concerne agitation
Les ouvriers 805230 et 528326 (resp. Ref// Gérald Barnabé et Bulpfuge Nolino) ont accumulé trop d'heures de retard. Blâmes verbaux inefficaces. Réactions hostiles au management.
Avis : stage de rééducation et réévaluation.

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