Kalebb torturé de devoir faire un choix, de devoir affronter ses démons et ses peurs, avança en sa direction. Les pris tendrement les mains et l'embrassa sur les lèvres, juste un peu.

Il regagna la chambre, paisiblement et un peu torturé en même temps ... PARADOXE ...

Mais Kalebb était déjà parti ...

La porte s'ouvrit une nouvelle fois, quelqu'un entra et Kalebb attendait ici, assit sur le lit, à contempler le dehors par la baie vitrée. Les seules lueurs extérieurs éclairent la pièce, il ne voulait pas de lumière dans un moment aussi morose et torturant ...

Sans même attendre une réponse deux mains se posèrent sur la veste de Kalebb, et déboutonna un à un les boutons (en même temps difficile de déboutonner autre chose que des boutons ... ils auraient pu être un peu plus logique ...), et la lui ôta. Impuissant face au désire se laissa guider.

Petit à petit les vêtements des uns et des autres s'ôtaient à mesure que l'atmosphère "caliente" augmentait. La passion, le feu de l'amour, se délecter de l'autre, s'enivrer d'un plaisir, se laisser aller à l'autre sans avoir le contrôle ne plus réfléchir.

Ils se retrouvèrent bientôt complètement nu sous la couette à échanger des baisés et des caresses.

L'instant d'après on senti un souffle se couper nette, nos deux amants étaient passé dans le feu de l'action.

D'une voix sensuelle.

Les amourettes se poursuivirent encore un moment, jusqu'à ce qu'au milieu de la nuit, le calme revint, ils dormaient à poing fermé.