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> Gouvernement elfique
Pages : 1
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349 
29/04/1017 ETU 14:42 |
Score : 3
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RP Privé pour le moment, si vous voulez y participer, envoyez un Com-x hrp ou rp Une grande salle modestement décorée au centre de laquelle se trouvait un grand cercle de chaises allait accueillir sous peu un événement tout à fait nouveau dans l'histoire elfique. Le renouveau du Conseil secret. Le seigneur Elrond entra, suivit de nombreux autres elfes qui s'assirent tous. Puis, Elrond fit un signe de tête à un elfe plus petit que les tous les autres et qui se leva, une tablette à la main : "Seigneur Elrond, vénérables seigneurs, je tiens à vous informer que le gouvernement de Catharsis est solidement dans les mains de la commandante Olorin et de son allié Flavius." Un autre se leva immédiatement et prit la parole : "Seigneur Elrond, vous avez à l'évidence eu la sagesse d'esprit de la soutenir avant même sa prise de la capitale, cependant, certains murmurent quant à la position de ce Flavius, qui était un despote." Des murmures s'élevèrent autour du cercle prouvant ces craintes. Elrond acquiesça et se levant, prit la parole : "Mes chers amis, membres du Conseil, lorsque la planète s'est trouvée unifiée, nous nous sommes petits à petits agrandis, jusqu'à devenir une puissance commercial qui aurait pu faire peur. C'est là que nous nous sommes faits attaquer, et nous, sans allié, sans ami, et sans armée, n'avons rien pu faire. Aujourd'hui, la menace est passée, notre antique capitale, bien qu'en ruine, a été reconstruite ici." Jaugeant le Conseil, il reprit : "Maintenant, nous redevenons une puissance commerciale, et politique cette fois de premier plan. Nous avions fait des erreurs, nous avions eu la faiblesse de croire que les désirs de paix de notre peuple écarterait les êtres assoiffés de pouvoir. Cette erreur, elle ne sera plus jamais commise. Grema a disparu, nous n'avons à craindre plus qu'un seul ennemi, qui se tient tranquille, et vous savez pourquoi ? Parce que nous sommes alliés de la commandante Olorin et de Falvius justement. Ce Falvius fait peur, c'est vrai, mais nous ne sommes pas fédérés, nous ne sommes pas alliantistes, ni renégats, mais guildéens, et si nous n'avons pas d'alliés aux gros bras, que ferons-nous ? Je vous le dis, si nous ne les avions pas, nous recommencerions notre erreur, et cela, pour le peuple, je n'en veux pas."
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Coa. Secteur 15
Respect diplomatique : 46 
01/05/1017 ETU 19:42 |
Message édité -
Score : 2
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Un hologramme s'afficha dans la grande salle au milieu du cercle de chaises qui avaient accueilli le conseil des elfes. C'était un elfe du Secteur 15, qui profitait des moyens technologies de la Coalition pour transmettre des nouvelles à son Seigneur Elrond. "Seigneurs elfes, que la sagesse d'esprit des elfes vous accompagne, je suis le Seigneur Godolfias, representant du clan 'Gobalkaka' et je viens ici pour annoncer les nouvelles, je ne peux me déplacer en personne d'où la chaise vide que vous aurez remarqué. Jaugeant le Conseil, il reprit : Nous n'avons pas de Flavius, ni d'Olorin dans notre secteur, le seule signe de gouvernance semblerait venir d'une Coalition qui a mit à disposition un outils pour communiquer en dehors du Secteur 15. Le reste étant constitué de peuples individuels. Vous avez su unifiée une planète entière, le peuple des elfes a transmit cette valeur à certaines nations de ce Secteur qui tentent de s'unifiée ensemble. La Vision des elfes a donc été transmise dans ce Secteur et nous trouvons cela honorable pour l'Avenir de ce Secteur. Je n'ai pas l'autorisation de faire une telle demande, mais les elfes du Secteur disposent de meilleurs moyens et de puissance grandissante, en lesquels nous accordons notre confiance. Le Clan 'Gobalkaka' cherche des alliés extérieur et en tant qu'elfe, je propose que tous les seigneurs elfes s'allient à ce regroupement de Nations et de Peuples, car leur esprit d'unité est identique à la notre. Ils possèdent un ennemi semblable à Grema, se nommant Arcodus ... ils pensent résoudre le problème dans un but de collaboration qui est vraiment admirable et respectable. Après avoir reprit son souffle, il continua : Ils ne sont pas des gros bras, mais j'ai espoir personnellement en eux, dans leur vision d'un monde meilleur et dans l'esprit qu'ils mettent à vouloir construire un monde meilleur. Je vous informerais de la situation, vénérables et honorables seigneurs. Je vous le dis, si nous ne les avions pas, notre existence ne serait déjà plus, car ils seront peut être un jour, la solution."
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
02/05/1017 ETU 07:27 |
Score : 1
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Voilà quelques cycles seulement que le Conseil restreint reprenait ses fonctions. En plus des affaires concernant le royaume elfique en pleine expansion, il recevait maintenant des elfes lointains. Heomas qui avait déjà près de 1100 et qui figurait comme l'un des plus vénérables elfes de ce conseil écoutait gravement Godolphias. Il fit une petite moue lorsque ce dernier évoqua leur mort certaine si la coalition n'avait pas été là. Une fois que Godolphais eut finit de parler, c'est Heomas qui se leva et prit la parole devant le conseil : "Mes chers frères, vénérables membres et seigneurs. Je suis le seigneur Heomas de l'antique royaume Athalantar. Vous nous apprenez l'existence d'elfes qui de surcroît sont en dangers de morts. Vous nous dites également que vous vous rassemblés sous la coalition 15, celle-là même qui se trouve virulente dans l'Assemblée galactique. En mon âme et conscience, je demande au conseil d'adresser à l'Assemblée galactique un message officiel afin de demander aux elfes du Secteur 15 de se réunir sous cette bannière le temps que le Secteur soit ouvert, puis de se rallier à notre peuple qui pourra leur accorder la protection nécessaire." Le seigneur Elrond hocha la tête, et laissa un autre elfe prendre la parole : "Je suis Thercias, du royaume de la mer salée. Je ne crains qu'une chose, c'est cette coalition qui pourrait être pire que Grema ou Xénon Oméga. La traitrise, nous savons ce que cela donne, j'y ai perdu un de mes fils. Je ne souhaite cela à aucun autre, pas plus à vous seignuer Godolphias." Le seigneur Elrond se leva alors et s'approcha du centre où se tenait Godolphias : "Seigneur Godolphias, je me réfère à la parole du seigneur Heomas. Assemblez-vous autour de cette fameuse coalition mais faites attention à vous, que nul ne vous surprenne. Quant à moi, je ferai une déclaration publique sitôt la séance levée. Une fois la Secteur ouvert, accepterez-vous de vous allier au royaume elfique des Secteurs ouverts ?"
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Coa. Secteur 15
Respect diplomatique : 46
02/05/1017 ETU 13:42 |
Score : 1
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L'hologramme de l'Elfe fit un signe de respect aux membres du Conseil, ainsi qu'au Seigneur Heomas, Thercias et Elrond. Il fut heureux de savoir que son appel lointain, avait bien réussit et de recevoir ainsi une réponse du conseil, où était présent les plus vénérables elfes. Une fois que les elfes du Conseil eurent finit de parler, c'est Godolphai qui se permit de reprendre la parole s'adressant au conseil : "Vos paroles sont plein de sagesse et de réfléxion, digne du peuple des elfes." Il examina les réactions, puis continua. Si le Secteur vient un jour à s'ouvrir, ce qui semble être le cas sur une période lointaine, mais aussi proche, le peuple des elfes du Secteur 15 ne peut que répondre favorablement à une alliance permettant de suivre la logique d'Union, ceci pour continuer à suivre le modèle que les elfes ont transmit à ce Secteur. Il est à savoir que les elfes ne sont pas le seul peuple de ce Secteur, qu'il est constitué de nombreux peuples et Nations faisant partit ou non de cette Coalition et collaborant pour un monde meilleur, car nos efforts d'aujourd'hui serviront pour le Lendemain. Les elfes ne s'opposeront pas à retourner au près des leurs, une fois le Secteur ouvert. Mais toutefois, ne serait-il pas sage, vénérables elfes, qu'une partie d'entre nous reste parmi eux pour permettre de garantir une paix et une union durable, montrant ainsi l'amour, avant notre intérêt ? Car c'est l'intérêt et l’égoïsme premier, qui fait que certaines Nations désirent écraser les autres dans cette Galaxie et L'Univers. Nous ignorons, si ils peuvent nous trahir ou si ils nous manipulent, mais nous savons que l'Espoir est grand. Car si nous perdons espoir en tous à cause de certains, alors l'Espoir n'est plus ... et ce qui constitue être un elfe n'est plus, car l'Espoir constitue notre Sagesse. L'Elfe regarda ses frères et conclu. Honorables elfes du Conseil, ne les juger pas pour les actes malfaisant de certains, notre sagesse doit nous permettre de rester dans un esprit d'analyse, nous permettant de savoir qui est digne ou non de recevoir notre Sagesse. Car les apparences peuvent être trompeuses, le pire ennemi peut s'avérer être un homme doux. Tandis que la douce brebis, un être horrible et méchant. Il n'est pas encore temps de nous prononcer sur cela, la Sagesse de notre peuple est plus grande que nos doutes et de notre méfiance, elle doit continuer d'être notre chemin. L'Elfe prononça une phrase dans une langue elfe. ให้ปัญญาให้คำแนะนำเรา. ఈ కాంతి ఈ ప్రపంచంలో విశదపరుస్తుంది ఏమి. Почетные эльфы этого Совета.
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
04/05/1017 ETU 20:06 |
Score : 2
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Elrond acquiesça. Lazgalèn qui venait d'arriver avant la prise de parole de Godolphias. Il demanda la parole par un signe de tête à Elrond qui la lui accorda : "Messeigneurs, vénérables elfes, amis de toujours. Seigneur Godolphias, je vous réponds de suite à mon idée ne vous inquiétez pas. Il nous a été demandé de céder notre planète proche de la capitale. Avec Elrond, nous avons promis une réponse dans un cycle." Un murmure insistant s'éleva de l'assistance et ce fut Heomas qui prit la parole : "Quel est son but ? Son but final je veux dire ? Nous ne pouvons laisser l'héritage de notre peuple ainsi sans raison. Il va falloir qu'elle nous donne d'excellentes raisons." Lazgalèn fit alors passer les Com-x imprimés qu'ils lurent tous, mais Heomas dit : "Ce n'est pas suffisant, elle peut le faire sans notre planète" L'assemblée hocha la tête unanimement. Elrond acquiesça également. Alors Lazgalèn reprit : "Seigneur Godolphias, nous ne souhaitons assujettir personne, ni elfes, ni aucune autre civilisation, ce que le seigneur Heomas voulait dire, c'est qu'une fois le Secteur ouvert, nous serions plus à mêmes d'intercéder pour vous, ou même d'agir pour vous. Liez-vous avec cette coalition sans renier ce que vous êtes. Et moi, de l'Assemblée, j’œuvrerai en votre sens. Revenez nous voir lorsque vous le désirez." Et s'excusant, il quitta le cercle. Elrond se tourna vers Godolphias et lui dit : "Seigneur Godolphias, que pensez-vous de la politique actuelle au niveau galactique ? Vous avez une position totalement neutre donc vous avez sûrement un avis intéressant à nous proposer."
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Coa. Secteur 15
Respect diplomatique : 46
05/05/1017 ETU 02:22 |
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Score : 2
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Godolphai ecouta la réponse du conseil, il repondit alors de la meilleure manière dont il le pouvait pour montrer la sagesse et l'intelligence de son clan, car il devait d'être l'exemple qui permettrait de montrerait qu'il était encore un elfe. "La réponse pourra étonner le Conseil, elle n'apportera ni réponse, ni solution, mais un fait. Il existe dans l'Univers des êtres qui ne faut pas se mettre à dos et pour cela, il ne faut ni donner l'impression d'être l'ennemi et ni l'allié, mais simplement de montrer l'utilité qu'on peut être. Ainsi les elfes du 15 pensent objectivement qu'il n'y a ni traîtrise, ni alliance et ni oppostion, mais simplement une nécessité à suivre le meilleur chemin pour garantir la survie de nos clans et de notre espèce. Ainsi si nous devons disparaître un jour, cela démontrera de notre refus de nous adapter dans une logique pure, faisans passer nos vies sur des pensées matérialistes, de pouvoirs ou économiques, qui devraient être bien inférieur, à la notion de sagesse et de vie. Ainsi, beaucoup se trompe sur la situation galactique, car bien souvent faisant passer leur intérêt propre. Nous avons les mêmes problème dans notre Secteur, la coalition qui nous permet de communiquer, est la proie de prédateurs qui pensent secrètement chacun renverser l'autre. Ainsi ceci provoquera surement leur perte, car malgrès leur volonté de nuire à cette coalition, leurs motivations personnels permet une désorganisation qui petit à petit font qu'ils seront les propres reponsables de la chute de leur territoires respectives. Ainsi nous ne sommes ni contre et ni pour cette coalition, mais leur vision est plus constructive et ainsi la sagesse fait que notre avenir a plus d'intérêt avec eux, car permettra sûrement lors de l'Ouverture du secteur, notre survie au dela de cette Galaxie comme les rescapés ont su le faire. Là où elle ne serait pas garantie avec des peuples individualistes. Et visiblement cet esprit d'Unité permet aujourd'hui à la Commandante Olohrin d'être là où elle est. Car celle-ci a compris son intérêt d'être unit aux bonnes personnes, là où les natifs de ce secteur par leur vision individualistes se plaignent, mais démontre une division qui ne permettrait pas une bonne gouvernance. La où cette Commandante comprenant le principe de l'Union permet une Gouvernance interessante et durable. Nous esperons juste que ses deux Unions se rencontreront pour un jour mener à un résultat intéressant permettant la fusion de ses esprits qui se ressemblent d'une certaine manière et compatible avec une adaptation via des compromis qui serait profitable surement entre la Dirigeante Galactique et cette Assemblée Sectorielle. Ainsi la situation galactique reste simple, elle est comme dans la situation de notre secteur, elle demande une simple adaption. Il n'y a ni de gentils et ni de méchants, simplement des choix réfléchit à faire, selon la situation qui se présente. " Il regarda le Conseil. "Les Elfes de mon clan n'ont pas oubliés ce qu'ils sont. Toutefois n'avez vous pas oubliés, vénerables elfes du Conseil, ce que nous sommes, ce que nous devons être et quel est la notion de notre existence. Ne laissez pas le Monde exterieur corrompre vos esprits et vos coeurs, rappellez vous ce que nous sommes et notre sagesse supérieure a bien des peuples, montrant ainsi notre intelligence et notre utilité d'être. Permettant notre Adaptation via notre esprit d'Union légendaire."
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
08/05/1017 ETU 09:39 |
Score : 1
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Elrond se leva et lui dit : "Merci Seigneur Godolphias, vos interventions furent précieuses. Au nom du Conseil restreint, nous nous engageons à vous soutenir politiquement et dès votre ouverture, nous enverrons une commission diplomatique vous rencontrer. Vous pouvez nous laisser je vous prie." Une fois l'hologramme éteint, le seigneur Elrond se tourna vers un autre elfe et celui-ci se leva afin de prendre la parole : "Vénérables seigneurs, au nom du Seigneur Elrond, j'ai enquêté sur les troubles qui existent au sein de notre royaume encore en pleine expansion. Il semblerait qu'un groupe organisé soit à l'origine des attaques sur les casernes et les bâtiments de défenses planétaires. J'ai donc créé le groupe espionnage qui s'est infiltré un soir parmi eux, il a réussi à les joindre, mais il s'est enfui au moment où il s'est fait découvert." Un temps silence permit aux autres membres du Conseil restreint d'assimiler l'information, après quoi il reprit : "Mes chers amis, il semblerait que ce soit des elfes refusant notre gouvernement." Les elfes montrèrent des yeux étonnés à l'exception de deux d'entre eux, Elrond, et Veriel qui se regardèrent, échangeant du regard des informations. Elrond se leva et dit : "Vénérables amis, membres du Conseil, nous allons clore cette séance. Avec le vénérable Veriel, j'irai chercher des informations complémentaires, et dès que nous les aurons trouvé, nous reviendrons auprès de vous." Après quoi, il frappa du bâton le sol, et tous se levèrent. Elrond se dirigea vers Fertuis, et lui dit : "Dites-moi tout, n'omettez rien de ce que vous savez" Et ils marchèrent ensemble vers la sortie, Veriel les suivant de près et ne perdant pas un mot.
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
09/05/1017 ETU 07:23 |
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Score : 1
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Voilà des dizaines de cycles que les événements se bousculaient. De la plus petite condition dans laquelle ils avaient été jetés, ils s’étaient relevés, et avaient maintenant une position assurée. Aujourd’hui, certains jalousaient la position de ce peuple un peu trop pacifiste. "Quel chemin !" se disait le seigneur Elrond. Sorti du Conseil restreint où il avait siégé toute la matinée, Elrond marchait dans les jardins de la planète GQG sur laquelle il passait une partie de son temps, l’autre partie étant à l’Assemblée majoritairement. Les paroles du seigneur Godolphias résonnaient encore en lui alors qu’il marchait, ainsi que celles de son père : "Un roi sage écoute ses conseillers mais décide avec son cœur" Il laissa là Veriel et laissa ses pas le mener à l’antique bibliothèque qui avait été déplacée de l’antique capitale Fondcombe et déplacée dans le Secteur II après la première tentative de Xénon Oméga sur la planète, avant de revenir au GQG il y a de cela quelques dizaines de cycles. S’avançant dans les rayons, il atteignit le mur opposé. Il se retourna, ne vit personne, et, tendant la main entre deux livres disposés sur une étagère, appuya sur un levier secret. Aussitôt, l’étagère s’avança et Elrond se glissa à l’intérieur, l’étagère se repositionnant d’elle-même. Une fois à l’intérieur, il alluma la lampe centrale et s’installa sur l’un des trois sièges disposés là après avoir pris un ouvrage volumineux et ancien, plein de poussière. Sur le côté du livre se trouvait un cadenas relié à tout un dispositif inflammable. Si la clé était mal utilisée, ou si le dispositif était forcé, le livre brûlerait automatiquement. Elrond sortit de sa veste une clé. De belle facture elfique, elle datait des anciens elfes. Il l’introduisit dans le cadenas et tourna à droite, à gauche, jusqu’à entendre un ‘clic’. Il enleva le dispositif et ouvrit le livre. Ce livre était totalement inconnu pour la quasi-totalité des elfes et totalement chez les autres. Tout au plus, il existait une vieille légende à son sujet : lorsque les premiers elfes ont rencontré ont rencontré les autres espèces vivantes, ils n’avaient aucun pouvoir et ne dépendaient que de la nature, une race pure. Mais la mort vint les frapper, les hommes, jaloux de leurs richesses produites par la nature, les attaquèrent afin de se les procurer. Les elfes ne purent se défendre, les forêts furent détruites par le fer et le feu. Quelques-uns, une trentaine, réussirent à gagner le haut temple, d’où ils pouvaient communiquer avec les étoiles, leur dieu. Devant leurs détresses, les étoiles leur donnèrent la force, la sagesse ainsi que le pouvoir de commander à la nature et aux animaux. Les elfes s’en servirent pour déchainer contre les hommes leur colère et leur vengeance. Parmi eux, Aérion, le fondateur de la famille d’Elrond. Les hommes, vaincus, implorèrent le pardon des elfes. Aérion, qui s’était imposé par sa prestance et son courage et avait été nommé chef, le leur accorda, mais une dizaine d’entre eux, de moins de 100 pour la plupart, jeunes et sans sagesses, réprouvèrent cela, et quittèrent Aérion, s’installant plus loin, et jurant de se venger des hommes. Aérion remonta au haut temple afin de remercier les étoiles qui lui remirent un livre, ce livre, avec pour consigne que seul sa descendance pourrait le lire auquel cas, les étoiles ne les protégeraient plus. Aujourd’hui, il se murmure que ce livre contient des incantations magiques provoquant des cataclysmes auxquels nul ne survivrait. Elrond, lui, connaissait l’histoire, et connaissait ce livre, ses secrets, il l’avait lu, n’en comprenait pas tous les passages, mais ses ancêtres avant lui en avaient décrypté quelques-uns, et lui-même aussi. Lui savait que le jour où serait décrypté ce livre en entier, le détenteur du secret des étoiles aurait un pouvoir immensément plus grand que le plus grand des êtres vivants dans toutes les galaxies. Il l’ouvrit vers les deux tiers et commença sa lecture cherchant des réponses à ses questions, car le livre donnait des informations passées, présentes et quelquefois futures si on lisait bien.
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
17/05/1017 ETU 15:56 |
Score : 1
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Le Conseil Restreint se réunissait de nouveau, outre les elfes déjà présent, on pouvait noter l'absence remarquée de Lazgalèn, le représentant auprès de l'Assemblée, en raison des recherches du dénommé Ekko. Elrond ouvrit le conseil et donna de suite le sujet de la réunion. "Vénérables seigneurs, amis de toujours, nous avons plusieurs sujets à traiter aujourd'hui. Lazgalèn est en train de négocier avec quelques commandants pour l'envoi d'une mission de recherche du commandant Ekko suite à la supplication de la commandant Olorin. Je voudrais que le Conseil prenne la décision ou non d'accorder des crédits financiers à cette entreprise. Ensuite, nous aborderons le sujet de la coalition des Exilés." Ce fut Heomas qui, le premier, fidèle à son habitude, répondit à ce sujet : "La guilde elfique n'est actuellement pas en guerre, et dispose d'un trésor qui commence à avoir de l'importance dans la galaxie. Tout dépens après de la somme investie. 100 Ma ? 200 Ma ? Après, je donne mon accord à l'envoi d'un groupe de recherche." Elrond hocha la tête, et un autre elfe prit la parole, avec une voix plus aigüe, et tremblante : "Euh...en fait, voilà, je suis Verias, seigneur des îles brumeuses. Notre peuple soutient les recherches de la commandante Olorin, et propose d'envoyer nos croiseurs amiraux à cet effet." En effet, les elfes des îles brumeuses étaient réputés pour leurs vaisseaux dont ils créèrent les premiers prototypes pour la nation elfique. Un troisième se leva et dit : "J'accepte que nos elfes partent à cette recherche, cependant, je refuse d'accorder un seul leems à aucun autre commandant s'il ne se présente pas ici devant nous afin de la demander. Tout elfe un tant soit peu doué de cervelle ferait comme moi." Elrond coupa devant les assentiments de la majorité du Conseil, et dit : "Nous informerons Olorin de notre décision. Des fonds seront débloqués pour l'envoi d'une commissio propre, et des fonds seront mis dans une caisse fermée au cas où d'autres commandants nous rejoindraient et feraient une demande de fonds spécifiquement. Maintenant, voyons le problème des Exilés. Il semblerait que Rhaegar soit extrêmement intelligent, soit totalement fêlé, mais je dois vous avouer que plusieurs indices concordent sur le fait que ce serait les reste de la civilisation des elfes noirs." Tout à coup, les membres du Conseil prirent tous ensemble la parole dans un brouhaha assourdissant, tant cette annonce les surprenaient. Elrond les calma et leur dit : "Gardez cela pour vous, car ce n'est pas certain. Il faut tout d'abord nous en assurer, mais si c'est effectivement le cas, alors..." Ce fut Thercias qui reprit : "Et si on faisait appel aux grands prêtres du Haut Temple" Un silence de mort s'abattit sur le Conseil, mais Thercias interrogea du regard Elrond qui lui répondit : "C'est la chose à faire en cas de menace des elfes noirs, mais nous n'en sommes pas sûrs tout d'abord, et puis, ils ne sont pas menaçants, et enfin, je crains que ces hauts-prêtres n'aient plus la même vigueur magique que dans le passé, et qu'ils ne soient d'aucun secours. Le seul qui pourrait nous aider, ou plutôt la seule serait la grande tante de Lazgalèn, qui vit dans le bois sacré. Thercias et Verias, vous allez vous y rendre afin de la consulter sur Rhaegar et Aemon des Exilés. Ramenez-nous des réponses." Et la séance fut ajournée tandis que ces deux elfes allèrent se préparer au voyage.
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Cdt. Elrond
Respect diplomatique : 349
19/05/1017 ETU 12:21 |
Score : 1
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Thercias et Vérias étaient partis dès la fin du Conseil restreint. Ils s'étaient rendus au bois sacré de Fondcombe I et s'étaient enfoncés dans la profondeur des bois. A leur arrivée sur la planète, ils avaient vus la dévastation qui avait été faite lors de la guerre dite du traître. La planète, bien que la végétation reprenait le terrain, montrait encore les vestiges des constructions détruites par la guerre, on y voyait encore des squelettes qui avaient dû faire la joie des rapaces en tout genre. Après deux jours de marche dans le bois sacré, ils arrivèrent dans une petite clairière au centre de laquelle se tenait une petite maison, plus digne d'une chaumière au vu de son état. Ils s'avancèrent et s'approchèrent de la porte quand ils entendirent : "Qui est là ?" Se retournant, ils virent à l'orée de la clairière, côté Est, une femme elfe d'une grande et rare beauté. Habillée selon les anciennes modes des hauts elfes, sa robe était d'un rose pale tandis que sa coiffure était surmontée d'une broche elfique à 3 dents, argentée. Elle portait du bois et au niveau de son bras, un panier à champignon. Thercias et Vérias se regardèrent, interloqués, mais finalement, Thercias prit la parole : "Es-tu Niska, la grande tante de Lazgalèn ?" La femme les regarda, puis s'avança. Elle entra dans la chaumière, et les deux elfes la suivirent, sans un mot. Ils furent extrêmement surpris, car l'intérieur était aussi grand qu'un palais princier, et tout aussi luxueux. Voyant leurs mines ahuries, la femme explosa de rire et dit : "Alors jeunes elfes, l'elfe solitaire vous en bouche un coin hein ?" Elle les fit asseoir autour d'une table mêlant l'acajou, et le noisetier. Elle leur apporta une boisson et s'assit en face d'eux. Les regardant, elle leur dit : "Je sais pourquoi vous êtes là. Vous venez pour la coalition n'est-ce pas ?" Surpris, ils allaient demander par quel maléfice elle était au courant mais elle les coupa. "L'un d'eux est venu ici avant hier pour me poser des questions, deux questions en trois jours, c'est un rythme auquel je ne m'habitue plus du tout. Je ne sais rien de ce qu'ils sont, mais s'ils sont ce que vous prétendez, à savoir des elfes noirs...quelles preuves avez-vous ?" Thercias et Vérias se regardèrent, et le premier répondit : "Niska, notre chef, Elrond, pense qu'ils le sont, cela répond à ses conditions, il a dit l'avoir lu, mais Thercias que voilà connaît la bibliothèque de fond en comble, rien ne le laisse supposer cela. Tous pourtant, nous percevons le danger." Niska sourit et répondit : "Oh si, il existe un livre qui en parle, et si Elrond le pense, alors, vous faites bien d'être venus me voir. Attendez-moi dehors, nous allons le rejoindre afin d'en savoir plus." Ils sortirent. Quelques minutes plus tard, elle sortit également. Elle était habillée en chasseuse, et traîna deux gros sacs, qu'elle donna à Thercias et Vérias en disant : "Allez, soyez galant, et allons-y, ne trainons pas."
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