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Sur une planète lointaine ... très lointaine.

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Cdte. Arwen
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28/07/1017 ETU 15:10
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Hrp : Ne pas poster, sauf si je vous y autorise.
Ils arriverent lui et ses hommes sur la planète surveillée par les puissants, ils étaient son nouveau voisinage, ses nouveaux gardiens, il regarda les lieux. Cela été moins terrible qu'on lui avait indiqué, la planete en apparence morte pour éloigner les regards, en entrant dans le bâtiment l'impression est toute autre, l'intérieur était à l'extrême de l'extérieur. Ce qui semblait être une cage de Zoo, était en realité comme une boite de Pandore, l'intérieur était magnifique, quelqu'un d'intelligent vivait ici, il y avait pire comme prison, beaucoup pire. Il ne comprenait pas cela, lui et les siens avaient traiter les autres comme des larves, est il réalisé qu'on lui offrait une seconde chance, une protection et un li de vie convenable. Les Rescapés etzien s'ils mauvais ? Ou jouer t'il de la domination sur les autres par une simple nécessité pour vivre ? Il commençait à comprendre.
On lui avait me accordé de ramener ses affaires, ainsi il pouvait aménager les lieux selon sa convenance, il ne se retrouvait pas sans rien. Bien d'autres auraient connu pire, il se demandait si on aurait agit, si les autres étaient encore vivants, ceux pensant à dominer, à détruire ou à tuer tous ce qui était accessible. La vie était étrange des fois, il y a quelques cycles, il avait pensé a se suicider pour fuire la vie minable avec les siens, puis un jour, une occasion se presenta, il la suivit et cela changea toute son existence. Une pierre avait tout changé, on néglige des fois les petites choses et ce qui peut en découlé, comme un siple battement d'aile d'un petit papillon, si anodin, mais si important, comme l'abeille passant de fleur en fleur. Car la fleur peut devenir plante, devenir arbre, et produire l'oxygène nécessaire à la vie, et la vie existant grâce à elle, peut changer le destin d'univers ... Une seule vie peut tout changer, une seule vie peut etre utile à l'avenir ce que ne comprenai pas les Leaders avec leur Purge qui n'aurait mener à rien, si ce n'est prendre des vies et détruire des futurs, jouant aux Dieux.
Une chemise blanche approcha :
Nous pouvons donner vote position aux anciens alliés du Torium, Monsieur ... Ils viendront vous libérer de cette prison.
Il le regarda :
Je suis plus libre que je ne l'ai jamais été, loin de tous cela ... Loin des magouilles, des mensonges et des manipulations, loin de la mort et la destruction qu'elles provoquent. Pourquoi veut tu m'enlever cela ? Toi meme , tu fus l'esclave de quelqu'un et de quelque chose, je vous libére de votre servitude, je resterais ici, loin des regards, loin de tout ... Pour le reconstruire et réapprendre à vivre. Ici pas de Torium, pas de Purge, pas de Leaders, pas de chemises ... Juste moi et sans doute un autre. Pourquoi irais je me remettre la galaxie à dos, les soucis et les problèmes, quand je peux vivre ici dans la paix et sous la sécurité de mes liberateurs ? Alors je t'ordonne de partir loin, de ne jamais revenir, vous étés libre.
La chemise blanche restait bettement là, il ne savait quoi faire, les fanatiques n'avaient jamais connu la liberté, ils avaient besoin de quelqu'un pour les dominés, ils étaient des serviteurs, ils n'avaient connu que cela :
Mais Monsieur ...
Charmeur vu un couteau sur une table au loin et egorgea froidement son ancien serviteur, il avait foutu du sang partout, comme invité, il pouvait sûrement faire meilleure impression à son hôte, mais malgrés qu'il se soignait des accès de colères restaient possible, il n'était pas fou, mais avait toute de même des faiblesses, comme toute personne normale, non ? :
Que m'a tu obliger de faire ... Partez ou vous subirez le même sort, vous pouvez vivre libre ou mourrir esclave, à vous de choisir. Le monde n'est pas gris, alors vous ne pourrez obtenir les deux, un seul choix est possible.
Ils obéirent difficilement, mais le vaisseau commenca à décoller avec eux à bord, charmeur sortit un boitier et appuya sur un bouton, le vaisseau explosa en milles morceaux. Certains avaient survécu, Charmeur prit la patience de les achever les un après les autres, pour leur eviter la souffrance d'une vie sans but, il leur avait la servitude, ils devaient éviter de les voir souffrir toutes leurs vies. Il n'était pas un monstre, il se devait donc d'agir autrement en les tuant, il avait sauvé de nombreuses vies.
Ainsi, il les tua tous jusqu'au dernier... Les derniers fanatiques vivant et ayant appartenu au Torium, il regarda les corps au sol dehors, puis ferma la porte et la verrouilla. Meme si cela était un massacre, il l'avait fait par bonté et amour ...
Cdte. Arwen
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29/07/1017 ETU 10:32
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Il se réveilla le lendemain, mais hier juste après son massacre, il reçu un message d'une République souhaitant le faire évader et lui demandant son point de vue sur la Démocratie, il arbora que cela était une belle idée, un bon mélange entre un régime dictaturale dirigé par un seul homme et une société se voulant d'une maniére illusoire être sociale, les deux n'avaient pas l'air d'accord sur la reponse, ni sur la tentative d'une evasion, Charmeur ne voulait pas s'évader, il ne voulait pas faire de mal à sa fille Jordis, elle avait déjà assez souffert comme cela, d'ailleurs il se demandait comment sa fille avait pu franchir le barrage galactique divin, peu pouvait le faire, et elle n'en avait pas le pouvoir. Il commenca à se préparer tranquillou un petit café, regardant les chemises blanches toute mouru au sol, dehors, les corps commençaient dejà à pourri, il ne remarqua pas toute de suite la présence d'un homme qui portait la tenue d'un Paladin de haut rang et avait la tenue d'un Salusien.
Penses tu qu'il est bien de les laisser là ? Desires-tu rester sur le chemin du Mal qui t'a amené ici et conduit à la mort les tiens ? Fait quelque chose de Bien, et peut étre que Dieu pourra entendre tes prieres et pourra tu te repprocher de lui, ton âme comme la mienne peut être sauvée.
Il se tourna et le vit, sa tasse brûlante tomba sur ses pieds, il ne ressentit même pas la douleur. Le Salusien lui apporta une pelle, il montra les corps et puis un cimetière au loin, il ne lui dit pas un mot et regarda une photo d'une femme en versant quelques larmes, puis remit le cadre où il l'avait prit. Il le regarda avec un air assez neutre qui pouvait se rapprocher à de la froideur sans l'être :
J'ai déçu ma fille, nous sommes tous les deux des clones, mais à la difference ma fille est morte, tandis que la tienne vit, alors montre que tu es un homme bien, tu ne sais jamais, ce qui peut arrivé. Je n'ai pu lui dire aurevoir, car ma trahison et ma tentative de le remplacer, on conduit à cela. Alors si tu as un peu de bonté, tu sauras comment agir avec cette pelle.
Lui, Charmeur, qui avait combattu le Bien pour le Mal, se retrouvait la, face à un être biomécanique, un sorte de cyborg, une abomination pour les Salusiens, tandis que lui l'avait été pour les Scorviens. Celui qu'il considérait comme son alter-ego, était là, juste devant lui, du moins sa copie. Ils avaient tous les deux étaient des échecs du clonage, tous les deux des ennemis et là ... Ils étaient jamais aussi proche. Il prit la pelle et le regarda, devait-il le purger ? Non, il ne pouvait pas, il ne devait pas.
Je vois ... Je vois ...
Il se dirigea vers la porte, la deverouilla et tenta de trainer un corps seul. Le Salusien le voyant galérer, alla l'aider, ils les portérent jusqu'au cimetière, ils les mis en terre, une fois finit, ils se regarderent mutuellement et ils se mirent à sourire, puis se dirigea vers le lieu de vie. Ils étaient tous les deux des déchets d'experiences ratés de Kordo, mais ils vivaient, ils avaient été epargner, ici, ils etaient loin de tous, libre de se reconstruire. Ils auraient pu trouvé pire comme hôte et invité, mais ils ne pouvaient pas trouver mieux. Après avoir été ennemis, aller-t-il suivre le chemin de l'amitié ?
Cdte. Arwen
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30/07/1017 ETU 13:29
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Charmeur alluma la télévision pour regarder les informations retransmises depuis l'Assemblée Galactique, la chaîne passé en boucle la plupart du temps des informations périmés, aucune information importante n'étaient diffuser ni sur cette chaîne, ni ailleurs. Ils s'attendaient à y voir une propagande de n'importe quel type, celle de natifs, de rescapés ou même d'autres, mais rien nada, nada de nada. Lui qui souhaitait s'éloigner de tout, était servi, il était mal à l'aise à revoir certaines archives où il se voyait lui, enfin d'autres version de lui qui prenait la parole pour parler de purge, de mort, de destruction ... Comment avait-il par lâcheté laissé faire cela, il se sentait lui-même responsable des actes des siens, le fait de ne pas avoir pour empêcher les siens, était en quelque sorte une complicité qu'il l'avait mené ici à être enfermé pour réfléchir à cela :
" Quand j'y réfléchis, quel modèle monstrueux, j'étais pour ma fille ... "
Le Salusien était entrain de préparer à manger avec ce qui était disponible dans les reserves, la majorité provenait des cultures présent dans le batiment, essentiellement des légumes et des fruits, ils étaient rare de pouvoir disposer de viande et de poisson, ni de viandes d'elfes, il pouvait arrivé qu'ils se fassent livrer, mais les consignes de sécurités, étaient-elles qui ne fallait pas se tromper dans la commande, le temps nécessaire pour verifier les paquets entrants et par les diffèrentes procedures administratives, faisait que le colis arrivait souvent tard, en piteux état ou incomplet, certains responsable de l'acheminement des colis se servant evidemment, cat ils savaient qu'ils ne se plaindraient surement pas de la situation et qu'ils ne prendraient pas le risque de signaler la chose pour eviter de ne plus recevoir en bloquant la procédure de livraison :
" Aujourd'hui ça sera Douceur Printanière, sur son lit de Nuages Hivernales, j'espère que cela sera à votre goût, je n'ai pas été habituer à faire à manger pour deux, depuis si longtemps. En ce qui concerne ta fille, si tu changes en Bien, alors tu pourras peut-être, un jour la revoir et qu'elle te pardonnera pour tout ce que tu as fait ou non fait. "
Il le regarda et vint se mettre à table, y avait-il franchement des gens qui mangeaient assit dans un canapé ou couché dans un lit ? Il y avait bien entendu des rumeurs à ce sujet, mais il n'avait jamais vu cela sur les peuples que les siens avaient dominés et souillés. Ce n'était pas si Bon, que le restaurant où il avait mangé avec Harley, mais ce n'était pas si mauvais que cela, c'était assez proche même. Il termina rapidement son assiette et puis montra son assiette :
" Puis-je ? "
Le Salusien cacha son plaisir à voir celui-ci appréciait son repas, mais sourit légèrement et délicatement :
" Certainement ... "
Il était là en train de manger, puis il repensa à tous ceux qui ne pourraient plus déguster un délicieux repas à cause des siens et de lui, il posa la fourchette, il regarda le Salusien avec un air triste, Charmeur commencé à faire une dépression :
" Désolé, je ne me sens pas très bien, je m'en vais à ma chambre. "
Il se leva, rejoignit sa chambre et s'allongea sur son lit confortable, il se demandait s'il était normal qu'il soit traité aussi bien, beaucoup d'autres avaient connu la prison salusienne ou la mort, pour beaucoup moins pire, pourquoi lui l'avait-on épargné de cela ? Puis il regardait le mur et ne bougea plus, les heures passèrent. Le Salusien, s'inquiétant frappa à sa porte, aucune réponse, il enfonça donc celle-ci, car elle était fermée. Il vit Charmeur qui regardait le mur :
" Vous allez bien ? "
Charmeur ne répondait pas, il répéta plusieurs fois la même phrase, il tenta de le secouer ou de le faire réagir, mais Charmeur regardait le mur, alors le Salusien prit son X-Comeur et contacta Harley en se rappelant que Charmeur lui avait indiqué qu'elle était une sorte de psy et que si un truc n'allait pas, qu'il fallait absolument la contacter :
"Ici, Sulifav, Charmeur ne bouge plus, que doit, je faire ? Que dois-je faire ? "
Cdte. Arwen
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31/07/1017 ETU 21:22
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Charmeur était revenu accompagné de l'équipe de sécurité, on lui avait mit une camisole ignorant son etat de santé, il était entrait dans la salle de consultation de Harley, y etait resté des heures, puis en etait sortit, alors que des patients commencaient à raler qu'il prenait trop de temps pour son rendez vous, et qu'il fallait arreter de se fouttre du monde.
Il n'avait pas vu passé le temps, mais un accord entre lui et moi avait été passé, je le laissé libre de me déssobeir et lui continuer d'augmenter l'audimat, c'était gagnant- gagnant. Harley pensait qu'il parlait à une invention de son esprit et avait meme refusé de lui filer ses médicaments, pensant qu'ils les prenaient pour ne pas m'entendre, mais cela été surtout pour controler sa folie, le probleme de la voix n'était pas réglé, car j'ai toujours là et sa folie etait toujours presente, ainsi il sortit non guerrit, mais toute de meme heureux, les joies de la médecine moderne spychiatrique : un fou rentre dans un asile ou chez un psy, il en ressort pareil ou pire. Enfin c'est moins pire que chez nous, le domaine de la santée a été racheter par Le Consortium.
Charmeur fut déposait sur la planete, le vaisseau décolla, on avait oublier de lui retirer la camisole. Charmeur se dirigea vers la porte et commenca à donner des coups de tete pour qu'on puisse comprendre qu'il était là, Sulifav était entrain de faire une sieste et se mit à reagir que quelques minutes apres. Sulifav ouvra la porte et vu que Charmeur avait du sang qui coulait de sa tete, transformant la camisole blanche en rouge. Et comme un idiot, il lui posa la question:
Charmeur, vous allez bien ?
Charmeur lui fit un sourire :
Je vais beaucoup mieux, tellement mieux ... je suis tellement bien.
Sulifav le regarda étrangement :
Vous etes sur, vous pissez le sang et vous avez une camisole autour de vous, vous trouvez cela normal ?
Charmeur lui repondu simplement la chose suivant :
Oui très bien, merci de vous etre inquieter, mais il ne fallait pas, je m'en vais me reposer dans ma chambre, celle où vous avez defoncer la porte. Enfin ce n'est pas grave, au moins il y sera plus simple d'y entrer. Voila voila ...
Puis Charmeur fit un grimace à Sulifav et se dirigea vers sa chambre, Sulifav restait là comme un idiot, on ne comprenant pas vraiment ce qui venait de se passer. Il comprit rapidement qu'il vivait en réalité avec un fou ... certes pas méchant, mais un fou quand meme. Il se devait se douter de la chose quand meme en le voyant revenir avec une camisole. Mise à part si cela était une nouvelle tendance, il n'était pas normal d'etre vetu de la sorte, il fallait qu'il fasse attention à cela.

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