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> La Source de Lune
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Cdt. Bugal an Noz
Respect diplomatique : 259 
03/10/307 ETU 16:11 
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Message édité -
Score : 11
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La brise du vent caressait les arbres centenaires, faisant chanter les feuilles et danser les branches. Les pierres immortelles, muettes, taillées par les Anciens s'élevaient vers le ciel azur. Les oiseaux chantaient leur douce mélodie en volant d'arbres en arbres. Des créatures minuscules peuplaient ce jardin, les fées butinaient les fleurs remplies de nectar, les rares petits Korrils, habitants des landes et des bosquets se chamaillaient dans des jeux improvisés. Les fleurs s'ouvraient avec la rosée du matin et se refermaient avec l'aube et ses couleurs d'espoir... La nuit, des petites lanternes s'allumaient, les Feu Follets dansaient entre les branches basses des arbres majestueux. La pleine lune éclairait cet étrange paradis. Les Menirs et les Dolmens dormaient paisiblement, laissant passer le temps. Au milieu de toute cette féerie, coulait paisiblement une source au milieu d'une clairière, entourée de Menirs gravés de cercles concentriques. Elle s'appelait la Source de Lune. L'eau claire dansante qui s'y écoulait réfléchissait la Lune. Une mélodie s'éleva alors du bois environnant. Ambiance musicale conseillée : http://www.radioblogclub.fr/open/105118/bretagne/%5BKouerien%5D%20Kerreg%20beg%20troezh _____________________ Ar brezhoneg hag ar bugale Setu da heul istor ma faotr bihan Hag en deus bet c´hoant bezañ breizhad. Dre forzh deskiñ ar parlant : Ur yezh vrav komzet war ar maezoù Hiziv an deiz, ar vro a zo pemp departamant anezhañ, Mes kollet eo Naoned, ha chom ar ra re bell eus ar vro. Iliz-veur Roazhon a zo o sevel e gloc´hdi gotek, Met amzer c´hlav a zo, karget an oabl a goumoul trist. Ha setu kouezhet ar grouadeg war pennoù an dud, Gwisket mod-kozh, binioù o c´houelañ ganto. Tud fier o tañsal, war un ton laouen Ur ganenn lann a velkoni, ha kontant ar grampouezh war un dro ! Le breton et l'enfant C'est l'histoire de mon adorable petit garçon, Qui, dans son immense amour de la Bretagne, En apprenant l´idiome, voulut devenir breton, Le parler celtique comme fidèle compagne. Aujourd´hui, s´étendant sur cinq départements Nantes s´est perdue entre le Finistère et le Morbihan, Rennes, de sa cathédrale, lance sa flèche gothique, Sur un temps pluvieux, lourd de nuages mélancoliques. La répression est tombée, telle une foudre, sur les bérets, Dans leurs costumes traditionnels, le biniou ronchonne, Des pas de danse, rythmant la fierté, sur un air de gaîté, Un chant de nostalgie, enchantant les galettes bretonnes. Là bas, au loin, sur la mer agitée, au courant des marées, Les ombres errantes se mêlent au concert de l´écume, Nombre de marins ont été emportés dans l´immensité, Règne dans le coeur des pêcheurs, un relent d´amertume. Là haut, sur les Monts d'Arrée, la roche s´est érodée, Le temps assassin s´est figé pour des jours meilleurs, Autonomie et liberté, le brezhoneg s´est réveillé, Ecoute mauvaise langue, entends sa clameur ! Le chant s'évanouit dans le souffle du vent. A quelques pas, derrière les buissons, un grand brasier de flammes dansantes s'élevait vers le ciel nocturne. Autour, des petites créatures dansaient, c'était des Korrigans. C'était leurs danse lunaire. Cérémonie très close ayant pour but de commémorer les anciens et aux Korrigans de se régénérer où tout simplement de faire la fête. Un Korrigan s'avança vers le portail du Jardin ou déjà plusieurs curieux s'y pressaient. Il grimpa sur un monolithe et dit à voix haute : Commandants, Commandantes ! J'annonce aujourd'hui l'ouverture du jardin de la Source de Lune ! Un jardin magique où tout le monde peut se retrouver sereinement et exposer ses plus beaux poèmes, se promener dans les différents parterres de fleures, se reposer au pied d'un arbre centenaire et qui sait, vous pourrez lui exposer toute votre philosophie, il vous entendra surement... Ce havre de paix est destiné a se reposer l'esprit après une dure journée à l'Assemblée galactique ! Retrouver ses ennemis et leur parler sans haine. Aller et venir dans le jardin en comptant des mots doux à l'amour de votre vie. Se perdre dans les rêves de petit coin de paradis utopique. Libre à vous de faire comme bon vous semble ! Juste un conseil, si il vous arrive de croiser une de nos fêtes nocturnes, allez-y, mais faites attention à ce que vous faites... Le Korrigan d'un claquement de ses doigts noueux ouvrit le petit portail ou était incrusté dans le bois en chêne un grand triskel en fonte. L'axes au jardin de la Source de Lune était ouvert... HRP : RP pour tous !!
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Cdt. Byakko
Respect diplomatique : 52 
05/10/307 ETU 17:36 |
Message édité -
Score : 10
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Byakko débarqua dans ce monde étrange, ou l’herbe était verte, l’eau était bleu. Il vit une sorte de petite tribu ,les Korrigans. Ils gesticulaient les un derrière les autre autour d’un feu. Il s’Asseya dans l’herbe, dans un coin. Puis il se mis a composer dans sa tête. Dès ma naissance, Je n’en ai pas pris conscience, Tu m’as éduqué, tu m’as élevé, Et maintenant tu m’as quitté, Juste après ces tempêtes, Je n’avais plus aucun souvenirs en tête Mais maintenant cela m’es revenu Même la dernière fois que je t’ai vu. Je ne vais plus t’oublier et cela je te le promet. Il s’allongea, dans cette herbe moelleuse puis s’enfonça dans ces rêves et souvenir tout en écoutant le chant Korrigan.
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Cdt. Light Ezeckiel
Respect diplomatique : 594 
05/10/307 ETU 20:50
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Score : 5
Détails
Dark se joignit aux Korrigans présents, saluant mondainement son coalisé Byakko, souriant. Il était satisfait d'être à nouveau en vie, même si ceux qu'il avait connu n'étaient plus. Son regard se posa sur Byakko, et il songea que les anciens devaient bien un jour retourner à la terre, afin que de jeunes pousses puissent éclore. C'est la preuve que nous sommes en vie, après tout. Il défit d'un geste habile le fourreau blanc immaculé attaché solidement à sa ceinture, et s'assit dans l'herbe aux côtés des autres, l'air rêveur. Il arrache un brin d'herbe pour le caler entre ses dents, et, regardant dans la profondeur du ciel azuré, se mit à réciter des vers: Homme tu es loin d'être sage Tu construis ta vie sur des mirages Construisant chaque jour ta propre cage Augmentant chaque jour ton esclavage Tu te crois très grand, très important Mais ta seule valeur morale est celle de l'argent Ta terre meurt sous l'asphyxie monétaire Et les paradis terrestres se transforment en enfer Au lieu du poing gauche tu tend le bras droit Et shoote dans la main qui se tend devant toi Mais un beau jour la vérité éclatera Et petit homme tout petit, plus petit Que la plus petite des petites fourmis Derrière tes yeux avides, tu comprendras Que le plus petit des hommes est un homme Que le plus grand des homme est un homme Que jusqu'au tout dernier des derniers sommes L'homme ne sera qu'un homme...
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Cdt. Polokyor
Respect diplomatique : 19 
05/10/307 ETU 20:54 |
Score : 4
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Polokyor, qui errait encore dans l'assemblé découvrit cet endroit, il y entra et songea : C'est jolie comme endroit, mais mon style ce n'est pas. Et voilà que je parle comme ce chevalier des temps anciens, quel était son nom deja ????.... L'elfe noir penétra dans ce havre de paix, il aimait le calme, et ne pas trop etre derangé. Il évita d'ouvrir la parole pour faire un poeme, les siens se rapportaient a la mort, et il ne pensait pas que c'était cela que les commandants voulaient entendre, donc il essaya de changer le sujet de ses poemes, il trouva : Ton havre de paix m'a conquit De bonheur je demeure emplit En ton antre je viens me reposer Dans ton calme je viens décontracté Pour clarifier toutes mes belles idées Et pour que mon esprit soit purifié Je viens te voir, toi, la Source de Lune. Et Ba dis donc, je me met a faire de la poésie. Le drow trouva un arbres ou s'adosser, il en trouva un, il s'y assit le dos a cet arbre, il ferma les yeux et fit entrer le calme en lui.
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Cdt. Byakko
Respect diplomatique : 52
05/10/307 ETU 21:53 |
Message édité -
Score : 1
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Byakko se plaça a coté de Dark puis s’adossa a un arbre derrière lui. Il le regarda dans les yeux puis il lui dis. Dans mon enfance, mon père me parlais toujours de se poème. L’amitié quand tu es crée et Fondée, Rien ne peux t’arrêter. Dans les bonnes ou mauvaises passes, Rien a faire elle elle passe. Rien ne vaut celle-ci, Quand on a plein d’ami, La vie s’embellie Et tout nous sourie. Il me disait que rien ne valait la bonne amitié et la confiance. Et si mes souvenirs sont bon, vous etiez ami avec mon Père non ?
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Cdt. Herdes
Respect diplomatique : 63 
05/10/307 ETU 21:40 |
Score : 3
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http://www.radioblogclub.fr/open/115621/enya_braveheart/Enya%20-%20Braveheart%20Theme C'est avec cette musique que j'ai trouver l'inspiration me demander pas pourquoi je sais pas ^^ Herdes arriva tel un pélican sauvage sur la plage étrangement, il ne porter pas de bouteille à sa main... Ils naissent, Ils grandissent, se forge un caractère Puis blessent, Trahissent , Font honte à leurs père! Comment défier la nature humaine si ce n'est l'affronter? C'est surement pour cela que nous faisons la guerre quand nous voulons la paix. L'homme nait bon, Mais la société le rend mauvais Nous somme la cause des futur guerre et des morts qui ne pourrons êtres sauvé. Mais est ce si simple que d'expliquer l'Homme? Je croit qu'il faudrait un roman en plusieurs tomes. Nous pouvons croire ce que nous voulons, Les conséquences viennent des actes que nous choisissons! Herdes s'assit, réfléchit puis...décida d'aller boire un coup car après tout "Les conséquences viennent des actes que nous choisissons!" Acte : boire Conséquence : bourer Commentaire : ET BOURRE ET BOURRE ET RATATAM!
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Cdte. Kaori Homi
Respect diplomatique : 12 
05/10/307 ETU 22:00 |
Score : 2
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Les salles sombres et presque lugubre de Assemblée Galactique Kaori en avait marre d'y passer son temps a écouté des discourt incessant sur le gouvernement a adopté. Un endroit calme et serein voilà ce qu'elle cherchait et je pense qu'elle trouva cela dans le jardin de La Source de Lune. L'herbe moelleuse, le chant des Korrigans, les pétales de fleurs faisaient tourbillonnaient dans l'air doux tous donner l'impression du Nirvana pour poètes, chanteur et gens aspirant au calme. Byakko qu'elle connaissait déjà était là, allongé dans l'herbe. Elle préférât le laisser tranquille perdu dans c'est pensé ou rêve . Un drow était adossé à un arbre et Herdes assi une chope à la main. S'asseyant dans un bosquet non loin de là. Elle s'assît et se mis a programmer son ordinateur personnel pour qu'il lance un air de flûte calme et lent. Kaori se mis à chanter a voix basse sur le rythme de la flute : Tout n'est pas si facile je le crains Tout ne tient qu'à un fil Voilà les valeurs que l'on m'a appris à respecter. Alors, je m'accroche à la vie Pour ne pas tomber de ce fil Elle m'a appris que si l'on tombe peu de gens remonte... Une fois j'en ai fait l'expérience c'était il y a quelque année Ma mère était restée sur Alorie et moi je m'éloignais vers Dolimen Et plus jamais je ne la revus La flûte finie la mélodie et le chant des Korrigans se fit de nouveaux entendre...
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Cdte. Kaori Homi
Respect diplomatique : 12
05/10/307 ETU 22:01 |
Message édité -
Score : 0
Détails
edit : Oups
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Cdt. Bugal an Noz
Respect diplomatique : 259
08/10/307 ETU 19:20
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Score : 3
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Diaoul était assis au sommet d'un menhir d'environ 5 m de haut. Il observait le paysage environant. Il se plongeait dans ses rêves et soudainement, il se mit à composer dans sa tête. Il dessendit de son menhir. Il marcha dans la lande fleurie en chantant sa nouvelle composition. Viens, ma Bretagne chérie, Viens te mirer dans mes vers, Avec ta lande fleurie, Et tes grands sapins toujours verts. Donne, ma Bretagne antique, A ces vers de toi remplis Le charme mélancolique De tes doux horizons gris, De tes grèves aux joncs rosés, Où le vent du gouffre amer Vient murmurer tant de choses Dans les rumeurs de la mer. Mêlés de rayons et d'ombres, Qu'ils gardent dans leur essor La fraîcheur de tes bois sombres, Les parfums de tes fleurs d'or. Je ne cherche pas la gloire Des poètes en renom, Mais un coin dans ta mémoire, Où demeure écrit mon nom. A ma Bretagne... Diaoul était debout sur la falaise, face à la mer agitée. Le vent lui caressait le visage. Il s'assit et resta regarder le merveilleux couché de soleil aux teintes jaune, orange et rouge. Il s'alongea et se laissa emporté dans ses rêves féeriques...
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Cdt. Light Ezeckiel
Respect diplomatique : 594
15/10/307 ETU 14:14
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Score : 2
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Notre monde n'a pas de sens, pas plus que nous qui y vivons. Quand nous, dont l'existence n'a aucun sens, imaginons le monde, c'est là que le fait même de savoir qu'il n'a pas de sens n'a aucun sens non plus.
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