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Cdt. eldar 27
Respect diplomatique : 14 12/02/308 ETU 13:16 |
Score : 4
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C'est l'endroit poetique alors libérez vos poèmes. J'ai la clé du paradis Suis-moi, c'est par ici... On va passer une nuit de folie S'aimer jusqu'à la fin de notre vie... J'ai la clé du paradis On oublie tous nos ennuis... On balaye tous nos soucis On rit, on chante sous la pluie... Cette clé ouvre les portes de l'amour On s'est promis, nous deux c'est pour toujours... Une romance pointe le bout de son nez C'est juré elle ne s'arrêtera jamais... Puis 2 ans se sont écoulés Notre amour a commencé à s'effondrer... Il s'est petit à petit éclipsé Tu n'as même pas hésité, tu m'as quitté! La clé tu l'as jeté Notre paradis s'est transformé... Je n'ai plus aucun repère Tu m'as mené tout droits en ENFER! Dadar.
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Cdt. eldar 27
Respect diplomatique : 14 12/02/308 ETU 13:37 |
Score : 0
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On m'a dit... Que j'étais trop jeune pour aimer Que la vie allait être remplie de haine Que j'allais souvent pleurer Que je ne pouvais faire confiance à personne On m'a dit... De croire toujours en moi De ne pas baiser les bras De voir la vie en face De ne pas reculer On m'a dit... Que l'amour ça pouvait faire mal Que pleurer ça pouvait m'aider Que crier ça allait me libérer Que souffrir allait souvent m'arriver On m'a dit... De ne pas m'attacher à toi De ne pas vouloir que toi De ne pas croire en toi De ne pas t'espérer Mais on ne m'a jamais dit... Que de toi, j'allais être amoureuse Que sans toi, ma vie n'allait plus avoir de sens Que pour toi, j'allais décrocher la lune Qu'avec toi, j'aurais voulu partir... Dadar
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Cdt. eldar 27
Respect diplomatique : 14 12/02/308 ETU 13:50 |
Score : 0
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Si tu n'existais pas... dis moi Pourquoi j'existerai ? Pour traîner dans un monde sans toi. Sans histoire et sans regret. Si tu n'existais pas... j'essayerai d'inventer l'amour. Comme un peintre qui voit sur ses toiles naître les couleurs du jour. Si tu n'existais pas... dis moi pour qui j'existerai. Ne jamais te serrer dans mes bras. Ce serait l'enfer parfait. Si tu n'existais pas... je me sentirai perdu. J'aurai besoin de toi. Je préférerai que l'on me tue. Pour arrêter de me passer de toi. Si tu n'existais pas... je passerais ma vie à souffrir. Je demanderai au ciel de te créer. Pour toi je suis prêt à mourir.. Dadar
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Cdt. Aliocha
Respect diplomatique : 487 12/02/308 ETU 14:00 |
Score : 2
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On coirait lire du Rimbaud ... à moins qu'il ne s'agisse de Joe D.
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Cdt. eldar 27
Respect diplomatique : 14 12/02/308 ETU 19:43 |
Score : 1
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Dadar se leva et dit a Aliocha: " Et oui vous avez raison se sont des reprise et je les mets pour que que nous les oublions pas." Puis Dadar alla se rassoir en ecoutant les autres personnes.
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 12/02/308 ETU 19:49 |
Message édité -
Score : 2
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Mais dites donc, le prophète aliocha connait ça... Moi qui pensais que la pensée de l'ultrèmis remplissait tous ces neurones dégénérés. On va de surprise en surprise. L'ultrémis est perverti!!!!
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Cdt. Jean Valjean
Respect diplomatique : 369 12/02/308 ETU 19:52 |
Score : 1
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Le Grand Vizir ultrème, que ses intimes savaient férus de poésie, était entré dans la salle aussi discrètement que possible. Séduit par l'idée d'une pièce consacrée à cet art si noble, il vint déclamer une poésie rédigé par un auteur pré-ultrème, Arthur Rimbaud, dont on dit qu'Ultrémis lui même était grand amateur. Un Prince était vexé de ne s'être employé jamais qu'à la perfection des générosités vulgaires. Il prévoyait d'étonnantes révolutions de l'amour, et soupçonnait ses femmes de pouvoir mieux que cette complaisance agrémentée de ciel et de luxe. Il voulait voir la vérité, l'heure du désir et de la satisfaction essentiels. Que ce fût ou non une aberration de piété, il voulut. Il possédait au moins un assez large pouvoir humain. Toutes les femmes qui l'avaient connu furent assassinées. Quel saccage du jardin de la beauté ! Sous le sabre, elles le bénirent. Il n'en commanda point de nouvelles. - Les femmes réapparurent. Il tua tous ceux qui le suivaient, après la chasse ou les libations. - Tous le suivaient. Il s'amusa à égorger les bêtes de luxe. Il fit flamber les palais. Il se ruait sur les gens et les taillait en pièces. - La foule, les toits d'or, les belles bêtes existaient encore. Peut-on s'extasier dans la destruction, se rajeunir par la cruauté ! Le peuple ne murmura pas. Personne n'offrit le concours de ses vues. Un soir il galopait fièrement. Un Génie apparut, d'une beauté ineffable, inavouable même. De sa physionomie et de son maintien ressortait la promesse d'un amour multiple et complexe ! d'un bonheur indicible, insupportable même ! Le Prince et le Génie s'anéantirent probablement dans la santé essentielle. Comment n'auraient-ils pas pu en mourir ? Ensemble donc ils moururent. Mais ce Prince décéda, dans son palais, à un âge ordinaire. Le Prince était le Génie. Le Génie était le Prince. La musique savante manque à notre désir. Jean Valjean alla se rasseoir, espérant que l'Ultrémisme tragique de Rimbaud saurait toucher les âmes des commandants.
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Cdt. Quaideluz
Respect diplomatique : 1366 12/02/308 ETU 21:41 |
Score : 1
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Pouêt, pouêt et pouêtteeeee Mon cher, à la lecture de ce texte, je comprends mieux que votre ministre de l'amour dépruime un tant soit peu. Les idées défendues par ce passage est, selon mon point de vue, l'amour qui ne favorise pas du tout l'apparition d'enfants. Etes vous sûr que l'ultrémis n'est synonyme que de pénis? Je pense que vous êtes fourvoyé dans des considérations un peu trop platoniennes, vous requiert d'aller relire l'ultremis.
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Cdt. Jean Valjean
Respect diplomatique : 369 13/02/308 ETU 08:04 |
Score : -1
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Le Grand Vizir de la Chose-publique ultrème, Jean Valjean, eut un regard de mépris pour Quaideluz qui décidemment ne comprenait rien d'autre que les tirs de croiseurs ioniques. Quaidebuse, votre manque de Foi me consterne. Si vous ne pouvez saisir la beauté de ce texte, comment pouvez vous prétendre être à même de diriger une nation. Votre élection truquée en tant que Chancelier, pour laquelle vous nous avez bien mal payé, parle déjà d'elle même. Votre mandat a été celui où les plus grandes catastrophes se sont succédées. Mais au diable la politique ici, dans cette salle dédiée aux arts...
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Cdte. Cornélia
Respect diplomatique : 2502 13/02/308 ETU 12:00 |
Score : 2
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Cornélia ferma les yeux et commença à psalmodier quelques vers que lui avait susurrer sa mère Lhassa dans son enfance: Dans un grain de sable voir un monde et dans chaque fleur des champs le Paradis, faire tenir l'infini dans la paume de la main et l'Éternité dans une heure.
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