Bonjour à tous, vous commencez à connaitre mes petits caprisses.

Pourquoi nommer "démocratie" ce qui devrait avoir un nom extraterrestre? Ne pouvons nous pas faire preuve de plus d'immagination ou avez vous peur de ce qui n'éxiste pas encore, telle une xénophobie?

Et je tiens à signaler à tous que daprès nos historiens préhistoriques (et oui ils sont encore vivant), aucunes démocratie n'a jamais fonctionné comme il faut, ce régime est simplement le moins pire qu'il est jamais été créé.

Doit-je vous conter les aventures de socrate? (HRP: le grec, pas le russe)

Je vois malheureusement en vous quelqu'un qui veut créer quelque chose comme vous voulez l'entendre.

Les noms et mots sont importants et je tiens à vous dire que je ne suis pas pour le plagia d'un ancien système terrien froid et politiquement correcte. Je le répète donc, arrêtez, vous et les autres commandants, arrêtez de sensurer les pensées simplistes et différentes de ce que le communs des mortels à pu subir depuis une déclarations des droit de l'homme qui soutenait un révolution bourgeoise qui cosa la perte de la terre.

Nous sommes une galaxie et peutêtre y a t-il des personnes qui ont leurs moyen d'expression basé sur la télépathie, créant des messages que personnes ne comprend et qui sont beaucoup plus pertinent que ce que nous pouvons dire dans cette langue phonique basique. Peutêtre ya t-il aussi d'autre êtres-vivants qui s'expriment avec leurs excréments.

Prenez donc tout en compte.

Le caractère assez autoritaire de l’arrivée de ce texte ne peut pas constituer une critique. Le Commandant Yerog n’a fait qu’exposer un texte fondé sur ses propres valeurs. Si certains les partagent assez précisément, ils peuvent signer cette déclaration. Si d’autres ont d’autres valeurs ou alors des valeurs proches mais rebutées par certains détails, ils peuvent créer leur propre chartre déontologique. Evidemment, le mieux est de trouver « le plus petit dénominateur commun », l’universalité, une pureté éthérée qui se retrouve dans le plus grand nombre. C’est pourquoi je concède que le Commandant Yerog a peut-être été vite en besogne, car certains détails de cette déclaration figée peuvent suffire à repousser ceux aux mêmes intentions.

Mais s’il tient absolument à cette forme, c’est son choix, car c’est sa création. Les insatisfaits sont libres de travailler un autre texte, qui conviendrait mieux.

Je tiens tout de même à féliciter le Commandant Yerog pour ses efforts, même si je ne constate pas l’urgence qu’il dit l’animer.

Pour ma part, ce texte n’est qu’accessoire, car les cœurs des Commandants resteront inchangés. Bien qu’il permette un certain regroupement des nations aux idéaux communs, ça ne reste que pure forme, que l’expression formelle de quelque chose d’intérieur.

Ainsi, je considère mon cœur comme dynamique et changeant, c’est pourquoi je ne peux rallier un reflet figé de ce cœur.

De plus, dans la mesure où ce ne sont que des mots et que je crois que les intentions triompheront toujours des mots, je la crois inutile. Ce n’est pas l’idée d’un comportement qui n’est pas en règle avec un texte que j’ai signé qui motivera ma réaction, mais l’idée que c’est un comportement nuisible à mes valeurs. Le risque des lois est d’oublier à la longue de les penser, que la forme l’emporte sur le fond. Les automatismes sont un grand danger, ce sont l’antithèse de la spontanéité du cœur.

Pour finir, la dernière raison est que chaque situation est différente et mérite un jugement particulier. La DGDF tend à formaliser les décisions, à généraliser des situations qui sont pas généralisables.

C’est pourquoi je ne signe pas ce texte pour conserver ma liberté de décision, et j’espère que le Commandant Yerog me pardonnera d’avoir occupé sa salle pour faire de la mauvaise publicité.

"L'Empire Kartésian ne tient pas à signer la présente DGDF, car il ne se reconnait pas dedans. Cependant, nous sommes récéptifs au message qu'elle veut faire passer, et partageons à peu de choses près les valeurs qu'elles portent.

Pour le reste, je partage l'opinion du commandant Nahil Pellaré.

Quant à vous, commandant Yerog, je tenais à saluer une nouvelle fois votre initiative, même si je ne comprends pas bien l'interet de proposer un texte déjà tout prêt, malgré les discussions qui se tenaient dans une autre salle. Ceux qui débataient le faisaient dans l'espoir d'ameliorer le texte, afin de pouvoir le signer.

Mais maintenant...

Mes respects."

Article 1

Alinéa premier : Tout commandant dispose d’un droit inaliénable à l’existence, et ce, quel que soit son passé, ses actes ou ses paroles.

Alinéa second : Tout commandant a le droit de revendiquer comme sien son monde natal, et dispose d’une légitimité sur une planète du Point de Contrôle numéro 1.

Alinéa trois : En cas de mort d’un commandant, ces co-nataux pourront se diviser réorganiser leur système selon leurs convenances.

Art. 2 : De la liberté

Alinéa premier : Tous les commandants demeurent libres de leurs décisions et de leurs actes et devront les assumer en conséquence.

Alinéa second : Tout commandant a droit sans réserve à la liberté d’exprimer ses idées et de participer à la vie politique et publique de la galaxie.

Alinéa premier : Tout commandant dispose du droit de faire prospérer son peuple par le commerce, la diplomatie ou la conquête, du moment que cela ne rentre pas en opposition avec les droits d’existence et de propriété d’autres commandants.

Alinéa second : Si pour quelque raison que ce soit le commandant ne pourrait avoir la jouissance de ce droit par les méthodes susnommées de commerce, de diplomatie ou de conquête, il dispose d’un droit de requête auprès du gouvernement en place afin qu’il puisse en jouir de nouveau.

Alinéa troisième : Toute planète n'appartenant à personne dans tout système peut être prise par n'importe quel commandant, sauf si un commandant possède une légitimité sur celle-ci. Tout commandant possède une légitimité sur cinq des planètes de son système natal incluant sa planète natale. Nul ne peut entraver cette légitimité et même en temps de guerre, il doit pouvoir garder ses cinq planètes. Sauf en cas de conflit majeur, seul les systèmes pairs seront le théâtre d’affrontement.

Alinéa quatrième : Toute planète rebellée est considérée comme vierge.

Alinéa premier : Tous les commandants disposent d'un droit égal au commerce sans être victime de discrimination dû notamment à ses convictions. Chaque commerçant se réserve cependant le droit de choisir l'offre qu'il désire.

Alinéa deuxième : Tous les commandants demeurent égaux face au jugement diplomatique, sans considérations relatives à leur passé, leurs actes et leurs relations.

Alinéa troisième : Tous les commandants sont égaux devant les décisions impartiale du gouvernement.

Alinéa premier : Pour garantir son impartialité, le gouvernement sera divisé en deux Chambres de pouvoirs équivalentes. Ces deux Chambres seront changé de juger toutes les affaires litigieuses.

Alinéa second : Les chambres seront constitués de cinq membres, appartenant à des horizons politiques variés. Ces membres seront élus au suffrage universel direct.

Alinéa troisième : Si un membre du gouvernement ne respectent son devoir d’impartialité, un autre membre du gouvernement pourra demander sa démission. Celle-ci sera appliquée, après un vote universel et direct, si plus de 50% des votants se prononce pour une démission.

Alinéa quatrième : La durée de mandat d’un parlementaire est de 6 mois, renouvelable infiniment. Tout les trois mois les parlementaires seront remplacés par des votes universels et directs.

(en musique : http://www.jamendo.com/get/track/id/track/audio/play/700)

En garde

Croisons nos rêves d'une révérence

Ainsi que brille votre loi, votre petite morale

A la lueur de ma foi, de mon éternelle danse

Mais sachez que votre arme, votre loi

Quelle qu'elle soit

Qu'elle soit gravée d'honneur, ou finement ciselée d'horreur

Qu'elle sonne la première ou la dernière de vos heures

Qu'elle soit forgée de douceur ou taillée dans la douleur

Votre vision, votre lame

Qu'elle vous sacre, roi des hommes, ou enfant des étoiles

Qu'elle brille à la lueur des forges, ou sous l'éclat de l'orage

Votre loi, votre arme, votre fierté

Votre lame, votre fierté, votre âme

Je la laisserai d'un sourire tendrement se briser (*4)

Un sourire... (*2)