Cdte. Anne Bonny
Respect diplomatique : 1099 30/09/308 ETU 14:52 |
Score : 9
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"Cher Pemicus, Voilà bien longtemps que nul ne m'avait déclamé des poèmes capables d'atteindre mon coeur et ... mes douloureux souvenirs ..." Anne salua le Commandant Flosilver qui venait de s'assoir ... "J'admire quelqu'un capable de réciter ainsi des poèmes sans faillir, sans oublier quelques rimes ou quelques syllabes ..." Elle vit, du coin de l'oeil, Katara voler quelques saucisses très cuites ... Elle saisit son communicateur pour passer quelques ordres : "Envoyer la note de l'organisation de la fiesta à Katara ... Ajouter deux zéros aux sommes dépensées ... Demain, vous envoyez un huissier de Quaideluz pour saisie immédiate de ses stocks d'Apotium si elle refuse de payer ..." "Désolée, cher Pemicus, je devais mettre à jour quelques affaires privées ! Vous savez, il m'est maintenant difficile de m'intéresser à la politique de ma Galaxie ... J'ai vu tant de gens courber l'échine devant le Maestro ... Un vrai parterre de parasites ... Pourtant, Lauaki, l'amour déçu qui me brisa, était l'individu le plus intéressant de la Galaxie : droit, honnête, direct. Beau aussi. Riche. Il a fallu que je parvienne à garder mes distances pour ne pas verser dans la dictature qu'il instaurait. Pas facile. Et même plutôt difficile ... J'erre maintenant, raccrochée à l'idée de réunir les Tribus de Chiana la Pirate Alliantiste ... Je considère Drusilla comme l'enfant que j'aurais aimé avoir avec Lauaki. Et du coup, je suis bien obligée de composer avec son Jim chéri sur lequel elle ne tarit pas d'éloges. J'avoue qu'il est bel homme et c'est un alliantiste professionnel ... Ses rapports ont le bon goût d'être très clairs et circonstanciés. On dirait presque que ses mécanoïdes sont des êtres humains ! Pourtant, Pemicus, vous semblez avoir goûté les fruits amers de l'Amour déçu. Cela vous gênerait de me raconter cette histoire ?"
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Cdt. Pemicus
Respect diplomatique : 94 30/09/308 ETU 16:45 |
Score : 7
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Pemicus était vidé, après sa tirade, il s’était assis, et regardais fixement devant lui, il avait entendu plus qu’écouté les compliments d’Anne Bonny. Mais sa mémoire et son sens de la répartie ne l’avait pas complètement abandonnée, aussi, à peine Anne eut-elle finit de parler, que Pemicus enchaîna : « Oh ! A écouter votre histoire, il semble que la mienne ne soit pas très différentes. Elle est un peu longue, je ne sais pas si… » Pemicus se redressa, prit une autre chopine puis continua : « J’allais dire qu’elle est un peu longue, mais ne sommes nous pas ici pour cela, conter et écouter ! Alors voici, tout commença lorsque le secteur ou je vivais subi plusieurs cataclysmes… Tant de vies disparurent en si peu de temps… Je me souviens de ces instants ou de nombreux amis disparurent, c’est à cette époque que je fis la connaissance d’Akhésa. Je la vis se tenir debout au milieu d’une vision d’apocalypse, dans la poussière de la rue, au milieu d’immeuble qui s’effondrait, suite à une pluie de météorite, elle portait quelqu’un sur son dos, mon sang ne fit qu’un tour, je me suis rué à son secours, et je l’ai tiré jusque dans notre abris. Juste avant qu'un immeuble ne s’effondre sur nous. Nous étions dix en comptant celui qu’elle transportait sur son dos. Très vite je me rendis compte que sa situation était précaire, il devait avoir le corps fracturé en divers endroit, peut-être même un traumatisme crâniens. Si les secours tardaient à venir… J’appris rapidement que l’homme était son père. Dans cet abri, nous apprîmes à nous connaître, nous nous sommes tous de suite reconnu, comme si nous avions été séparés dans une autre vie, notre amour était fort nous avions traversé les mêmes épreuves et en étions sortis, mais les secours arrivèrent trop tard pour son père. Nous fumes sauvé par une unité d’élite appartenant à un grand consortium commercial. Là j’appris que son père en était le principal actionnaire et qu’il lui avait légué sa fortune. Elle prit donc la direction des opérations, il fallait reconstruire le pays, elle m’offrit un poste au sein du conseil d'administration. La firme avait, grâce au cataclysme une position de monopole, et je me rendis rapidement compte que sous le couvert d’aide humanitaire et de redistribution des aides qui nous parvenait des différents coins de la galaxie, il se tramait des magouilles assez incroyable, mais je pense que beaucoup d’entre vous on déjà connu tout ça. Nous eûmes une grande discussion avec Akhésa, elle me soutint que j’affabulait, je lui apportait les preuves de constitution de grand stock de nourriture alors que la population mourrait de faim, elle finit par dire que le peuple devait être mener avec rudesse car il ne savait pas ce qui était bien et bon pour lui, Akhésa me fit par de son vaste projet pour les planètes environnantes, elle voulait affamer encore un peu les peuples et arriver en libératrice, avec beaucoup de nourriture et libérer ses planètes sous le joug de mauvais maître qui ne satisfaisait pas à leur bonheur… Mon cœur fut briser, mais mon visage continuait à sourire, un sourire emprunté, un sourire de statue, j’étais mort, plus surement que si j’étais resté sous les décombres de la ville… Je sortis de la pièce, je l’entendis m’appeler et me supplier, m’ordonner de revenir… Et depuis se jour je me suis battu contre elle, contre le monopole de sa société et contre les accords qu’elle avait passé avec les entreprises des autres planètes, les cinq syndicats des cinq consortiums s’unirent à leur tour grâce à de bonne volonté et la guerre fut déchaîné entre nous. Nous nous fîmes la guerre comme nous nous étions fait l’amour, aussi déchaîné et passionné… Lorsque nous eûmes la victoire, je tentait de la retrouver parmi les prisonniers, mais il était trop tard, elle n’avait pas supporté la défaite et s’était donné la mort… Et je mourrais à nouveau…» Pemicus bu une grande lampé de sa bière, et acheva : « Voici Anne un résumé de mon histoire, les grandes lignes, j’aurais pu détailler la période heureuse sur les bords du lac d’Inizavel sur la planète de Dol ou encore sur nos premières passe d’armes pour me faire admettre au conseil d’administration, comme nous étions complice à cette époque… Aujourd’hui, je me suis voué à mon peuple, esprit et corps, mon âme étant au côté de ma bien aimé unis dans la mort.» Après une nouvelle pose il reprit : « Mais cela aurait alourdis mon récit déjà embrumé de vapeur alcoolique. Et vous chère Anne, votre relation fut-elle aussi tumultueuse ? Votre âme sœur est-elle encore en vie ? »
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Cdt. Jim West
Respect diplomatique : 534 01/10/308 ETU 11:31 |
Score : 8
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A y regarder de près, cette rencontre inter-galactique s'annonçait intéressante ! Beaucoup de Commandants étaient venus de plusieurs coins de plusieurs galaxies ... "Même cette jolie Cornélia et cette Amazone belle à croquer" pensa Jim. Il tourna la tête vers Drusi chérie. Celle-ci le regardait d'un oeil noir, très noir ... "Elle lit dans mes pensées maintenant ?" se demanda Jim. Drusi opina de la tête. Jim sentit alors une curieuse froideur couler le long de son échine. Il se rappelait les longues soirées passées avec les pingouins à parler seul. Il frissonna. Il re-frissonna en imaginant un nouveau séjour sur cette planète prison. Il décida de goûter cette Guiness, boisson de l'étrange ancêtre d'Anne et de Drusi. Il regarda alors les deux femmes. Laquelle était la plus proche de cette Ancêtre ? Il se rappela le long exposé sur les idées religieuses prônant la réincarnation des âmes au cours de nombreuses vies. Les informations transmises par les Singapouriens sur Chiana l'Ancêtre étaient éloquentes. L'Etat-Major de l'Armée Fédérale étudiait les batailles livrées par les Pirates de Chiana. Laquelle des deux était la plus proche de cette Ancêtre ? Reposant son verre, Jim vit que les deux femmes le regardaient dans les yeux. Fixement. Le sourire en coin de Drusi était le même que celui d'Anne. Perturbé, il se leva de sa chaise. "Je ... Je vais visiter le jardin. Je vous prie de m'excuser, je reviens dans quelques minutes pour les viandes."
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Cdt. Magister Corum
Respect diplomatique : 2649 01/10/308 ETU 22:32 |
Score : 6
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Le magister s'avança vers la foule d'invités. De nombreux évènements l'avaient accaparé depuis le début des festivités, mais il avait promis à son hôtesse de venir se joindre aux autres commandant d'aurore pour fêter l'arrivée de celle-ci dans leur galaxie. Il salua quelques-uns de ses amis et prenant un verre, il s'approcha de la renégate dont l'élégance rivalisait avec les statues d'albâtre représentant les ancêtre de l'ordre de Chiana qui entouraient la grande place. Bonsoir Anne, je vous présente mes hommages et vous félicite pour ces réjouissance qui offrent aux commandants d'Aurore une paix amplement méritée et leur permet de goûter aux joie d'une légèreté retrouvée. Nous ne savons pas ce que nous réserve l'avenir donc profitons en sans retenue. Il leva son verre et porta un toast aux rencontres entre les galaxies.
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Cdte. Anne Bonny
Respect diplomatique : 1099 02/10/308 ETU 11:24 |
Score : 9
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"Présenter ses hommages" ... "Il est bien ce petit gars !" pensa Anne. "Magister Corum, je suis heureuse que vous ayez pu vous libérer de vos obligations pour nous rendre visite. Je suis heureuse de vous voir parmi nous et je vous invite à vous assoir près de moi ! Je discutais actuellement avec ce charmant commandant Pemicus ! Venez, venez ... Il est l'heure de l'histoire singapourienne !" Offrant un siège vide au Pair Magister Corum, Anne se rassit, remplit un verre de rhum singapourien. "L'histoire de cet amour est amusante ... Voilà 500 cycles environ, Singapour s'ouvrait aux immensités de de son système stellaire. Nos radars permirent de repérer plusieurs civilisations proches de la nôtre dont celle de Lauaki, Membre de l'Alliance Eternelle et dirigeant du Peuple des Maoris. Rapidement, nous avons établi des contacts, des traités et un partenariat technologique ou commercial. Pendant ce temps, je dus faire face à la vindicte d'un Guildéen qui se rendit compte que l'Ordre Renégat avait repris sa place parmi les civilisations humaines. Mes Singapouriens prirent sa planète natale au bout de quelques cycles, terminant la querelle de la meilleure façon possible pour moi. Le dénommé Lauaki fut impressionné et cela nous a permis de parler d'égal à égal. Au bout de quelques temps, dans la guerre qui nous opposa à Katradhan, je fus bannie de l'Assemblée Galactique. Ce méchant Renégat, ne pouvant lutter contre mes diatribes enflammées et publiques pour la Liberté, provoqua là l'acte qui ligua quelques-uns des commandants de la Galaxie qui décidèrent de s'opposer à sa tyrannie et à celle de l'Ordre Noir Renégat qu'il tentait de fonder. Distribuant les planètes, accordant des ressources énormes, Katradhan réussit à s'entourer de quelques mauvais sbires. Ils furent vaincus par la Coalition de Lauaki et Katradhan prit la fuite pour imposer sa dictature dans la Galaxie Eveil. Pendant de nombreux mois, Les Maoris et les Singapouriens ont oeuvré de concert dans la politique sectorielle puis galactique. Quand Avalon décidait de rallier le Maestro, Lauaki devint mon adversaire. Pas mon ennemi, il y avait dans cette dictature la place de mener une querelle strictement diplomatique pendant plus de 60 cycles. Pendant ce temps, le Guildéen Stanislas Kraegor, jaloux de l'ascendant politique que j'avais sur l'Assemblée Galactique et du refus de le servir dans sa lutte d'influence contre Lauaki, acheta les forces de deux Fédérés pour détruire mon Empire. Lauaki me soutint par des ressources, des technologies et toutes les informations que ses espions lui fournissaient. Cette guerre dura presque 200 cycles. Lassés, les deux Fédérés quittèrent leurs fonctions, ulcérés de ne pouvoir me forcer au silence ... et à la défaite. Dans le même temps, l'adversité entre Lauaki et moi renforça le respect que nous éprouvions l'un pour l'autre, au grand désespoir de ses alliés du Maestro qui auraient bien souhaité ma disparition. Mon surnom d'Acariâtre vient d'ailleurs de l'un d'eux, un Renégat glorieux et courageux. Je fus, ensuite, acceptée au sein de la Coalition Ecume Hurlante. Lauaki avait cependant atteint les limites de ce qu'offrait le Maestro aux Galaxies qu'il asservissait et il commençait à comprendre que les temps difficiles étaient arrivés. Les résistances devenaient généralisées, organisées puissantes. Bien que je l'eus demandé en mariage, Lauaki ne parvenait plus à concilier son sens de l'honneur et la dictature du Maestro. Loin d'être éclairée, cette dictature tournait à la violence gratuite, aux meurtres, aux basses vengeances et il s'aperçut que le ralliement de la Coalition du Graal, originaire d'Espoir, n'avait fait que corrompre ce que le Maestro tentait de faire. De tout son poids, il pesa sur les membres du Maestro pour les empêcher de m'attaquer. Les Maestro de la Galaxie Espoir n'étaient que de sinistres brigands, des voleurs de poules. Ils n'avaient pas compris les exigences que dissimulaient l'idée de Lauaki. Ils n'en avaient tiré que les profits immédiats : bannissement ou destruction de leurs opposants, richesse facile, pouvoir incommensurable. Les membres du Graal ne vivaient que pour le crime, la trahison ... Que peut l'amour de sa meilleure ennemie contre la déception des siens ? Il a décidé de tout quitter. De partir. J'espère qu'il trouvera une nouvelle terre pour recommencer l'histoire de son Peuple Maori. Son absence, son départ m'obligent maintenant à porter l'Histoire de son Peuple Maori, fier, honnête et courageux, aux autres Galaxies. Je me dois de répandre ce que fit Lauaki, ses espérances, ses regrets et ... nos sentiments réciproques. Son ancienne capitale est maintenant sous ma protection. Je dois maintenant vivre avec ces regrets, ces sentiments, ces pincements au coeur ... Je me suis rattachée à l'idée de rassembler les Tribus de Chiana. Maintenant, j'ai bien moins de temps pour penser à la perte de Lauaki." Quelques instants, Anne repensa aux premières heures d'Eveil. Rassemblant, dans ses discours, les énergies contre Katradhan, Anne avait gagné le respect de Lauaki. Elle avait aussi attiré le courroux de ceux qui profitaient de l'Ordre Noir Renégat. Pourtant, 400 cycles avaient passé maintenant. Les yeux dans le vague, elle se servit une nouvelle rasade.
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Cdt. John Doe
Respect diplomatique : 866 03/10/308 ETU 10:30 |
Score : 8
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Port Révolte, enfin! Derrière les immenses baies vitrés de la salle de Commandement de l'Arkos, le Stellarque pouvait admirer les merveilles apporté par les EG. Tous ces navires croisant en tous sens, communiquant, échangeant...Et pourtant venant d'une autre Galaxie. Qui aurait pu croire qu'ils nous ressemblent tant? La venue de cette femme, sa fête organisée, avaient permis aux peuples d'Aurore de venir tous ensemble, oubliant leur rancœur d'hier. Ils étaient nombreux à avoir répondu à l'appelle de la Reine de Tortuga. Celle-ci, par son arrivée avait créé, sans le vouloir??, un petit havre de Paix, un lieux neutre, un lieux où les rancunes n'avaient de places un lieux où tous se sentaient frères, un lieux où tous se sentaient appartenir avant tout à Aurore. Maintenant, lorsque des marchants se croisaient sur les route galactiques, ils ne se demandaient plus "à quel Secteur appartiens tu?" mais "à quelle Galaxie appartiens tu? Ils étaient d'Aurore avant toute chose! Et cela, le Stellarque avait grande hâte de le découvrir de ses propres yeux!
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Cdte. Anne Bonny
Respect diplomatique : 1099 03/10/308 ETU 14:55 |
Score : 4
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Commandant John Doe, Ma chère Drusilla vous appelle "Monsieur Doe" si j'ai bien compris ... "Il est heureux de vous voir parmi nous pour fêter une rencontre, une prise de contact, un commencement d'histoire extra-galactique, un début de coopération ... Venez, venez, goûtez-moi ces boissons, ces épices, ces gâteux secs, écoutez-nous échanger nos histoires, nos souvenirs, nos expériences, nos passés ! Aurore est vraiment un endroit de rêve, un lieu hautement civilisé et agréable. Vous pensiez, avec crainte, que tout irait dans le mauvais sens mais vous voyez aujourd'hui que les invités viennent de tous les horizons d'Aurore, qu'ils papotent autour d'un verre, qu'ils ont mis sous un bouchon leurs différends pour représenter à cette petite fête ce qu'ils sont ! Venez, venez ... Aurore est un bijou brut qui n'attend qu'à être taillé pour devenir le centre de la civilisation toutes galaxies confondues. Nulle Galaxie ne peut proclamer avoir réussi une telle communauté d'esprits ! Malgré les différences et les divergences d'ailleurs ... Comprenez-vous maintenant mes appels à l'optimisme ? Les Commandants d'Aurore sont des "Auroriens". Ils ont maintenant intégré cette identité. L'avenir est donc ouvert pour toute cette Galaxie et je suis bienheureuse de pouvoir affirmer que "j'ai vu ce miracle de mes yeux" ... Qu'en pensez-vous ?
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Cdt. edifrep d'albion
Respect diplomatique : 551 04/10/308 ETU 15:53 |
Message édité -
Score : 5
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d'Albion semblait dépité, la belle Cornélia ne lui avait pas répondu lorsqu'il l'avait invité à dansé, et écouter les histoires d'amour de Pernicus et d'Anne, lui mettait encore plus le spleen. Que devait il faire pour conquérir la belle de son coeur, il se tourna vers Rialb, mais celui-ci obéissait aux ordres du Hiérarque et s'enivrait consciencieusement, d'ici peu il allait falloir aller le coucher.... Ah comme il avait besoin de ses lumières mais pour l'instant, il était livré à lui même, et il n'avait aucune idée sur la façon de s'y prendre, si seulement Cornélia pouvait comprendre les sentiments qu'il éprouvait, si seulement elle lui faisait un petit signe pour lui faire comprendre qu'il ne lui était pas non plus indifférent, mais elle semblait pour l'instant occupé avec le Maître Wookie, le Gardien de la Pairie qui semblait avoir repris ses esprits. Il se dirigea vers le buffet se servi en viande, un grand verre de Killness, c'est vrai que son goût lui rappelait ses origines, et il s'installa à l'écart observant les autres dirigeants présents avec un oeil plus particulier vers Cornélia....
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Cdte. Drusilla
Respect diplomatique : 855 07/10/308 ETU 11:27 |
Score : 6
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Debout devant le plat des viandes grillées, Drusilla se concoctait une assiette digne d'elle ... "Une Merguez pour Monsieur Doe, une Merguez pour Magister Corum, une côtelette pour Rikor'f, une cuisse de poulet pour Jim chéri, une Merguez pour Tatie Drusi ..." Elle passa devant un saladier rempli de salades vertes. "Non, pas de lapinade !". Elle reprit sa place autour de la table et regarda les invités discuter entre eux. Une saine agitation bruissait dans ses oreilles : ils parlaient, faisaient connaissance. Les dernières arrivées avaient encore augmenté le volume sonore des discussions et cela faisait chaud au coeur. Oubliés les barrages ioniques ... Oubliée cette crainte de l'inconnue, des dangers des "aliens" ... L'ambiance légère ne cessait de la réconforter et de projeter Drusilla dans un avenir qui ne pouvait être que meilleur pour Aurore. Quand d'autres Galaxies avaient sombré dans le chaos ou la paralysie, Aurore restait entière. Les natifs de cette Galaxie traversaient aussi les espaces entre les Galaxies et établissaient des ambassades un peu partout. Les Seigneurs de la Vague suivaient maintenant le mouvement. Machouillant délicatement une Merguez, Drusilla vit Jim observer les statues du jardin. Elle décida d'aller vers lui. Il semblait tellement pensif en ce moment ...
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Cdt. Pemicus
Respect diplomatique : 94 10/10/308 ETU 15:34 |
Score : 6
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Pemicus écrasa une petite larme qui coulait lentement le long de sa joue, l’histoire d’Anne était triste. Elle en était réduite à s’inventer des quêtes et des devoirs afin de ne plus pensé à son amour déçu. Ainsi, son meilleur ennemi avait abandonné… Mais finalement, cela l’avait mené sur de nouveaux chemin, jusqu’en Aurore, et c’était une joie de voir tout ce monde réunis en séance loin de toutes les rancœurs et les bombardements ioniques, loin de l’incompréhension. Pemicus leva sa chope et dit en s’adressant à Anne : « Merci de nous avoir tous réunis à l’occasion de cette fête, je pense qu’elle nous permet à tous de puiser dans le regard de chacun des commandants présent de l’optimisme et de la confiance quant à notre avenir. » « Encore une fois merci. »
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