Je soutiens publiquement le commandant Havelock! Et lui apporte le soutiens militaire de L'Empire!

"Havelock,

Si je comprends bien, voici vos termes : si je n'annule pas l'Apocalypse, vous empêcherez les autres commandants de survivre... et déclencherez votre propre Apocalypse.

Soyons clairs. Peu m'importent vos menaces, Havelock. Trompé par votre colère, vous ne voyez pas la situation telle qu'elle est. Vous faites trois erreurs d'analyse.

1. D'abord, pour négocier, il faut avoir un moyen de pression. Vous n'en avez aucun. Vous ne pouvez qu'atteindre les autres commandants. Mais les exterminer un par un, ce que vous ne serez d'ailleurs pas en mesure de faire, n'est pas une solution. Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, cette Galaxie ne vous a pas attendu pour entrer en désertification. C'est comme si vous me menaciez d'accentuer la pluie en pleine averse.

2. Ensuite, je suis persuadé que vous sous-estimez l'instinct de survie des autres commandants vivants, qui ne vous laisseront pas les exterminer un à un sans répliquer, et qui ne vous laisseront pas décider à leur place de leur disparition ou de leur survie. Permettez-moi de douter de votre stratégie : par votre message vous espérez mobiliser les foules en votre faveur... en me menaçant de tuer tous ceux qui accepteraient mes termes... Comment pouvez vous espérer qu'ils vous suivront ?

3. Enfin, il est dans l'ordre de l'Univers qu'Eveil et Devenir connaissent l'Apocalypse. Je sais que cela dépasse votre entendement, mais l'énergie vitale de ces deux galaxies sera concentrée en un Big-crach qui me permettra de donner naissance à une nouvelle galaxie, loin d'ici, et dans laquelle la vie s'épanouira de nouveau, toujours plus riche et plus forte. Il en va ainsi du cycle Universel. Cette Apocalypse n'est pas destinée à vous détruire. Elle est destinée à réorganiser l'énergie de l'Univers dans son ensemble pour son bien. C'est pourquoi je vous offre, à tous, une porte de sortie. Il reste de nombreux cycles d'ici là. A vous d'en faire quelque chose d'autre qu'une longue agonie stérile.

Si vous voulez vous entêter, Commandant, libre à vous. Mais vous n'obtiendrez rien de plus que votre perte."

Tsukama, la plus grande menace pour les Millions de Milliards d'habitants d'eveil, ce n'est pas moi, c'est Dieux. SI on le croit, ce qui n'est pas mon cas, seuls quelques commandants survivraient. Les miliards de millions d'habitants? poubelle!

Katelyne, soyez explicite: qu'allez vous faire (ou faire faire) contre moi, mes planètes et leurs habitants?

Et, puisque j'ai quand même une bonne idée sur la réponse, pourrez vous vous regarder en face après avoir commis (ou ordonné) les actions que vous avez rejeté toute votre vie?

"J'imagine que je n'ai pas le droit de choisir à votre place.

hum... qu'allez vous choisir: vos premiers 100 cycles de femme libre, avec la possibilité d’être heureuse, ou plus que 100 cycles, telles que vous êtes, pobablement pire, à cause detous les sentiments... pénibles et l'absence absolue de gloire et de satisfaction qu’entraîneront le sacrifice par vos soins de dizaines d’âmes (la mienne n'étant certainement pas la plus importante à vos yeux).

Non, je ne peux pas choisir à votre place. Mais heureuse ou malheureuse, je vous souhaite de ne PAS vire éternellement."

Commandant Havelock, vous ne souhaitez pas vivre éternellement, grand bien vous fasse, sachez en outre que je puis mettre fin à vos jour si vous en avez décidé ainsi... cela ne me dérangera pas la moins du monde.

Vêtu de ses plus beaux atours, Kennit venait de faire irruption dans le grand hémicycle afin de prendre la parole.

Il y a quelque chose dans votre attitude que je n'arrive pas à saisir commandant Havelock, dont le sens même m'échappe: cet entêtement qui est le votre. Vous êtes libre de vous opposer à Dieu, de le défier et même de rechercher la paix dans la mort, mais vous ne pouvez en aucun cas entrainer à votre suite des individus qui ont opté eux pour la survie et la lutte.

Hé, coquille vide. Personne ne me dit ce que je peux ou ce que je ne peux pas faire.

Après, vous pouvez dire que je suis nul, que vous ne m'aimez pas... et vous pouvez le faire en trainant en longueur, comme vous le faites. C'est bien, c'est joli.

Ca décore.

Ca cache le fait que vous n'avez rien à dire, rien à faire, et qu'en plus vous n'avez aucune idée pour en sortir. Le plus triste, c'est que cette situation vous embête vous même, puisque vous appelez au secours Aryakis, afin qu'elle vous donne des ordres.

Bon. Si cette vie vous plait, vivez là longtemps. Et si ca vous fait plaisir, continuez à me jeter des pierres.

Mais comme vous n’êtes que vent, je passerai au travers vous et vos ... remarques constructives.

Et je vais me répéter: Personne ne me dit ce que je peux ou

ne peux pas faire. Dieux autant, ou encore moins que les autres.

Bon, allez vous en. J'essaie de sauver l'esprit d'une femme... oui, dans cette assemblée, qui l'eut cru?"