Brutale | 9 | |
Semi-Brutale | 2 | |
Intermédiaire | 20 | |
Semi-Durable | 20 | |
Durable | 10 | |
Total : 61 vote(s) |
Pages : 1 2
Cdt. Poussin
Respect diplomatique : 729 10/07/1012 ETU 12:02 |
Score : 12
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De part et d’autres de la galaxie, ils affluaient, de cycles en cycles, toujours plus nombreux. La découverte de l’extra-sectoriel permettait maintenant aux commandants de venir en personne à l’assemblée : terminé les discours par holo-com interposé, tous allaient pouvoir faire résonner leur voix dans les halls de l’assemblée. Mais cette découverte avait aussi déclaré l’ouverture de la rué vers les innombrables planètes de la galaxie. Innombrables certes, mais en nombre fini. Tel était l’enjeu dont souhaitait parler le Poussin à l’assemblée aujourd’hui : le caractère fini de notre univers et de ses ressources. Comme à son habitude, ce fut le conseiller du Poussin qui prit la parole, la petite volaille jaune et duveteuse étant dépourvue voix. Cette fois cependant, il n’y eu pas de traduction simultané : le Poussin avait écrit le discours de son conseiller afin que chaque commandant puisse entendre clairement ce qui allait être énoncé. Depuis plus de 30 cycles nous exploitons les ressources des planètes de notre secteur natal afin de produire toujours plus, satisfaire notre population. Nous avons fait des progrès technologiques toujours plus grands et nos empires se sont développés à grande vitesse, défiant la nature en peuplant des planètes inhospitalières. Mais n’oublions pas que cette même nature est seule maitresse de l’univers. N’oublions pas nos ancêtres de Terra qui ont exploités jusqu’au dernier gramme de métal de leur monde natal. N’oublions pas leur fuite effrénée à travers la galaxie pour trouver un monde habitable alors même que leur monde était à l’agonie, privé de ses ressources par une exploitation brutale et gaspilleuse. Voulons-nous une fois de plus que l’histoire se répète ? Voulons-nous voir l’unes après l’autres nos planètes, nos systèmes et peut être même nos secteurs se dépeupler ? Un ancien proverbe dit qu’à chaque fois que l’histoire se répète, le prix augmente. La dernière fois que l’histoire s’est retrouvée devant une telle situation, l’humanité a payé sa folie de milliards de morts et n’a pu survivre que grâce à l’existence de nombreuses planètes vivables. Quel sera le prix de notre arrogance face à la nature ? Cette fois ci il n’y aura pas d’autres planètes habitables, pas d’autres galaxies à coloniser : nous vivons dans un univers fini avec un capital de ressources donné. Que se passera-t-il si ce dernier vient à s’épuiser ? Le conseiller du Poussin avait récité l’introduction du discours de façon haché, ferme et assenait chaque question comme on porte un coup : violemment, durement, sans pitié ni retenue. Il fit une courte pause pour observer les premières réactions des commandants, bu une gorgée d’eau pour s’hydrater puis reprit. L’apocalypse est derrière nous depuis 30 cycles et des planètes montrent déjà des signes d’anémies. Quel sera la situation dans 50 cycles ? 100 cycles ? 200 cycles ? Toutes ces questions doivent trouver une réponse mais surtout doivent trouver une solution ! L’écologie n’est pas un terme ennemi du profit ! Alors qu’il prononçait ces mots, un hologramme était apparu derrière l’orateur avec un ensemble de graphique complexe que l’homme se mit en devoir d’expliquer. Nos simulations et expériences montrent la chose suivante : Une politique d’exploitation standard rapporte une certaine quantité de ressources par cycles que nous appellerons X. Prenons maintenant une politique d’exploitation irrespectueuse de l’environnement que nous nommerons « brutale ». Si nous étudions la quantité X de ressources prélevés en un cycle, nous pouvons constater très facilement qu’elle a été multipliée par deux. Prenons maintenant une politique d’exploitation des ressources en accord avec les principes de renouvellements des ressources naturels que nous appellerons ici « durable ». L’étude nous montre que la quantité de ressources X collectée chaque cycle est 2 fois inférieur aux revenus générés par une politique standard et 4 fois inférieurs aux revenus en cas de politique d’exploitation « brutale ». Jusque la, rien de bien surprenant si ce n’est la quantification exacte des revenus par politique qui pourrait vous aider dans votre gestion économique. hrp : http://img16.imageshack.us/img16/4146/tauxrecoltes.jpg Regardons maintenant le graphique d’épuisement des ressources. Comme vous pouvez le constater, l’épuisement n’est pas ici 2 fois plus rapide et 2 fois plus lent en cas d’une exploitation brutale... la chose est beaucoup plus subtile. En effet, les politiques d’exploitation brutales génèrent des déchets en très grande quantité et ne conservent que les ressources utilisables en l’état, jetant ainsi de très grandes quantités de matières premières dites « inexploitables » la ou les politiques durables utilisent recyclage et traitement des matériaux pour utiliser chaque gramme de matière première extraite. Mais plus encore ! Les politiques d’exploitation durables respectent les cycles naturels ce qui a pour conséquence une parfaite préservation des réserves naturelles alors que l’exploitation brutale pille les ressources naturelles à grande vitesse ! Si rien n’est fait, nos calculs montrent qu’une politique brutale peut consumer les ressources d’une planète en environ 10 cycles. hrp : - graphique d'exploitation durable : http://img259.imageshack.us/img259/9753/exploitdurable.jpg - graphiques d'exploitation intermédiaire : http://img109.imageshack.us/img109/989/exploitintermediaire.jpg - graphiques d'exploitation brutale à venir Pour terminer cette conférence, venons en maintenant aux conséquences de l’extinction d’une planète. Certains vous diront que le phénomène n’est pas si catastrophique, que la perte de la production peut être compensée par des conquêtes ou un empire très étendu : ils ont tord. D’après nos simulations basées sur des archives traitant du « cas Terra », l’épuisement total des ressources d’une planète provoque une baisse extrêmement rapide et violente du bien être de la population jusqu’à des seuils pouvant mener à l’insurrection planétaire. Ainsi, si vous veniez à provoquer une extinction planétaire, vous ne perdriez pas seulement la production en matières première mais aussi le contrôle de la population qui, si elle ne se révolte pas, impactera le bien être de l’ensemble de votre empire ce qui invalide la thèse qu’avançaient certains d’exploiter l’intégralité des ressources d’une planète pour ensuite ne collecter plus que des impôts et se ravitailler au près des marchands de la guilde. Concrètement, il n’existe aucun moyen de vérifier ni d’imposer une politique d’exploitation. Aucun organe gouvernemental capable de réguler l’exploitation des ressources galactiques ne pourra jamais voir le jour. Le seul indicateur de cette politique sera l’abandon des planètes « éteintes » par leurs propriétaires mais à ce moment il sera déjà trop tard. J’en appelle donc à votre humanité et à votre sens des responsabilités pour bannir définitivement les politiques d’exploitations brutales et privilégier des méthodes durables pour l’environnement sans quoi nous verrons apparaitre des « no man’s land » couvrant des systèmes voir peut être même des secteurs entiers. Le discours terminé, le conseiller jeta un regard vers son Poussin. Le temps se figea. Tous deux étaient anxieux... Applaudissements ? Sifflements ? Comment allait être accueilli ce discours, notamment au près des membres de la Guilde, fervents partisans du profit ? En son fort intérieur, le Poussin pensa : « Bonne ou mauvaise, mère poule, faite qu’il y ait une réaction... l’indifférence est le pire des fléaux ». Hrp : toutes les données tirées de ce discours sont basés sur des observations et expérimentations pour déterminer le taux d’épuisement des ressources par mine pour un type de planète et un type de politique d’exploitation. Les études ne sont pas entièrement terminées mais devraient pouvoir être finalisés d’ici 3 à 4 cycles, date à laquelle nous rendrons public les conclusions chiffrés que nous en avons tiré (pour 1 mine de métal sur une planète de tel type sous telle politique, les réserves baisseront de X% par cycle...) Tout commandant intéressé par le détail des calculs est prié de me contacter par MP afin que je lui fasse parvenir la feuille excel contenant les données.
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Cdt. Mac Intyre
Respect diplomatique : 1525 10/07/1012 ETU 12:44 |
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Score : 8
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"Salutations Commandant Poussin, Je vais être bref : quand tout a pratiquement déjà été dit, inutile de bavarder. J'ai voté "semi-durable" pour 2 raisons : a) Le "durable", comme nous tous, je n'y ai pas eu accès dès le début. Je ne voudrai pas que nos jeunes commandants culpabilisent de ne pas maitriser les techniques les plus respectueuses de l'environnement. b) Je pratique le "durable" qu'à partir du moment où les réserves sont estimées à 50%. Je ne vous demanderai vos études et autres tableaux : je vous crois sur parole et, franchement, la gestion, ce n'est pas mon truc. J'insiste enfin sur un point. Les forêts, les écosystèmes, l'équilibre des chaines alimentaires, les p'tits oiseaux, tout ça tout ça... : ce n'est pas mon truc." * Nom d'une pipe en plumes de poussin gélifiés ! La gaffe... * pensa soudainement Mac Intyre. * Il va falloir que je mette toute l'équipe diplomatique sur le coup... * Se reprenant : "Enfin si, les p'tits oiseaux, c'est très important, plus important que... Ahem. Enfin bref. Je voulais juste dire que c'est le bon sens, bien ancré dans les chevilles de tout Intyre qui se respecte qui s'exprime ici. A quoi sert de gagner plus pour tout perdre au final ? A rien."
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Cdte. Entalya
Respect diplomatique : 987 10/07/1012 ETU 13:13 |
Score : 7
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La Kalycia s'avanca, ravie de voir qu'elle n'était pas la seule à voir les problèmes émerger du fait de la surproduction de ressource. Elle avait vu la mer de saphir de sa Kalycie s'amoindrir avec le temps, et avait dû prendre les mesures nécessaires pour préserver son monde. Commandant Poussin, vous m'avez devancé, j'étais justement en train d'écrire un discours à ce sujet pour cette assemblée, inquiète de la tournure et des discours de certains commandants. Je comprend le souci de productivité et l'envie de voir ses coffres grandir à vu d'oeil, mais certains guildiens se trompent. A quoi bon épuiser une planète sur quelques cycles et en coloniser une autre, alors que l'on peut au final en avoir 2 qui produiront beaucoup moins chaque cycle, mais pour des cycles et des cycles? Il ne faut pas réfléchir à court terme, mais sur le long terme. De plus n'oublions pas le désastre et la souffrance pour la population. Souffrance évidente de voir son monde décrépis, fanés pour toujours, souffrance lié à la mort et à la famine qui en découleront inévitablement. Mais à cela s'ajoute la souffrance de tous les peuples encore riche, ceux qui seront exploités et verront leurs mondes ruinés, coloniser pour être ensuite jeté comme un simple verre vide, et oublié. La souffrance aussi engendrée par les guerres pour les ressources qui ne manqueront pas de se déclarer. C'est ainsi que je m'engage auprès de tous à préserver les planètes dont je dispose, à leurs garantir longue vie et prospérité. Je m'engage également à fournir à chaque commandant de notre galaxie, et ce gratuitement, les technologies permettant de protéger nos écosystèmes. La Kalycia se rassie, espérant que leurs discours seraient entendu.
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Cdt. Robert SURCOUF
Respect diplomatique : 236 17/07/1012 ETU 00:21 |
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Score : 4
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Surcouf qui semblait un peu éméché pénétra dans l'assemblée, son vaisseau garé en double-file La paix? VAXMANITOU TOU MI SANCTUM !!! Oups, je me suis gouré de salle ! je souhaitais parler pour la paix là bas, en secteur HAINE. La meilleure des crèmes galactiques somme toute! Enfin pas grave, je suis là, je reste ! Voyons-voir de quoi traite la salle ouverte par un oiseau jaune... Mm environnement, écologie, aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh nonnnnnnnnnnn ! je ne fuis pas mes planètes pour me retrouver encore devant cette maudite propagande ! Nous allons barbouiller cette EFFA CHOLY de nos systèmes, de nos planètes ... Surcouf apparemment Hors-sujet balança un hologramme EFFA CHOLY: La conchomachion des rechourches primaires à des fins militaires est une catachtrophe pour le bien-être des populachions. Le Chommandante CHURCHOUF ne comprend pas qu'il faut arrêter impérativement les chentres de telecommunicachion qui soont danchereux pour la chanté ... D'un geste brusque, SURCOUF piétina l'hologramme. Salissant alors ses bottes de marques indélébiles
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Cdte. Andromède
Respect diplomatique : 49 17/07/1012 ETU 00:30 |
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Score : 0
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La Commandante Andromède, qui avait été attirée par les gestes brusques du Commandant Surcouf, se pencha et ramassa les débris de l'hologramme en se disant qu'une telle technologie serait très utile à sa civilisation notamment pour les prochaines élections sénatoriales. Elle était sûre que ses communicants seraient à même d'inventer quelque spot bien sirupeux pour conquérir quelques dizaines de milliers de voix... Elle resta songeuse.
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Cdt. Elbann
Respect diplomatique : 158 19/07/1012 ETU 11:54 |
Score : 13
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Elbann s'installa à l'estrade. Walter lui apporta une feuille qu'Elbann saisi et installa devant lui. Il but un peu d'eau avant de commencer à parler. "Mesdames et Messieurs, merci d'être présent ici. Si je me permet de vous déranger, c'est à propos d'un phénomène qui s'est produit il y a peu en secteur 12, et que nombre d'entre vous on sûrement remarqué. Pour résumer rapidement afin que tous comprennent de quoi je parle, voici ce qui s'est produit : Un ouragan magnétique d'une ampleur peu commune a sévi dans le secteur 12. L'électronique d'une part non négligeable des flottes présentes a subi des dégâts irréversible qui on mené, dans le cas de la GTC, à une perte d'environ 25 % de nos flottes en stationnement. Pourquoi je viens parler ici à propos d'un phénomène à priori naturel ? Une telle tempête magnétique a sûrement été provoqué par une supernova ou par un rejet de matière d'un trou noir proche. Mais il semble pertinent de soulever une question autrement plus importante. Nos empires se développent en ce moment de manière exponentielle. Les technologies mises au service de cette expansion sont titanesques. Et nous continuons à progresser, atteignant bientôt un nouveau cap dans l'histoire scientifique de notre galaxie. Nous avons juste oublié de penser aux conséquences de ce que nous développions. Il n'a échappé à personne, par exemple, que les ions étaient destiné à pouvoir provoquer des dégâts à une échelle inédite jusqu'ici. Et on parle très peu des résultats que pourraient avoir les expérimentations sur l'Apotium. La question est simple : avons-nous ou allons-nous, oui ou non, atteindre un point où au delà de détruire des planètes, nous détruirons des secteurs ? Nous n'avançons rien. Nous profitons juste d'un événement peu commun récemment survenu pour poser une question qui mérite d'être étudié avant de s'enfoncer encore plus dans nos laboratoires. Une question qui au-delà de nos empires touche à la structure même de notre environnement naturel galactique. Je vous remercie."
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Cdt. Selfura Balthimore
Respect diplomatique : 490 03/08/1012 ETU 22:58 |
Score : 4
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Commandants, la réponse est simple. Les planètes meurent. J'ai récupéré des planètes appartenant aux commandants de l'HYDRA et celles-ci ont des attributs inquiétant... Ces planètes n'ont bientôt presque plus de ressources. A priori, cela ne dérange pas des gens comme red skull, Tars Tarkas, de détruire des planètes pour aller ensuite vers d'autres. Nous parlons ici de planètes peuplées de dizaines de milliards d'habitants ! Des peuples, des civilisations qui, à cause de la négligence de ces commandants, vont bientôt être contrainte à disparaître. En arrivant sur ma nouvelle possession, j'ai remarqué que les hommes étaient employés de manière brutale à extraire les ressources de ces planètes... Cela m'a inquiété et j'ai fait en sorte que leurs vies soient meilleurs, plus simple, moins ardue. J'ai ensuite envoyé des sondes pour voir les ressources disponibles... Et certaines ont déjà certains puits totalement épuisé. Ne négligeons pas les peuples commandants, peu importe qui vous êtes, nous ne devons pas laisser des planètes mourir en faisant disparaître les populations. C'est une chose grave, peut être pas pour vous, mais il s'agit là de milliards d'habitants ! Peu m'importe vos coalitions, ne détruisez pas des planètes. Car en plus d'être un problème écologique, il s'agit aussi d'un problème d'êtres vivants et d'équilibre dans ce monde. Imaginez ce qui pourrait se passer dans l'univers sur une planète essentielles à la physique de celui-ci disparaissait ? De grand cataclysme pourrait subvenir.
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Cdte. Cyannah Miller
Respect diplomatique : 570 04/08/1012 ETU 11:58 |
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Score : 2
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T’as trouvé ça tout seul, Balthimore ? Mouarrf !!! De la façon dont tuer les peuples… Question philosophique : vaut-il mieux tuer son peuple à la tâche pour une idéologie ou… tuer le peuple des autres pour un simple bannissement ? Ben oui, je pose la question ! Parce que tu m’as accusée d’avoir des planètes désertées et un peuple souffrant… après tes attaques ! Tu t’insinues allègrement dans la politique des autres mais tu n’as pas l’esprit critique pour tes propres agissements… que le Gouvernement cautionne, alors, pourquoi pas, hein ? Moi, je te trouve légèrement à côté de la plaque sur ce coup-là… mais je dis ça, je dis rien… Commencez par ne pas détruire les planètes des autres… et faites ce que vous voulez des vôtres !
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Cdt. xXKirastarotHXx
Respect diplomatique : 180 04/08/1012 ETU 15:59 |
Score : 4
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Mouhohaha Commandant Balthimore le "sauveur des peuples opprimés et de l'écologie", vraiment ? pouffa-t-il Ce n'est pas une critique, ne le prenez pas mal, mais je ne m'attendait pas à ça du personnage que je m'étais fait de vous. Pour en revenir au sujet qui nous interesse ici, personnellement je dois dire que je vais du brutale au durable selon les circonstances et les envies du jour. Le commandant réfléchi à ce qu'il venait de dire en souriant, puis repris: Comme pour la musique il faut savoir ajuster ses instruments à ses envie, ou changer l'accordage de sa gratte selon les nécessités, et savoir jouer de plusieurs styles ! Il faut savoir être brutale pour apprécié ensuite les moment de douceur, et inversement. Et, surtout, tout doit bien mourir un jour n'est-ce pas ? hehehe. Oï
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Cdt. Tars Tarkas
Respect diplomatique : 512 04/08/1012 ETU 16:24 |
Score : 1
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Alors que les discutions allaient bon train dans une salle oublié depuis un certain temps, les écrans s’allumèrent et le Tarkien apparu, applaudissant l'intervention de Selfura. J’apprends donc que les planètes appartenant aux membres de l'HYDRA n'ont presque plus de ressources. Pour être franc avec vous, je suis surpris qu'il y en reste encore. Car les planètes dont vous parlez sont celle du secteur 1, planètes usées de manière prématuré en raison du faible niveau technologique que nous avions alors. Et c'est aussi le cas des planètes ayant un jour appartenu aux membres de la SNCF... Mais que les personnes inquiètes se rassurent, notre niveau technologique nous permet de bien mieux gérer nos planètes et les conseils du commandant Poussin fort utile. En tout cas, votre grossière tentative de manipulation aura permis de faire ressortir de vieilles archives et c'est bien là la seule chose à retenir.
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