Le discours de Wayne avait plongé Miss Tick dans un étrange mélange d’affirmation et d’autres sentiments contradictoires. S’il ne voulait que le ton monte ou que les paroles soient virulentes, pourquoi les utilisaient-ils encore ? Pire encore, le Temple lui revenait sans cesse dans la bouche alors que celui-ci avait passé l’affaire à la jeune femme. Elle qui avait prit soin d’expliquer calmement ses opinons et les points sombres du début lors de sa dernière prise de parole. Lorsque le commandant Barbossa vint prendre place à côté d’elle, un sourire aussi léger que les vapeurs d’alcool lui vint sur le visage. Soit elle se sentait un peu moins mise en boite, soit l’odeur du vieux rhum réveillait sa soif. Dans tout les cas, sa présence lui rendit un peu d’espoir. Par la suite, la prise de parole d’Anubis était tout aussi intéressante et Miss Tick commençait à redonner un bon coup de fouet à sa matière grise. « Des mains sûres », pour montrer ça il fallait des actions et pour avoir des actions, il fallait sortir de cette situation pour avancer. L’intervention muette du représentant du Temple était la pièce qui manquer à la commandante pour que son petit germe d’idée émerge de l’obscurité.

- Bien. Je n’aurai qu’une brève remarque à souligner après tout cela. Vous me serez bien aimable si par la suite vous évitiez de formuler le projet sous la direction du Temple. À la dernière nouvelle, celui-ci m’a été confié et vous pourrez être sûr que j’en ferais fort bon usage.

Puis en toute hâte, comme pressée de faire quelque chose d’important, elle alla aussitôt dans les rangs de cette fameuse coalition Renaissance et tandis la main pour serrer celle de ceux qui d’une certaine façon, leur avait tenue tête. Tout en continuant sur le ton de l’humour des plus simples et d’une spontanée bonté, elle ajouta paisiblement.

- Parfois il est nécessaire de retomber à l’âge de l’enfance pour trouver des solutions, car en grandissant, on perd facilement certaines visions.

Une fois qu’elle eut fait son petit tour de main, elle se rendit à côté de la porte d’entrée. Prête, droite, elle poursuit sur le même ton enthousiaste.

Plantée sur le côté de la porte, elle attendait sagement que le mouvement suive pour qu’elle puisse offrir à chacun le signe de paix qu’elle avait donné aux membres de la coalition Renaissance en signe de son acceptation à poursuivre des sujets plus importants.

Entendant cette proposition, Anubis releva la tête. Surpris. Voilà bien une chose à laquelle il ne s’était pas attendu. Pensant s’être plus attiré la méfiance de cette Reine et de son corbeau-mari que cette réaction de volonté de transparence. Il sourit. Pris quelques minutes afin de penser à sa réponse. Finalement, il se leva et prit la parole :

Se faisant, il inclina légèrement la tête et mis son poing droit ganté sur son cœur. Sa cape glissa légèrement de son visage, révélant un bout de son masque qu’une lueur vint faire étinceler. Ce poing sur le cœur pouvait paraître insignifiant mais pour son peuple c’était un symbole important.

Wyrda prit place sur un des alcôves de l'assemblée et se détendit.

Lorsque Anubis répondit à la proposition, Wyrda ne voyait pas de problème en ce qui concernait le rôle d'observateur, c'était même d'ailleurs une très bonne chose, puisque celui-ci pouvait alors avoir une influence bonne ou mauvaise suivant les décisions de la Coa.

Wyrda se leva et fit une révérence très polie malgré ses plumes ébouriffées qui le gênait.

Tenez ma chère cela vous redonnera du baume au cœur et calmera cette inquiétude, je m'occupe de dissipé ces questions qui n'ont pas encore lieu d’être.

Messieurs dame , mes amis commandants est-t-il utile de commencé à pensée de protéger le système alors que nous venons à peine d’immergé d'un chaos der plusieurs siècles. N'est il pas plutôt utile de commencé à développé nos sciences et le commerce, que de bavassé sur de la défense systémique et la création d'un sénat à ce que j'ai remarqué et je peut peut être me trompé.

D'autre part vous parlez des problèmes brigands, quand tout ceci sera fini que ferez vous de nous les corsaires renégats. Nous chasserez-vous comme ses brigands qui n'obéissent à aucune règles alors que nous si, ou nous accepterez vous comme des membres à part entière sous une même nation.

Mais que le diable m'emporte n'y a-t-il rien à boire ici et à mangé que je soit obligé de tapé dans mes resserves personnels. J'exige qu'ont fasse venir ici un buffet qu'ont est de quoi se rassasié le gosier et calmé ses estomacs, je suis sur que ses discutions incessantes ont mis à rude épreuves les organes de mes chères amis ici présents.

Tenez pour vous qui savez appréciez les bonnes bouteilles .

Après avoir accepté la bouteille de Barbossa, Miss Tick avait bien envie de s’acheter un panneau lumineux qui indiquerait où elle est ainsi qu’un mégaphone intergalactique pour mieux qu’on l’entende. Probablement parlait-elle une autre langue semblable à celle des brigands, ce qu’il aurait expliqué pourquoi elle avait réussi à comprendre plus ou moins leur langue. Mettant sa bouteille sous le bras, elle frappa des mains et montra la splendide porte qu’elle avait bien envie d’embrasser.

Alors qu’elle faisait grande place afin que le sujet se termine véritablement. Elle ajouta par la suite quelques brefs mots.

Miss Tick n’avait pas l’air bête à attendre gentiment que les gens se dirigent vers cette porte qui était le pur symbole de la fin d’un débat passionnant. D’un côté, probablement en avait elle aussi assez d’entendre la représentante des Elfes ramener toujours et par n’importe quel moyen le sujet à elle. Celle-ci ne se privant absolument pas pour faire sa pub bon marché dans un débat où Miss Tick avait souhaité faire valoriser ses idées. La hache de guerre venait d’être entrée, il aurait été véritablement dommage que le commandant Largo ne gaspille autant de salive pour que le débat reparte de plus belle. Il y avait un temps pour tout. Le temps de parle de paix éternelle était terminé, il était temps de passer à une nouvelle étape et d’avancer. Prête à aller de l’avant, Miss Tick attendait donc les commandants, pour leur serrer chaleureusement la main. Heureusement pour elle, quelques uns, ayant bien comprit le message, se dirigeaient vers elle pour lui serrer et quitter les lieux avant de commencer nouveau débat.