Cdte. Su Tallulah
Respect diplomatique : 294 01/04/1017 ETU 16:03 |
Score : 3
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Su avait réfléchi. Pour l’instant, elle n’était pas trop occupée, alors pourquoi ne pas profiter ? Dans quelques cycles, elle allait devoir partir en expédition et elle ne savait même pas si elle en reviendrait, malgré l’aide du Commandant Sorlack. Elle donna l’ordre d’affréter une simple navette programmée pour atteindre les coordonnées de la planète Ulan où seules la gente féminine était invitée. Elle embarqua, seulement munie d’un cadeau pour la Commandante Nilsen, d’un sac sommaire dans lequel elle avait jeté une trousse de toilette et quelques vêtements légers. Dès qu’elle eut le feu vert de la tour de contrôle -elle était évidemment prioritaire- elle appuya sur les commandes des propulseurs et se mit en pilotage automatique sitôt la stratosphère atteinte. Le programme était sûr et l’atterrissage sur Ulan se fit sans encombre. Une délégation d’amazones, surprise qu’elle descende seule du vaisseau, l’accompagna jusqu’à la piscine. L’endroit était sympa, quoiqu’un peu trop factice pour elle qui préférait les grands espaces. Mais ici, elle était sûre de passer du bon temps, d’oublier brièvement sa qualité de Matriarche des Ondins, et de se comporter comme la jeune femme qu’elle n’avait jamais pu être en public. Une seule invitée se trouvait au bord du bassin. Su Tallulah, pour le plaisir. Puis-je me joindre à vous en attendant notre hôte ? Sans attendre de réponse, elle se dénuda complètement sans aucune fausse pudeur. Son corps était imberbe et sa peau bleutée pouvait faire croire qu’elle portait une combinaison agrémentée de dessins plus sombres, ses tatouages. Elle plongea dans l’eau fraîche avec délices, jouant à aller toucher le fond de la piscine, à onduler sous l’eau cristalline, à surgir de l’eau avec puissance, comme les dauphins et à replonger aussitôt. Elle avait plaisir à créer des gerbes d’eau, des bulles tourbillonnantes qui chatouillaient, des éclaboussures irisées. Quand elle sortit de l’eau, elle avait un franc sourire. C’est agréable quand il fait très chaud ! Je ne peux pas m’en passer, c’est mon second univers. Savez-vous où est Alexia, Tale ?
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Cdt. John Mac Wotek
Respect diplomatique : 863 01/04/1017 ETU 16:12 |
Score : 3
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Tale sortit la tête de l'eau. -Elle a reçu un appel important je crois, elle devait revenir sous peu. A quelques centaines de mètres de là, Mac Wotek n'avait pas manqué de repérer le débarquement de l'ondine et c'est avec un certain plaisir, bien caché derrière sa lorgnette de poche, qu'il la vit se dévêtir intégralement. -Si vous voulez un conseil Su, mettez vous à couvert. Lâcha la chloro qui saisit un rafraichissement qu'elle avait préalablement posé sur le rebord de la piscine.
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Cdt. Lautrec
Respect diplomatique : 416 01/04/1017 ETU 17:24 |
Score : 3
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Bang. Le bruit d'un tir se fit entendre au sein du camps. Il y eut un moment de silence ensuite, sans compter les quelques réactions de la part des amazones quand à ce coup de feu soudain. Emilia avait finalement tentée de déloger son ennemi imaginaire, du moins, sa paranoïa c'était quelque peu calmée, elle avait utilisé un pistolet à plasma et avait tiré un coup en l'air. Peut-être dans l'espoir de provoquer des réactions chez Lautrec, le forcer à sortir de sa planque, s'il était réellement là. Finalement rien, Le Haut chevalier n'avait pas fait la même erreur que Mac Wotek, et heureusement d'ailleurs. Emilia ne portait plus que sa chemise blanche et son long pantalon d'uniforme. Elle tenait sa veste dans ses mains tandis qu'elle se joignait au groupe à la piscine. Ne comptez pas sur moi pour me baigner ou quoi que ce soit, je n'ai rien emmené et je n'en ai aucune envie. Elle s'installa au niveau de la piscine. Les pieds trempant dans l'eau chaude. Assise le long de la piscine. Elle jeta un regard du côté de la matriarche ondine. Je vous reconnais... Vous êtes Su Tallulah? J'ai regardé tout les enregistrement de conseils de Lautrec, vous êtes la chef ondine de mémoire... Elle n'avait pas remarqué Wotek, pas encore, mais connaissant Emilia, ce dernier aurait surement des problèmes majeurs.
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Cdte. Su Tallulah
Respect diplomatique : 294 02/04/1017 ETU 10:17 |
Score : 1
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L’absence d’Alexia n’allait pas entamer la bonne humeur de Su, ni la suggestion cachée de Tale de se rhabiller, ni même les propos sérieux de l’autre femme présente. Rien n’y ferait. Elle était là pour se détendre quelques heures, cela n’était pas arrivé depuis des années -en fait depuis son entrée en fonction en tant que Matriarche des Ondins, réalisa-t-elle- et rien ne la détournerait de son plaisir. Tale, ne soyez pas aussi prude ! Nous sommes entre femmes ici, nous sommes grosso modo toutes taillées dans le même moule. Vous verrez, dans quelques minutes, vous ne vous apercevrez plus que je suis nue. Elle coula un regard vers la femme en chemise et pantalon. Désolée, je ne peux pas vous prêter de maillot de bain, mais vous pouvez m’imiter. Vous allez mourir de chaud si vous ne vous trempez pas un peu. Chez nous, c’est très courant et ce n’est pas de la provocation mais du confort. Ah ! Ne me rappelez ni mes fonctions ni mon grade, s’il vous plait, je suis en vacances. Ici, je suis simplement « Su » si vous le voulez bien. Mais à part ça, vos informations sont exactes. Su commanda un cocktail de fruits jaunes savoureux avec une larme d’alcool blanc qui lui faisait envie sur la carte qu’on lui présenta. Elle ne connaissait aucun nom, mais se renseignerait auprès d’Alexia. Quand elle fut servie, elle leva son verre embué pour trinquer à leur rencontre avec Tale et s’apprêtait à le faire avec l’autre, quand elle s’aperçut qu’elle n’avait aucun rafraîchissement. Vous ne buvez pas non plus ? Puis-je connaître votre nom et celui de votre peuple ? Je vous prie d’avance de m’excuser si vous considérez que je devrais le savoir, mais j’ai peu de temps pour parcourir les archives : mon peuple est en pleine installation dans le secteur et ce n’est pas chose évidente.
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Cdt. John Mac Wotek
Respect diplomatique : 863 02/04/1017 ETU 10:55 |
Score : 1
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Tale secoua la tête. -Justement non... et lui il ne verra que ça.
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Cdte. Alexia Nilsen
Respect diplomatique : 1129 09/04/1017 ETU 10:05 |
Score : 3
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Alexia s’était absenté durant un très long moment. C’en était presque devenu honteux, inexcusable, même ! Mais de toute manière, elle savait que ses amies étaient de toute façon entre de bonnes mains avec ses Amazones. A la limite, ce qui la préoccupait le plus était la présence indésirable d’un certain mâle qui perturbait la tranquillité des lieux. Et même sous l’œil vif de Marpessa, il pouvait se révéler être un dangereux voyeur… On ne bernait pas ainsi un contrebandier si chevronné que Mac Wotek. Malheureusement… Mais Alexia avait plus d’une corde à son arc. Tous ceux qui la connaissait depuis un certain temps ne se seraient jamais frottés à elle. Tant elle pouvait avoir parfois un esprit vraiment sadique. Une véritable peste quoi… Lorsque son tout nouveau vaisseau flambant neuf, grassement payé par les Leems gagnés par le big boom de l’énergie, atterrit, elle s’empressa d’aller piquer une tête dans la piscine. La chaleur était toujours aussi suffocante. Mais l’effort de marcher un peu en valait la peine. Lorsqu’elle passa devant le minibar, elle claqua des doigts pour qu’une des serveuse lui apporte une noix de coco fraîche. Lorsqu’elle vit tout le monde autour de la piscine, son visage s’illumina. Elle fit de grands signes des mains, toute heureuse de se retrouver en bonne compagnie. Hey !! Salut les filles !! Désolée, hein ! J’ai mis un peu de temps a revenir… Piouuu… C’est dur de gérer trente-six mille choses à la fois… Si je pouvais me dédoubler, je le ferais volontiers… Elle n’avait pas encore remarqué la présence de Su. L’Ondine était sans doute entrain de buller sous l’eau et Alexia ne l’avait pas vue . Elle piqua directement une tête et lorsqu’elle revint à la surface, elle se trouva nez à nez avec Su Tallulah. Tout d’abord surprise, Alexia mit quelques secondes à réagir. Mais son sourire ne tarda pas à illuminer son visage une nouvelle fois. Et toute joyeuse qu’elle était’ elle écarta les bras pour l’enlasser. Ah ben j’suis super conte te de te trouver ici ! Comment vas-tu ? Tu te plais ici j’espère ? Bon, c’est certes un ch’ti peu plus petit qu’un océan, mais y’a de quoi faire deux ou trois brasses quand même. Ah ! Et… Aaah ok. Je vois que t’as pris tes aises ma grande ! Oups, désolée de t’avoir serrée si familièrement alors… Je suis habituée a tes combi, et je n’ai pas trop fait gaffe… Maaaiiiss… fais comme chez toi, hein ! Le plus important ici, c’est que tout le monde soit à l’aise ! D’ailleurs, j’irais bien me faire une petite heure massage pépouze. Ca vous dit les filles !? On pourra papoter un peu ensemble ! Et puis, j’sens que j’ai un nœud dans l’épaule… Le stress sans doute… On y go !?
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Cdt. John Mac Wotek
Respect diplomatique : 863 09/04/1017 ETU 15:59 |
Score : 1
Détails
Tale termina son cocktail, avant de se tourner vers Alexia, un air nonchalant sur le visage. -Je crois que les gens d'Andrews ont mis au point de très bonne méthodes de clonage. Très fiable parait-il, mais, pour être honnête, je n'ai jamais eu l'occasion de tester.
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Cdte. Yāolela
Respect diplomatique : 108 13/04/1017 ETU 00:30 |
Score : 2
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Quelques événements internes au peuple de Coēcoātl firent que ce dernier s'absenta de tout débat public pendant un long moment. Mais le peuple de Coēcoātl suit la Chasse et la Chasse est victorieuse. Le peuple de Coēcoātl reprit contact avec Alexia Nilsen qui avait exprimé une sympathie et Yāolela alla lui rendre visite. C'était la première fois qu'elle apparaissait physiquement hors de sa nation. Yāolela était une femme svelte et musclée et de par sa taille et sa tenue, elle imposait le respect. Elle avait gardé sa coiffe animale et portait une tenue sombre, légère, adaptée à la chasse. Deux longues dagues pendaient à sa gauche tandis qu'à sa droite était accrochée une armée étrange de la forme d'un long tube. — C'est la fourrure de Smëhaoï. Ces carnassiers rôdent dans mes jungles.
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Cdt. John Mac Wotek
Respect diplomatique : 863 13/04/1017 ETU 02:12 |
Score : 1
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Tale la salua d'un salut des deux doigt, avant de désigner son maillot de bain. -Et ça c'est du polyamide et de l'élasthanne... on en trouve partout, même dans les distributeurs des piscines.
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Cdte. Abby
Respect diplomatique : 129 13/06/1017 ETU 02:35 |
Score : 4
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Pour la quatrième fois cette année, Abby avait raté son permis de navette spatiale. Le plus difficile n’était non pas d’avoir dépenser des sommes faramineuses en heures de vols, mais de toujours dépendre de papa et maman pour les voyages. Heureusement papa et maman avait besoin de faire une voyage jusqu’à New-Callisto. On leur avait parlé d’un endroit extra pour trouver des pièces de rechanges, même si le gars avait l’air porté sur la piquette, une occasion est toujours bonne à prendre. Il suffisait d’un simple petit détour pour poser Abby sur la planète Ulan. Une planète rien que pour des vacances. Elles en rêvait, c’est maintenant réalité. Il faut bien dire que tout ces examens lui avait filé le bourdon. Ais-je raté mon examen en étude des cycles mercantiles théoriques ? Ais-je réussi mon exam de spéculation arithmétique en domaine auto-gérable. Tant de question que de toute manière n’avait plus la moindre importance maintenant qu’Abby était sur le point d’arriver. Il faut dire que les deux cycles de voyages ont été long dans le van spatiale familiale. Après trente minutes, jouer à DUO™ pendant tout le voyage ne ressemblait plus vraiment à une bonne idée. Tout cella importait peu, plus rien n’importait. Car Ulan commençait à être visible depuis le hublot. La petite planète bleue s’approchait, lentement mais sûrement, pour devenir une grosse planètes bleue. Une grosse planète bleue avec des grandes étendues vertes. L’endroit de rêve. L’atterrissage se passa sans encombres, tout était bien indiqué. Abby en profita même pour noter quelque bricoles pour son prochain essai de passage de permis. Le van spatiale se posa sur une piste d’atterrissage en bois massif. Le genre de chose que devait être très bien entretenu … Ou changer à chaque passage de navette. Quand l’étudiante posa enfin le pied sur le plancher des vaches, la tête de son père dépassa du hublot. Un homme fripée par les rides à la tête étonnamment ronde, ou peut-être était-ce sa moustache broussailleuse qui étonnait le plus. Allez ma petite Byboulette, on te laisse ici, amuse toi bien ! La jeune fille rougit et pinça l’arrête de son nez avec ses doigts P’pa, m’man, me foutez pas la honte devant les gens. Une fois la navette partie, Abby prit le temps d’observer ce qui l’entourait. Une places en bois, monté sur pilotis accueillait les arrivants. Des bicoques servaient de magasin pour des cadeaux souvenir, des smoothie, ou simplement de guides touristiques. Elle avait déjà enfilé son maillot de bain. Un bikini vert pastel avec une veste de sport blanche pour se couvrir un peu, claquettes aux pieds, elle contait vite piquer une tête dans l’eau. Mais avant cella, il fallait répondre aux plus important de ses besoin. La seule véritable force qui pousse chaque être vivant (et surtout les étudiants) à avancer vers son futur. Abby avait grave la dalle. Et comme tout étudiant qui se respecte, plutôt que de manger quelque chose de conséquent pour se nourrir, elle se jetait sur la première cochonnerie venue. La tenancière du bar à smoothie haussa légèrement un sourcil quand une petite blonde surexcité se jeta devant elle à demander un étrange breuvage : Oh toi ma sauveuse ! Sers moi donc un smoothie, si c’est possible, un smoothie goût chocolat … Vanille … Fraise, abricot, menthe, citron vert, poulet, caramel, guimauve, ananas, myrtille, banane, pêche, bambou, avec une toute petite pointe d'origan. C'est ce qui fait tout le goût ! Heu … J’ai pas citron vert … Je te met un citron normal à la place, ça te va ? La jeune fille afficha un grand sourire avant de pointer ses pouces en l’air. Elle n’était pas à quelque nanomètres prêt. Une fois son breuvage en mains, breuvage dont la couleur semblait d’ailleurs venir d’un autre spectre que celui de la lumière, Abby se lança toute penaude dans une petit chemin, elle trouverait sûrement un truc intéressant. Peut-être bien d’autre personnes que ces amazones, elles avait l’air sympathique … Mais Abby se sentait toujours un peu mal à l’aise devant des personnes qui faisait presque de fois sa taille et quatre fois sa largeur d’épaule.
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