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> Le grand bal de Clairvoyance
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Cdt. Hans Stuckart
Respect diplomatique : 896 
01/07/1017 ETU 18:07 |
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Score : 13
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HRP - Indications et directives http://hpics.li/eeb283b Finalement... Près d'un mois après que l'idée eût germée dans les esprits des dirigeants de la coalition Alètheia, le grand bal organisé par la république librianne autonome aurait finalement lieu. Il y avait eu certaines rumeurs comme de quoi il serait annulé et jusqu'aux tous derniers instants, le doute persistât. Le climat politique de Clairvoyance s'était gravement dégradé et beaucoup des chefs-d'états invités se retrouvaient impliqués dans des guerres les uns avec les autres, ce qui donnait à l'événement une atmosphère particulière. Mais avec autant de moyens et d'efforts mis en place pour organiser cet événement, Alètheia avait décidé d'aller de l'avant et de le maintenir. Peu avant 18h00, les lumières extérieures du complexe furent allumées, les membres du personnel rejoignirent leurs postes et la musique commença à jouer... 1er juillet 1017 ETU - Heure locale: 18h00 - Début de la soirée Complexe d'Alexandra Alètheia: http://hpics.li/d4d1ac2 Quelques rares flocons tombaient encore dans la lumière déclinante du soleil couchant d'Alexandra Alètheia. Il avait neigé durant l'après-midi et les jardins à l’extérieur du complexe étaient recouverts d'un tapis d'où quelques statues s'extirpaient avec courage. La grande allée centrale qui reliait l'espace ouvert à l'avant de l'édifice, propice à l'atterrissage des navettes, avait été dégagée pour faciliter l'accès de l'établissement aux invités. Une lumière chaude et invitante filtrait par les grandes portes légèrement entrebâillées. À l'extérieur, des hommes de la garde librianne emmitouflés dans des manteaux de laine noire veillaient. Dans le hall et la salle de bal à gauche de l'entrée, d'autres étaient disponibles pour débarrasser les invités de leurs manteaux et les annoncer. La liste des invités était disponible à l'entrée et des hommes de la garde librianne étaient responsables de veiller à ce que seules les délégations invitées puissent accéder à la réception. Liste des invités: http://hpics.li/b7debcf La salle de bal du complexe d'Alexandra Alètheia était splendide. Magnifique au naturel, construite dans le style classique librian, la décoration et l'éclairage la rendait superbe. Dans un coin de la pièce, un buffet serait servi jusqu'à 22h00, se constituant pour l'heure de bouchées pour mettre les invités en appétit mais d'autres mets plus consistants suivis de desserts suivraient au fil des heures, offrant un vaste éventail de la culture culinaire des peuples membres de la coalition Alètheia. Buffet: http://hpics.li/db6e85c L'alcool n'avait bien sur pas été oublié... Champagne: http://hpics.li/18874de Et en plus des hommes de la garde librianne qui allaient et venaient, portant des plateaux couverts d'amuse-gueules et de coupes de champagne, un coin de la grande salle avait été aménagé pour accueillir un bar contenant des alcools provenant de tous les secteurs ouverts de Clairvoyance. De quoi satisfaire même les goûts les plus exigeants... Rien n'avait été laissé au hasard et tous les moyens avaient été mis en oeuvre pour laisser de cet événement particulier un souvenir mémorable à tous les peuples de Clairvoyance qui y avaient été conviés...
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Cdt. Hans Stuckart
Respect diplomatique : 896
01/07/1017 ETU 18:11 |
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Score : 7
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Dans la grande salle de bal d'Alexandra Alètheia, les délégations libriannes et nécros étaient déjà présente. Tous en tenues de soirée, près du bar aménagé dans un coin de la salle, leurs représentants avaient entamés la conversation. Le président de la république Nécro, Edward Rinzler et son assistant étaient en discussion avec leurs homologues librians. Hans Frédéric Stuckart était bien sur présent, malgré les tensions importantes qui lui occupaient l'esprit. Stuckart: http://hpics.li/f0ea106 À ses côtés, Werner Neumann, diplomate de la république librianne autonome qui avait longtemps travaillé sur le V.D.S. sectoriel se permit un sourire à une blague que l'assistant du président Rinzler venait de lui conter. De la flotte librianne, le capitaine Elsa Kemmer avait été conviée à assister aux festivités à la surface. Elle y avait consentie, ayant même l'air de s'y amuser maintenant qu'elle y était, une coupe de champagne à la main. Mais elle n'avait pas poussée la familiarité plus loin que l'uniforme de cérémonie de la flotte républicaine... Finalement, de manière étonnante, après que Stuckart lui ait demandé d'assister à cet événement, Jessika Mengsk avait acceptée et d'assez bon gré. Réservée, elle gardait le silence mais semblait heureuse d'être là. Jessika Mengsk: http://hpics.li/6ce7a94 Hans Stuckart regarda sa montre, se demandant si beaucoup de délégations seraient présente pour le début de la soirée. Ce genre d'événements voyait souvent des chefs d'état arriver plus tard, question de faire leur entrée au moment de leur choix... Il bût une gorgée de champagne et se forçat à sourire, se tournant vers le président Rinzler et le remercia d'avoir accepté de fournir à Libria des musiciens nécrosiens pour cette soirée particulière. L'orchestre jouerait toute la soirée afin d'égayer les esprits et les cœurs et permettre un bref moment de répit dans les conflits trop fréquents qui agitaient Clairvoyance... HRP: Pour en savoir plus sur les personnages... Portrait - Jessika Hildegarde Mengsk - http://www.cjoint.com/doc/17_05/GEsxDva0B2p_Portrait---Jessika-Hildegarde-Mengsk.pdf Portrait - Elsa Kemmer - http://www.cjoint.com/doc/17_05/GEveywP73Vp_Portrait---Elsa-Kemmer.pdf Portrait - Werner Neumann - http://www.cjoint.com/doc/17_05/GEnpT2za2Kp_Portrait---Werner-Neumann.pdf Portrait - Hans Stuckart - http://www.cjoint.com/doc/17_05/GEgujfNec2p_Portrait---Hans-Fr%C3%A9d%C3%A9ric-Stuckart-1-.pdf
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Cdt. Rinzler
Respect diplomatique : 430 
01/07/1017 ETU 18:16 
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Score : 8
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Edward Rinzler profitait de la soirée, il écoutait la musique joué par les musiciens qu'il avait affrété pour l'occasion, l'ambiance était agréable et il était sur de passer une bonne soirée. Il observa rapidement à travers une fenêtre les vastes étendue enneigée qui ne manquait pas de lui rappeler une ambiance chaleureuse au sein de la salle de bal. Edward Rinzler : http://prntscr.com/fqevp0 Rinzler se tourna rapidement vers son assistant Lucas. Profite bien de la soirée surtout et profite en pour rencontrer du monde, d'accord ? Lucas acquiesça et retourna discuter en compagnie des représentants librians. Rinzler en profita pour rapidement se glisser dans le groupe avant de prendre la parole. J'ai une blague messieurs, c'est l'histoire du plus grand illusionniste du monde, quand il entrait dans une salle, il disait "dormez !" et tout le monde dormaient, puis quand il disait, "riez !", tout le monde riaient. Rinzler attendit quelques instants de suspense avant de finir sa blague. Et puis finalement un jour, il a pris son pied dans une chaise et la il dit, "MERDE !" et il a fallu deux semaines pour nettoyer la salle ! Les personnes présentes autour de Rinzler esquissèrent un sourire en entendant la chute de la blague, Lucas quand à lui éclata de rire. Son verre vide, Rinzler s'excusa et partit s'en servir un autre. Son regard se tourna en direction de la porte d'entrée, la soirée venait de commencé et en attendant, il lui fallait trouvé une occupation. Il aperçut alors Jessika Mengsk, c'était la première fois que Rinzler la rencontrait et les circonstances le poussait à venir lui parler. Remarquant que celle ci venait de finir son verre, il en profita pour lui en proposer un nouveau qu'elle accepta aimablement. Il lança une discussion avec celle ci en attendant l'arrivé des premiers invités.
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Cdte. Mina Shadow
Respect diplomatique : 151 
01/07/1017 ETU 18:37 |
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Score : 8
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Elle tourne en rond dans son bureau, telle une lionne en cage, sous le regard amusé de John, chef de la sécurité et ami de toujours. Mais pourquoi, pourquoi j’ai accepté cette invitation ! J’sais même pas danser en plus, non mais quelle loose ! Il faut savoir faire des sacrifices ma chère. Il est essentiel que le peuple Allantien soit représenté à ce grand événement mondain. Oui, mais là quand même, mettre une robe, danser, faire des sourires, parler à des inconnus, raaah, la mort à côté semble plus douce ! John éclate de rire Allez, file te préparer, je termine les derniers préparatifs de la navette. Il la regarde partir en se disant que confier la représentation et la diplomatie de leur peuple à un bal à cette sauvageonne, c’était pas forcément l’idée du siècle. Elle ouvre tous les placards de sa chambre, essaie dix robes, les abandonne par terre, s’emmêle encore plus les cheveux en essayant de les coiffer...Elle n'est ni habillée ni coiffée quand la voix de John lui parvient. Mina, c’est l’heure ! Oué, oué, on m’a toujours dit qu’il fallait pas arriver pile poil à l’heure mais se faire attendre ? Hein, quoi, ça ne vaut que pour les personnalités de qualité ? Si tu arrives tôt, tu te feras moins remarquer en arrivant. Hmmmm moué, ça s’discute comme stratégie mais soit, j'arrive tout de suite ! J’pourrais p’t’être choper la meilleure cachette de la salle de bal pour observer discrètement. 1h plus tard, ils montent enfin dans la navette. En arrivant devant le complexe, elle est évidemment impressionnée par la taille du lieu (une autre taille à compenser se demande-t-elle ?). Heureusement que John est là pour la tenir par le bras, sinon elle aurait sans doute fait demi-tour en courant. Ils suivent les indications qui leur sont données pour rejoindre la salle de bal et arrivent enfin. La salle est évidemment aussi grandiose que le reste. Elle cherche du regard un visage connu.
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Cdt. Saul
Respect diplomatique : 77 
01/07/1017 ETU 19:24 |
Score : 9
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A bord de la navette qui le conduit du spatioport jusqu’au complexe d’Alexandra Alètheia, le Grand Confesseur Saul d’Alessio frissonnait. C’était en ce moment la saison chaude, à la Nouvelle Ascalon, et ses couturiers avaient redoublé d’effort pour dégarnir sa tenue cérémonielle autant que faire se peut. Mais rien de tel ici. Saul avait troqué ses habits traditionnels pour un costume plus adapté à l’occasion : redingote d’un blanc crème par-dessus un gilet écarlate, haut-de-forme assorti et resserré d’un bandeau et élégantes bottines en cuir beige. Un style très vieille époque, comme il en avait vu dans les documentaires d’époque, mais qui contrastait au moins avec ses habituels accoutrements cérémoniels autant qu’avec le style plus urbain qu’il avait abordé lors de sa jeunesse, quand il zonait dans les venelles de Janthir. Son épais manteau de fourrure ne suffisait pas toutefois à le réchauffer correctement et il lança un regard envieux à Xera, assise en face de lui. La Grande Inquisitrice avait réussi le tour de force à garder une robe qui conservait la coupe de sa tenue habituelle tout en alliant l’élégance et la distinction que l’on attendait d’une robe de bal, quoique d’une tendance plus moderne que lui, incontestablement. Son rouge à lèvres sombre mais éclatant et le léger mascara noir dont elle avait fait usage, couplés à sa sévérité naturelle et son décolleté laissant deviner ses formes généreuses sans en révéler trop… Tout cela donnait à Xera l’image stéréotype de la femme fatale, incroyablement séduisante mais à l’aura beaucoup trop sulfureuse pour beaucoup. Elle en jouerait sans doute, quand bien même Saul d’Alessio savait que ce genre de distractions n’était pour elle qu’un jeu, si ce n’est un outil au service de ses ambitions. Saul ne pouvait que plaindre ses futures proies de ce soir. Et elle semblait totalement indifférente à la température qui régnait à bord, à la plus grande frustration du Grand Confesseur. « Je me demande comment vous faites, Xera. Le froid semble avoir aucune prise sur vous. Comme si organiser une Conférence en plein dans les montagnes ne vous avait pas suffit… » Pour toute réponse, elle lui esquissa un sourire complice. Il repensa avec mélancolie à l’invitation au final non aboutie qu’il avait fait à la Reine de Céphée. Quand bien même son invitation n’était qu’un jeu, sans doute pour taquiner quelque peu leur hôte, il aurait apprécié une compagnie qui le changerait un peu des dignitaires habituels du Blanc Manteau. Quant aux autres rencontres faites jusqu’ici… Il faut croire que nains et dorniens ne constituaient pas la compagnie la plus agréable et encore moins la plus intéressante qu’il soit… La navette arriva en vue du complexe Alexandra Alètheia et Saul observa avec attention le bâtiment, si différent de ce que l’on trouvait en la Nouvelle Ascalon. Son peuple tout entier avait toute une culture à se rebâtir. Chassant ces pensées de son esprit, il aida Xera à descendre de véhicule avec toute la galanterie qu’il convenait et présenta leurs cartons d’invitations à l’entrée. Si Xera était vraisemblablement attentive à tout ce qu’elle voyait ici – protocole, sécurité, et même architecture et décoration – elle n’en laissait rien paraître et affichait un air d’indifférence la plus profonde. Les représentants du Blanc Manteau arrivèrent dans la salle de bal et Saul en eût le souffle couplé. C’était comme dans les vieux holo-discs qu’il se regardait dans son vieil appartement de l’époque, avec les costumes, les dorures, l’orchestre… Un nouveau monde qu’il savait devoir aborder un jour ou l’autre, mais auquel il ne s’était pas préparé. Retrouvant sa contenance, il adressa un discret signe de tête aux quelques dirigeants présents qu’il reconnaissait de leurs interventions à l’Assemblée et se dirigea vers le buffet. On lui servit une belle coupe de champagne et il en dégusta longuement les premières gorgées. Xera quant à elle semblait s’être orientée vers le buffet et semblait déjà avoir attiré l’attention de quelque malheureux. Le Grand Confesseur se retourna vivement pour commander un nouveau faire, et, dans sa précipitation heurta le convive le plus proche sur lequel il renversa le fond de son verre. « Oh, toutes mes excuses…. » bredouilla-t-il en relevant la tête.
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Cdte. Abby
Respect diplomatique : 129 
01/07/1017 ETU 19:56 |
Score : 8
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Le vaisseau d’Abby se posa enfin. Un petit vaisseau diplomatique qui avait été préparé pour l’occasion. Quelques vétéments lui avait été préparé par Eureka Industries, elle n’avait que l’embarras du choix. Elle prit une robe puis s’emmitoufla sous une grosse veste de fourrure. Lors qu’enfin elle sortit de la navette pour se diriger vers le hall, elle fut surprise par le froid mordant. Peut-être qu’un seul manteau de fourrure n’était pas assez, mais elle se voyait mal se présenter devant tout le monde avec ses chaussette de laine, son tricot et son pull-over. Tans pis, elle survivrait à ces quelques mètres dans le froid … Peut-être ? Punaise, il nous à prévenu pour l’hiver l’aut’, il à oublié de dire que c’était l’age de glace aussi. Se marmonnait Abby à elle même pendant le chemin. Elle entra enfin dans le hall. La salle de bal était grandiose, mais Abby étant légèrement inculte, elle n’en avait aucune idée. Elle se contentait simplement d’admirer une salle gigantesque qui brillait de mille feux. Un homme Librian vint lui prendre son manteau. Une fois la fourrure retirée, Abby était habillé d’une robe légère rouge qui se terminait juste au dessus de ses genoux. Elle avait aux pieds des escarpins de la même couleurs. Ces cheveux était attachés en une queue de cheval qu’elle faisait passer par dessus son épaule. Elle observa les alentours et les invités. Un bar, des types en costume, à manger, des types en costume qui jouent de la musiques. Personnes quelle ne connaissait vraiment. Ceci dit, elle ne connaissait personne dans la galaxie. Elle s’apprêta à jeter son dévolu sur le buffet quand soudain : Oh, toutes mes excuses…. Les joues d’Abby avait viré au pourpre. L’homme mal-adroit qui avait renversé son verre était un grand homme habillé presque uniquement de blanc. Ne vous inquiétez pas, ça va partir … Tout comme ma caution. Elle prit une serviette qu’on lui tendait et tentait de rattraper les dégâts. Cella faisait quelques minutes qu’elle profitait du bal et la voilà déjà dans une situation embarrassante. Après avoir épongé ce qu’elle pouvait, une petite marque était toujours visible. Abby espérait du plus profond d’elle même que ça allait VRAIMENT partir. Elle regarda l’homme et lui offrit une poignée de main. Abby, et vous êtes ? Elle essaya de se reprendre et lui offrit son plus beau sourire. Après tout, elle était entourée de diplomates et de chefs d'état. Il fallait faire un minimum bonne impression.
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Cdt. Saul
Respect diplomatique : 77
01/07/1017 ETU 20:36 |
Score : 7
Détails
Encore confus de sa maladresse, Saul aida tant bien que mal la jeune femme à réparer les dégâts. Par chance, elle ne semblait pas issue d’une quelconque aristocratie pour qui un tel incident aurait sans doute été une raison solide pour une crise diplomatique. En fait, elle semblait même plutôt du genre spontané. Saul s’essuya sa main moite d’alcool renversé puis saisit celle tendue par son interlocutrice. Il lui rendit un sourire aussi chaleureux que possible. « Permettez-moi de vous éviter le protocole, Abby. Appelez-moi simplement Saul. » Le personnel s’était déjà pressé pour éponger le bord de nappe rendu humide par la boisson et un serveur proposa à Saul une nouvelle coupe. « Mes excuses pour la robe. Je suis votre obligé. Voudriez-vous prendre un verre en ma compagnie ? Il faut absolument que vous me disiez comment me rattraper de cette maladresse. D’où venez-vous, au fait, mademoiselle ? Malheureusement je ne crois pas avoir reconnu votre accent. »
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Cdt. Rinzler
Respect diplomatique : 430
01/07/1017 ETU 21:18
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Score : 8
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Sebastian Stavro Blofeld, l'adjoint de Rinzler avait entendu parler de la tenue d'un bal de coalition qui se tiendrait. Celui-ci se trouvait plutôt vexé de ne pas être invité compte tenu de son poids politique dans les décisions de la République Nécro. Il eut soudainement un éclair de génie, Rinzler voulait qu'il reste sur la capitale pour s'occuper de la politique planétaire, alors il n'avait qu'à temporairement définir un remplacent. Il ne s'attarda pas sur le caractère inhabituel et anormal de sa décision et désigna d'office un député au hasard dans l’hémicycle planétaire qui se chargerait d'incarner le visage de la République de Nécro temporairement, Sebastian quand à lui ferait la surprise à Rinzler en arrivant au bal. Compte tenu de l'heure à laquelle Sebastian était parti, il arriverait très peu de temps après le début du bal … Un peu plus tard sur Alexandra Alètheia Sebastian arriverait maintenant dans une dizaine de minutes et Rinzler riait et conversait avec les représentants librians sans se douter de la personne qui débarquerait dans l’enceinte du bâtiment très prochainement. Rinzler jeta rapidement un coup d’œil aux invités présent, il apercu soudainement un visage bien familié, c'était Mina Shadow, la gouverneur du peuple Allantien, il hésita quelques instants avant de l'aborder, elle était si belle … Après quelques instants de réflexion, il sentit quelque chose le pousser en direction de Mina, il jeta un bref coup d'oeil, c'était l'ambassadeur Stuckart qui lui donnait un coup de pouce dans sa réflexion. Rinzler se retrouva face à face avec Mna Shadow, il la regarda quelques instants, c'est ce moment que choisis un serveur librian pour passer, un plateau avec plusieurs coupes de champagne posé dessus. Rinzler saisit l'occasion, il attrapa un verre dans une acrobatie l'amenant à faire un tour sur lui-même à 180°, la seconde d'avant, Rinzler se tenait face à Mina, gêné, mais la seconde qui suivait, il tenait un verre qu'il tendit à Mina un sourire enjôleur et un regard ténébreux. Heeyyyy, heureux de te rencontrer dans euh ben la réalité haha |
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Cdte. Mina Shadow
Respect diplomatique : 151
01/07/1017 ETU 21:57 |
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Score : 7
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Elle gigote et tire inconsciemment sur sa robe, mal à l’aise. Mais arrête de gigoter ! Mais j’gigote pas ! Mais si, détends-toi, et si j’allais te chercher à boire ? Elle lui lance un regard horrifié ! Quoiiii ! Tu voudrais me laisser toute seule ici, mais ça va pas la tête ! Il n’entend même pas la fin de sa phrase et se dirige vers le bar en rigolant. Elle s’apprête à le suivre en marmonnant « Pffff tous des lâcheurs...» quand elle se retrouve soudain face à un visage connu qui l’observe. Elle n’avait encore jamais eu l’occasion de voir Edward en vrai et en profite pour le détailler entièrement lorsqu’il a l’excellente idée de faire un tour sur lui-même. Oui, vraiment pas mal du tout ! Elle ne peut s’empêcher de rougir de ses pensées quand elle voit qu’il la regarde et lui sourit. Elle attrape le verre qu’il lui tend pour reprendre contenance et lui sourit à son tour. Hey ! J’avais tellement hât... heu je suis ravie de faire enfin votre connaissance en vrai, après toutes nos discussions. Le cadre est vraiment parfait. Elle tripote son verre gênée, dieu qu’elle déteste ce genre de situations.
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Cdte. Alyse Niflheim II
Respect diplomatique : 645 
01/07/1017 ETU 22:50 |
Score : 10
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Alyse était confortablement installée dans le ventre doré d'une navette impériale. Elle s'était déplacée seule, voyageant en parfaite indépendance de ses Exarques et effectuant le trajet dans un unique croiseur de bataille. Les flottilles d'escorte impériales s'étaient arrêtées à la frontières. Peut-être était-ce à cause du caractère quelque-peu tendue de la situation géopolitique de la galaxie, peut-être était-ce simplement lié à un désire de se détacher de l'image ouvertement militariste qui semblait se dégager de l'Empire de Verre. Le croiseur s'était stoppé en orbite haute d'Alexandra Alètheia, avait attendu de recevoir les autorisations nécessaires pour enfin laisser s'échapper la silhouette élégante de la navette qui allait déposer sa majesté impériale sur la planète. Alyse avait attendue avec la patience inépuisable d'un corps mort étendu dans un cercueil. Son regard fixé un écran retransmettant des images prise depuis le blindage du véhicule. Monde froid. Ce constat lui réchauffa le cœur. Elle aimait ce genre de climat. "Nous y serons bientôt." L'Impératrice cligna des yeux et se tourna vers l'origine de la voix, fixant l'amiral Teclys Blint. Une petite fée était posée sur son épaule. Un tout petit être pensant, grand comme un rien et plus fragile encore. Elle avait quelque-chose de délicieusement baroque dans sa manière d'être à la fois belle, morbide et pourtant très harmonieuse : Un casque couvrait son crâne ainsi que le haut de son visage et des tubes s'infiltraient sous sa peau. Bien que plutôt esthétique, sa combinaison laissait deviner qu'elle n'était plus tant chair que chrome. Alyse, pour sa part, ressemblait un peu à une poupée ou une à morte de tableau classique : Sublime, d'une beauté outrepassant les standards habituels, mais indéniablement vide de toute expression. Elle ne souriait pas, sans pour autant faire la moue, et son regard d'or, élégamment souligné par une quantité minime de maquillage, n'exprimait plus la malice calculatrice qui s'y exprimait d'habitude. "Vous savez, amiral, cette situation, dans son ensemble, me rappel une histoire." "Quel est-elle, majesté ?" "C'est un livre, je crois me souvenir qu'il tire ses origines de Vieille Terre, mais les Kaiserdiens avaient écrits une version qui leur était propre. Il y était question d'un groupe d'individus aussi fortunés que possible, se rassemblant lors d'une réception mondaine alors que la guerre et la peste ravageaient leur pays. Je ne me souviens plus des détails la morale et de sa formulation, mais un homme habillé de rouge finissait par leur rendre visite, pour leur plus grand désarroi." "Le Roi Écarlate, majesté ?" L'Impératrice fronça les sourcils et soucoua la tête. Cette-fois, elle souriait bien. "Bien-sûr que non, amiral. La mort." ___ On ne né pas Alyse. Et même en l'étant, aux yeux du publique, sur une base quotidienne, être Alyse nécessite un travail constant, composé entre-autre chose de divers rituels quotidiens. Si l'on disait qu'il n'y avait pas de héros pour un valet, en d'autres-termes qu'il n'y avait pas d'Alyse pour ses femmes de chambre, l'Impératrice avait prit une décision capitale : Elle serait Alyse pour tous. Pour elle, en premier lieu, pour le peuple et les politiciens, évidemment, et pour ses valets. Plus que tout pour ses valets. Ainsi-donc, chaque matin, elle devenait Alyse. Elle se regardait dans une glace, auscultait son visage, ses traits, les détails de ses gestes, de ses moues, de ses expression, étudiant les variantes, les changement et, enfin, sculptait cette sorte de terre meuble et fertile qui lui servait de visage pour, enfin, devenir Alyse. Elle se créait une carrure, une allure, une apparence. A l'occasion de la réception, Alyse avait décidée d'être autre-chose. De rester elle-même, mais de différer sur quelques subtilités. Le moule était le même, tout comme la matière première, mais la recette subissait quelques variations. Ainsi, la robe diaprée, la couronne et les bijoux avaient disparus, métamorphosés. L'Impératrice de Verre avait opté pour un ensemble qui la rendrait plus accessible : Bottines sombre, redingote s'approchant un peu de la robe et à la coupe empruntant tant au classicisme qu'aux styles plus modernes. Des aplats bariolés de rouge et de noir structuraient l'habit, lui donnant un air moins "grave", plus festif. Elle s'était inspirée d'archives où sa descendante lointaine, celle-là même qui avait créée l'Empire, s'était trouvée dans une situation assez similaire à la sienne. Après tout, quand on ne sait pas comment passer une épreuve, autant copier ses prédécesseurs. Lorsque la navette fut posée, Alyse en sortie seule. Enfin, pour être tout à fait exacte, la fée s'était posée sur son épaule, mais pour l'Impératrice de Verre, celle-là n'était pas un être pensant digne de ce nom. C'était plus une sorte d'I.A organique. En d'autres termes, un objet. Elle marcha dans la neige, se stoppant à mi-chemin pour gouter plus longtemps à cette ambiance si particulière. La nuit qui commençait, le silence glaçant d'une obscurité neigeuse, la blancheur apaisante des flocons, le froid qui la mordait, faisant rougir sa peau... Et cette musique, ces voix, face à elle. L'Impératrice de Verre ferma les yeux quelques secondes, ignorant les gardes qui pouvait la voir, inspira longuement et se remit en marche. Son habituel demi-sourire et son regard scrutateur étaient de retour sur son visage. Oui, cette soirée allait sans doute être un moment plutôt agréable. Une fois à l'intérieur de la structure qui accueillait le bal, Alyse jeta un rapide regard circulaire à la pièce, enregistrant rapidement l'emplacement des différents points d’intérêt et des commandants qu'elle devrait ensuite aller saluer. Finalement, elle décida de commencer par les maîtres des lieux. Ainsi-donc, l'Impératrice de Verre se dirigea vers les Librians. "Ambassadeur." Elle eut une bref moue où s'exprimait un mélange de gêne et de complicité. "Je suis heureuse que vous ayez prit la décision de maintenir cette rencontre."
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