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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 21/09/1017 ETU 09:16 |
Score : 4
Détails
Capitale galactique. Le soir tombe, sur une grande place à ciel ouvert. Peu éloignée des bâtiments administratifs de l'assemblée proprement dite, c'est une zone résidentielle avec des bars, des terrasses qui se vident doucement avec l'arrivée de la fraicheur nocturne. Ici, les problèmes politiques sont encore étrangers: les habitants font comme ils peuvent pour vivre leur vie, quelles que soient les règles des gouvernements successifs. Tout ces gens importants de l'assemblée doivent manger, dormir... et ici vivent ceux qui travaillent à leur service. Un flash de lumière verdâtre. Pourtant, pas de véritable nuage en vue. Et certainement pas vert. Les passants haussent les épaules: probablement un écho venant des défenses planétaires, qui concerne les gens de l'assemblée, mais pas eux. Sur un coté de la place, un type avec un micro et un ampli portatif. Il porte une chemise colorée, un pantalon beige, un peu ample, et des sandales de cuir. Il fait touriste, car sa peau est pale dans des vêtements adaptés à une plage ensoleillée. Il regarde autour de lui, rapidement. D'une main, il repousse une mèche de cheveux, et de l'autre, il approche le micro. Il commence doucement. Les passants s'écartent à peine. "Au bout du téléphone, il y a votre voix Et il y a des mots que je ne dirai pas. Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres." Le son monte doucement. Un type jette une pièce, qui rebondi sur la jambe du chanteur. Un hochement de tête, et un nouveau flash: derrière le chanteur, un clavier et son claviériste cagoulé sont apparus. "Je voudrais vous les dire et je voudrais les vivre Je ne le ferai pas, je veux, je ne peux pas. Je suis seul à crever et je sais où vous êtes. J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître." Les gens s'écartent, mais au loin d'autres se rapprochent. Quelques pièces sont encore lancées, mais comme les musiciens n'ont pas l'air de s'en soucier, la tendance s’arrête d'elle même. Quelques personne dodelinent de la tête. Nouveau flash. Une silhouette apparait avec une guitare, ou une basse, ou un banjo, je n'ai jamais su la différence. En tout cas, on dirait que le musicien a un peu trop de doigts, et qu'ils ont certainement une couleur anormale. Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien. Je voudrais arriver, je reste, je me déteste. Je n'arriverai pas, je veux, je ne peux pas. Encore un flash. Deux autres musiciens sont apparus, mais ils ne jouent pas tout de suite: ils frappent dans les mains, pour entrainer ce qui est devenu une petite foule. Je devrais vous parler, je devrais arriver ou je devrais dormir. J'ai peur que tu sois sourd, j'ai peur que tu sois lâche. J'ai peur d'être indiscret, je ne peux pas vous dire que je t'aime. Flash. Flash. Flash. Pour changer, c'est une scène de bois qui est apparue, surélevant les musiciens d'un petit mètre. Et quelques spots lumineux décorent l'ensemble. Tout s'éteint. le chanteur, la musique, les lumières s'arretent. Et tous reprennent d'un coup. Fort. Mais si tu crois un jour que tu m'aimes Ne crois pas que tes souvenirs me gênent Et cours, cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver. Si tu crois un jour que tu m'aimes et si ce jour-là, tu as de la peine À trouver où tous ces chemins te mènent, viens me retrouver. Si le dégoût de la vie vient en toi Si la paresse de la vie s'installe en toi, pense à moi, pense à moi. Mais si tu crois un jour que tu m'aimes Ne le considère pas comme un problème Et cours, cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver. Si tu crois un jour que tu m'aimes, n'attends pas un jour, pas une semaine Car tu ne sais pas où la vie t'emmène, viens me retrouver. Si le dégoût de la vie vient en toi Si la paresse de la vie s'installe en toi, pense à moi, pense à moi. Mais si tu.... Sur la partie instrumentale, le chanteur, qui s'agitait déjà pas mal, pose négligemment son micro et son ampli, et danse comme un possédé. Il saute, il tourne, il court d'une coté à l'autre de la scène... Doucement, la musique meurt. Le chanteur se penche, pose les mains sur les genoux, et inspire un bon coup. Puis, il se dirige vers un micro sur pied, apparu dans un des derniers flash. "SSAAALUT, CLAIRRRRVOYAANNNCE!! J'm'appelle Mael, et j'suis très content d'être là! Paaaarce queeeee... je viens... d'une AUTRE GALAXIE! WOOOOUUUHHOOUUU! Un tas d'autre galaxies, même si c'est pas important! Et j'suis là pour faire la FETE AVEC VOUS! On a beaucoup à faire, pour apprendre à se connaitre... et l'bon plan, c'est de partager des grands moments! Parceque pour le moment, on est rien que des commandants sans planètes. Rien grand chose que des hommes et des femmes inoccupés... Faudra s'occuper de la paperasse, répondre aux questions... gnagnagna.. Mais une chanson peut vous en dire beaucoup sur l'ame d'un gars! Alors en avant, je me lance! Ecoutez moi bien celle là! Il fait un signe de tête au guitariste, qui attaque un accord. puis un blanc. Puis ce dernier déroule la mélodie... et Mael chante. La place est maintenant remplie de monde, essentiellement des anonymes, mais on sent la présence d'officiels, plus ou moins importants. Alors que la chanson s'achève, Mael s'éloigne doucement de l'avant de la scène. Les lumières s'éteignent un instant, puis la musique s’arrête complètement. La lumière revient immédiatement, mais recentrée sur un autre musicien, qui prend un micro pour la chanson suivante... Pendant ce temps, les services de sécurité de la capitale, quels que soient leurs noms, s'organisent.
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 21/09/1017 ETU 09:43 |
Score : 2
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Un bruit d'arme à feu retentit et fait cesser la musique. Le colonel Eldarion de la nation dornienne vient de rentrer. Il regarde d'un air méprisant Maël et Nilsen, ainsi que tous les nouveaux arrivants, puis prend la parole : "Petit merdeux, je pensais que ta geôle en Révolution t'avait rendu fêlé mais pas à ce point. Alors maintenant tu vas m'écouter. Tu montres ton petit cul chez nous et je te butte ok ? C'est bien clair ? Il finit par un sourire machiavélique et se tournant vers Nilsen reprit : "Tu vois ? Même avec le sourire"
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Cdt. Gimli II le Grand
Respect diplomatique : 125 21/09/1017 ETU 09:46 |
Score : 2
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*** Communiqué du Peuple Nain *** De par le Roi, Nous offrons une forte récompense à celui qui nous ramènera la tête de ce fou dangereux, malgré l'interdiction de la despote de le toucher, cela fera un jolie ornement dan sles toilettes royales !! Légolas, Grand Intendant.
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Cdte. Alexia Nilsen
Respect diplomatique : 1129 21/09/1017 ETU 11:35 |
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Score : 1
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Ruelle - Game of Survival : https://youtu.be/-T5eYF9WiRI Dès que le coup de feu retentit sur la grande place de l'assemblée, la foule effrayée et paniquée commença à se disperser. Il ne restait plus que les Dorniens et le groupe de musiciens. Rapidement, les forces de l'ordre indépendantes de la Capitale encerclèrent les Dorniens, rapidement suivis des militaires Céphéens. Plusieurs chasseurs de combat encerclaient la place prêt à tirer. Tous restèrent ainsi durant plusieurs minutes, le temps que la Reine Céphéenne, Alexia Nilsen, arrive en personne sur les lieux de l'incident. Elle portait simplement un débardeur noir et un mini short. Elle avait les mains dans les poches, et une cigarette aux lèvres. Elle resta à regarder les Dorniens d'un air nonchalant, tirant une nouvelle bouffée de fumée sur sa clope. Eh les Tintins... Ouais vous le groupe d'idiots, là... Vous aimez vivre dangereusement, dites... A votre place, je ne ferais pas les loubards, ces types après avoir combattu Verre si longtemps, ils sont devenus un peu tarés et ils ont la gâchette facile... J'serais pas responsable si vous faites encore les cowboys. Ici, les lois de la planète s'appliquent pour tout le monde et tirer dans les rues est interdit par la police locale... Vous feriez mieux de me remercier de vous envoyer une escorte jusqu'à votre vaisseau sans que vous ne vous retrouviez direct à la case prison au milieu de violeurs et des camés... Donc maintenant tu prends tes cliques et tes claques, tu retournes chez toi et tu ne fais plus chier. Sinon, c'est moi qui m'en charge personnellement... J'en ai bouffé des bien plus coriaces et ils ont détestés... Et je te le dis avec un grand sourire, connard ! Alexia claqua des doigts et les militaires Céphéens se mirent en position pour évacuer les Dorniens. Elle se retourna vers l'homme au micro, le toisant de la tête aux pieds. Elle tira une dernière taffe sur sa cigarette avant de l'écraser au sol comme si de rien n'était. Elle ne dit aucun mot, fixant intensément l'homme qui répondait au nom de Maël dans les yeux. Et puis toujours sans rien dire, elle tendit sa main vers l'homme. Et dire que ces types flippent à cause d'un gars comme toi... Ha ! Vraiment ridicule... Laisse tomber la musique et suis moi. Alexia tourna le dos à l'étranger et marcha devant, ne se souciant pas de savoir si l'homme allait la suivre ou non.
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 21/09/1017 ETU 13:26 |
Score : 1
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"Ah ah ah ah ah" Eldarion s'était mis à rire devant ce piètre étalage de force. Il répondit donc : "Mais ma pauvre gourde, je suis Ambassadeur en chef de ma nation ici, tu n'as donc aucun droit de me toucher, absolument aucun. D'ailleurs, je vais m'installer dans le coin, j'ai l'impression que l'on va s'amuser ici. Ah et désolé si un tir en l'air effraie les lopettes administratives de ton administration la tyran hein, mais franchement, j'en ai absolument rien à faire. Le Maréchal Verinus connaît très bien ce Maël, ainsi que ses méthodes de discussions. Seul un événement hors du commun pouvait arrêter ce clown."
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Cdt. Mael
Respect diplomatique : 1034 22/09/1017 ETU 11:21 |
Score : 1
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Pendant toutes ces discussions et autres roulements d'épaules, Mael souriait bêtement. Au moment du coup de feu, il s'était rapidement regardé et tâtonné si il n'avait pas un nouveau trou quelque part, puis il avait attendu. Comme tous les autres musiciens, sauf la violoniste, qui tenait une note... Lorsqu'Alexia l'interpelle, il hausse les sourcils, et sourit encore plus largement. Il se dandine d'un pieds sur l'autre, n'osant pas trop bouger. il regarde Les musiciens, Alexia, puis les musiciens. Hochement de tête. Il tend la main gauche, lève deux doigts, et articule silencieuxement: DEUX MINUTES SIEUPETE JARIVE. ou quelque chose comme ca. Il se tourne vers son groupe, bat la mesure du pied, en attendant qu'on lance la chanson suivante.
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Cdt. Horazio.
Respect diplomatique : 274 22/09/1017 ETU 11:46 |
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Score : 4
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Le contre maitre ...Tel était son surnom, un toit d'immeuble, suivre Maêl n'avait pas été difficile dans le fond, vétu d'une chemise blanche, un pantalon gris bien taillé, la quarantaine, un peu corpulent mais sans plus, des bretelles et un borsalino sur la tête, de fines lunette rectangulaires sur le nez, uun sempiternel sourire sur le visage, on lui aurais donné le bon dieu sans confession, il avait monté son matériel sur le toit Un fusil a lunette entièrement informatisé... il visait en effectuant tout un tas de réglages sur un clavier d'ordinateur connecté sur le fusil lui même monté sur un trépied... il visait Maël depuis un petit temps déjà, dans son viseur un hud, un système lumineux de petits losange vert, le deuxième étant rouge...il suffisait d'attendre que le viseur devienne vert pour tirer, l'ordinateur calculant la vitesse des moindres mouvements de la cible, ainsi que la vitesse de la balle mais il n'y avait plus besoin du hud, le pointeur visuel sur l'arrière du crane de Maël, une balle vrillante .... Le contre maître vit Maêl se retourner pour une autre chanson sans doute......une cible idéale, Il n'en aurais pas le temps BANG ! __________________________________________________________*
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Cdt. Oberyn Martell
Respect diplomatique : 215 22/09/1017 ETU 11:57 |
Score : -6
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Eldarion était à côté, entouré de ses gardes armes à la main. Lorsque le Bang retentit et que Maël s'effondra, ils se regardèrent entre eux se demandant qui avait tiré. Puis, ils cherchèrent autour d'eux alors que les gardes céphéens se précipitaient autour de son corps. Eldarion eut le temps de voir un trou dans la tête, un tir précis, net, tiré par un professionnel à l'évidence. Il regarda un garde et dit : "Lieutenant, transmettez à nos alliés la mort du premier tyran de notre liste, et le plus dangereux. Et faites savoir quel sort attend les autres membres de la liste." Nilsen le regarda avec reproche, mais Eldarion, tout aussi surpris, n'avait pas le sourire. Il dit au lieutenant : "Trouvez qui en est à l'origine, il faut l'évacuer d'ici au plus vite avant qu'il ne soit exécuté." Il regarda de nouveau la dépouille de Maël, sourit, et se dit que cela ne faisait que commencer.
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Cdt. Horazio.
Respect diplomatique : 274 22/09/1017 ETU 12:12 |
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Score : 0
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La stupeur .... un homme tombe la tête en sang, des cris de peurs, d'horreurs, d’où est venu la détonation ? ¨Personne ne le savait, certains regardant en l'air, d'autres regardant le cadavre gisant par terre... une tache rouge s'élargissant, les soldats regardant de tous coté sans rien voir .....une panique indescriptible, des policiers qui surgissent et tente de maitriser la populace... Sur le toit le plus tranquillement du monde, le contre maitre démontant calmement son matériel, une fois fini il quitta les lieux tranquillement ...
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Cdt. Horazio.
Respect diplomatique : 274 22/09/1017 ETU 12:11 |
Score : 0
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dans un coin d'ombre un autre homme regardait tout cela, le sourire aux lèvre, Mike Zardo venait d'arriver trop tard pour faire la besogne lui même, il se demanda qui avait fait le travail avant lui mais quel qu'il soit, même si il en avait une petite idée, il le respectait.... Y a pas a dire ! du travail net et sans bavure.... Il reconnut alors Yola Michaïlovitch, une autre tueuse, elle le vit aussi la blonde aux cheveux en pointe lui fit un petit signe de tête, pour elle, même contrat.... Qu'elle n'aurait pas a remplir vu que le travail venait d'être fait... d'un regard échangé, silencieux ils comprirent .... ils s'éclipsèrent chacun de leurs cotés ......
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