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Cdt. royder44
Respect diplomatique : 14 
23/06/1014 ETU 21:03 |
Score : 10
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alors nous étions absent un traître nous a volés notre planète nous ne lui voulions aucun mal et ne lui avons rien fait. Nous aurions besoin d'aide sinon notre espèce va disparaître. Mesdame et messieurs les commandants nous avons besoins d'aide de toute urgences. nous n'avons plus de planète et notre flotte est petite car nous sommes un peuple pacifique mais la nous allons nous battre contre le tyran Adrastee
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Cdt. Joachim Hoepner
Respect diplomatique : 436 
23/06/1014 ETU 21:21 |
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Score : 12
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Trame sonore suggérée: https://www.youtube.com/watch?v=LJ-ReFOD5TE La république autoritaire librianne reçut l'appel de détresse en début de soirée sur Nouvelle Libria. Le chancelier Hoepner donna l'ordre à la ministre des affaires étrangères Jessika Mengsk de faire une apparition publique. << Les crimes perpétrés contre votre peuple ne sont pas étonnants commandant royder44. La commandante Adrastee, fidèle servante de la confédération rouge est, comme sa maîtresse, friande de faire souffrir les autres peuples et perpétrer des crimes de guerre. >> - Libria vous envoie à l'instant une proposition de transfert de monde sur notre propre territoire. La ministre se pencha vers les membres de l'assemblée et en particulier vers les délégations communistes. << Car contrairement à certains bouchers qui paieront leurs crimes tôt ou tard, Libria, elle, protège la vie des autres nations comme elle protège la sienne. C'est ça, le vrai nationalisme. >> - Bienvenu en territoire républicain commandant royder44. Nous allons venir en aide à votre peuple là où la confédération rouge et ses alliés ont voulus votre mort. Et l'hologramme de la ministre Mengsk disparût de la tribune.
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Cdte. Alisa Dragunova
Respect diplomatique : 937 
23/06/1014 ETU 21:28 
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Score : 9
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« Kamarade Prem... Alisa, venez voir... ils recommencent. » Nadia Kovalchuk, la conseillère d'Alisa, avait la mine déconfite. La Première Confédérée s'alarma. Qu'est-ce que... « Qui ça, Kamarade ? — Les Librians, ils recommencent. — Ah, fit la robote qui semblait se dégonfler comme un ballon d'exaspération, ça... laissez Kamarade Nadia, je m'en occupe. » La Machine reprit le dessus sur elle. Hors de question de s'adresser personnellement à Libria ; le choc émotionnel était chaque fois insupportable. Elle avait prévu une intervention brève. *** « Chers Kamarades Librians. Grâce à l'omniprésence de mes interventions dans vos discours, je me rends compte de mon don d'ubiquité. Un tel don me sera sans doute utile pour mes devoirs politiques. Je me rends aussi compte que je possède des servants, un empire démesurément grand et des ficelles dans toute la Galaxie ; le tout grâce à vous. Je ne peux que vous remercier, Ministre Mengsk, vous et votre Chancelier, de m'avoir ouvert les yeux. Je propose autrement au gouvernement Librian de goûter la Wodka ; l'effet semble être excellent pour l'humeur. Cela étant, Commandant Royder, l'invasion de votre monde peut être réparée. Adressez-vous à la Commandante Adrastee, et il est probable que cette situation se résolve à l'amiable. Autrement, nous pourrions nous aussi vous dédommager à leur place. »
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Cdt. Lynus Whelk
Respect diplomatique : 168 
23/06/1014 ETU 21:48 |
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Score : 15
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Le discours de la "femelle" Dragunova fut brutalement interrompu par un jeune chasseur aux yeux flamboyant: Lynus Whelk entend, Lynus Whelk parle : Votre faiblesse n'est que le résultat de votre débâcle, mâle royder... Votre position de Chef de tribu fait de vous le bras fort et le bouclier de votre peuple. Un chef ne se plaint pas en public de sa faiblesse, sinon est il juste bon a connaitre la honte et le déshonneur, prenant place parmi les proies a jeter en pâture aux Pourpres. Vos choix sont simples: Reprendre ce qui vous appartient par la force des armes et du fer, ou choisir l'exil, l'assimilation et l'accepter comme votre culture peut digérer une défaite. Toutefois, vous n’êtes pas a blâmer car vous n’êtes pas le pire. Non. Les pourvoyeurs à la langue traître qui proclament de beaux discours au nom d'une je-ne-sais-quelle valeur factice alors que ceux ci fomentent en ce moment même des complots terroriste et indignes, les mêmes complots dont vous vous plaignez a l'heure actuelle, mâle royder. S'il est un conseil, prenez celui-ci : je ne serais pas enclin a tendre la main vers le sinueux qui jubile, car si sa musique est un miel qui vient endormir vos sens, ne soyez pas surpris lorsque viendra la douleur de sa morsure. Le choix vous appartient désormais, mâle : Libria, ou le Libre-arbitre ? Quand bien même, si les conquérants viennent en demeure afin de réparer leur outrage (ce qui me parait aussi étrange que dérangeant), vous n'en subirez qu'une double humiliation, celle de n'avoir pas su défendre, celle de n'avoir pas su venger votre affront. Votre reflet doit s'obscurcir de honte à ces nouvelle... Lynus Whelk a parlé.
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Cdt. Le Pourpre
Respect diplomatique : 706 
23/06/1014 ETU 22:06 |
Score : 10
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- Lynus Whelk a parlé, et bien ! - Et cette fâcheuse manie de la République librianne à récupérer cette affaire à des fins propagandiste... - Hu hu... - Plutôt que d'accuser directement, Libria devrait peut-être apprendre les rudiments de la diplomatie. Quelqu'un a-t-il demandé des explications à la "fautive" ? Rien de cela. Les Rouges et les rêveurs sont des monstres et Libria est notre sauveur. - Magique la conclusion... - Commandant Royder44, votre situation est simple à résumer. Vous allez : * soit mourir, * soit entrer dans le giron librian, * soit récupérer votre bien, parce que Adrastée n'est pas le monstre décris par Libria.
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Cdte. Adrastee
Respect diplomatique : 289 
23/06/1014 ETU 23:17
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Score : 9
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"Tyran point, et monstre, nous le sommes tous... cependant nous ne sommes pas tous des monstres de déraison. Nous ne tuons et combattons pas tous pour rien. Le Rêve s'est vu agresser à plusieurs reprises par des flottes corsaires, camouflées et vampiriques, qui plus que la mort ont apporté le vol et la peur... ces crimes ayant été perpétré directement à notre encontre, uniquement dans notre système, jetaient une lumière coupable sur l'essaim Zerg, bien que nos échanges passés aient été cordiaux... une seule façon de vérifier : découvrir si les attaques continueraient après que l'essaim soit rallié directement au Rêve - et j'insiste sur le terme ralliement. Aucune violence n'a été perpétrée en-dehors de la désactivation des bâtiments militaires. Nos plus profondes excuses sont portées à l'essaim, mais nous n'avions pas le choix pour vérifier leur innocence - et ne pouvions évidemment pas les prévenir d'une telle opération. Si dans les prochains cycles les pillages ne cessent pas, alors elle sera établie, et votre planète vous sera rendue, puisqu'il se trouve que nous ne sommes effectivement pas les monstres décrits par Libria. Des excuses, nous les offrons à l'essaim zerg. Nous les attendons également de Libria, qui nous en doit désormais. Ainsi qu'à la Confédération rouge. Qui donc avons nous fait souffrir volontairement pour notre plaisir? Quels crimes de guerre avons-nous commis? Et pourquoi accuser la Confédération rouge de nous tyranniser? Je puis comprendre que du mauvais sang coule entre elle et Libria, mais il semble quelque peu excessif de lui faire le reproche d'un conflit auquel elle n'a pas pris part, ou de dire qu'elle est notre "maîtresse". C'est à nous-mêmes que nous obéissons. Est-il si difficile de concevoir que des nations peuvent vivre les unes à côté des autres, de façon indépendante et sans rapport de hiérarchie? Voyez-vous donc la Confédération comme la source du mal dans Utopie? Quand un cultiste d'Ultima se casse une jambe, est-ce un attentat communiste? Quand le logiciel Oedipe a du mal à se réinitialiser, est-ce un virus envoyé par Dragunova pour soumettre la galaxie? On pourrait croire que votre seul but est de gagner un allié en noyant Utopie sous un flot d'accusations, mais tout le Secteur III a maintenant entendu la propagande diffamatoire Libriannes depuis longtemps, et je m'interroge sur le motif de votre haine puisque celle-ci va jusqu'au mensonge. Vos accusations sont graves, sans fondement, et relèvent de la pure insulte diplomatique. J'attends des excuses publiques et la Confédération rouge y a également droit. Je n'ai pas souvenir que les nations de notre Secteur aient souscris à votre "vrai nationalisme"."
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Cdt. Beurk
Respect diplomatique : 639 
23/06/1014 ETU 23:15
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Score : 8
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- Eh kap'tain, y'a un boyz qui pleure qu'y a perdu sa planète. - Ha ha ha ha ha. Et en quoi ça m'intéresse un boyz qui sais pas utiliser son kikoup', mister Spork ? - Paske y'a le chandelier qu'vous aimez bien. Y dit pleins d'choses rigolotes. Comm' d'hab kap'tain. - Mais non mister Spork. Le chandelier y m'donne mal à la tête. C'est l'aut' qui m'donne mal à la tête mais qui r'semble à une zoms. - Ha, l'humaine ? Du coup kap'tain, j'ai kan même lancé le bidule pour leurs parler. - Zog alors. Tu m'devras ça Spork. Sinon j't'arrache les dents. Bon, les zoms. Si z'êtes pas cap de t'nir vos truc, vous étonnez pas qu'on vous les pique. Surtout vot' planète. J'sais pas comment z'avez fait, mais z'etes vraiment pas doué. Chez nous, les z'orks, quand un boss est pas kap' de t'nir l'territoire d'sa tribu, y s'fait zigouiller par un aut' ork plus fort qu'lui. Et l'nouveau boss y r'prend c'qui r'vient à lui. Sinon y crèvent au kombat. Comme des z'orks.
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Cdt. Mansa Le lion
Respect diplomatique : 132 
24/06/1014 ETU 00:14 |
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Score : 9
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Si je puis me permettre d'intervenir brièvement en tant qu'humble observateur extérieur, je dirais que je comprends la détresse du commandant Royder , je salue son courage et surtout sa grandeur d'âme (quoi qu'en disent certains) d'oser venir demander publiquement de l'aide au nom de son peuple! Cdt. Lynus Whelk, sauf votre respect, cela s'appelle l'abnégation! Vous qui parlez toujours au nom de votre peuple, vous devriez savoir ce que c'est que de sacrifier un tant soi peut son honneur, sa fierté qui valent bien peu face à la vie de milliards d'êtres civilisés, pensants! Votre blâme à l'encontre de ce commandant en détresse par le biais d'une pseudo-démonstration de virilité était au demeurant pitoyable de suffisance et de fatuité. Il est en effet facile de parler d'honneur, de courage, de virilité, quand ils sont bien au chaud et non exposés au danger. Je ne met bien évidemment pas en doute votre courage légendaire, mais je ne vois pas qui vous êtes pour mettre en doute celui des autres. Ne voyez point de véhémence particulière dans mes propos qui ne sont que l'expression de mon unique avis. Bref, Commandant Whelk je vous prie de restreindre votre paradigme archaïque, à votre respectable civilisation et aux peuples que vous conquérez ou conquerrez. Mes hommages commandant. Quoi qu'il en soit je voulais surtout affirmer mon soutien au commandant Royder qui malgré le désespoir de la défaite, à fait volte-face au découragement et dans un ultime sursaut s'est porté en cette assemblée galactique qui à aussi cette vocation que de mettre en lumière les situations tragiques de civilisations en difficultés qui bien souvent disparaissent sans bruit dans l'impitoyable vide spatiale! Je salue également la promptitude de la Nouvelle Libria ainsi que sa Magnanimité. L'empire du Galam vous souhaite bien du Courage Commandant Royder! Vous êtes un enfant d'Utopie, et vous avez le droit de refuser l'extermination, oui c'est même votre droit le plus sacré!!
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Cdt. Lynus Whelk
Respect diplomatique : 168
24/06/1014 ETU 00:39 |
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Score : 6
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Un sourire amusé s'afficha sur le visage du jeune homme : Homme-Cendre, depuis le début nous avons choisi vous et moi de prendre des chemins de pensée et d'actions différents. Depuis le début le Peuple Nehirrim a osé montrer son potentiel à des puissances bien plus vastes que celles qui englobent tout votre empire et vos idéaux aériens. J'ai appris au cours de mes voyages les mots que vous utilisez : abnégation, virilité, suffisance et fatuité. Je ne les connaissais pas, ni moi mon peuple n'en avions jamais entendu parler. Dans les plaines hostiles de Jhub comme dans les espaces froids des nébuleuses de Shalar, ces mots de réconforts et d'agression ne sont que.. *pfuit* (Il mima de sa main une évaporation) ..des paroles au vent.. Le courage, l'honneur, la force de conviction par contre, voila des mots qui bercent mes hommes et moi même depuis notre enfance. Je donnerai une cargaison de leems pour vous voir avec vos belles paroles dans les griffes d'un ulfgar ou dans les marais du Monde-Mère: imaginez vous en train d'évoquer la fatuité, l'abnégation, la suffisance à des forces qui vous dépassent en grandeur et en nombre... Osez encore me dire que vos paroles ont du sens à présent.. Toutefois je ne serais pas hautain, et vous transmettrait une dernière anecdote de mon peuple "archaïque", dans le sens étymologique du mot. Il est un mot que nous connaissions depuis des lustres, et que nos voisins systémiques, auxquels je souhaite rendre honneur par la même, ont subis et dont ils ont su s'affranchir avec le vrai courage des races honorables. Un seul mot qui traduit bien votre pensée civilisée et magnanime : Esclave. J'ai laissé un choix au mâle royder: se soumettre à la force de l'un ou de l'autre, belligérant ou protecteur, ou mourir comme un homme en reconquérant son honneur. Vous êtes désormais prié, Homme-Cendre, de ne plus comparaitre en son nom. Le Peuple à parlé..
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Cdt. Joachim Hoepner
Respect diplomatique : 436
24/06/1014 ETU 05:28 |
Score : 4
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La ministre Mengsk refit son apparition sur la tribune, ses mèches blondes relevés autour de sa tête, portant un tailleur sobre avec la broche du parti au niveau du cœur comme seul bijou. Elle dégagea quelques mèches de son front d'un coup de tête élégant, joignit ses mains à la base de son dos et commença à parler. Il s'agissait manifestement d'une allocution prononcée pour répondre à la commandante Adrastee et qui semblait avoir été écrite à l'avance, par un autre. - À ladite commandante Adrastee... << Des excuses de notre part?... >> ... ... ... HRP: Pour ceux qui se demandent depuis longtemps à quoi ressemble ce fameux sourire librian... http://hpics.li/5f3a69f Elle sourit de ce sourire propre aux librians, carnassier, faisant se retrousser légèrement les lèvres en découvrant les dents du haut. Un sourire tant dominateur, fier et confiant qu'orgueilleux à la fois. << Allez vous faire voir. >> Non seulement Libria ne vous fera pas la moindre excuse, mais en plus, nous allons élever d'un cran nos accusations à l'encontre de votre nation de bouchers. Vous collaborez activement avec l'androïde rouge qui parasite la fière nation de Franzhie. Vous l'appuyez, militairement, financièrement et économiquement. Oh... Nous voyons clair dans votre petit jeu et savons bien qui vous êtes. Toujours la même, cachée dans l'ombre de votre protectrice bolchevique, à attendre le bon moment pour sortir un poignard et étriper tous ceux qui vous entourent. Vous n'êtes vous non plus rien de mieux qu'une boucher et une communautariste sectaire. Vous avez appuyée de votre économie le crime de guerre perpétré hier en secteur 3 contre une des superpuissances de ce secteur! Vous avez mise au bord de l'extinction une nation légitime de ce secteur aujourd'hui en brandissant la raison d'attaques brigandes subies. Libria a subie de telles attaques aussi. Il est heureux que nous ne soyons pas les salopards que vous êtes et que nous étudions le problème à l'interne afin de trouver la meilleure solution pour le régler au lieu d'agresser nos voisins en essayant de trouver un bouc émissaire comme vous le faites! Deux crimes de guerre en deux jours, vs Libria qui vient en aide à une nation dans le besoin. - Et nous sommes les fautifs dans cette histoire...? << Des excuses... Allez vous frapper la tête contre un mur jusqu'à le colorier de toutes les teintes de rouges possibles mademoiselle arc-en-ciel. Vous verrez alors danser toutes les excuses multicolores que vous voudrez autour de votre tête. >> - En attendant, vous allez dégager vos appareils de nos orbites. Si vous ne le faites pas d'ici deux jours, nous les contraindrons à partir. Comme vous êtes du genre à agresser vos voisins, nous prenons les mesures qui s'imposent. Et celles qui s'imposent uniquement, nous. Elle afficha une mine glaciale et son hologramme disparût finalement de la tribune.
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