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> ON S'ENNUIE !
Pages : 1 2
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Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760 
21/10/1015 ETU 21:27 
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Score : 10
Détails
Les enfants ronchonnaient. Leur amie les ignorait, alors qu'elle était venue avec son Maître super effrayant. Puis le cri sortit. - ON S'ENNUIE ! ON VEUT DES HISTOIRES ! Mais ils avaient appris dernièrement une chose. Pour obtenir, faut aussi donner un peu. - Histoire n° 1. C'est l'histoire d'une huître. Bougée par les marées, elle trouvé un rocher et pendant longtemps y resta accroché. Elle s'y fait détacher, et finie mangée. Fin. Par Graham, fiancé aimant. - Histoire n° 2 . Il était une fois, dans un galaxie fort fort lointaine, un humanoïde. Il avait un corps semblable aux humains, mais dans son dos se trouvait 2 petites ailes de corbeau. Cet humanoïde était moqué, écrasé par les insultes du style : "T'es même pas humain, sale crétin!", ou "Envole toi et dégage, hybride de merde!". Sa vie était un réel calvaire. Mais ses moqueries ont créé un monstre en lui. Ce dernier le hantait. Il voulait simplement éliminer tous les humains, en faisant souffrir ceux qui l'ont créé. Lorsque l'humanoïde ne pouvait plus tenir face aux moqueries, ces ailes se sont développées et le monstre a pris possession de son corps. 10 minutes plus tard, toute forme de vie dans le kilomètre était éradiquée. Il se retrouvait seul, mais heureux, car libre des moqueries, et libre de ses mouvements. Il pouvait voler, et avança en éliminant tout humain dans son chemin, jusqu'à ce qu'il n'en rencontrait plus. Cependant, l'endroit où il ne vit plus d'humain lui était inconnu. Tout laissait penser qu'un autre monstre était passé par là. En le recherchant, il le trouva, ou plutôt, il la retrouva. C'était une fille, ou plutôt une humanoïde, mais avec des ailes... d'ange. Lorsqu'elle le vit, elle courut vers lui, et le serra dans ses bras. Elle connaissait tout de lui, et, par la force de son câlin, il savait tout d'elle. Il s'aimaient. Leur histoire était la même, et leur sentiments étaient réciproques, il purent vivre heureux, libres, s'aimant. Morale : Ne JAMAIS se moquer des faibles, il deviendront les meilleures personnes dans le futur, et te fera payer par la mort. - Histoire n° 3. Il était une fois, dans une galaxie très lointaine, un homme. Il avait une vie banale, pas spécialement excitante ni ennuyante. Un nuit, il eu un rêve, où il était un animal. Il ne savait pas lequel, mais il était grand. Très grand. Et pourtant, les autres humains n'avaient pas l'air d'y prêter attention. La nuit suivante, le même rêve apparut. Cela recommença durant 1 semaine toute entière avant qu'il ne décide d'aller voir un spécialiste, afin de comprendre sa signification. Il parti donc d'un bon matin chez ce docteur spécialiste en interprétation de rêves, réputé pour avoir réussi à éclairer les rêves d'environ 95% des gens étant venus le voir. Mais lorsqu'il raconta son rêve, le docteur eu un regard étrange : à la fois stupéfait, heureux, et peureux. Il n'essaya même pas de résoudre le mystère de son rêve, mais il donna une adresse à l'homme. L'adresse d'une personne que très peu de gens connaissent, mais qui, semblerait-il, possède des talents proche de la magie. Dès sa sortie du docteur, il partit vers l'adresse donnée. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il remarqua que l'adresse... N'existait pas. "14, route des bergers, St Oblivion"... La route des bergers de St Oblivion était une route de campagne, entourée de champs de blés, et bien-évidemment de moutons. Cependant, il s'agissait d'un cul-de-sac, dont le dernier numéro était le 13. Cul-de-sac... Pas exactement! Un petit chemin, difficilement passable, même à pied, continuait. En voyant ce chemin, il en conclut que la personne dont le docteur parlait habitait sûrement ici. Après quelques minutes de marche, quoique ressemblant plus à un parcours du combattant, il se retrouva dans une petite clairière, où une maisonnette était construite. L'homme frappa à la porte, mais aucune réponse ne vint. Plusieurs essais plus tard, il décida d'ouvrir la porte. L'intérieur était très petit, encore plus que ne le laissait penser l'aspect extérieur. Son œil était tourné vers la cheminée, où un feu chauffait un grand pot contenant une soupe sentant bon la cerise. Observant l'absence de qui que ce soit, il se permit d'emprunter la louche posée sur le côté, et d'en boire une gorgée. Au moment où il profitait du goût, il entendit une voix : Je t'attendais... J'espère que ton rêve était agréable... Au moment où il tournait la tête pour voir d'où provenait cette voix, il eu des vertiges, et avant même de le voir venir, il s'évanouit. Lorsqu'il se réveilla, il était dans son rêve. Mais il était conscient. Il savait tout à propos de son rêve. Il était... Un dinosaure. Il décida donc de s'éloigner de tout le monde, et de chercher comment s'en sortir. Après quelque minutes de marche, il aperçu une grotte assez grande pour qu'il puisse s'y abriter. Il s'y approcha donc et y entra. Après s'être posé, il entendit des humains. Il entendit plus particulièrement : A 3! 1... 2... 3! Puis une explosion retenti. Il réussi de justesse à s'échapper, et quand il se retourna, il vit la grotte s'effondrer, et les hommes à côté de l'entrée, l'observant et criant : IL S'EST ENFUI! TRAQUEZ LE! Conscient de son corps, il préféra foncer vers les humains, pour les écraser. Mais quand il marcha vers eux, il senti une douleur abominable dans la patte : Les humains étaient armés de lances résistantes. Il se retourna pour leur enchaîner un coup de queue, touchant la cible, les propulsant contre un rocher. Cependant, il ne réussit pas à leur faire face de nouveau : quelque chose le bloquait. Puis la même douleur lui survint à la queue. On l'avait entouré d'un filet, puis planté au sol. Un épéiste se mit à courir, grimper sur le long de la queue, puis sur le dos du dinosaure, et enfin sur son crâne. Il planta alors ses 2 épées dans les yeux. Il eut alors un grand noir pour le dinosaure. Et il sentit sa dernière sensation lorsque son corps explosa de l'intérieur. Sa chair se retrouva éparpillée partout. A ce moment, il se réveilla, mais n'osait pas ouvrir les yeux. Il ne sentait plus la partie inférieure de son corps, ainsi que ses bras. Lorsqu'il ouvrit les yeux, tout était toujours aussi noir : il était devenu aveugle. Il essaya de bouger sa tête : un succès. Il essaya de bouger ses bras, et son bassin : impossible, ils n'existaient plus. Le pauvre homme se retrouvait aveugle, et amputé des bras et du bas du corps, condamné à agoniser jusqu'à sa mort. 2 et 3 : Par Ril, qui est aussi bon que des rillettes. - Ril on a beauuuucoup aimé cette histoire. On a hâte d'entendre la prochaine !
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878 
22/10/1015 ETU 09:38
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Score : 9
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Des histoires! J'adore, les histoires! En voici une. Ce n'est pas une histoire pour enfants, mais je suis certain que ce n'est pas le type d'histoire que vous recherchez n'est-ce pas? (sourire) Personne n'a raison lorsqu'il a raison tout seul... J'ai conscience que ce que j'écris peu paraître fou. Du moins ça l'est, car comme fou je suis maintenant catégorisé. Je vis dans un asile, au milieu de gens pour le moins atteints, parmi ces gens à l'esprit malsain qui de leur vie ont perdu le fil... Et bien sur ma condition met en doute mes propos, je tiens à laisser ce témoignage, car bien que ce lieu sera bien mon tombeau, je souhaite que ce j'écris traverse les âges... C'était l'hiver, un hiver rude comme on n'en fait plus. L'air était sec, mais mon bureau humide, comme en témoignait la condensation s'accumulant doucement sur les fenêtres, conséquence du vieux chauffage au gaz qui peinait à maintenir une température adéquate. Je suis dans mon fauteuil, un café à la main, parcourant les sorties littéraires de la journée. Comme toujours, rien d'intéressant, des livres pour jeunes en manque d'identité, pour ménagère en manque de sensations, pour fonctionnaires blasés en manque d'excitation... Les ventes ne décollent pas, le livre perds de sa valeur, au profit d'autres médias qui font que la littérature se meurt... Quand soudain une surprise. Un livre, un seul, sortait du lot. Un auteur inconnu, un titre pour le moins étrange "Les esprits vengeurs". Soit, pourquoi pas, s'il se vent il doit bien avoir un quelconque intérêt! La journée se termine, je sors de mon bureau. il fait froid, les rues sont blanches de neige et noires de mondes, comme dans toutes les grandes villes de notre monde. Je tourne au coin de la rue et passe chez mon libraire, pour acheter ce livre qui à tout le monde semble plaire. Je n'ai pas de chance, il n'y en a plus, mais mon ami libraire et moi ne sommes pas inconnus. Il m'en a gardé un de coté sachant parfaitement que je viendrais le chercher. Je rentre chez moi et m'affale sur le canapé, désireux de découvrir cette histoire qui suscite tant d'intérêt. J'entame impatient les premières pages mais je déchante rapidement. Ce n'est pas une histoire ce sont des commandements. Ce tissus de mensonge prétends, que les esprits des morts contrôlent le soleil et le vent, que la Terre entière est leur tombeau, et que si nous voulons les rejoindre nous devons flatter leur égo. Quelle idiotie! Je jette le livre sur la table et part me coucher, espérant que demain soit une meilleure journée... Le lendemain je me lève et prends mon petit déjeuner. Je suis en retard le temps presse, je dois me dépêcher. Je sors de chez moi et marche à vive allure jusqu'au métro le plus proche. Les rues sont blanches de neige et noires de mondes, comme dans toutes les grandes villes de notre monde. Comme à mon habitude, je consulte les sorties littéraires de la journée. "Les esprits vengeurs" est un best seller, plusieurs millions d'exemplaires vendu en une nuit seulement. Le phénomène de mode s'étend, des produits dérivés affichent les symboles, qui dans cet ouvrage représentent l'adoration des idoles, ces esprits vengeurs dont nous devons faire parti, ni après notre mort nous ne voulons rester dans l'oubli... Plusieurs semaines passent et le phénomène s'accentue. Les gens ne parlent plus que de ce livre dans la rue. Les symboles sont partout, entrent dans notre patrimoine, et formatent les esprits des fans qui témoignent, que leur vie a changé en suivant ces écrits, et qu'il n'est peut être pas exclus qu'ils existent ces esprits... Les mois passent, puis une année. L'hivers est rude mais moins que celui passé. Je sors de chez moi. Les rues sont blanches de neige mais plus personne n'y circulent, seuls deux ou trois péquenauds incrédules. Comme moi ils se rendent encore à leur boulot, pendant que les autres idiots s'amassent dans leur "temples" pour entendre les inepties, que leurs balancent ces nouveaux prophètes des esprits. Je découvre soudain avec horreur, que la police arrête les gens dans la rue, sans raison apparente sinon de les avoir vu. Je n'échappe pas aux patrouilles et me retrouve à la station de police la plus proche. Dans une salle vide, juste une table et deux chaises, moi et mon inquisiteur, qui me demande ce que je faisais dehors à cette heure. Je lui explique calmement que j'allais travailler et que je ne comprends pas de quoi je suis suspect! L'homme se dresse devant moi en me pointant du doit d'un air menaçant et s'exclame d'un ton puissant: - HERETIQUE! Pourquoi n'êtes vous pas avec vos semblables, à écouter les enseignements et les fables?. - Je n'ai rien à y faire, je ne crois pas à toutes vos affaires, vos esprits ne sont que pure création et les gens qui vous suivent ont perdu la raison! Rien à faire, je ne peux me défendre. Ma condamnation est prononcée, et bientôt je serais jugé. Dans ma cellule je me morfond, je ne comprends pas comment en ayant raison, comment je pourrais être coupable de ne pas croire en leurs fables... Le jour du jugement arrive. Le jury est composé de plusieurs dizaines de personnes triées à la volée et mon procès est même retransmis à la télé! J'avance confiant pour présenter ma défense, certain du bien fondé de mes propos, mais je suis face à un mur dont l'obstination est dense et mes arguments un à un tombent à l'eau... C'est alors que je comprends avec effroi qu'il est trop tard, que la balance a changé, et que les gens "normaux" de mon opinion sont maintenant la minorité. La normalité est définie par le plus grand nombre, et non par la raison, et ainsi pour avoir été rationnel je finirai en prison...
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Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760
22/10/1015 ETU 13:25
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Score : 4
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- ON ADORE ! Il y a beaucoup d'autres histoires comme ça qui n'attendent que de nous être contées? ON LES VEUT TOUTES ! Un lit était apparu, avec les enfants dedans. Sous la couette, ils attendaient la prochaine histoire. Il faut dire qu'il allait bientôt faire nuit sur leur planète, et il était temps de se coucher. Et quoi de mieux qu'une petite histoire sanglante avant d'aller dormir ? - Maintenant on en veut une avec... Avec des fantômes !
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Cdt. Bourriniac
Respect diplomatique : 99 
22/10/1015 ETU 14:25 |
Score : 6
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Soudain, un fantôme, en chair et en os celui-ci, entra dans l'assemblée galactique. Il sera peut-être difficile pour les commandants non originaires du secteur 2 de comprendre ce qui se passe au sommet du gouvernement Bourrin. Pour ceux-là, il suffira de savoir que Bourriniac, Dictateur Suprême, veut faire la peau de son conseiller, Maître Zastre. Et c'est ce dernier qui apparu, blanc comme un linge car craignant pour sa vie, en prenant soin d'éviter les endroits où pouvait être son dictateur favori. Vos histoires sont fantastiques ! Ambassadeur Londo, les enfants, si vous arrivez à convaincre Bourriniac de me reprendre à mon poste je ferai en sorte de vous éditer sur Craignos, la capitale Bourrine ! Je suis sûr que vos histoires seront adorées, et puis on les forcera à vous lire, ça ne pourra pas leur faire de mal à ces Bourrins. Maître Zastre n'avait pas tant peur pour sa vie, il l'avait déjà sacrifié pour son peuple. Mais Bourriniac à la tête de sa civilisation sans lui, ça pouvait tourner au vinaigre. Des milliards de Bourrins avaient besoin de lui, et il allait tout faire pour les sauver. Non et puis soyons honnête, la princesse avait besoin de lui, et il comptait bien faire tout son possible pour la protéger, et puis passer le plus de temps possible avec elle, qui sait, un jour elle daignera bien poser ses yeux sur lui.
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878
26/10/1015 ETU 17:43
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Score : 5
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Une autre histoire pour mes deux jeunes amis (sourire) Il est tard, après une journée harassante, une jeune femme rentre de son travail. Fatiguée, elle arrive chez elle et se fait accueillir chaleureusement par son chien, un magnifique labrador dans la fleur de l'âge, qui tourne autour d'elle en lui léchant les mains. Après une promenade bien méritée, le "couple" rentre à la maison pour préparer le diner. Après une soirée télé, la jeune femme se décide enfin à aller se coucher. Son chien, comme à son habitude, la suit jusque dans sa chambre et se loge sous le lit. La jeune femme est fatiguée, mais ne trouve pas le sommeil. Quelque chose la mets mal à l'aise, sans qu'elle sache pourquoi. Son chien semble visiblement lui aussi sentir quelque chose, comme en témoignent ses grognements inquiets. Après un rapide tour de la maison, la jeune femme et son chien retournent se coucher et finissent par s'endormir... Puis au milieu de la nuit, la jeune femme se réveille. "ploc, ploc, ploc..." Un bruit de goutte, régulier, discret, se fait entendre. La jeune femme essaye de se rendormir mais le bruit l'obsède. Elle se lève et descend dans la cuisine vérifier le robinet de l'évier... Rien. Elle serre le robinet et somnolente, retourne se coucher. Elle laisse pendre sa main hors du lit et le labrador, son fidèle compagnon lui lèche en signe de réconfort. Elle se rendort... "ploc, ploc, ploc..." La jeune femme se réveille à nouveau. Le bruit est obnubilant. Elle se lève tant bien que mal et arrive dans la salle de bain. Rien. Elle serre le robinet du lavabo puis celui de la douche. Somnolente, presque somnambule, elle retourne se coucher. Une fois de plus, elle trouve le réconfort de son ami canin qui lui lèche la main, tout va bien... "ploc, ploc, ploc..." La jeune femme se réveille encore. C'en est assez, d'où vient ce foutu bruit??! Elle laisse pendre sa main que son chien s'empresse de lécher, tout à l'air d'aller. Elle se lève et refait le tour de la maison. Rien dans la cuisine, rien dans la salle de bain... Elle ne comprends pas, la fatigue lui brouille l'esprit... Elle fini par retourner dans sa chambre. Le bruit est là, toujours là... "ploc, ploc, ploc..." Tentant tant bien que mal à reprendre ses esprits, la jeune femme ferme les yeux et essaye de localiser la provenance de la torture sonore dont elle est la victime... "ploc, ploc, ploc..." A sa grande surprise, le son vient bel et bien de la chambre. Elle ferme les yeux de nouveaux, s'orientant au son... Le fond de la chambre...le placard... Elle ouvre les yeux. Elle est face au placard. Le son est plus clair que jamais "ploc, ploc, ploc..." Une odeur nauséabonde se dégage du vieux meuble en bois. Dans un élan d'exaspération, elle ouvre grand les portes et se retrouve horrifiée devant le cadavre de son chien, pendu à un cintre par les pattes arrières, à moitié écorché l'abdomen grand ouvert, laissant pendre ses intestins sur lesquels ruissellent le sang suintant encore et dont les gouttes tombent une à une sur la flaque présente au sol..."ploc, ploc, ploc"... Sur le fond de l'armoire un message, inscrit en lettres de sang: "Les Hommes aussi peuvent lécher XD"
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Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760
27/10/1015 ETU 14:01
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Score : 4
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- C'est nul. On la connaissait déjà. Ou une version presque similaire. On attend mieux de toi pour la suivante. Elle vaut un 1/20. C'est pas bien le plagiat. Ou alors faut pas qu'on connaisse. Le regard ennuyé et triste des enfants avait le pouvoir d'achever leur discours, mais surtout Londo. Eux d'habitude si impassibles. Mais ils aimaient les histoires, et étaient prêts à lui pardonner. - On compte sur toi pour la prochaine ! Par contre tu as droit à un petit thème. Sur... HALLOWEEN ! Cette MERVEILLEUSE fête où on peut faire trèèèès peur à tout le monde, balancer des bombes sur les maisons des gens, et autres trucs marrants ! A toi de jouer Mundo !
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Cdt. Zorn'a'Thorn
Respect diplomatique : 760
29/10/1015 ETU 11:21
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Score : 4
Détails
Une tenue bien étrange que voilà. Une combinaison de cuir noire déchirée en divers endroit, et particulièrement à ces endroits, si bien que ça culotte était visible ainsi que sa poitrine de fillet. Un fouet était attaché sur son côté à une ceinture. Le garçon n'était pas mieux. Des oreilles de chat, un collier ras-du-coup avec une clochette qui tintait à ses moindres mouvements, un mini short et une queue. Certaines des coutures de son Tshirt semblait avoir cédé suite à des étirements trop importants. Ils se tenaient par la main, l'autre étant occupé par des pistolets. - Et bien puisque personne - à part Londo et Ril - veut nous raconter d'histoire, on va vous en raconter une. Mais comme on veut pas parler trop longtemps, c'lui qui va vous la lire. Il a vécu une histoire similaire à celle qu'il va raconter ! Comme ça ça sera encore PLUS réel ! Le clown tremblottant qui se tenait derrière les jumeaux fit un timide coucou de la main. Puis sur un regard des petits, il se mit à lire. - C'est l'histoire d'un enfant, tout ce qu'il y a de plus sage et de plus mignon. Il s'appelait Epine. Il faisait la fierté de ses parents - même si parfois son père essayait de le tuer - et vivait une vie heureuse. Mais un jour la famille dut se séparer. L'enfant fut le premier à partir, avant que les parents ne se séparent à leur tour. Mais le gamin n'avait pas peur, car avec lui se trouvait sa fidèle nounou. En sécurité à ses côtés, il explora les mondes et vécut de nombreuses aventures ! Entre les feux d'artifices et les cris il finit par retrouver sa famille pour un temps. Car maintenant que le cordon ombilical avait été coupé, plus jamais ils ne vivraient tous ensemble. La vie continua pour tous, les parents d'un côté, et l'enfant et sa nounou de l'autre. Puis les enfants découvri - STOP. Rate-toi encore une fois et tu seras comme la nounou de l'histoire. Un bruit de déglutition se fit entendre, et la voix hésitante reprit. - L'enfant découvrit alors un sentiment nouveau. Tout petit d'abord, la nounou l'engagea dans cette voie, et fit grandir de plus en plus cette douce chaleur qui prenait vie chez le petit. Pour que finalement un événement transforma ce sentiment merveilleux en grande douleur. Une douleur qui n'était jamais vraiment partie, et qui ne partira probablement jamais. L'enfant pleura. Comme il n'avait pleuré. En silence, sans dire un mot. Immobile. Et alors les parents ont frappé. Ils ont puni la mauvaise nounou qui avait brisé le cœur de leur petit choupinet. L'enfant se retrouva donc le cœur brisé et sans nounou. Et il s'ennuyait. Et l'enfant sage commença à faire des bêtises, jusqu'au jour où Croix fut élu nouvelle nounou. C'était un homme de confiance, ou en tout cas c'était ce qu'il avait promis. Et au vue de sa position dans sa société, il ne pouvait pas faire un faux pas avec l'enfant. Cela aurait signifié la fin de sa misérable existence. Et pourtant, alors qu'ils étaient seuls dans une pièce, l'homme ressortit des tenues. Un petit costume de chat, dont la queue ne tenait pas avec une ficelle, et un habit en cuir accompagné de son fouet. L'enfant pensait à un jeu du cirque, entre le dresseur d'animal et l'animal. Mais les tenues étaient trop petites pour la nouvelle nounou, et celle-ci continua le jeu sans vêtement. Le clown s'arrêta. Un liquide jaune commença à couler sur le sol - mais sans pour autant inquiéter les équipes de nettoyage d'Angeli, c'était un hologramme. - Dommage pour toi. Si tu peux pas affronter ta peur, alors on va t'aider à être en paix. Sortant chacun un révolver noir comme la nuit avec deux gravures vertes de part et d'autres de la crosse. Le clown s'effondra. - On vous laisse deviner la fin.
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878
29/10/1015 ETU 17:18
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Score : 2
Détails
...Mr Croix avait un gros nez rouge et fini sa vie jouant avec 2 balles?
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Cdt. Londo Mollari
Respect diplomatique : 878
30/10/1015 ETU 14:13
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Score : 4
Détails
Comptine d'Hallowween pour mes amis Zorn & Thorn: Je marchait dans la rue, il était bien quatre heures, La soirée d'halloween était depuis longtemps terminée, Quand soudain je fus pris de panique, une peur, Quand une ombre derrière moi j'ai vu se profiler... Je m'immobilise, haletant, frissonnant d'effroi, Quand je vis que l'ombre n'avait rien d'humain, Que la chose grandissait peu à peu derrière moi, D'une lente expansion paraissant sans fin... Je tombe à genoux implorant le seigneur, Mon dernier recours tant je suis impuissant, Je prie pour mon salut, pour faire partir cette horreur, Qui grandit dans mon dos et me glace le sang... Mais mes prières restent vaines, aucune réponse, Le tout puissant lui même n'a aucun pouvoir, Face à l'inexorable ascension de ce monstre, Qui ne me laisse maintenant plus aucun espoir... Soudain un son puissant, strident, déchirant la nuit, La chose avait ouvert la bouche et laissé échapper un cri, Puis un contact, sur ma jambe, sur le bas de mon mollet, Je cru que c'était la fin, que le monstre m'avais agrippé... C'est alors enfin que je décidais de me retourner, Pour découvrir avec honte que mon monstre imaginaire, N'était qu'un chat des rues dont l'ombre était projetée, Par la faible lumière diffusée par les lampadaires... Ainsi pour halloween maintenant je ne bois plus, Car de toutes les nuits celle-ci est la plus favorable, Aux dérapages de l'esprits qui, après avoir trop bu, Changent la plus bête expérience en la plus terrifiante des fables...
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Cdte. Hyrèn Amiral-H
Respect diplomatique : 255 
30/10/1015 ETU 16:18
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Score : 5
Détails
La princesse: "J'peux dire une connerie ? [petite devinette:] C'est quoi le point commun entre: -> Une femme enceinte -> Une pizza brûlée -> Et une bière congelée ??"
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Pages : 1 2