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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 ![]() 20/05/1016 ETU 19:09 ![]() ![]() |
Score : 4
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Tarkya la belle était vraiment un endroit unique, et au combien magnifique. Toute la capitale était en effervescence, les rues étaient bondées et une foule immense était agglutinée devant le grand château où se déroulait le premier sommet inter-galactique, tenue a distance respectable par les forces de sécurité qui veillaient au grain. Il était difficile dans cette foule de retrouver quelqu’un, tant elle était dense, alors un enfant de 11 ans… Le petit Dylan n’avait que 11 ans, mais il était déjà connu par tout le royaume d’Oblidiia. Il y a quelques temps, peu après l’arrivée du cowboy le plus classe de tout le secteur 1 au pouvoir du royaume, il s’était fais connaître du grand public pour avoir osé taguer un mur d’un gigantesque « Aux chiottes le roi ». Pour ceux qui ne s’en rappellent pas, j’invite à revisionner les archives télévisuelles de OblidiiaTV disponible ci-dessous : Tout seul au milieu de la foule, un énorme cartable d’école sur le dos, il avançait péniblement. Il demanda alors a un local, le plus grand qu’il put trouver de le mettre sur ses épaules pour je cite : « Profiter de la belle arrivée des délégations et voir le magnifique château ! » Les gens de Tarkya sont gentils et bien élevés, c’est donc tout naturellement que l’homme l’aida. Une fois sur les épaules et avec une vue d’ensemble sur le château et la foule, il porta discrètement sa montre au niveau de sa bouche et se mit a parler a voix basse. « Ici Dy-1 a tout le monde. La cible est en vue. Tout le monde est en position ? -En position Dy-1. -En position. -Pareil. -C’est bon. -Parfait… Nous frapperons quand il fera nuit… rendez vous la ou vous savez a 3h du matin. Terminé. » Puis il redescendit des épaules de l’homme et continua son chemin à travers la foule.
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 ![]() 22/05/1016 ETU 22:30 ![]() ![]() |
Score : 5
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Devant l’enceinte du grand palais de Tarkya, la foule ne désemplissait pas. Toujours aussi impressionnante, des gens venus de partout étaient réunis pour célébrer la démocratie qui décidément avait la part belle au sein de cette civilisation. C’est au milieu des cris de liesse, de la musique que quelques bruits d’explosions légères se firent alors entendre, suivis de cris qui conduirent a un important mouvement de foule. Mais tout était préparé dans le moindre détail, sécurisé et millimétrée, aussi cela se calma très vite et la situation retourna vite a la normale. Tandis que des membres de la sécurité tarkyenne se rendaient sur place pour veiller à la sécurité du peuple, Une femme arriva près d’une des portes de l’enceinte du palais. Elle était complètement paniquée et tenait dans ses bras un enfant qui semblait inconscient. Elle arriva a bout de forces, l’enfant et son cartable pesant lourd, et finit sa course a genoux devant les gardes de l’entrée du palais. « Aidez moi ! J’vous en supplie ! Cet enfant est gravement blessé, il y a eu un mouvement de foule, il a été piétiné à de nombreuses reprises ! J’vous en conjure ! Il ne respire plus ! » L’enfant était couvert de bleus et de blessures et sans réaction. Devant l’air suspect des soldats, elle reprit sa supplique mêlée de larmes : « Pitié ! Il va mourir…! Il lui faut une aide médicale d’urgence ! On ne peut pas repartir vers le centre ville, la foule nous empêche d’avancer ! Et les vaisseaux qui ne sont pas en lien avec le sommet ne sont pas autorisés à approcher du palais ! J’vous en supplie, je me doute qu’il doit y avoir des installations et des docteurs au sein de l’enceinte du palais. Vous seuls pouvez le sauver ! Pitié… Il va mourir, son coeur s’est arrêté, regardez par vous-même ! » Finit-elle en invitant les soldats à constater le pouls du jeune garçon qui ne battait plus.
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 23/05/1016 ETU 00:27 |
Score : 5
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Les trois agents de sécurité à l'entrée se regardaient devant la détresse de cette femme - On ne peux rien faire Madame. dis l'un d'entres eux - Des ordres ont été donné au plus au niveau, de ne laisser entré personne. Désolé Puis la femme tomba par terre devant le refus de ses hommes et se met à hurlé de douleur. Un haut gradé de l'armée Tarkyenne passer par là, et après avoir entendu des cris il décide d'allez voir. - Qu'est-ce qui se passe ici ? Viré moi cette mendiante, elle n'a rien à faire ici. Bon sang ! Puis ils s’exécutèrent. L'origine de ses explosions était encore inconnue mais le feu fut très rapidement maîtrisé. Le Général Byarg en charge de la sécurité du Capitole à était instantanément mit au courant de ses incidents mineurs, il décide tout de même de renforcer la sécurité au sein du bâtiment où se dérouler le Sommet
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Cdt. Lucky puke
Respect diplomatique : 363 ![]() 24/05/1016 ETU 09:54 ![]() ![]() |
Score : 4
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L'un des trois soldats s’apprêtait a "virer cette mendiante" manu militari mais elle repoussa son bras et leur jeta un regard empli de colère. "Non mais je rêve ! Qu'est ce que j'entends ? Par le grand lysbia !! Vous laisseriez mourir un innocent enfant ? Sans broncher ? Et pour quoi ? Parce que vous avez... des ordres ?" Elle se tourna alors vers le haut gradé "Des ordres ? Est ce que c'est cela que vous allez dire au président Zitarg quand il vous convoquera demain dans son bureau et vous demandera une explication quand a pourquoi est ce que son grand sommet de la démocratie, est entaché aux yeux de tous les autres peuples de la galaxie -elle pointa rapidement du doigt un endroit où était réuni des journalistes en pleine retransmission du sommet qui ne semblait pas pour l'instant les avoir remarqué, même si un ou deux commençait a prendre des vidéos- entaché par la mort d'un enfant d'à peine 10 ans, mort a cause de non-assistance, juste devant les portes de son palais ??? Est-ce cela que vous lui direz alors ? "J'avais des ordres..." Vous êtes des soldats ! Pas des robots ! Avez vous oublié qui vous êtes ? Vous êtes de tarkya ! Nous sommes une démocratie, nous vivons par le peuple, pour le peuple ! Et vous êtes prêt à le laisser mourir…? Elle fit une pause quelques instants, le temps de reprendre son souffle et reprit d'un air plus calme. "Écoutez, je comprends que vous vouliez faire votre devoir mais bon sang, ce n'est qu'un enfant... Si vous le souhaitez, emmenez le lui tout seul... je resterais là. Quel mal pourrait faire un enfant, qui plus est un enfant a l'agonie? Je vous en supplie, emmenez le vite à un médecin... J'vous en supplie... sauvez le..." Elle se mit alors à sangloter, le corps de l'enfant dans les bras...
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 24/05/1016 ETU 13:28 |
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Score : 4
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Devant l'insistance de cette femme et la prolifération de ses menaces d'aller voir les journalistes, elle avait également invoqué les valeurs démocratiques et la place du peuple, si sacré aux yeux des Tarkyens , le responsable militaire ne pouvais se permettre qu'un scandale éclate, surtout en plein Sommet Inter-Galactique, cela anéantirais sa carrière. Contrarié, il décide de la laisser rentrer. - Fouillez-la - Oui Monsieur Uns fois la femme fouillé au corps, ils la laissent passer avec son fils , les gardes n'avaient pas osés fouiller l'enfant, par éthique militaire on suppose. - Escortez la jusqu'au Poste médical Puis il tourne son regard hautain et haineux vers cette dame si perturbatrice - Veuillez pardonnez la négligence de mes hommes, vous serez prise en charge par nos services. Lassé par cette histoire , le Gradé retourne rapidement à ses occupations et son poste, ne se rendant ainsi responsable de rien.
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 24/05/1016 ETU 19:09 ![]() |
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Score : 3
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Dans les couloirs du château, les traqueurs rangés en lignes parfaites, avec leurs longs manteaux et leurs toques de fourrure, semblaient attendre l'issue de ce congrès lorsque le Commandant Ivanov entendit un bip bip de son Com, plongeant dans sa poche il aperçut le message... il hurla alors instantanément un ordre et les soldats marquèrent le pas de course cadencé..... dans un parfait alignement tous se dirigèrent rapidement vers l'entrée du château, leurs pas faisant un rythme saccadé mais impeccablement réglé.... Une fois arrivés, ils se mirent en triple rang serrés et le fusil Flascher en présentation, crosse contre cuisse, canon présenté vers l'avant, le dernier rang tourné vers l'intérieur, le deuxième tourné vers l'extérieur comme le premier rang tous en quinconce, le premier rang un genou au sol, et tous en carré entourant parfaitement la porte, de ce fait, personne ne pouvant ni rentrer ni sortir .... ils se maintinrent ainsi en garde
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Cdt. Le Joker
Respect diplomatique : 1224 ![]() 24/05/1016 ETU 20:11 ![]() ![]() |
Score : 6
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Quelques heures plus tôt… ________________________________________________________________________________________________________________________ LA navette Centauri descend tranquillement vers Tarkya. Les vaisseaux d'élites de la Garde Républicaine Tarkyenne du président Zitarg entourent à présent la navette et lui fournissent l'escorte dû au rang de son illustre occupant. La démonstration de force est là. La navette s'arrête en position stationnaire à quelques mètres du sol. Après quelques secondes qui semblent des minutes à la foule amassée au bord du tarmac pour l'occasion, la navette finie les derniers mètres de sa descente. Encore une pause, le Choeur de la Garde Républicaine est en haleine, prête à dégainer tambour et trompettes au premier signe de son chef. Le soleil chauffe notre scène. L'éclat du soleil scintille sur l'acier Centauri lorsque, enfin, un premier son de décompression se fait entendre. La porte principale de l'aéronef se détache de la carlingue. Lentement elle semble se décoller totalement pour léviter à quelques centimètres de la paroi, puis sa course se termine par une translation latérale. La porte à maintenant laissé place à un trou noir béant. Un escalier se dessine et relie à présent le vaisseau au sol Tarkyen. ________________________________________________________________________________________________________________________ Ils étaient partis depuis quelques heures, laissant la navette esseulée dans son spatioport, aux côtés des autres vaisseaux des dirigeants invités. Les équipages étaient allés dépenser leur temps et leur argent dans la ville : l'avantage de leur métier, c'était qu'ils pouvaient faire du tourisme quand ils le voulaient, tandis que leurs Excellences, elles, devaient se coltiner des sommets, des réceptions, dîners, rencontres, réunions, tous plus chiants les uns que les autres. La garde Tarkyenne garantissait une sécurité optimale : ainsi, personne n'entrait, personne ne sortait des aires présidentielles du spatioport sans être immédiatement repéré. Si quoi que ce soit se déroulait dehors, comme les bruits d'explosions qui avaient eu lieu dehors il y avait un brave quart d'heure, les vaisseaux des chefs d'États étaient sains et saufs pour leur permettre de partir immédiatement. Titarg, soldat de son état, gardait l'entrée de la navette de Londo, en compagnie de son camarade Guitarg. Caparaçonnés dans leurs tenues de service, casque intégral à visière teintée, armures en céramite de carbone, fusils mitrailleurs, le tout bourrés de la pointe de la technologie tarkyenne, ils étaient invincibles. Et ils le savaient bien ; aussi pour tuer le temps tchapaient-ils gaiement en attendant d'être relevés, dans une dizaine de minutes : « Et toi, ta première fois ? demandait Titarg. — Oh moi (répondait Guitarg)… j'avais quinze ans. J'peux te dire qu'à l'époque j'étais pas fier ! — Ha ha ha, tu m'étonnes ! — Et la nénette était pas fière non plus ! Peur que j'y fasse mal ou quoi. Du coup moi aussi j'étais mort de trouille, tu penses ! Et plus on était morts de trouille, plus on était morts de trouille. Genre on se filait mutuellement notre trouille. Et puis… » Silence. Un bruit vient de la navette. Un bruit de décompression. Les deux soldats savent leur métier. Ils parlent en code gestuel. Titarg va entrer. Guitarg va rester là et envoyer un code d'alerte 1 à la centrale du spatioport, et surveiller son retour. Titarg a cinq minutes, sans quoi la centrale enverra des renforts et bouclera la zone. Titarg entre dans la navette, fusil automatique en joue. Son casque lui permet une vision optimale à 220°, capte les sources de chaleur et les mouvements. Son armure peut arrêter les balles de moyen calibre et absorber un tir d'énergie concentrée jusqu'à 30%. Il balaye les petits couloirs grâce à la micro-caméra intégrée sur sur le bout de son son fusil d'assaut au canon « corner-shot ». Il ne trouve rien dans la coque, rien dans les cabines, rien dans le petit mess. Reste la soute. Après s'être assuré qu'il n'y avait rien, il entre. Au fond de la petite pièce, il aperçoit une caisse de matériel dont le couvercle est dépressurisé. Il la tient en joue, s'avance jusqu'à elle, scanne. Pas de traces de chaleur, aucun gaz, pas de radiations, mais le matériau est imperméable aux rayons X. Il doit l'ouvrir pour regarder. Il va l'ouvrir. Il l'ouvre… Du matériel de réparations tout ce qu'il y a de plus banal. « Centrale, ici Titarg. R À S dans la navette. Une caisse mal fermée dont le verrou a fini par sauter. Je ressors de la navette — terminé. » Il eut à peine le temps de se rendre compte de la décharge électrique. ⁂ Guitarg détendit ses muscles et baissa son arme lorsqu'il vit son camarade sortir de la navette et lever le pouce. Rien à signaler, parfait. Il allait continuer son histoire lorsque deux autres soldats vinrent les relever. La centrale leur assigna leurs nouveaux postes de garde après un quart d'heure de pause. Lui irait renforcer la sécurité devant le palais présidentiel en compagne des soldats Pitarg, Ritarg, Litarg, Fitarg et Mitarg. Son collègue se rendrait à l'intérieur pour être posté à la protection de la salle de vidéosurveillance. Titarg se rendrait à la boulangerie à deux pas du palais : il avait bougrement envie d'un croissant à manger sur le chemin de son poste. « Fais comme tu veux, lui répondit Guitard. Moi j'ai envie d'un café. On se retrouve en fin de service ? » L'autre leva le pouce pour lui signifier qu'il était OK et lui demanda de garder la fin de son histoire sous le coude. Ils se séparèrent à la sortie du spatioport en se souhaitant bon courage. ⁂ Dans la navette vide, le silence régnait. Pas un chat, tout en ordre. Le vaisseau était retombé dans sa tranquillité en attendant le retour de la délégation centauri et la caisse de matériel avait été soigneusement refermée après le départ du factionnaire. Personne ne trouverait le cadavre sans yeux du soldat Titarg à l'intérieur de la caisse.
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 24/05/1016 ETU 22:20 ![]() |
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Score : 6
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Le 6eme régiment des Sables de Jaune Canyon reçu a ce moment, ses propres ordres, ils commencèrent a se déployer dans tous les couloirs du château... La Commandante Darenn fit déployer rapidement tous les soldats, installèrent même des armes lourdes devant les fenêtres .... une fois les positions prises, une équipe de six tireurs d'élites deux Krônes, une Kreen, une femme et deux hommes montèrent tout en haut et prirent discrètement position...
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Cdt. Zitarg
Respect diplomatique : 252 ![]() 24/05/1016 ETU 22:47 |
Score : 5
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La Sécurité Lors de l'organisation du Sommet par la Président Zitarg et ses équipes , cette notion était au cœur de la préparation de l'évènement. Pas de Sommet sans une sécurité maximale, quelles dirigeants allaient accepter de venir sinon. L'armée de réserve fut appelés pour assurer la sécurité de la ville du Capitole. Tandis que l'armée type, elle se concentré autour des astroports et des points stratégiques comme les avenues que les différentes délégations allez suivre, ou encore l'extérieur du Palais ou se déroulé le Sommet et ses alentours . Zitarg mettez un point d'honneur à ce que la Capitale devienne la plus sûr de l'univers pendant toute la durée du Sommet. En ce qui concerne l'intérieur du Château, il s'agissaient de la Garde personnelle du Président Zitarg qui étaient en charge de la sécurité de l'intégralité du Palais. 957 soldats d'élites, les meilleurs des monde civilisés et démocratiques dits-on, selon les Tarkyens. Humanoïde, à Tarkya il n'y avait que des humains, mais surarmés. Ils enfilait des équipement robotique encore jamais vu par les autres dirigeants. On ne pouvait passer une porte sans avoir a faire à au moins trois de ses agents et être fouillé de partout. Leurs supérieur était le Général Byarg, un militaire reconnu et hautement respecté par ses hommes et par la populations, il était aussi le conseillé militaire du Président Zitarg. Tout était mit en place pour que le Sommet se passe dans la paix et la sérénité. |
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Cdt. Tabor
Respect diplomatique : 338 ![]() 25/05/1016 ETU 16:41 ![]() |
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Score : 3
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Une équipe de six soldats, deux Krönes, un kreen, et trois humains entourant un, ce qui semblait être un Commandant Kreen, se dirigeaient tranquillement vers un des vaisseaux Kröne... Un des soldats de garde salua le Commandant... mais l'instant d'après il ouvrit de grand yeux quand il vit le visage de celui ci .... Une Sergente qui l'accompagnait posa son index sur ses lèvres et lui sourit alors ... Le garde sourit a son tour amusé, sans doute avait il compris une certaine situation .... Il embarqua lui même ....Faisant partie du vaisseau ... L'instant d'après le vaisseau s'éleva et gagna rapidement l'espace ... Puis s'éloigna rapidement vers l'empire Kröne
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