Archives
>
gamma2
>
Galaxie 8
>
Forums
> Sainte Assemblée
> Mémoire de Westeros
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 
10/10/1016 ETU 12:42 
|
Score : 2
Détails
Le Lord Commandant Jon Stark était dans son ambassade près de la capitale, dans un bâtiment refait à neuf depuis son arrivée par ses hommes. IL était dans ses papiers, signant et complétant à tour de bras. Puis, il alla dans la salle d'à côté où se trouvaient un grand nombre d'officiers de la garde, l'Amiral en chef, Verinus, était au bout. Il s'installa et prit la parole : "Amiral, quelles informations avez-vous ?" Verinus enclencha un écran qui s'alluma et montra une photo, floue, avec une forme diffuse. Alors il dit : "Lord Commandant, nos vaisseaux se sont approchés au plus près sans être repérés et ont pris cette photo notamment qui est intéressante. Il semblerai que ce soit un membre de l'armée des morts." Jon, pensif, regardait les rapports devant lui, qu'avaient préparé Verinus. Il entendit un des généraux dire : "Nous avons cerné la planète, et entreprit des espionnages massifs. Ils seraient des milliers dans cette armée." Puis un autre : "L'équipe est préparée, les deux dragons, les deux elfes et les quinze hommes sont prêts. Il ne manque plus que votre accord Lord Commandant" Jon attendait, et un colonel reprit : "Lord Commandant ?" Jon leva les yeux des rapports et reprit : "Et pour Winterfell ?" Là, un autre colonel prit la parole : "Lord Commandant, il semblerait que la ville soit vide, bien entendu, les rapports ne peuvent le certifier à 100%, mais les chances sont de notre côté, les ennemis les plus proches ne sont qu'à une centaine de kilomètres. Mais ils nous verront arriver, soyez-en sûr." Jon reprit alors : "Bien ! Préparez le convoi, je vous donnerai le jour J sous peu, ainsi que l'heure H" Les officiers se levèrent de concert et tous sortirent. A ce moment, Jon vit le grand mestre Samwell Tarly et vint vers lui. "Jon, les élections sont terminées. L'elfe Elrond a battu le nationaliste à 53,17%, et est donc élu, il ne manque plus que son serment et votre approbation."
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
11/10/1016 ETU 21:55
|
Score : 1
Détails
Le Lord Commandant Stark, une fois arrivé dans sa loge, prit la parole publiquement. "Assemblée galactique ! Certains peuvent se demander et se demandent pour certains autres pour quelles raisons je ne me suis pas représenté. Comme je l'ai expliqué ici même, mon peuple a été chassé voilà de nombreuses années de notre chez nous. Nous l'avons retrouvé, mais la reconquête de ce territoire implique ma présence car ni le feu, ni les laser, et encore moins l'apotium peuvent tuer les êtres qui ont massacré notre peuple. Je quitterai donc l'assemblée à l'issue des élections, et prendrai part à cette attaque. Grenn sera mon représentant officiel à l'Assemblée, Verinus l'Amiral en chef des armées, et Antiochos sera à votre disposition par Com-x en tant que dirigeant. Je vous remercie de votre attention." Puis, il se rassit, profitant du dernier jour avec sa femme.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
13/10/1016 ETU 08:04
|
Score : 0
Détails
La fin des élections était arrivée. Jon était dans sa loge avec Chrysalide. Il se leva, embrassa sa femme tendrement, et sortit, immédiatement suivit de deux elfes, quinze hommes et deux dragons. Les dragons portaient une armure en plus de leurs écailles noires, aux couleurs de la garde. Les elfes et les hommes étaient également en noir et portaient tous une épée forgée en acier valyrien. Ils sortirent de l'assemblée sous les regards interrogateurs et se dirigèrent vers leur ambassade où ils disparurent à travers le télé-porteur.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
13/10/1016 ETU 08:14
|
Score : 1
Détails
La garde de nuit avait attendu, depuis l’an 25 après la prise de pouvoir de Robert Barathéon, depuis la grande fuite face aux marcheurs blancs. Le Lord Commandant se souvenait de tout cela, des détails de la guerre, il était le seul des guerriers à y avoir participé. Il regarda les hommes qui avaient été choisi pour porter une épée en acier valyrien. En se comptant, ils étaient 17, 15 hommes et 2 elfes, qui avaient tenu à s’inscrire dans cette reconquête. Ils avaient également été rejoints par deux dragons, qui avaient rejoint la garde depuis quelques cycles. Il observait ces hommes, tous volontaires et se demandait combien en reviendrait. Puis il pensa à Chrysalide, qu’il avait laissé derrière lui, et de sa promesse de tout faire pour ne pas mourir. Il pensait à d’autres choses, sa vie passé, sa vie future, son gouvernement, l’assemblée, et se dit que tout allait peut-être prendre fin sous peu. Il sentit le croiseur ralentir, puis s’arrêter. A ce moment-là, le copilote entra et dit : "Lord Commandant, nous arrivons, on prend contact avec les vaisseaux afin de vous poser près de l’ancienne Winterfell." Jon acquiesça. Il sentit le vaisseau descendre dans l’atmosphère et atterrir. La voix du pilote parvint dans les haut-parleurs : "Nous sommes à une centaine de mètres des restes de la ville de Winterfell, bonne chance" La trappe arrière s’ouvrit, et les 17 hommes et elfes se levèrent, et descendirent suivis des deux dragons. Une fois sortis, le croiseur repartit et retourna dans l’espace. Jon regarda Winterfell un moment. Puis, il se reprit, et dit : "Allons-y, on a du travail" Ils arrivèrent et passèrent la grande porte, ouverte et en mauvaise état, dans la même position que lors de la prise de la ville par l’armée des morts. Il jaugea d’un coup d’œil le terrain et dit : "Faites ce que vous pouvez pour construire une porte, les dragons, survolez la ville et prévenez-nous à leur arrivée." Les hommes s’exécutèrent ainsi que les dragons tandis que Jon se rendit dans le fort de la ville. Il trouva la draperie de sa famille, et la replaça sur le côté de l’entrée du fort, symbolisant ainsi le renouveau du pouvoir des Stark sur le Nord. Puis, il alla dans la chambre qu’il avait et se dirigea vers le coin près de la fenêtre. Là, il tâtonna le mur et appuya sur un bouton. Le mur s’ouvrit et dévoila un coffre de taille moyenne, 50cm sur 1m. Il sortit une clé de son manteau, et l’inséra dans le coffre qu’il ouvrit. Il sortit de ce coffre des pierres taillées, près d’une dizaine. Il les prit et ressortit. Il alla dans l’armurerie, et alla vers la pièce où étaient confectionnées les armes. Il s’installa sur un tabouret encore en état, prit des bois de flèches et travailla. Le soir tombant, les hommes avaient bien avancés et pensaient pouvoir remettre la porte au bout de deux jours. Jon quant à lui en avait fini et avait préparé deux carquois, pour les deux elfes. Il sortit avec et les leur donna, avec deux arcs encore en état qu’il avait trouvé, puis ils allèrent s’installer dans la tour de garde près de la porte, allumèrent un feu, et passèrent la soirée ensemble tandis que les dragons s’endormaient dans la grande cour…. Ils n’avaient plus qu’à attendre…
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
17/10/1016 ETU 09:18
|
Score : 3
Détails
Plusieurs jours passèrent pendant lesquels Legolas et l’autre elfe s’entrainaient avec leurs nouvelles flèches, et que les hommes s’entrainaient à l’épée, sans pour autant se fatiguer inutilement et que les dragons survolaient la ville. Une après-midi, Jon était de garde sur le rempart près de la grande porte, lorsqu’il perçut un bruit. Il appela les elfes qui vinrent immédiatement, et repérèrent des mouvements. Immédiatement, l’alerte fut donnée le plus discrètement possible, et ils se disposèrent comme c’était prévu. Les dragons se placèrent sur le côté droit de la porte, cachés par les murailles. Une petite minute passa, et Jon descendit en courant des remparts, et leur dit : « Les voilà, une petite centaine, avec seulement un marcheur blanc, on les massacre. Les elfes devraient le tuer, et on finit l’armée avec les dragons. » Et ce fut ainsi. L’armée des morts se précipita sur l’entrée, suivit de très près par le marcheur blanc, lorsque les deux elfes se relevèrent et tirèrent chacun une flèche en direction du marcheur blanc, qui explosa sous leur effet. Aussitôt, les morts hésitèrent, et ce faisant, s’étaient arrêtés sur la trajectoire des dragons qui crachèrent le feu, brûlant la quasi-totalité des morts, hormis une dizaine qui réussirent à entrer, et furent pris à parti, tués, et brûlés immédiatement. Jon cria alors : « Alors, c’est tout ce qu’ils ont à opposer ces chiens ? A nous la victoire ! » Et les gardes clamèrent : « A nous la victoire ! », les dragons poussant un hurlement. Et Jon reprit : « Ne nous dissipons pas, ce n’était qu’un prélude » Ils remontèrent, et reprirent leur attente, leur moral s’étant tout de même sensiblement élevé.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
18/10/1016 ETU 21:47
|
Score : 3
Détails
Plusieurs jours avaient passés, jusqu’à ce qu’un matin, Jon soit réveillé par l’un de ses gardes. Tous se levèrent, prirent leurs armes, et vinrent sur les remparts, et ce qu’ils virent provoqua une montée d’angoisse. Des milliers de morts avec derrière eux une vingtaine de marcheurs blancs, mais Jon ne vit pas le roi de la nuit. Ainsi, il leur dit : "Ils n’attaqueront pas tout de suite, allez prendre des forces." Et ainsi, l’armée resta en place durant 3 jours et 3 nuits, jusqu’à ce qu’un matin, vers 11h, ils virent près de deux milles autres morts, menés par une dizaine de marcheurs blancs et devant eux, le roi de la nuit. Ils étaient près de 20 000. Là, Jon dit : "On y est" Les elfes prirent leurs arcs et leurs flèches, et les hommes descendirent, et les dragons prirent leurs positions. Ils entendirent le roi de la nuit faire un cri rauque, et l’armée des morts s’élança. Jon se plaça devant ses hommes et, voyant leur crainte, leur dit : "Soldats hommes, elfes, et dragons mes frères ! Je lis dans vos yeux la même peur qui pourrait saisir mon cœur. Un jour peut venir où le courage de la garde faillira, où nous abandonneront nos frères et briseront tous liens, mais ce jour n’est pas arrivé ! Ce sera l’heure des ours et des boucliers fracassés, lorsque l’âge de la garde s’effondrera ! Mais ce jour n’est pas arrivé, aujourd’hui nous combattrons ! Pour tout ce qui vous est cher, dans votre vie, je vous ordonne de tenir, hommes, elfes et dragons de la garde !" Puis, il sortit son épée du fourreau, et se retournant de nouveau, leur dit : "Pour la garde !" Ce à quoi répondirent tous en criant : "Pour la garde !", les dragons poussant un hurlement. A ce moment, les dragons commencèrent à cracher leurs flammes dévastatrices, ne laissant passer que quelques morts qui se faisaient alors tuer par les gardes. Des centaines et des centaines de morts moururent ainsi. Au bout d’un moment, ils virent la totalité des marcheurs blancs s’avancer au milieu des flammes, et dès qu’ils se furent suffisamment avancer, et les gardes engagèrent le combat, tandis que les deux elfes, cachés, faisaient irruption, et tirèrent leurs quelques flèches, tuant ainsi 8 marcheurs blancs. Ensuite, ils prirent leurs épées, et engagèrent le combat à leur tour.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
20/10/1016 ETU 11:10
|
Score : 3
Détails
Le combat durait depuis une bonne heure, des marcheurs blanc étaient morts, des gardes aussi, dont l’un des deux elfes. Jon, quant à lui, se battait du mieux qu’il pouvait, mais n’arrivait pas à trouver le roi de la nuit. Il se sentait de plus en plus fatigué, et dans un effort intense, fit tournoyer son épée, et décapita les deux marcheurs blancs qui l’avaient engagés. A ce moment, il le vit, passant le feu. Il se dirigeait vers un dragon, et le tua, puis commença à se diriger vers le second. Sentant le danger, Jon se rua sur lui et l’engagea aussitôt, tandis que les premiers morts réussissaient à passer dans un angle-mort, à raison d’une trentaine par minute, et se ruèrent sur les remparts afin de les occuper. Jon se battait contre le roi de la nuit, mais ses forces déclinaient, et il remarquait le danger qu’allait représenter sous peu les morts. Il cria alors aux survivants : "Tous à la tour ! Retraite ! Tous à la tour !" Rompant le combat, les gardes coururent, montèrent dans la tour, fermèrent la porte, et la barricadèrent, tandis que le dernier dragon s’envolait, crachant son feu lorsqu’il passait au-dessus des morts. Jon monta les marches, et arriva dans la salle du trône, où il prit des jarres d’huile, qu’ils avaient disposées. Ils les vidèrent dans les escaliers, puis remontèrent, et s’assirent, afin de profiter de ce répit momentané. Jon les regarda. Ils n’étaient, en se comptant, plus que onze. Legolas avait survécu, ainsi que neuf hommes de la garde. Il alla vers la fenêtre et vit que le deuxième dragon continuait à faire des ravages. Il vit ainsi encore environ trois à quatre milles morts, et une vingtaine de marcheurs blancs. Ils s’assemblèrent, et le roi de la nuit désigna la porte. Aussitôt, les morts s’élancèrent, s’utilisant comme béliers afin d’enfoncer la porte. Legolas prit un arc, une flèche, et attendit près du brasero situé là. Les hommes se relevèrent, burent un peu d’eau, et se replacèrent près des marches. Au bout d’une dizaine de minutes, la porte céda, et les morts commencèrent à grimper les marches. Au-dessus, les gardes, tranchèrent des têtes, et les morts s’entassèrent sur les marches, jusqu’à ce que Jon cri : "Maintenant !" A ce moment-là, les gardes reculèrent précipitamment, et Legolas tira une flèche enflammée, embrasant l’escalier en l’espace de quelques secondes, brûlant ainsi près de deux cents morts. Puis, le feu diminua progressivement, tandis que les marcheurs blancs, qui étaient montés, avaient à nouveau engagés le combat, l’un d’eux mourant en arrivant dans la salle. En position de force puisqu’ils étaient plus hauts, les gardes tuèrent les marcheurs blancs plus vite, mais certains moururent tout de même. Au final, les gardes reculèrent, trop peu, ne restant que six d’entre eux, Jon, Legolas, et quatre gardes. Les marcheurs étaient encore neuf en plus du roi de la nuit. Jon, exténué tout autant que ses frères, les regarda, et s’aperçut qu’ils l’observaient. Il releva la garde de son épée, et chargea les marcheurs blancs, qui, visiblement surpris, perdirent l’un des leurs aussitôt. Les autres, voyant cela, chargèrent également, tuant deux autres, et se retrouvant à égalité. L’un des gardes engagea le roi de la nuit, et malgré tout son courage, tomba rapidement. Jon, quant à lui, avait tué son adversaire, et porta secours à ses frères, forçant les marcheurs blancs à combattre en infériorité numérique. La victoire semblait proche, quant tout à coup, ils entendirent les morts remonter les marches. Délaissant les marcheurs blancs, deux gardes se précipitèrent sur les morts qu’ils tentèrent de contenir. Le roi de la nuit sourit en regardant Jon et dit : "Tu as perdu humain à la lame sifflante, tous ces efforts ne servent à rien" "Tant que l’un d’entre nous est debout, nous n’avons pas perdu" Et ils engagèrent de nouveau le combat. Les gardes tuaient les deniers marcheurs blancs, et se ruaient alors sur l’escalier, où un garde était à nouveau mort, amenant leur nombre total à quatre. La victoire semblait se dessiner pour les gardes quant le roi de la nuit projeta Jon au sol, le mettant à sa merci. Jon, sentant sa fin proche, vit ainsi sa vie défiler, depuis son enfance, la garde, le roi du Nord, l’exil, la refondation, l’assemblée, Chrysalide, et ses moments, sa promesse. Des larmes coulèrent sur ses joues en pensant à ce qui allait arriver. Pendant ce temps, le roi de la nuit s’avançait, et décala l’épée pour que Jon ne puisse plus rien faire. Il s’avança, et leva son épée sur Jon, prêt à frapper. Jon ferma les yeux, et la rage s’emparant de lui, il se roula de côté, évita le coup, et sortit le poignard, de même pommeau que celui de Chrysalide, qu'il lança. Celui-ci atterrit entre les deux yeux du roi de la nuit, et regarda Jon, ébahi, puis s’écroula. Les trois gardes dirent alors : "Jon, on ne peut plus tenir, fuyons !" Jon ramassa son épée, et leur dit : "Suivez-moi, vite !" Ils coururent dans les couloirs du fort, et arrivèrent dans la chambre seigneuriale. Là, ils barricadèrent à nouveau la porte, et Jon s’approcha d’un mur et ouvrit un passage où il s’engouffra, aussitôt suivit des trois autres, Legolas fermant la marche. Ils sortirent, tombant sur une dizaine de morts qu’ils tuèrent en quelques secondes, et allèrent en direction de la porte le plus discrètement possible. Ils furent surpris de ne voir aucun mort les cherchant, supposant alors qu’ils étaient encore dans le fort. Ils arrivèrent alors en courant près de la porte lorsqu’ils virent les restes de l’armée en face d’eux. Ils étaient encore près de deux cents, autour de la dépouille du second dragon qui avait dû tomber peu avant, puisque les morts continuaient à s’acharner dessus. Ils étaient encore bien trop pour pouvoir les tuer. Jon sentit son courage flancher, se disant qu’effectivement, il ne pourrait rien faire pour éviter sa mort. Il regarda les trois autres, seul Legolas était encore à peu près en état de combattre. Il leur dit : "Allez dans la tour de garde, et fuyez avec la corde, fuyez, je les retiens ! Legolas, sauvez-vous." Legolas et les deux gardes se regardèrent, et coururent monter sur les remparts afin de rejoindre la tour de garde. L’armée des morts n’avait toujours pas bougée à cette fuite, fixant Jon, qui avait tué leur roi. Au moment de descendre des murailles, Legolas vit l’armée des morts se ruer sur Jon qui engagea le combat immédiatement, faisant de nombreux morts autour de lui assez rapidement.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
21/10/1016 ETU 10:19
|
Score : 3
Détails
Les trois gardes s’enfuirent vers les bois à l’est de la ville, et grimpèrent dans des arbres, se mettant ainsi provisoirement en sécurité, et attendirent. De la ville, nul bruit ne se faisait plus entendre, et ils se résignèrent à la mort de Jon. Entre temps, Jon avait accueilli cette bataille d’honneur avec le sens du devoir qui l’animait. Il se battit comme il pouvait, tranchant et massacrant à tour de bras. Les morts l’encerclaient maintenant, mais Jon continuait à se battre. Il reçut une entaille au bras gauche, mais continua en tranchant la tête du responsable. A ce moment, il en reçut une autre à la jambe, et il se mit à genoux. Il enleva l’épée ennemie, enfoncée dans la jambe, et poussa un cri tout en se relevant et fit tournoyer son épée, reprenant son ballet de mort. Mais ces efforts étaient vains, il le savait. Il fut tailladé à nouveau sur le côté du ventre, ce qui lui coupa le souffle, mais il continuait, tuant invariablement jusqu’à ce que l’un des morts lui inflige un nouveau coup, dans le dos, faisant couler du sang. A ce moment-là, alors que tout espoir semblait perdu, que Jon voyait la mort arriver comme une délivrance, il vit Fantôme, son loup géant, se ruer sur les morts, et décapita avec ses crocs plusieurs morts en l’espace de quelques secondes. Jon se releva, et reprit le combat, afin de combattre aux côtés de Fantôme. Tuant, décapitant, massacrant les restes de l’armée, il reçut à nouveau un coup au ventre, laissant échapper du sang de manière régulière. Surpris par ce coup, il en subit un autre, puis un troisième, tandis que Fantôme finissait les derniers morts et que la vingtaine qui restait s’enfuyait vers les bâtiments. Jon était à genoux, sa main sur son ventre afin d’empêcher que trop de sang ne coule. Il regarda leur fuite, et vit arriver Legolas et les deux gardes qui étaient revenus et se précipitaient sur les morts, finissant de les massacrer. Il s’écroula, et ferma les yeux, conscient du devoir accompli, Fantôme hurlant de voir son maître comme mort.
|
||
|
Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728
22/10/1016 ETU 19:32
|
Score : 3
Détails
Jon sentit sa conscience revenir. Son cerveau se remettait en marche. Il entendit des voix autour de lui. Il essaya d’ouvrir les yeux, sans résultat. Alors, il comprit, et ce fut dur. Les heures passaient, et l’ennui se fit sentir. Il décida de repenser à sa vie, et s’il avait pu pleurer, il l’aurait fait. Chrysalide, son sourire, leurs jeux, la cascade. Il repensa à la pierre et revit le moment où il avait vu le bébé. Il revit leur maison, les soirées, leur première rencontre, et leur premier baiser. Dans la salle, les machines détectèrent une activité. Vartérion se pencha, regarda les pupilles sous l’œil des internes présents, et écouta le cœur de Jon, mais dit : "Rien, sûrement une erreur de la machine" Jon aurait voulu crier, mais rien ne sortait, rien, que le vide.
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
23/10/1016 ETU 19:12
|
Score : 4
Détails
Madame Stark, Commandante Chrysalide, Permettez-moi de me présenter, je me nomme Vartérion, médecin personnel du Lord Commandant Jon Stark, affilié à son croiseur. Je vous envoie ce Com-x afin de vous inviter à vous rendre au plus vite à ce point de coordonnée précis, en orbite de la planète où s'est déroulé la bataille : 8.25.13.1 Votre présence est demandée dans les plus brefs délais. Je ne vous aurai pas dérangé si cela n'en valait pas la peine. Cordialement, Vartérion, Médecin chirurgien, Diplômé de l'université de la Citadelle, Directeur du service chirurgicale du Labo Médicale du Secteur IX, Médecin personnel du Lord Commandant Chrysalide était passée chez elle en coup de vent, juste de temps de prendre quelques affaires, d’avertir Close et Moïra et de repartir. Entre-temps, son vaisseau diplomatique le plus rapide avait été affrété pour un départ vers le secteur 25. Elle avait demandé un pilote et une escorte parce qu’elle ne se sentait pas capable de piloter dans son état de grande angoisse. En plus, elle avait ressenti des douleurs au ventre : le bébé aussi était stressé, mais elle ne pouvait pas se contrôler. Elle alla s’allonger dans sa cabine et dès que le vaisseau prit son allure de plaisance, elle commença à sombrer dans un demi sommeil peuplé de pensées, toutes tournées vers Jon. Te souviens-tu, mon amour de notre première rencontre ? Tu m’avais invitée à ton Ambassade du secteur 0 sous prétexte de parler politique. Je n’avais qu’une envie au bout de quelques minutes de discussion, c’était de te prendre la main, tellement nos idées concordaient… Ca en était presque magique ! Nous n’avons pas attendu longtemps pour nous rencontrer à nouveau, tellement nous avions ressenti cette attirance irrationnelle l’un et l’autre. Notre second rendez-vous fut plus détendu et tu m’as embrassée. J’attendais vraiment cet instant et je l’ai trouvé « naturel ». Ensuite, nous nous sommes revus régulièrement et un soir, tu as décidé que tu pouvais rester jusqu’au petit matin… Quel souvenir délicieux ! J’aime tout de toi, Jon, ta force et ta douceur, tes jeux et ta tendresse, tes yeux, ta bouche, ta peau… tes froncements de sourcils et ton rire, j’aime autant me blottir contre toi que de t’accueillir dans mes bras. Et par dessus tout j’apprécie notre connivence, notre confiance mutuelle, notre entente, et le fait que nous puissions finir les phrases l’un de l’autre. Tu m’as offert une bague de fiançailles elfique, le poignard sacré de ta famille et tu m’as demandé en mariage… Le plus beau jour de ma vie si triste, si aride avant toi. Je t’avais dans la peau, dans mes rêves et maintenant dans mon ventre. Grâce à la Naga, dès que nous l’avons décidé, j’ai porté ton fils comme une évidence. Et toi, tu lui avais promis de revenir… Tu avais promis ! Chrysalide roula sur le côté et se mordit le poing pour ne pas hurler… Elle s’endormit dans cette position, la main toujours sur son ventre pour tranquilliser son enfant.
|