Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 23/10/1016 ETU 19:14 |
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Score : 0
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Double post...
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 23/10/1016 ETU 21:31 |
Score : 4
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Cela faisait maintenant deux cycles que la bataille, qui portait déjà le nom de vengeance de Winterfell avait eu lieu. Dans le croiseur qui était revenu chercher les survivants, il n’y eut ni chant ni danse, seulement des pleurs. Sur les 15 hommes, 2 elfes et 2 dragons envoyés, seuls 2 hommes et 1 elfe étaient revenus. Jon avait été placé dans une cellule médicale, et certaines informations avaient filtrées laissant croire à un coma. Dans ce but, sa femme seule avait été prévenue, et les médecins l’attendaient d’un moment à l’autre. Autour du croiseur personnel de Jon, des milliers d’autres, avec des corvettes de tous types tournaient, rendant presque impossible l’approche au croiseur. Le vaisseau de Chrysalide arrivait. La passerelle relia les deux vaisseaux et l’on vit Chrysalide et deux gardes morphes entrer dans le vaisseau. Elle fut accueillie par le médecin Vartérion qui lui avait demandé de venir par Com-x. Un peu en arrière, elle vit un elfe et deux hommes, en noirs et en déduit qu’ils avaient fait partis du groupe de Jon. Ils avaient l’air fatigué et triste mais elle se refusa à comprendre. Le médecin lui dit alors : "Bonjour commandante. Merci de vous être déplacé aussi tôt. La bataille a eu lieu, et heureusement, nous avons gagné. En fait, le Lord Commandant a survécu." Il vit Chrysalide se détendre légèrement mais il reprit, un peu gêné : "Mais il est dans un état assez critique, suivez-moi" Il la conduisit vers la cellule médicale où Chrysalide vit Jon, allongé sur un lit d’hôpital, manifestement dans le coma, Fantôme couché au niveau de ses pieds, sur le lit. Le médecin lui dit alors : "Il allait mourir, on a préféré le mettre dans un coma artificiel afin de le maintenir en vie. Il a perdu beaucoup de sang et sans son loup, il serait mort à l’heure qu’il est." A ce moment-là, Fantôme leva la tête, et vit Chrysalide. Il émit quelques jappements timides afin de l’appeler.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 24/10/1016 ETU 19:03 |
Score : 2
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En remontant le couloir blanc aseptisé, Chrysalide avait peur : Jon était dans le coma ! Quand elle entra dans la chambre médicalisée, elle eut un temps d’arrêt : Jon était pâle, relié à des moniteurs surveillant ses fonctions vitales et à des sondes l’alimentant. Il paraissait dormir profondément. Seules ses épaules et sa tête dépassaient du drap blanc. Est-il blessé ? A-t-il reçu des coups ? Elle se rapprocha lentement, s'apercevant de la présence du loup Fantôme aux pieds de son Maître et qui gémit doucement à sa vue. Elle s’assit sur le bord du lit, en caressant le loup entre les oreilles pour le rassurer et elle contempla son mari. Puis elle souleva le drap pour lui prendre doucement la main… Il n’eut aucune réaction. Sa main était à peine tiède. Jon, tu m’avais promis de revenir… vivant. Des larmes coulèrent sur ses joues et de son autre main, elle caressa son ventre arrondi. Le fœtus bougeait beaucoup. Alors, elle commença à parler à son mari, comme s’il pouvait l’entendre. Il faut que tu te réveilles très vite parce que ton fils va bientôt naître et il aura besoin de toi autant que de moi. Oui, c’est un garçon, j’en suis sûre. Il est turbulent, je peux te l’assurer et il me laisse peu de repos, me harcelant la nuit de coups de pieds furieux. Il aura besoin de ton autorité. Elle plaça la main de Jon sur son ventre en se rapprochant un peu de lui et le bébé comprit la pression. Il bougea. Chrysalide continua à raconter tout ce qu’elle pouvait. La nuit fut longue. Au petit matin, épuisée, elle s’allongea contre son mari et la pierre qu’elle portait au cou, la Naga des Cynos, s’appuya sur le torse de Jon. Quand le Docteur Varterion fit sa visite quotidienne aux alentours de midi, Jon avait les yeux ouverts, Chrysalide toujours endormie contre lui. Il lui fit signe de ne pas la déranger, qu’il allait bien. Avec tendresse, il lui caressa le visage et les cheveux pour qu’elle se réveille doucement. Jon ! Tu es réveillé ? C’est un m… A ce moment-là, elle aperçut la Naga qui pendait de son cou et reposait sur la peau de Jon. Mais elle n’eut pas le temps de lui expliquer, une contraction violente lui déchirant les reins. Ooooh ! Tu reviens juste à temps, mon amour. Docteur ? Je crois que vous allez mettre notre enfant au monde ! Ça tombe bien, je crois que Jon n’a plus besoin de vous, mais moi si.
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Cdt. Jon Snow25
Respect diplomatique : 728 24/10/1016 ETU 22:39 |
Score : 4
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Vartérion était choqué, il ne savait plus où se mettre, et Chrysalide le reprit : "Docteur !" Il se reprit et cria : "Deux aides-soignantes, tout de suite ! Et préparez le chambre 3 immédiatement !" Puis, il l'assit sur un fauteuil roulant et la mena jusque vers cette pièce où on finissait d'installer le matériel. Là, il l'aida à se coucher et examina Chrysalide. Il lui dit : "C'est qu'il a l'air pressé le bébé, on va y aller vous êtes prêtes ?" Sans attendre de réponse, il lui dit : "Bien, poussez madame" Pendant ce temps, Jon s'était assis dans son lit et une infirmière l'auscultait afin de vérifier que tout allait bien, pendant que lui trépignait : "Laissez-moi aller dans la chambre d'accouchement tout de suite !" Mais l'infirmière répondit : "Non, vous êtes encore faibles, et j'ai des ordres du médecin" Là, Jon pensa qu'il valait mieux frapper un grand coup et dit d'un ton menaçant : "C'est simple, vous avez le choix, soit vous m'emmenez là-bas et tout se passe bien, soit vous ne m'emmenez pas, et là, je vais voir le grand mestre, je fais invalider votre DI (Diplôme d'Infirmière), je vous vire, et m'arrange pour que vous finissiez dans les mines, sur une planète au front. Avec un peu de chance, vous finirez comme esclave sexuelle dans leurs frégates, sinon, et bien, je n'ose imaginer." L'infirmière blêmit et répondit en balbutiant : "Je..je vous y emmène." Jon, avec un sourire satisfait, se fit emmener en fauteuil roulant jusqu'à la chambre 3 où Chrysalide était en plein travail. Il se plaça près d'elle, et lui caressa le visage, afin de l'accompagner dans ce moment. Le travail dura presque trois heures, quand enfin, on entendit le médecin dire : "Je vois la tête !"
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 26/10/1016 ETU 00:28 |
Score : 2
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Chrysalide fut conduite dans une autre chambre par le personnel médical et elle pensa subrepticement que ce n’était pas le lieu où elle aurait pensé accoucher. L’enfant avait dû être choqué par l’état de son père et demandait à sortir de son ventre… avant terme. Comme pour être rassuré. Aaaah ! Mon ventre se durcit à intervalles plus rapprochés et les douleurs sont intenses… Faites vite, s’il vous plait ! Elle fut allongée et le médecin l’ausculta pour savoir où en était le travail. Il était bien engagé et il ne perdit pas de temps. Entre-temps, le Lord Commandant fut appelé par son QG et lâcha la main de sa compagne pour aller régler ses affaires internes. Des affaires beaucoup plus urgentes que la naissance de son fils ! Voulez-vous un antalgique pour les douleurs ? Nooon… Je ne peux pas résister à cette vie… Je dois l’expulser… Il doit vivre… Aaaah !... Plus… le… temps ! Elle souffrait mais cette douleur était pour la bonne cause, mettre son enfant au monde. Il désirait se libérer d’elle et il fallait qu’elle l’aide consciemment. Chrysalide haletait, prenait de grandes goulées d’air et poussait le plus fort qu’elle pouvait au summum de la contraction. Cela dura presque deux heures avant qu’elle n’entende le vagissement de l’enfant. Ensuite, elle se laissa aller à la somnolence, son petit sur sa poitrine, tout enduit de la graisse qui le protégeait dans son ventre, une odeur métallique émanait de lui, son propre sang. Elle le regarda tendrement en le serrant contre elle. Tu étais pressé, hein ? Puis s’adressant au personnel médical : Il s’appelle Tekoa Stark… Cela veut dire « magnifique » dans une langue oubliée. Où est le papa ? Ah... oui, il a dû partir, je comprends. Elle embrassa son fils, des larmes de déception roulant sur ses joues. Jon était parti...
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 26/10/1016 ETU 14:46 |
Score : 2
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Chrysalide n’eut pas besoin de plus d’un cycle pour cicatriser, grâce à la Naga. Elle repartit donc chez elle avec son fils, non sans avoir remercié le personnel médical de Jon pour son efficacité et son amabilité. Dans le vaisseau, au retour, elle berçait son fils en lui racontant qui était son père qu’il n’avait même pas vu. Ton papa est un bel homme et tu lui ressembleras plus tard, mon bébé. Il ne t’a pas pris dans ses bras parce qu’il est très occupé, très demandé, mais il viendra chez nous dès qu’il le pourra. Tu sais, ton papa est un Commandant très intègre et nous nous aimons beaucoup, même si, en ce moment, nous ne sommes plus en phase. Ce n’est que politique, cela ne change rien pour nous trois. L’amour n’est pas politique… Il est éternel. Et toi, tu es notre trésor, Tekoa. Elle n’était pas tout à fait sûre de ce qu’elle racontait à son fils, mais espérait être dans le vrai. Dans le cas contraire, elle lui expliquerait aussi, prenant toutes les fautes sur elle… Pour un petit garçon, l’image du Père devait être forte et sans tâche. L’enfant s’endormit contre elle et elle le contempla avec amour. Au moins, si elle perdait Jon, elle aurait son fils en héritage et aucun secteur, aucun système, aucune planète ne valait plus que cela.Elle fredonna un temps, puis reprit son soliloque. Se pose la question de ton parrain et de ta marraine, je tiens à ce que tu aies des Commandants chargés de te protéger si je viens à disparaître… Il fut un temps pas très lointain où je l’aurais proposé au Grand Roi Gimli, un grand ami de ton père… et peut-être à la Commandante Korda. Mais je crois que la donne est changée, là… Ton père et ses amis s’éloignant de moi, ce ne sera plus possible. Je vais réfléchir… Dors, mon amour… Ensuite, elle pensa à Jon et à ses ultimatums à lui en secteur 9 où elle avait dépensé beaucoup de ressources et d’énergie pour l’aider. Il tentait de la faire partir, mais pour son peuple, elle devait résister. Trop de morts Morphes pour ces conquêtes altruistes. Le cœur lourd, elle pensa à son mari… Quel désastre ! Ils s’aimaient tant et Flavius avait tout gâché entre eux…
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Cdt. Gimli
Respect diplomatique : 762 26/10/1016 ETU 16:11 |
Score : 2
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Un colis arriva dans la demeure de Chrysalide. Il portait le cachet du grand Roi nain. C'était un coffret, en bois grossier, peu travaillé. A l'intérieur, le grand roi lui-même avait placé un diamant de grande valeur de couleur verte, un Lucquium : le diamant porte bonheur. Il l'avait fait monter en pendentif. Avec ceci, une petite poupée de guerrier nain tenant une petite hache en bois. Ce jouet avait été confectionné avec un soin relativement inhabituel chez le peuple nain qui laissait à penser que l'ouvrage avait été commandé à quelqu'un d'autre. Il y avait un mot également. "Chère Marraine, vous trouverez ci-joint quelques présents, au nom de mon peuple pour la naissance de votre enfant. Recevez, vous et Jon, toutes mes félicitations pour cette heureux évènements. Je suis bien navré que les évènements nous éloigne, mais je préfère privilégier les négociations plutôt que l'affrontement direct. J'espère un jour revoir la Chrysalide que j'ai si peu connu, intègre, diplomate, pacifique. Le bijoux me vient de ma mère, j'espère qu'il vous portera autant de chance qu'à elle (si on omet le fait qu'elle est disparu écrasée par une chute de pierre accidentelle, mais elle ne portait pas la pierre ce jour-là), quand à la poupée c'est une commande passée auprès des elfes (voilà bien une chose qu'ils savent faire). Portez-vous bien. Gimli. Le messager avait laissé le paquet aux domestiques et s'en était allé. Le grand roi lui avait ordonné de ne point importuner la jeune mère par sa présence.
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