Archives
>
gamma2
>
Galaxie 8
>
Forums
> Sainte Assemblée
> Metallea
Pages : 1 2
|
Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329 
26/08/1016 ETU 01:41 
|
Message édité -
Score : 3
Détails
Metallea était une planète magnifique. Les dunes de sable orange a perte de vue... Écrasé sous le soleil Contrastant avec le bleue foncé sans nuage du ciel. On pouvait y voire si on n'y faisait attention quelques taches qui n'était autre que les défenses atmosphériques de la planète flottant haut dans les airs et qui avait empêcher tout pillage ou toute attaque brigand depuis bien des cycles. Au millieu de cette étendue chaude et orange, se dréssaient plusieurs mines, d'où les synchrone extrayaient le minerais de fers tant utiles à bon nombres de constructions... La chaleur et leurs façon de faire faisait que ces dernier se relayait très régulièrement. A peu près toutes les 3 heures... Moins souvent la nuits, il faisait bien plus frais. Les synchrone qui n'était pas dans les mines allait dans un Oasis urbains qu'était Talléa. Dont l'architecture était assez original pour être décrites. De grande structures d'agriculture hydroponique vertical entourait la villes. La aussi comme pour les mines des synchrone s'y relayait en continus pour s'occuper des récoltes. Leurs disposition autour de la villes semblait chaotique, il n'en était rien. Chacune de ces structures était monté sur un raille de façon à ce qu'elle puisse se déplacer et éviter que les dunes, mouvantes en ces lieux, ne fasse de l'ombre au récoltes. Dans la villes elle même la première chose qui surprendrait le visiteur était l'absence de porte permettant d'accéder au bâtiments. Autres fait amusant entre chacun de ses bâtiment tous plutôt bas finalement de fine toile de tissus bariolé de motif abstrait bleue rouge et vert avait été tirer de toit en toit. Projetant ainsi une ombre coloré dans les rue. rendant la chaleur plus supportable. Le dernier point marquant était la multitudes d'accès semblable à des bouche de métro menant à la partie la plus atypique de Taléa. Cette ville était en réalité enfoncé en grande partie dans le sol. et était en fait un réseaux de galerie. C'est d'ailleurs ici qu'on trouvais les accès au différent bâtiment. absents à la surface Les dédalle de tunelle étant éclairé de par un habile jeu de miroirs qui permettait de savoir selon l'intensité et la lumière ambiante l'heure qu'il était. Sans surprise. Le milieu de journée était le moment de la journée ou la lumière était la plus intense dans les dédale de tunnel.... La ville souterraine présentait l'avantage de protéger ses habitants du soleil et de la chaleur puisqu'en ces lieux il régnait un vingtaine de degrés en continue. L'eau était extraite d'une nappe phréatique non loin et coulait par endroit dans les rue en de mince filet d'eau claire où les synchrone buvait ou se lavait. Semblant ne pas connaitre la pudeur Certains des tunnels était bien assez grand pour qu'une centaine de millier de synchrones puisse s'y tenir sans trop se bousculer Il régnait dans ces galerie une douce agitation... Des synchrone distribuait de la nourritures à leurs semblable. Des groupe de femmes s'occupais ensemble de leurs nouveaux née, quand d'autre se rassemblait, se touchait les mains les uns les autres et se séparait. ensuite de nouveau en petit groupe de 5 ou 6 Taléas était une villes synchrones sereines c'est pourquoi elle avait été choisi pour accueillir l'ambassade Morphe
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
26/08/1016 ETU 17:01
|
Score : 2
Détails
Chrysalyde réunit la centaine de Morphes qu’elle allait emmener sur la planète Metalléa. Vous n’êtes pas sans savoir que nous avons obtenu une Ambassade en secteur 10. Ce ne fut pas diplomatiquement très facile et j’ai quelques consignes à vous donner, vous qui allez faire partie de la première vague de migrants. Inutile de vous dire que nous faire accepter de ce peuple de Synchrones est primordial si nous voulons conserver cette Ambassade. Elle les briffa ensuite sur les réticences du Commandant Commun, expliquées par l’histoire de ce peuple. Tout comme nous, ce peuple a subi des tortures, des expériences médicales à outrance, des traumatismes… Vous souvenez-vous des nôtres ? Vous souvenez-vous de notre fuite, de notre survie sous terre et des séquelles physiques et psychiques que nous avons eues à subir ? Un brouhaha s’éleva des Morphes. Certains même se prirent la main pour se soutenir face à la cruauté qu’ils avaient subie. Ils avaient conscience d’être des survivants. Alors vous comprendrez que les Synchrones, arrivés bien plus tard que nous dans cette Galaxie en sont encore énormément marqués. Si j’ai dit à l’Assemblée que c’était un peuple peureux par provocation, je le redis ici mais par pure empathie. Il faudra être précautionneux, observer sans forcément se faire voir, se confondre dans leur univers en acceptant leurs coutumes et en les rassurant quant à notre présence. Des têtes acquiescèrent gravement. Une voix s’éleva. Comment passer inaperçus ? Tout d’abord, il est interdit de porter votre gangue de pierre. Oui, je sais que partir en terre inconnue sans cette protection va vous sembler dangereux, mais la revêtir serait plus dangereux encore car ils pourraient se sentir menacés. Ensuite, nous nous déplacerons en vaisseaux furtifs, indécelables sur leurs radars. Ainsi, notre arrivée passera inaperçue jusqu’à ce que nous ayons nos repères et nos premiers contacts. Mais… Nous ne sommes que cent ! Comment… Chrysalide coupa la parole à la jeune Morphe qui ouvrait de grands yeux craintifs. Nous serons reliés en permanence entre nous, nous essayerons de nous réunir par petites cellules de 5 ou 6 pour faire part aux autres de nos expériences ou de nos trouvailles, de nos approches. Et les Arkks seront prêts à redécoller à tout instant. Par contre, il y aura des heures précises pour se contacter les uns les autres, des moments où nous devrons nous faire plus discrets encore pour communiquer sans les alerter, sans les surprendre inutilement. Chrysalide distribua à chacun un bracelet transmetteur à attacher au bras muni d’un code personnel. Apprenez tous mon code par cœur ainsi que celui d’une dizaine des nôtres… Et nous partons. Si, parmi vous, il en est un qui ne veut plus effectuer cette mission, qu’il s’avance, je le remplacerai sans aucune sanction. Un léger flottement se fit sentir dans les rangs mais aucun Morphe ne s’avança. Le voyage fut long mais l’excitation de cette nouvelle aventure fit passer le temps en des discussions plus ou moins sérieuses dans les vaisseaux ou de vaisseaux à vaisseaux. Puis ils arrivèrent enfin à destination. Dans la plus grande coordination, les Morphes s’éparpillèrent par groupes de trois ou quatre dans chaque souterrain visible de l’astroport. Chrysalide fut la dernière à descendre et elle s’éloigna seule, la capuche de sa cape cachant son visage. Elle était la seule à pouvoir être reconnue, étant un personnage public, quoiqu’elle doutât que les Synchrones de cette Oasis regardent beaucoup ce qui se passait à l’Assemblée. Et elle avait expressément demandé au Commun de ne pas divulguer aux habitants le changement de gouvernance de la planète-Ambassade. Après la fournaise de l’astroport, la fraîcheur des tunnels souterrains était très agréable. Elle fut frappée par la foule bigarrée qui circulait en un flot continu. Du coup, elle se sentit moins crispée, comprenant qu’elle ne représentait qu’une aiguille dans une meule de foin… Rapport à tous : les synchrones paraissent paisibles et gais… Il sera facile de se fondre au milieu d’eux. Adoptez leurs couleurs, déplacez-vous lentement…
|
||
|
Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329
26/08/1016 ETU 19:18
|
Message édité -
Score : 2
Détails
Les morphes se déplaçant par petit groupe de 4 se fondaient bien mieux dans la masse que chrysalide qui elle se déplaçait seul. Cette solitude était extrêmement rares chez les synchrones. Mais cela Chrysalide ne pouvait le savoir. et alors qu'elle se détendait juste... ...dans un des groupe groupe qui la croisait, une femme se détacha du lot, se figea, et l'observa. Quoique voulu faire chrysalide visiblement elle avait fait une erreur... Ensuite tout alla très vites.... La foule tout autour de chrysalide se figea instantanément et tournèrent tous la tête en même temps vers la morphe. il s'éloignèrent tous formant un cercle de plusieurs mêtre de diamètre dont la pauvre chrysalide était le centre. Le tout dans le plus grand des silence Le cercle parfait fut brisé par 3 synchrone masqué vêtus de rouge qui s'approchèrent de chrysalide leurs arbalète au poing visant sa tête elle eu l'intelligence de se figer de surprise et peu être aussi de peur. Un des synchrone lui ota sa capuche d'un geste brusque... A ce moment là, la foule se remis en marche se désintéressant subitement de chrysalide. Les trois synchrone s'éloignèrent d'elle à reculons sans baissé leurs armes... Une synchrone sortie du flot de la foule quasiment intégralement vêtus de bleues et lui pris la main Elle ne quittait pas les 3 synchrones armée des yeux qui d'ailleurs à sa vue rangèrent leurs armes et firent demis tour Elle caressa le dos de la main de chrysalide doucement a l'aide de son pousse.Comme pour la rassurer. Puis dit d'une voix douce toujours sans quitter les autres synchrone des yeux Marchez avec moi, taisez vous le temps de vous remettre, parlez quand vous en aurez la forces. Toute cette scènes n'avais pas durer plus de dix seconde.
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
26/08/1016 ETU 23:14
|
Score : 2
Détails
Chrysalide ne comprit pas ce qui lui arrivait quand une synchrone se figea devant elle comme pétrifiée. Les autres en firent de même et s’écartèrent d’elle. Elle ouvrit ses mains… comme pour partager ou appeler… mais ils s’écartèrent encore. Trois « gardes rouges » firent leur apparition et la visèrent ostensiblement. Elle ferma les yeux. C’est fichu. J’ai encore échoué… Comment m’ont-ils démasquée comme étrangère ? Qu’ai-je fait qui les a alerté ? Pourquoi agissent-ils tous de la même façon et en même temps ? Savent-ils communiquer sans mots ? Des sons que je n’entendrais pas ? Les idées tourbillonnaient dans sa tête sans qu’elle ne puisse les arrêter, sentant sa dernière heure venue. Une pensée ardente s’envola vers son bien-aimé qu’elle ne reverrait pas. Elle était là, immobile, sa capuche fut arrachée brutalement… et puis plus rien. Elle rouvrit lentement les yeux et remarqua que le flux des synchrones avait repris et puis qu’une jeune femme s’était approchée d’elle et lui avait pris la main. Cette dernière semblait avoir une certaine influence dans la société parce que les gardes rouges reculèrent instantanément et baissèrent leurs armes au grand soulagement de Chrysalide. Sur le moment, elle aurait pu choir tant ses jambes tremblaient sous elle. Elle se raccrocha à la main de la synchrone bleue avec ferveur. Les mots ne venaient pas… alors elle pressa doucement la main de la synchrone qui l’avait sauvée. Comme un remerciement. Tout en marchant à ses côtés, elle sentait que son souffle redevenait normal et que sa gorge se desserrait. Je voudrais m’asseoir et avoir un peu d’eau… Ensuite je répondrai à toutes vos interrogations. Répondrez-vous aux miennes ? Elle lut de la bienveillance dans les yeux de sa compagne. Cette dernière la guida vers une salle immense où elles purent prendre place sur un banc et étancher leur soif d’eau pure. Je m’appelle Chrysalide et je suis ce que vous appelez une asynchrone, du peuple Morphe, je crois que vous l’avez compris. Je voulais vous connaître mais je crois que je ne m’y suis pas prise de la bonne façon. Je le regrette, je ne cherchais ni à vous faire peur, ni à vous nuire… Simplement vous connaître. La synchrone ne la quittait pas des yeux et son pouce continuait de caresser la main de Chrysalide comme si les mots ne lui suffisaient pas pour être convaincue de sa sincérité. Comment vous appelle-t-on ?
|
||
|
Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329
27/08/1016 ETU 00:08
|
Message édité -
Score : 2
Détails
Je voudrais m’asseoir et avoir un peu d’eau… Ensuite je répondrai à toutes vos interrogations. Répondrez-vous aux miennes ? La synchrone se tourna vers chrysalide. Lui sourit et lui répondis ne spécifiant pas si elle répondait à la question ou bien à la demande de la Morphe Assurément Elle lut de la bienveillance dans les yeux de sa compagne. Cette dernière la guida vers une salle immense où elles purent prendre place sur un banc et étancher leur soif d’eau pure. Dans la salles les sons d'étrange instrument jouer au loin par deux synchrone raisonnaient dans la salles : Je m’appelle Chrysalide et je suis ce que vous appelez une asynchrone, du peuple Morphe, je crois que vous l’avez compris. Je voulais vous connaître mais je crois que je ne m’y suis pas prise de la bonne façon. Je le regrette, je ne cherchais ni à vous faire peur, ni à vous nuire… Simplement vous connaître. La synchrone se mit à rire de bon cœur, Je sais, très bien qui vous êtes effectivement et d'ailleurs vous et moi avons déjà déjà discuté. C'est un plaisir de vous rencontrer Elle marqua un silence. En ces temps, vous ne nous portiez pas un intérêt tel La synchrone ne la quittait pas des yeux et son pouce continuait de caresser la main de Chrysalide comme si les mots ne lui suffisaient pas pour convaincre de sa sincérité. Du regard de chrysalide émanait une profonde surprise. elle parvint à articuler Comment vous appelle-t-on ? Vous pouvez continuer de nous appeler Altérité. Chrysalide eu l'air médusé... Elle se souvint de la dernière fois qu'elle avait entendu ce nom... Dans une communication vidéos... l'ayant pour le moins... marqué. Alors qu'elle revivais la scènes. La synchrone lui lachat la main mais contiuait de lui sourire: Vous aviez des questions ?
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
27/08/1016 ETU 11:48
|
Score : 1
Détails
Alt… Altérité ? Chrysalide était troublée, elle ne se souvenait que très peu de cette discussion qu’elle n’avait d’ailleurs pas comprise et qui lui avait fait perdre ses moyens. Elle l’avait interrompue. Quand était-ce ? Votre secteur n’était pas encore ouvert et j’avais certainement des priorités à ce moment-là, des conflits à gérer dans les recoins de la Galaxie, d’où mon peu d’accroche à votre main tendue. Mais tout vient à point et je suis là. Elle se sentait mieux mais cette grande salle n’était peut-être pas l’endroit idéal pour poser des questions à sa compagne. Altérité, quant à elle, semblait très à l’aise et lui souriait toujours. Pendant ce temps, dans les autres tunnels, les Morphes, par petits groupes se déplaçaient toujours sans encombre et observaient les Synchrones. Ils notèrent dans leur mémoire visuelle tout ce qu’ils pouvaient stocker pour le transmettre plus tard à Chrysalide et à ceux dont ils avaient les codes. Chrysalide commença à recevoir les rapports de ses troupes et se rendit compte qu’elle avait elle-même donné cette heure. Elle respira profondément, s’assura qu’Altérité lui avait bien lâché la main et ferma les yeux. Sur sa rétine, commença la valse des images issues de divers endroits des tunnels de Taléa. Tous les Synchrones sont habillés de bleu, de vert et de rouge, plus ou moins nuancés et dans différentes combinaisons de ces trois couleurs. Rien ne permet d’identifier leur classe sociale ni leur sexe. Sauf les rouges : ils sont armés et se permettent beaucoup d’incivilités, ce doit être une sorte d’armée. Ça, Chrysalide le savait et en avait fait les frais. Ils se déplacent bizarrement, en petits groupes qui changent constamment, comme un jeu de chaises musicales et ils sont très silencieux. Si nous ne voulons pas nous faire prendre, il va falloir que nous fassions de même. Mais ils paraissent savoir à quel moment quitter leur groupe et quel groupe rejoindre et là… nous allons avoir plus de souci. C’est comme si… ils étaient comme nous… télépathes ! Qu’ils n’aient pas besoin de mots mais de se toucher plutôt… Les transmissions, qui étaient semblables pour tous les groupes au détail près, ne mirent que quelques secondes pour être analysées par la rétine de Chrysalide et stockées dans sa mémoire. Elle faisait office de « mémoire collective » pour tout le peuple Morphe. Ses yeux se rouvrirent donc très vite, comme si elle avait poussé un soupir de fatigue, ce qu’elle fit en espérant qu’Altérité n’y ait vu que du feu. Des questions ? Oui, bien sûr. Ici, elles se bousculent un peu dans ma tête. Si nous nous promenions à nouveau, peut-être que cela me serait plus facile de les exprimer correctement…
|
||
|
Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329
27/08/1016 ETU 13:27
|
Message édité -
Score : 2
Détails
Quatre autre synchrone se dirigeait ver le petit couple assis chrysalide proposa alors de se promener. Pour toute réponse la synchrone se leva et s'éloigna d'un pas rapide du banc laissant Chrysalide surprise. Elle voulu bien la rattraper mais sa route fut barré par les 4 synchrone. Alors que chrysalide voyait sa sauveuse s'éloigné coincé par le mur de sychrone. L'un d'eux parla alors. Promenons nous si vous le souhaitez mais vous aller devoir vous habituez à la condition synchrone en oubliant ce que vous savez de l'identité et de la conscience... Chrysalide accepta de les suivre. Pendant la marche l'un d'eux parla : Nous vous soupçonnions de soutenir un complot contre nous. Mais cela remonte à nos début. Comme vous l'avez constater nous n'accordons pas notre confiance avec facilité... Surtout ceux qui on failli vous faire exploser le crane. En ces temps nous kantus ne pension pas que nous aurions à mourir pour le peuple synchrones
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
27/08/1016 ETU 23:08
|
Score : 2
Détails
Chrysalide vit Altérité se lever et voulut la suivre mais elle en fut empêchée par des Synchrones qui formèrent un mur devant elle. Elle voulut l’appeler et là encore elle refréna son cri… Les synchrones ne criaient pas ! Elle regarda donc le vêtement bleu flottant s’éloigner d’elle dans un soupir de désespoir. Je veux bien oublier les notions culturelles des Morphes pour essayer de vous comprendre. Je suppose que vous parlez de l’identité et de la conscience individuelle, n’est-ce pas ? Bien que vous ne m’ayez pas laissé le temps de poser des questions à Altérité, le peuple Morphe n’est pas si différent du vôtre… Elle emboîta le pas de son « escorte » et continua d’observer : elle remarqua les petits ruisseaux dont les bords dentelés produisaient une légère écume et un bruit chantant, ce qui la fit sourire et la détourna de ses inquiétudes. L’un des Synchrones eut l’air de la rappeler à l’ordre. Oui, j’ai compris que votre confiance était dure à gagner et j’espère que vous me l’accorderez au bout du compte. Mon peuple et moi-même avons subi les mêmes épreuves que vous, les survivants sont encore très… précautionneux dans leurs alliances. Nous sortons à peine d’une très grave maladie. … Surtout ceux qui ont failli vous faire exploser le crâne. .. Ca ne peut pas être nous ! Comment ? Kantus ??? Quel est ce nom ? Qui êtes-vous ? Le cauchemar de ce voyage semblait peser une tonne sur les épaules de Chrysalide et elle s’arrêta net dans le tunnel. Veuillez me conduire dans un lieu où je pourrai me détendre et me reposer en toute tranquillité, je vous prie. Je suis exténuée physiquement et psychiquement. C’est une rude épreuve pour moi que de vous comprendre. Il me faut du repos… s’il vous plaît. Elle comptait bien ne pas rester sur cette planète une heure de plus et rapatrier ses troupes pour un voyage retour au plus vite… tant qu’il ne leur était rien arrivé de grave. Elle rêvait de poser sa tête sur l’épaule de… et de sentir ses bras l’enlacer tendrement.
|
||
|
Cdt. Commun
Respect diplomatique : 329
28/08/1016 ETU 04:12
|
Message édité -
Score : 3
Détails
Je veux bien oublier les notions culturelles des Morphes pour essayer de vous comprendre. Je suppose que vous parlez de l’identité et de la conscience individuelle, n’est-ce pas ? Bien que vous ne m’ayez pas laissé le temps de poser des questions à Altérité, le peuple Morphe n’est pas si différent du vôtre… L'un des synchrone du groupe lui répondit avec le sourire et la même bienveillance dans ses yeux. méler à un peu de curieusité se demandant probablement quel serait la réaction de chrysalide en constatant qu'Altérité était dans plusieurs corps à la fois. Qui pouvais savoir combien la conscience en possédait en ce moment même En réalité vous avez tout le loisir de me poser vos question puisque je me tient en face de vous, vous serez bien plus discrète dans un groupe plus "habituelle" en ces lieux. Et cette jeune synchrone avait sans vouloir vous vexer, autre chose à faire. Et autant que vous vous habituiez tout de suite Alors qu'il déambulaient dans les artère de Teléa. Altérité voulu évoqua leurs première discutions : Oui, j’ai compris que votre confiance était dure à gagner et j’espère que vous me l’accorderez au bout du compte. Mon peuple et moi-même avons subi les mêmes épreuves que vous, les survivants sont encore très… précautionneux dans leurs alliances. Nous sortons à peine d’une très grave maladie. Nous vous sentons effrayé asynchrone. Notre confiance vous l'avez déjà, Quand au similitude entre nous. A vos mots, nos histoire on effectivement des point de concordance Mais vous avez une confiance qu'aucun asynchrone n'a jamais conbus réfléchissez à ce qu'il s'est passé. Essayez de penser le Commun comme un corps. Nous somme dans le flux de son réseaux sanguins. Le synchrone indiqua d'un geste la caverne qui effectivement se prêtait assez bien à la métaphore. La foule est son sang et pensez la ainsi. Vous êtes ici un corps étranger. La foule a repéré un intrus, l'as isolé, et s'est préparer à le détruire puis vous a reconnus. Si vous êtes vivante c'est qu'elle n'as pas jugez que vous étiez une menace. puisque'elle est en train de vous fournir l’enveloppe adéquat pour circuler en lui sans avoir à craindre ses défenses immunitaires. Je ne sais si un corps peut d'avantage faire confiance Laisseriez vous quiconque parcourir vos veines ? Et c'est vrais qu'avec un peu d'imagination la métaphore avait du sens. Les synchrones si proches les uns des autres dans des groupe bien délimité qui parfois s'échangeait des individus entre eux évoquait des cellule. La métaphore aurait pu aller plus loin en imaginant les garde rouge comme les globule blanc mais peu de chance que Chrysalide soit aller aussi loin. Ca ne peut pas être nous ! Comment ? Altérité pensant que cette question portait sur cette distance qu'elle émétait avec les "garde rouge" Les Thérons de préservation sont un peux différents des autres synchrones.Il ont été conditionné pour donné la mort rapidement avec une effroyable efficacité. Seul et armés ils peuvent causé énormément de dégâts. En grand groupe ils sont capable d'élaborer des stratégie...Inhumaine... Lors d'un de nos anciens combat nous ayant opposé au asynchrones de méhère des centaines d'entres se sont jeter à travers les tir et ont ouvert une voix sur un champ de mine en s'y faisant explosé. Les autres sont ensuite passé et on tué tout ce qui se trouvait sur leurs routes. Préservation est celui d'entre nous qui avait le plus d'enprise sur ses Thérons. IL les considérait comme des armes et s'en servait comme tel. Aujourd'hui ils ont conservé cette obsession de la protections des synchrones et effectivement explosé le crane d'une asynchrone qui cache son visage est tout à fait dans leurs domaines. Mais il sont bien moins mortifère que sous l'emprise de préservation. Il ont pris le temps de savoir sur quoi il s’apprêtait à tirer et ne sont pas assez stupide aujourd'hui pour tuer un Asynchrone si la foule ne le demande pas. Ce n'as pas toujours été le cas En ces temps nous kantus ne pension pas que nous aurions à mourir pour le peuple synchrones...Quand je les vois sans pouvoir en reprendre le contrôle je me dis que ce n'était peut être pas un mal. Kantus ??? Quel est ce nom ? Qui êtes-vous ? Le synchrone sourit avec Chrysalide comme pour faire oublier un peu l'horreur de la condition des Théron de préservation et présenter une face de la synchronie plus séduisantes. Il répondit : Nous étions jusqu'il y a peu maître des synchrones. Nous sommes ce qu'évoquent les couleurs que portent aujourd'hui les synchrones aujourd'hui. Préservation fut le premier née dans l'horreur et la souffrance commune il nous a lié les uns aux autres il nous a guidé vers la liberté et la maîtrise de nos capacité nous ancrant toujours plus dans la synchronie et pour nous libérez il n'as reculé devant rien comme je vous l'ai expliqué. Malgré toute sa violence les liens qu'il a tissé entre les synchrones ont permis ma naissance. Et je les ai guidée vers le savoir et l'introspection. La compréhension de ce que nous sommes et vers la sérénité je nous ai redonné le pouvoir de comprendre autre chose que la survie et la traque de nos anciens tortionnaire. J'ai voulu leurs apprendre à nouveaux à ressentir autre chose que la haine. De cette volonté et née affect. Nous pensions qu'il était l'incarnation final du Commun. Lui aussi en était certain tant il avait emprise sur les synchrone. Mais aujourd'hui, nous ne sommes plus... Chrysalide lança un regard interrogateur parfaitement logique lors d'un dialogue avec quelqu'un qui affirmais être mort : Savez vous pourquoi l'on grave parfois une épitaphe sur les tombes ? Elle ne répondit pas. C'est qu'à la préhistoire. Les asychrone croyait que les esprit des défunt survivait par la mémoire des vivant. Ainsi une fois les famille des mort disparus elles aussi, les passant qui lirait ces épitaphe préserverait l'esprit de celui qui reposais dans la tombe du néant.... Finalement c'est ce qui nous arrives aujourd'hui. Nous vivons dans la mémoire de nos thérons sous notre relativement épargné du néant de l'oublie dés lors que le temps les aura tous emporté nous disparaîtrons partiellement. Survivant par bribes déformé et recombiné au fil des génération jusqu'à finalement sombrer définitivement dans l'oublie. Ce n'est peut être pas inéluctable. Mais si nous Kantus savons survivre à notre propre mort. Nous ne savons pas encore nous réincarnée. Vous ne faite face aujourd'hui qu'à ce dont mes synchrone on retenus de moi. Affect malheuresement était bien trop jeunes pour se "sauvegardé" avec autant d'exactitude que nous l'avons fait. Il subsiste déjà plus que par bribes. Mais c'est surement sa forces les synchrone s’approprie sa mémoires et l'adaptes. Il en ont fait la base de leurs nouvel psyché. Finalement notre disparition ne sera pas si triste que je l'envisage aujourd'hui Visiblement cela faisait beaucoup d'information d'un coup pour chrysalide. Elle dit Veuillez me conduire dans un lieu où je pourrai me détendre et me reposer en toute tranquillité, je vous prie. Je suis exténuée physiquement et psychiquement. C’est une rude épreuve pour moi que de vous comprendre. Il me faut du repos… s’il vous plaît. Le synchrone qui lui parlait répondit avec douceur Nous allons vous emmenez dans un endroit ou vous pourrez dormir. Une fois que vous vous serez reposé. Je vous accompagnerais là ou vous souhaiterez vous rendre afin qu'il ne vous arrive pas d'autre désagrément sur votre trajet. La nuit ne va pas tarder à tomber et ces tunnel sont lugubre une fois que l'obscurité y règne alors pressons nous. Ce sera le dernier effort que nous vous imposerons aujourd'hui je vous le promet. Il entrainèrent chrysalide jusqu'à une cavité creusé dans la parois. Au sol, une sorte de gigantesque matelas était posé et sur cette étoffe sommeillait déjà 6 synchrones. Il dormaient les mains posé l'une sur l'autre formant une chaîne étrange. L'un des synchrone du groupe qui accompagnais chrysalide se déchaussa entra dans la cavité s'installa et posa sa main sur celle d'un synchrone en bout de chaine. Puis un deuxième fit de même. Le troisième fit signe a chrysalide de les imiter tandis que celui qui s'était alonger avait posé sa main en évidence mais l'avait laisser un peu plus éloigné du reste de son corps qu'il ne le faisait avec les autres synchrones...
|
||
|
Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
28/08/1016 ETU 20:01
|
Score : 3
Détails
Chrysalide observa les synchrones allongés et en fit de même. Non seulement elle n’avait aucune intimité, mais il fallait qu’elle dorme sur le dos et la main posée sur celle de son voisin. Ça n’allait pas être facile ! D’ailleurs, elle resta longtemps les yeux ouverts, essayant de « digérer » les informations d’Altérité. Qu’est-ce que j’ai compris ? Ah oui… Plusieurs synchrones se conduisent comme Altérité, le même sourire, la même douceur et la même protection… Elle vit encore, du moins en esprit, alors que Préservation et Affect ont disparu. Non pas un esprit, plutôt un état d’âme ou même une conscience. Ils me font confiance et ils m’attendaient peut-être… Lentement le sommeil embruma son esprit et son inconscient prit le relais dans des rêves confus. Elle était nimbée d’une brume bleue qui enveloppait aussi les synchrones autour d’elle. Cette brume la protégeait comme Altérité mais l’empêchait également de voir. Elle tomba alors dans un fleuve rouge où elle se débattit contre la noyade : elle avait beau nager, le courant la projetait en avant puis l’aspirait en arrière sans qu’elle n’y puisse rien. Sur la berge, Altérité avait prit la forme d’une jeune femme qui ne se souciait plus d’elle malgré ses cris et elle la voyait embrasser… celui qu’elle aimait. Elle l’empêchait de tourner la tête vers Chrysalide, une main sur sa joue… Elle allait se noyer… Dans une grande respiration de survie, Chrysalide se réveilla couverte de sueur. A côté d’elle, tous dormaient encore. Sans bouger, elle activa les rapports qui l’attendaient de son peuple. Un synchrone a rejoint notre groupe et ne le quitte plus d'une semelle. Sa tenue n'est que bleue et verte. Je ne sais pas ce que ça veut dire. Au début, à notre contact, il a semblé surpris. Mais il a continué de nous suivre. Il semble nous prendre pour des synchrones. Mais il y plus étrange : il observe avec nous et semble désespérément chercher son bracelet lorsque l’un de nous envoie son rapport. Plusieurs groupes rapportaient cette constatation. Comment se faisait-il que les synchrones aient adopté les Morphes de cette façon ? Y avait-il un espoir de voir leurs deux peuples vivre en symbiose ? Devait-elle signaler à Altérité qu’une centaine de ses meilleurs agents parcourait les tunnels de Taléa ? Etaient-ils en danger ? Elle se força à rester couchée sans un geste jusqu’à ce que les synchrones se réveillent. Ils le firent tous au même moment ce qui ne l’étonna même pas. Puis elle attendit que son « groupe » ou sa « garde » soit reconstituée pour poser sa première question de la journée. Mon peuple pourrait-il vivre avec vous ?
|
Pages : 1 2