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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379 
20/09/1016 ETU 19:29 
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Score : 2
Détails
Quelques temps plus tard, Chrysalide attendait un invité. Elle avait revêtu un bustier bicolore noir et gris clair, aux dessins en volutes, qui laissait ses épaules nues, et une jupe à plusieurs volants de tulle bouffants dans les mêmes nuances. Ses cheveux étaient relevés en un chignon élaboré retenu par un diadème noir très sobre. Rien de plus. Il m'a invitée à dîner et c'est moi qui vais le recevoir... Vais-je passer pour une femme aux mœurs dissolues ? Cette pensée la fit rire. Entre la politique galactique, son territoire à gérer et ses travaux d'alliantiste, elle n'avait pas beaucoup le temps de se divertir. Ce soir était l'occasion... Jon ! Chrysalide s'avança vers le Lord Commandant les deux mains tendues. Ici, le protocole est banni. C'est un endroit secret où je me ressource souvent entre deux missions, et vous en êtes l'unique invité. C'est un privilège... Ces derniers mots lui arrachèrent un sourire à la fois de plaisir et aussi un peu charmeur. Vous m'aviez invitée ce soir. Pardonnez-moi mais je ne peux paraître en public avec vous et c'est réciproque, je crois. Surtout avant les élections du Conseil. Que dirait-on ? Ma petite villa est donc plus appropriée. Qu'en dites-vous ? La servante apporta un plateau avec deux verres embués et Chrysalide en offrit un à Jon avant de prendre le second. Le personnel est restreint. Les Morphes qui servent ici ne sortent pas de cette maison. Ils sont "voués" aux lieux, ce qui nous préserve des indiscrétions. Elle se dirigea vers le salon et invita Jon Snow à s'asseoir près d'elle. Trinquons à nous ! Quand le repas fut annoncé et ils prirent place à la table devant le parc déjà dans la pénombre. L'air était doux, la lueur des bougies floutait les formes et rendait un certain mystère aux lieux. Chrysalide apprécia que Jon lui tienne sa chaise le temps qu'elle discipline ses jupons et fit signe à sa servante d'offrir le premier plat : un assortiment de petits toasts autour d'un bol de caviar. Le repas achevé et son verre vide, Chrysalide ressentit l'envie de bouger. Elle se leva donc, mit une cape contre l'humidité du soir et, au passage, rafla une pomme dans la coupe de fruits. Accompagnez-moi dans le parc, Jon. A notre retour, nous aurons une boisson chaude ou un alcool, à votre convenance. Elle lui prit le bras, se serrant contre lui plus que nécessaire, étant donné la douceur de la nuit. Ils allèrent au hasard des chemins qu'elle connaissait bien. Tous les dix mètres franchis, des lampadaires s'allumaient d'une lueur bleutée pour leur éviter les embûches tout en préservant leur intimité. Vous comme moi, nous avons peu le loisir de prendre le temps d'une soirée de repos, n'est-ce-pas ? Alors profitons de ce moment. Elle croquait dans la pomme, fredonnait un air de son peuple et s'appuyait sur lui... savourant le calme et la joie qui atteignait son coeur. Ils arrivèrent dans une clairière où les oiseaux de nuit les frôlaient témérairement. Leurs cris les enveloppaient. Ils ne pouvaient pas se sentir seuls. C'est à ce moment-là que Jon lui avoua son amour avant de l'embrasser.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
30/10/1016 ETU 02:28
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Score : 1
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L'amour est fragile et éphémère... Jon et Chrysalide s'étaient séparés d'un commun accord, enfin plutôt d'un commun désaccord, grâce à l'Empereur Flavius qui continuait à faire valoir des prérogatives d'un autre âge, comme la surveillance imposée sur tous les citoyens de Révolution surtout depuis l'arrivée des Peuples de Renaissance. Chrysalide, qui avait oeuvré avec fidélité auprès de l'Empereur et qui l'avait servi avec toute son énergie et... ses ressources, se voyait maintenant au banc de la Galaxie, simplement parce qu'elle avait revendiqué l'indépendance de son peuple. Mais il y avait une chose de bonne dans cette histoire et c'était un petit garçon du nom de Tekoa (qui veut dire "merveille" dans un langage ancien). Il fallait qu'il y ait une fête pour sa naissance et sa mère allait y pourvoir. BAPTÊME DE TEKOA La marraine et le parrain sont invités ainsi que tous ceux qui souhaiteront y participer. Les grincheux s'abstenir !
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
31/10/1016 ETU 20:11
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Message édité -
Score : 2
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La cérémonie de « l’enracinement », appelée souvent « baptême » dans d’autres cultures, allait commencer. L’aïeul des Morphes se tenait derrière un autel de pierre sur lequel était posé un bol. Une haie s’était formée pour laisser le passage à l’enfant et à sa nourrice jusqu’au lieu sacrificiel. Chrysalide se tenait à l’écart, elle n’avait pas le droit d’intervenir pendant toute la cérémonie. Elle suivait la scène avec anxiété. Son fils n’était qu’à moitié Morphe et aurait peut-être du mal à supporter ce qu’il allait subir. Alors, elle espérait qu’il tenait plus d’elle que de son père. Tekoa, tu fais partie de la lignée de notre Souveraine et tu dois savoir et endurer tout ce que ton peuple a subi. Faites venir l’enfant. La nourrice s’avança le plus lentement possible pour retarder le supplice du bébé, mais elle finit tout de même par atteindre l’autel où elle déposa l’enfant. Chut, mon ange, ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! Le vieil homme plongea ses mains dans le récipient et les ressortit pleines de boue rougeâtre. Il commença à en enduire le corps de l’enfant qui ne se débattit pas. Tekoa, tes ancêtres, et même ta mère, vécurent prisonniers sous terre tellement de temps qu’ils ne pouvaient paraître au soleil sans se protéger la peau de cette boue. Plonge-toi dans tes racines, embrasse ton passé au travers de cette cérémonie, rends-toi compte de leur solitude et de leur souffrance. Quand le vieil homme eut badigeonné tout le corps de l’enfant, il s’attaqua à son crâne et à son visage. Tekoa commença à hurler, les yeux, le nez et la bouche obstrués par la boue… Crie notre infortune, petit être ! Hurle notre génocide, fils sacré ! Le vieux souleva l’enfant hurlant dans ses mains et l’offrit au ciel. La marraine et le parrain peuvent maintenant le délivrer de cette boue qui nous a protégés, permis de survivre et dont nous nous souvenons tous… Une cuvette d’eau claire fut amenée ainsi que des linges et une serviette pour nettoyer et sécher l’enfant. C’était maintenant à Marlysa et à Zeusdunord d’officier. Chrysalide avait eu le cœur serré et transpercé par les cris de Tekoa, mais cette cérémonie était incontournable, surtout parce que Tekoa n’avait plus de père.
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Cdte. Marlysa
Respect diplomatique : 14 
31/10/1016 ETU 23:55 |
Score : 4
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Marlysa était arrivé un peu plus tôt dans la soirée pour se préparée, elle avait mis une longue robe rouge et des pantoufles à tallons hautelle qui avait l'habitude d'être en tenue militaire de couleur jaune-orange et des chaussures de sécurité Quelle idée m'a pris de mettre des talons, en plus ça fait mal au pied. Aller, essais de tenir toute la soirée. Marlysa qui était devenu marraine pour la première fois, ne savait pas trop quoi dire. Elle n'aimait pas parler devant plusieurs personnes qu'elle ne connaissait pas. De plus elle avait du mal à construire des phrases correctes, quand il ne s'agissait pas de donner des ordres. Elle arriva à l'endroit où se trouvaient les invités présents. Bonsoir commandant, je ne suis ravie que notre hôte m'est choisi comme marraine de son fils. Fils qu'il me tarde d'avoir dans mes bras. Les discoures ne me plaise pas géré, je souhaiterais donc porter un poste à celui qui est la raison de notre présence, l'unique TEKOA. Après sa brève déclaration elle rejoignit Chrysalide et son fils. Bon, la plus dure est passé, enfin j'espère. Comment vas-tu ? pas trop fatigué? Encore merci, je te le répète mais tu trouveras tout ce qu'il te faudra chez moi si tu le désires. elle se pencha sur le petit Tekoa Coucou toi, je suis ta marraine Marlysa, on va se voir souvent maintenant. Elle se redressa je peux le prendre?
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Cdt. zeusdunord
Respect diplomatique : 160 
01/11/1016 ETU 10:01 |
Score : 3
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Son Altesse Zeus accompagniez d'une jeune Turranienne et de deux garde observa la scène sans dire un mot. Il approcha du jeune Tekoa quand le veuille homme lui fit signe d'approcher. Il retira délicatement avec plusieurs passage la boue recouvrant la bouche et les yeux de l'enfant avec l'aide d'un linge propre trempé au préalable dans l'eau. Sa bouche dégager, Tekoa repris de plus belle s'est hurlement. Zeus approcha son visage de l'enfant pour lui glisser quelques mots. Jeune Tekoa, bienvenue en se monde, que ta vie soit belle et longue. Sache que tu sera toujours le bienvenue sur mes Terres et un jours, quand tu sera un peu plus grand, je te ferai découvrir quelque plaisir de Turranis. Tekoa arrêta de pleuré quelque instant et certain pourrez dire qu'il fit même un sourire. Zeus se redressa et remarqua que son excellence Chrysalide le regarder de manière à vouloir savoir quelle propos il avait eu avec son fils. Zeus la regarda avec un sourire et lui dit, Cette conversation est un secret être Tekoa et moi. Cependant, je peut vous donnez ceux-ci, il est trop jeune pour pouvoir la porté mais cela lui garantie que les portes du palais Turranien lui seront toujours ouverte. Il donna une boite à l'excellence Chrysalide quelle ouvrit pour y découvrir un médaillon en or, ornée en son centre d'une pierre couleurs bleuâtre. Tous autour de la pierre. L'ont pouvez lire la phrases suivante gravée dans le médaillon. Par cette objets, Tekoa, les portes de Turranis et de tous son Royaume te seront toujours ouvert.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
02/11/1016 ETU 20:12
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Score : 2
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Après la cérémonie, Tekoa fut emmené par sa nourrice, après que sa mère lui ai fait un baiser dans le cou, pour un bain tiède et un biberon de lait maternel. Il devait avoir besoin de réconfort. Chrysalide se retrouva avec Marlysa et Zeusdunord et les convia à sa table de banquet. Merci d'avoir accepté de participer à cette cérémonie en tant que parties prenantes, mes amis. Vous seuls avez su faire la part des choses entre mes actes de Dirigeante et l'innocence de cet enfant. Encore merci. Vous allez devoir le prendre en charge plus tôt que prévu, j'en ai bien peur... son père ayant choisi de me trahir en divulguant mes pensées les plus intimes qui sont aujourd'hui divulguées en pleine Assemblée. Je ne me confierai plus à aucun homme désormais. Les plats arrivèrent et Chrysalide ne toucha à aucun. Tout la dégoûtait à l'instar de Jon. A la fin du repas, elle se leva et prit les mains des Commandants : Roi Zeus, prends soin de toi et de mon fils. Marlysa, je te souhaite bonheur et prospérité. Si l'un ou l'autre avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas. Et ne vous souciez pas de moi, ma voie est tracée...
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Cdte. Marlysa
Respect diplomatique : 14
02/11/1016 ETU 23:58 |
Score : 1
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Après avoir écouté les mots de chrysalide, Marlysa se senti toute drôle. C'était presque comme si on lui annonçait le décès d'un être cher. ne te laisse pas abattre comme cela. J'ai une solution, confie-toi aux femmes dites-elle avec un léger sourire. et explique-moi comment peut-on ne pas se soucier de toi?
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
07/11/1016 ETU 19:21
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Score : 1
Détails
Quelques cycles plus tard, Chrysalide écrivit à la marraine de son fils. Chère Marlysa, Ne t'inquiète pas, je vais bien. Mon peuple a l'habitude du mode "survie" et tous ont fui les attaques de l'Empereur dans des souterrains adaptés et ont pu être rapatriés dans notre secteur natal. Moi, je coule des cycles apaisants sur ma Capitale et dans mes résidences secondaires où je suis souvent visitée par des amis sûrs. Je voulais te dire que j'étais désolée de l'invasion de la planète "Maison de vacance" que tu m'avais prêtée pour te réapprovisionner dans mes stocks. Elle devait être de nouveau en transfert vers ton Empire quand le Commandant Gimli l'a prise. Tu sais, les hommes... et les nains en plus... on ne peut pas leur demander de réfléchir avant d'agir inconsidérément. Dès que ma bannière apparaît quelque part, ils deviennent de vrais bourrins ! J'espère que tu la récupéreras. Tu n'es fautive de rien sinon d'être mon amie et de m'avoir demandé un service. Tu as raison, il faudrait plus de femmes dans cette Galaxie. Elles pensent avec leur cerveau et ne comparent pas la grosseur de ce qu'elles n'ont pas, si tu vois ce que je veux dire. Porte-toi bien, mon amie, Chrysalide.
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Cdt. Chrysalide
Respect diplomatique : 1379
08/11/1016 ETU 23:52
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Score : 2
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Les planètes avaient tremblé... Les forces salusiennes s'étaient déchaînées sur les mondes Morphes. Dans tous les secteurs, dans tous les systèmes de ces secteurs, jusqu'à la plus petite planète de la Galaxie. Aux abris !!! C'était le mot d'ordre. Les Morphes habitués, hélas à être génocidés par des peuples xénophobes, avaient toujours construit des portes de sortie, de repli, au cas où... Les peuples avaient fui dans les souterrains comme au temps les plus sombres de leur histoire. Ils s'y étaient entassés comme ils avaient pu en attendant les secours qu'ils savaient fiables. Ils avaient toute confiance en leur Dirigeante. Gardez espoir - Engrangez les vivres - Patientez - Les secours arrivent - Dès le calme revenu, vous serez rapatriés - Consolez les enfants - Rassurez les blessés - Ne vous laissez pas abattre - Nous sommes des êtres survivants - Nous survivrons encore. Ce leitmotiv parcourait tous les tunnels de toutes les planètes apparemment conquises par l'Empereur, soit plus d'une centaine. Les Morphes étaient courageux et surtout fervents de vie et de bonheur. Ils attendaient leur sauvetage qui n'allait pas tarder. Mais... alors que Flavius avait promis de ne pas intervenir en secteur 1, les assauts avaient commencé sur les troupes Morphes dans le secteur natal... Le peuple commençait à paniquer, le Conseil dut se réunir. Chrysalide, l'Empereur nous attaque dans notre secteur natal et ce n'était pas prévu... Il devait s'arrêter à nos frontières. Il a déjà pris ce qui nous appartenait en propre, nos Ambassades et les planètes du secteur Origine offertes par le Gouverneur Numéro 1B ! Nous ne pouvons pas admettre son intrusion en secteur Prime ! Calmez-vous... J'ai demandé au Guide Arkhangel Hismer avec qui nous partageons les décisions sur notre secteur d'intercéder auprès de l'Empereur pour qu'il n'intervienne plus ni sur notre armée ni sur nos terres et cela, radicalement. Qu'il quitte notre secteur. Ses actes contre nous ici sont inadmissibles. Mais nos requêtes ne seront entendues que si elles sont appuyées par le Guide Hismer. Il faut attendre... sans rien faire, sans réagir par les armes. Si le Guide des Kaiserdiens ne peut rien faire, alors nous entrerons en guerre, mais ce n'est pas la bonne solution. Attendons encore. J'ai confiance en mon ami. Les voix se turent... Les esprits, eux, non. Chacun pensait au lendemain et à la protection de leur famille.
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